Le printemps du dessin, 8ème édition

Partout en France : du 20 mars au 21 juin 2025

Créé en 2017, par l’équipe de Drawing Now Paris, la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.
Du 20 mars au 21 juin, en réunissant des lieux aussi différents que des Monuments nationaux, des artothèques, des FRAC ou des centres d’art, le Printemps du dessin inscrit la culture au sein même des territoires et répond déjà au souhait du Ministère de la Culture d’un « Printemps de la ruralité ».
À travers des expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et publics, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique.
Ces rencontres réparties au niveau national permettent à des publics différents une proximité avec les artistes et leur travail lors des expositions et rencontres. Le dessin facilite ces rencontres car ce medium paraît plus direct et accessible.
En 2024, 76 structures ont oeuvré partout en France pour faire du printemps une grande fête du dessin en mettant le sport au coeur de la pratique dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques.
Pour cette nouvelle édition, le Printemps du dessin propose à ses participants d’imaginer une programmation autour du thème du langage et de l’écriture. Ces formes d’expression se rejoignent, en utilisant le dessin pour illustrer des idées, des récits et des émotions qui pourraient aussi être capturés par les mots. La 8e édition aura pour but de souligner le trait et la ligne comme outils narratifs, comme écriture universelle.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

Drawing Now Paris, 18e édition

Le salon du dessin contemporain

Le Carreau du Temple, Paris : du 27 au 30 mars 2025

La 18e édition de Drawing Now Paris, première foire d’art contemporain dédiée au dessin en Europe, aura lieu du 27 au 30 mars 2025 au Carreau du Temple à Paris. Pendant 4 jours, sur les deux niveaux du Carreau du Temple, plus de 70 galeries internationales vous feront découvrir toute la diversité du dessin
contemporain d’aujourd’hui et des 50 dernières années.
Afin d’approfondir la découverte du dessin contemporain, Drawing Now Paris multiplie les événements et propose une programmation associée autour d’une exposition en partenariat avec le Frac Picardie – Hauts de France et le Cnap.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

TROP-PLEIN

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’au 5 janvier 2025

Sur toute l’année 2024, cette exposition plurielle, réinterprétation d’un thème plus que jamais d’actualité, offre au public l’opportunité d’explorer les facettes de la société de surconsommation à travers plusieurs thématiques : le rapport à l’argent, qui conditionne tous les excès ; le gaspillage alimentaire et l’obsolescence programmée, qui engendrent chaque année des tonnes de déchets mettant en péril l’équilibre écologique planétaire ; enfin, les nouvelles perceptions et les codes inédits d’une société qui définit des normes difficilement atteignables. Entre images familières, symbolisme, références culturelles et historiques et oeuvres « à charge », les pièces de verre exposées viennent souligner avec justesse les excès contemporains.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Mémoires. Genève dans le monde colonial

MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 5 janvier 2025

Quel est le passé colonial de Genève ? Le Musée d’ethnographie en est-il l’un des acteurs ? Qu’en racontent ses collections ? Autant de questions que pose « Mémoires. Genève dans le monde colonial » la nouvelle exposition temporaire du MEG.
Dans le parcours d’exposition, de nombreux partenaires sondent notre histoire commune, redéfinissent le statut des collections ethnographiques et inventent leurs futurs. L’exposition questionne le rôle du MEG dans une société post-coloniale où les traces du passé, les discriminations et le racisme se font écho.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

Boris Labbé, Ito Meikyū / Fil d’errance

Commissaire d’exposition : Judith Guez
Lauréats de la Bourse Drawing Lab Project 2024

Drawing Lab, Paris : jusqu’au 5 janvier 2025

La Bourse Drawing Lab Project 2024 d’un montant de 20 000 euros hors taxe a été attribuée à l’artiste Boris Labbé et la commissaire d’exposition Judith Guez. Ils exposent cet automne au Drawing Lab leur projet Ito Meikyū / Fil d’errance.

Boris Labbé cherche plusieurs manières d’exprimer la matière du dessin : de la faire « déborder, craquer, crépiter, proliférer, vivre ». Le dessin a toujours été central dans sa vie et s’est nourri de plusieurs rencontres et projets : du dessin classique à l’animation 3D, de la réalité virtuelle à la performance et installation vidéo. Dans cette exposition, le dessin devient volume et architecture avec l’oeuvre centrale Ito Meikyū (mot inventé du collage de deux mots : ito qui signifie « fil » et meikyū qui signifie « labyrinthe »). L’oeuvre immersive et interactive propose au spectateur de plonger dans une grande fresque animée. Elle présente une collection hétérogène de scènes dessinées, animées et sonores, qui sont prises dans la matière numérique. Elle recrée en quelque sorte un monde subjectif (monde intérieur et extérieur) sous la forme d’un labyrinthe composé d’architectures fractales, habitées de plantes, d’objets, d’animaux, d’hommes, de femmes, de motifs et de calligraphies. Le spectateur est invité à déambuler dans cet espace virtuel de manière libre en se laissant guider par le hasard de ses découvertes.
Cette installation en réalité virtuelle est inspirée par des oeuvres clés de l’art classique et la littérature japonaise (tel que Le Dit du Genji de Murasaki Shikibu et Les Notes de Chevets de Sei Shonagon), mais également par divers contacts et événements de la vie de l’artiste et de ses voyages au Japon.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

YUIMA NAKAZATO, Au-delà de la couture

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 5 janvier 2025

La Cité de la dentelle et de la mode de Calais présente la première exposition consacrée au créateur de mode japonais Yuima Nakazato.
Personnalité artistique d’avant-garde, Yuima Nakazato façonne une mode humaniste et écologique qui repense les procédés de fabrication avec une volonté de démocratisation de la création sur mesure. Il fusionne pour cela la haute-technologie et les savoir-faire, les traditions d’Asie et d’Occident.
Dans un univers poétique et futuriste pensé avec le créateur, l’exposition s’appuie sur une cinquantaine de silhouettes ayant défilé au calendrier de la haute couture parisienne, des accessoires, des croquis de mode, des échantillons de matières, des photographies de mode et des vidéos.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny

du 1er avril au 1er novembre 2025

Après leur traditionnelle trêve hivernale, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes le 1er avril 2025. Un cycle immuable qui n’empêche pas le renouveau, tant horticole qu’artistique ! En ce mois d’avril, les jardins accueillent le public quand les cerisiers et pommiers rivalisent de floraisons nuageuses en un camaïeu rose, comme une évocation nippone. Tels des rehauts colorés, les narcisses blancs parfumés et les jonquilles éclaboussent le pied des arbres.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

Eugène Dodeigne (1923-2015) : une rétrospective

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025

Personnalité essentielle de la sculpture française contemporaine, à laquelle il a apporté une contribution singulière et reconnue dans le monde entier, Eugène Dodeigne est aussi l’une des figures de proue du Groupe de Roubaix.
Cette rétrospective, organisée une première fois en 2020 à La Piscine et qui n’avait pu alors ouvrir ses portes au public à cause de la pandémie, est l’occasion unique de découvrir un portrait renouvelé de l’artiste, en reconsidérant son oeuvre dans toute sa richesse. Aux côtés des pierres de Soignies – sa signature évidente –, seront présentés des plâtres, bois, bronzes, terres cuites, dessins, peintures et éléments de mobilier, embrassant en quelques 200 oeuvres – l’ensemble le plus important jamais rassemblé – près de soixante ans de création. A cette occasion, le catalogue de l’exposition dirigé par Germain Hirselj et qui a reçu en 2021 le prestigieux prix du Festival International du Livre d’Art et du Film, va aussi reparaître.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Mado Jolain (1921-2019), céramiste. Côté maison-Côté jardin

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025

Dans le paysage de la céramique des années 1950, l’oeuvre de Mado Jolain (1921-2019) séduit par sa modernité et les jeux formels qu’elle a multipliés. La céramiste manifeste très tôt une préférence pour les volumes simples, architecturés et travaillés de telle sorte que l’articulation subtile de l’ombre et de la lumière puisse s’y épanouir.
Cet hommage rendu par La Piscine permettra au public de découvrir l’oeuvre d’une céramiste dont l’esprit libre épris de rigueur a compté dans le renouveau de la céramique des années 1950-1960.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

L’Or des Ming, fastes et beautés de la Chine impériale (14e – 17e siècle)

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 13 janvier 2025

Comment se faire belle sous les Ming ? Une splendide exploration de l’esthétisme féminin à la cour impériale.
Le musée Guimet présente une exposition exceptionnelle de parures en or produites au temps de la dynastie des Ming (1368-1644), et de vases prêtés par le musée Qujian de Xi’an.
Métal précieux par excellence, l’or enrichit dès l’antiquité les ornements en bronze et en jade. Au temps des Ming, l’orfèvrerie d’or est réservée à l’entourage impérial et aux hautes classes sociales. Les peintures qui nous sont parvenues laissent un témoignage saisissant de vases et parures en or utilisés dans la vie quotidienne à la cour de l’Empereur. Les artisans royaux laissent alors libre cours à leur imagination pour commencer à fabriquer des bijoux et objets purement décoratifs, développant des savoir-faire et une haute maîtrise de techniques variées : gravure, filigrane, damasquinage, incrustation de jade ou de pierres précieuses.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30