Marc Ronet. La main et le geste – MUba Eugène Leroy
Léonard de Vinci, à la croisée des arts et des sciences – Forum des Sciences
Fanny Bouyagui : IA-TERRA – La Piscine
Mémoire Vive – MusVerre
Portrait éphémère du Japon, photographies de Pierre-Elie de Pibrac – Musée Guimet
Carte blanche à Manish Pushkale – Musée Guimet
1, 2, 3 Couleurs ! – Palais des Beaux-Arts de Lille
Terra Incognita, rendez-vous au bout du monde – Musée des Confluences
Regard sur les collections 5ème édition – Musée d’art et d’histoire Louis Senlecq
Frank Smith, L’Atlas des 2-mers – Musée des Beaux-Arts de Calais
Antony Gormley, Critical Mass – Musée Rodin
Fanny Pouyagui : IA-TERRA – La Piscine
Brésil, identités – Musée de Lodève
Claude Simon sur la route des Flandres : Peintre et écrivain – La Piscine
Domaine de Vaux-le-Vicomte
Le cri de la liberté. Chagall politique – La Piscine
Maison et Jardins Claude Monet – Giverny
La joie et rien d’autre – Galerie Guillaume
Kassandre Fradelin
Attachée de presse
Observatoire depuis 2021
Anglais : courant
Italien : intermédiaire
Maîtrise Indesign : avancée

FORMATION
Licence en Classe Préparatoire aux Grandes Écoles A/L à Claude Monet, Paris XIIIè
Master en Humanités et Lettres Classiques, Université Paris X, Nanterre
Master en Lettres – Édition – Médias, Université Paris III, Sorbonne Nouvelle
Nikos Aliagas, le Spleen d’Ulysse – Abbaye de Jumièges
Haute-Voltige, oeuvres en plumes de Maxime Leroy – Musée des Arts Précieux Paul-Dupuy
Naples pour passion, chefs-d’oeuvre de la collection De Vito – Musée Granet
Les derniers Soulages. 2010-2022 – Musée Soulages
Sur les pas d’Atget
Domaine départemental de Sceaux
Jusqu’au 15 décembre 2023
Le photographe Jean Eugène Auguste Atget (1857-1927) a immortalisé les lieux au moment de l’entrée du Domaine de Sceaux dans le domaine public. Une quinzaine de photos de l’artiste, datées de juin 1925 à août 1927, sera présentée dans le parc, au plus proche des lieux mêmes qui ont été photographiés, illustrant l’état du site avant la grande restauration de l’architecte Léon Azéma. Une exposition qui donne à voir le chemin accompli en un siècle pour faire de ce patrimoine vivant un lieu d’histoire et de biodiversité ouvert à tous.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
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Marc Riboud, 100 photographies pour 100 ans
Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 31 décembre 2023
En collaboration avec Les amis de Marc Riboud
L’exposition célèbre le centenaire de la naissance, à Saint-Genis-Laval près de Lyon, de Marc Riboud, photographe de renommée internationale.
Dès son entrée à l’agence Magnum en 1953, Marc Riboud place le voyage au coeur de son oeuvre. De l’Inde à la Chine, de l’Algérie au Ghana ou au Nigeria, son regard se pose sur les cultures du monde, et notamment sur l’Asie, où il fera de nombreux et longs séjours. Ses reportages sur les transformations d’une Chine, du Grand Bond en avant (1957) au boom économique (années 1980), le rendront célèbre. Témoin d’autres grandes révolutions en Iran, en Pologne ou en Afrique du Sud, il est aussi sur le front des combats au Viêtnam, au Pakistan oriental.
Si son instinct pour la géométrie est une marque de son oeuvre, la présence humaine dans l’image, visible ou invisible, révèle sa sympathie naturelle envers ceux qui combattent pour leur liberté.
En cent photographies, l’exposition propose un aperçu de la richesse et de la diversité du travail de Marc Riboud et met en exergue la passion d’un homme : comprendre le monde et affronter les autres.
Cette exposition bénéficie des prêts du fonds photographique Marc Riboud, légué en 2019 au musée national des arts asiatiques – Guimet (Paris). Ce projet est aussi l’occasion d’une collaboration entre deux musées historiquement reliés à Émile Guimet, collectionneur passionné par les voyages et l’étude des civilisations, tout comme Marc Riboud le fut, à sa façon, un siècle plus tard.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Museum Connections, 28ème édition
Paris, Porte de Versailles : 16 et 17 janvier 2024
Inspirons l’expérience culturelle et touristique de demain
Le salon Museum Connections est de retour pour la 28ème édition les 16 et 17 janvier 2024 à Paris, Porte de Versailles.
Salon professionnel international, résolument tourné vers les enjeux économiques et durables des musées, lieux culturels et touristiques, Museum Connections décode les tendances et innovations pour imaginer les nouvelles expériences de visite.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Suzanne Husky, Le temps profond des rivières
Exposition du Prix Drawing Now 2023
Commissaire d’exposition : Lauranne Germond
Drawing Lab, Paris : du 26 janvier au 7 avril 2024
Contenir les forces des flux des rivières et des cours d’eau en un lit simplifié, prévisible a été une obsession pour nos cultures. La ligne bleue parfaitement maitrisée d’un bout à l’autre et qui ne déborde pas. Cette obsession qui a transformé nos rivières en canaux est l’une des causes de la sécheresse que l’on pleure : sans méandres, sans aspérités, nos eaux filent tout droit à la mer. Mais à quoi ressemble un cours d’eau en bonne santé ? Une rivière reconnectée à sa plaine alluviale, ou qui se déploie sur les lits majeurs, change son parcours, mange à sa santé, fait ses exercices, goûte aux 1 000 plantes qui la bordent et est chatouillée par les amphibiens, les alevins et les pattes verruqueuses et velus des dytiques, des nèpes, et des odonates qui la parcourent ? Quelle est la responsabilité des artistes à travers l’histoire dans ces représentations simplifiées des cours d’eau et comment l’art peut-il aujourd’hui être un agent de transformation de cette perception ?
Dans la grande tradition de l’illustration naturaliste et en collaboration avec le philosophe chercheur Baptiste Morizot qui co-signe une partie des oeuvres, Suzanne Husky nous invite à reconsidérer le temps long de la rivière. Par une pratique appliquée du dessin mêlant exactitude scientifique, et visions holistiques d’une nature réenchantée, gouaches, aquarelles, et encres font renaitre le visage oublié des rivières en bonne santé, des milles et unes espèces en déclin, qui peuplent d’ordinaire son écosystème, et ravive notre lien originel à la zone humide.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
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Secrets de la Terre
Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 31 décembre 2023
L’exposition invite les visiteurs à pénétrer dans les profondeurs de la Terre pour y découvrir les richesses minérales de la planète.
Dialoguant entre l’histoire des civilisations et celle, bien plus ancienne, de la formation des minéraux, elle met en évidence leurs propriétés physiques et chimiques et leurs utilisations à travers les âges, depuis la Préhistoire. La pierre sert à la construction des outils et des habitats, les métaux à la fabrication des armes, des monnaies, puis des machines, les roches, comme le charbon, à la production de l’énergie, les terres, minerais et sels à l’alimentation de l’industrie. L’exploitation intensive de ces ressources, jusqu’à leur raréfaction, pousse aujourd’hui nos prospections toujours plus profondément sous terre. Et bien que les missions d’exploration martiennes aient essentiellement pour but de nous apporter une meilleure connaissance des processus géologiques en œuvre dans sa constitution, certaines entreprises rêvent déjà d’exploiter un jour la planète rouge.
Avec près de 8 000 échantillons de minéraux, 525 gemmes et 2 500 spécimens de roches, le musée des Confluences conserve une des grandes collections publiques de minéralogie.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
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INFIRMIÈRES. Héroïnes silencieuses de la Grande Guerre
Musée de la Grande Guerre, Meaux – Jusqu’au 31 décembre 2023
L’évocation de la Grande Guerre renvoie le plus souvent aux Poilus dans les tranchées, aux souffrances et aux morts, il est peu question des soignants et notamment des infirmières qui, bénévoles ou salariées, civiles ou militaires, qualifiées ou simplement sensibilisées, ont œuvré au service des victimes.
Cette nouvelle exposition du musée de la Grande Guerre leur est consacrée. Elle a pour ambition de témoigner de l’engagement et de la participation des infirmières parmi les personnels de santé mobilisés sur les fronts mais aussi à l’arrière auprès des populations civiles.
Plus de cent ans après, il est difficile d’imaginer les infirmières dans leur contexte, tant nous avons tendance à leur appliquer nos modèles d’aujourd’hui. C’est toute la volonté de l’exposition qui expliquera comment la Première Guerre mondiale a été un tournant majeur pour la profession. En effet, le conflit établit les premiers pas vers la reconnaissance d’un métier véritable alliant connaissances médicales et savoirs des corps, même si les infirmières restent plus reconnues pour leur dévouement que pour leurs compétences.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
T @VanessaRavenaux
Le grand Noël
Domaine de Vaux-le-Vicomte
Jusqu’au 7 janvier 2024
En 2023, le château de Vaux-le-Vicomte célèbre les festivités de Noël avec fastes et splendeur ! Cette 18e édition proposera des expériences immersives et inédites dans le domaine : les cours, les communs, le château et le jardin à la française seront magnifiés pour l’occasion !
Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Nikos Aliagas, Le spleen d’Ulysse
Département de la Seine-Maritime, Abbaye de Jumièges
Prolongation jusqu’au 7 janvier 2024
Avec une remarquable fréquentation de plus de 32 000 visiteurs au 30 septembre, le Département de la Seine-Maritime prolonge jusqu’au 7 janvier 2024 l’exposition Le spleen d’Ulysse de Nikos Aliagas, exposée depuis le 8 juin dernier au logis abbatial de l’abbaye de Jumièges.
L’abbaye de Jumièges consacre depuis 10 ans sa programmation aux arts visuels contemporains et à de grandes expositions photographiques telles que La Tentation du paysage de Jean Gaumy en 2014, Vestiges de Josef Kouldeka en 2018, ou bien encore Ravir la force mais toujours aimer d’Ange Leccia en 2019.
Pour cette exposition, Nikos Aliagas a conçu un projet dans lequel dialoguent toutes les images de son vocabulaire artistique : la Grèce et la Méditerranée, les portraits, les paysages, les mains, les objets qui disent l’au-delà.
Attachée de presse : Margot Spanneut
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Noémie Sauve, Admiratio
Commissariat : Anne de Malleray
Drawing Lab, Paris
Jusqu’au 7 janvier 2024
En latin, le mot admiratio désignait une forme d’émerveillement mêlée d’étonnement, point de départ, selon Aristote, de toute enquête philosophique. Aujourd’hui, le terme français a perdu ce double sens. L’émerveillement, associé à la naïveté et à l’enfance, est ainsi communément opposé à l’observation scientifique et au désir de connaissance. N’est-ce pas pourtant cet affect qui pousse certains humains à se passionner pour l’étude des milieux naturels et des autres vivants ?
L’inspiration, pour Noémie Sauve, commence toujours au contact d’un terrain. Cette exposition présente des oeuvres issues de deux expéditions scientifiques – Tara (2017) et Vulcano (2021). Sur place, l’artiste collecte des données, des échantillons, des couleurs et des formes. De retour à l’atelier, elle explore des formats et des techniques multiples, entre dessin, sculpture et réactions chimiques des matériaux, cherchant à restituer les mondes invisibles et menacés des coraux ou encore l’incandescence d’une pierre volcanique.
La pratique artistique de Noémie Sauve est mue par une forme d’admiratio, de curiosité partagée avec les scientifiques rencontrés sur le terrain. Naviguant librement et sans hiérarchie entre les registres naturaliste et fantastique, elle crée des oeuvres qui, sur le mode de l’analogie et du détournement, nous invitent à notre tour à l’émerveillement et à l’enquête.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Les derniers Soulages. 2010-2022
Musée Soulages, Rodez
Jusqu’au 7 janvier 2024
Pierre Soulages parti le 25 octobre 2022, plus que jamais le musée veut lui rendre hommage en confirmant que l’oeuvre des dernières années réserve sa part de découverte et surtout la matérialisation intacte d’une forte énergie créatrice : des oeuvres de grandes dimensions, une matière riche, un noir travaillé à la lame pour en accentuer la brillance, les effets de lumière, la réintroduction du blanc… Ceux qui ont eu la chance de fréquenter son atelier à Sète et à Paris, dans cette décennie savent à quel point Soulages a travaillé avec passion et opiniâtreté.
Les dernières oeuvres ont la subtilité de la célèbre citation de Lampedusa : le tremblement perceptif à l’épreuve du passé, la fidélité à soi-même et pourtant des solutions nouvelles, des échappées. Changer tout en revenant à des fondamentaux des premiers temps.
Aussi, le musée Soulages a souhaité réaliser une rétrospective aussi complète que possible du peintre ruthénois. Nous avons envisagé une sélection de 35 à 40 oeuvres, des Outrenoir, sur le principe de reprendre le fil de la production de 2010 après la grande exposition du Centre Pompidou à 2022 (Peinture 102 X 130 cm, 15 mai 2022, son ultime peinture dans l’atelier de Sète).
Cette exposition sera à n’en pas douter un hommage et un point d’étape de l’oeuvre de ce grand peintre.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Le cri de liberté. Chagall politique
La Piscine, Roubaix
Jusqu’au 7 janvier 2024
Figure du déplacement et de la migration, Marc Chagall sillonne le monde au gré des tourments du XXe siècle. Porté par un grand cri de liberté, son art confronte l’oeil aux guerres affrontées et aux combats artistiques menés, transcendés par la force poétique et l’imaginaire, auxquels le vocabulaire pictural de la dérision et de l’humour ancrés dans la culture juive se conjugue. Coproduite avec la Fundación MAPFRE à Madrid et le musée national Marc Chagall de Nice, cette exposition, spectaculaire, constitue la première lecture complète de ses travaux sous l’angle des prises de position et de l’engagement. Le cri de liberté. Chagall politique bénéficie du soutien des Indivisions Ida Chagall et Michel Brodsky et de nombreux prêts prestigieux, français et étrangers, offrant par ailleurs l’occasion de découvrir un large éventail de documents inédits provenant des archives de l’artiste, sélectionnés dans le cadre des recherches menées pour les besoins de l’exposition.
Pour la quatrième fois, Chagall est l’invité de La Piscine qui poursuit ici un effort de relecture d’une figure essentielle de la modernité, engagée et à l’écoute de son temps, qu’il traverse et qu’il inspire de son message de peintre et d’humaniste
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Georges Arditi (1914-2012). D’un réel à l’autre
La Piscine, Roubaix
Jusqu’au 7 janvier 2024
Avec le soutien exceptionnel de la famille de l’artiste, La Piscine et le musée Estrine de Saint-Rémy-de-Provence s’associent pour consacrer une exposition à Georges Arditi (1914-2012), artiste prolixe qui demeure peu connu.
À La Piscine, l’exposition se concentre sur les deux premières périodes de création de l’artiste et son
cheminement au sein de la figuration et du réalisme. Un ensemble inédit d’esquisses pour des décors de théâtre est également présenté, évoquant les contributions d’Arditi dans le domaine des arts décoratifs. Un ensemble inédit d’esquisses pour des décors de théâtre sera également présenté, évoquant les contributions d’Arditi, cartonnier de tapisserie, illustrateur de bibliophilie et décorateur de théâtre, dans le domaine des arts décoratifs.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Claude Simon sur la route des Flandres : peintre et écrivain
La Piscine, Roubaix
Jusqu’au 7 janvier 2024
Avant de devenir un écrivain majeur du XXe siècle, distingué par le prix Nobel de littérature en 1985, Claude Simon a entamé une carrière de plasticien dont La Piscine, en association avec la Villa Yourcenar au Mont Noir et le Château Coquelle à Dunkerque, propose un panorama inédit. L’exposition réunit tableaux, carnets de dessins et croquis préparatoires, photographies, collages, etc. qui dévoilent à quel point l’esthétique simonienne s’est nourrie de l’art, se ramifiant en expérimentations multiples avant de trouver sa forme accomplie dans le roman.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Fanny Bouyagui : IA-TERRA
La Piscine, Roubaix
Jusqu’au 7 janvier 2024
Fanny Bouyagui, plasticienne et artiste multimédia installée à Roubaix, a depuis quelques années, une approche libre de la céramique. Cette nouvelle collection est un jeu de contrastes, une rencontre entre l’ intelligence artificielle et la terre. Dans un dialogue, les formes aléatoires façonnées par les mains de l’artiste accueillent des personnages créés par un logiciel puissant qui s’animent en vidéo sur leur support en porcelaine numérisé. Ils et Elles parlent, nous racontent une histoire chuchotée… Une parenthèse irréelle d’intimité que l’on va rejoindre par le biais d’un QR code.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Marc Ronet. La peinture obstinée : une donation
La Piscine, Roubaix
Jusqu’au 7 janvier 2024
Figure importante du Groupe de Roubaix, Marc Ronet (né en 1937), depuis plus de 60 ans, explore les secrets et tourments de la peinture. Fidèle invité de La Piscine, il a souhaité, avec son épouse Monique, faire une donation qui témoigne de l’évolution mais également de la cohérence de son travail. Une vingtaine de tableaux viennent donc, en 2023, enrichir le fonds déjà constitué. Il est présenté cet automne en écho à l’exposition que lui consacre le MUba de Tourcoing.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Anna Boch, un voyage impressionniste
Musée de Pont-Aven : du 3 février au 26 mai 2024
Le Musée de Pont-Aven, en partenariat avec le Mu.ZEE d’Ostende (Belgique) rend hommage à Anna Boch (Saint-Vaast, Belgique, 1848 – Ixelles, Belgique, 1936), 175 ans après sa naissance.
L’exposition dresse le portrait multiple d’une artiste, mélomane, collectionneuse, mécène, voyageuse et passionnée d’architecture à la personnalité dynamique et avide de découvertes. Elle était la femme artiste la plus en vue de Belgique. Anna Boch a en effet mené une vie très indépendante, un choix rendu possible grâce à ses origines sociales et à la bienveillance familiale. Seule femme à avoir adhéré aux cercles artistiques Les XX et La Libre Esthétique, animés par son cousin Octave Maus, elle s’y est positionnée – fait rare pour l’époque – d’égale à égale avec ses confrères. Ensemble, ils se lancent dans l’aventure du néo-impressionnisme, alors incarné par Théo van Rysselberghe, Paul Signac et Georges Seurat. Ses tableaux lumineux illustrent sa recherche du trait et de la couleur. Sa passion de la nature l’a emmenée dans des coins reculés, rêvant de vivre dans une cabane, pour capter la beauté des paysages bucoliques. Amoureuse de la mer, elle a saisi la lumière et les reflets des côtes, notamment bretonnes, pour les transposer dans des compositions audacieuses. Anna Boch prend résolument toute sa place dans le post-impressionnisme des 19e et 20e siècles.
Le commissariat scientifique a été confié à Virginie Devillez, historienne de l’art avec l’active participation du Dr Stefan Huygbaert, conservateur au Mu.ZEE et de Sophie Kervran, directrice du Musée de Pont-Aven.
Plus de deux ans de recherches préliminaires ont été nécessaires pour réaliser cette exposition.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
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Mémoire Vive
MusVerre, Sars-Poteries
Jusqu’au 7 janvier 2024
« Mémoire Vive » reviendra sur la carrière de Michèle Perozeni, à l’occasion de l’exceptionnelle donation d’une grande partie de la collection de l’artiste au MusVerre.
D’étapes en rencontres, d’expérimentations en découvertes, le parcours scénographique pose les jalons rétrospectifs du parcours de Michèle via des œuvres majeures. Mêlant le cristal aux éléments naturels, ce travail spectaculaire évoque en filigrane la thématique du réchauffement climatique, et des catastrophes écologiques résultant de l’impact de l’homme sur les biotopes.
Un voyage poétique et artistique d’une grande délicatesse.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
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Être(s) ensemble
MEG, Musée d’Ethnographie de Genève
Jusqu’au 7 janvier 2024
Dans son exposition «Être(s) ensemble», le MEG questionne de manière originale les relations entre les humains et la Nature. Peut-on communiquer et se comprendre entre espèces différentes ? Pour essayer de répondre à cette question, le MEG présente six relations particulières qui se sont nouées entre des humains, des végétaux et des animaux. Ces compagnonnages surprenants nous suggèrent des pistes à suivre afin d’«être(s) ensemble», toujours un peu plus, toujours un peu mieux.
Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36
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Discrete Series. Pierrette Bloch, l’amie peintre
Musée Soulages, Rodez : du 10 février au 19 mai 2024
Pierrette Bloch était une proche du couple Soulages. Pierre Soulages, qui la rencontra en 1949 dans son atelier de la rue Schoelcher, à Paris, l’a dépeinte en 2018 comme « l’amie de toute une vie ». Ce témoignage de fidélité est la raison pour laquelle cette exposition, loin d’être une rétrospective – celle-ci se tiendra au printemps 2025 au musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne -, prend place dans le cadre des célébrations du Dixième anniversaire du musée Soulages, Rodez se déroulant en 2024.
Les oeuvres de Pierre Soulages léguées par Pierrette Bloch au Centre Pompidou – musée national d’art moderne seront présentées à cette occasion. Ces oeuvres des années 1950, peintures sur toile ou sur papier, sont restées accrochées dans son salon parisien pendant près de soixante-dix ans, manifestant avec constance la proximité amicale des deux artistes.
Discrete Series est un titre emprunté au poète objectiviste américain George Oppen que l’artiste plasticienne appréciait particulièrement. Ce titre, qui date de 1934, fait référence à une série mathématique aux termes « chacun empiriquement dérivé, chacun empiriquement vrai. » Empirisme, travail sériel, discrétion à tous les sens du terme, tous ces points résonnent avec l’oeuvre et la personnalité de Pierrette Bloch. La cinquantaine de pièces exposées, issues du musée de Grenoble, du musée Fabre de Montpellier, du Fonds de Dotation Pierrette Bloch et de collections particulières, témoigneront de cette production sérielle, autour de sept ensembles caractéristiques de l’artiste : I- Collages bleus de 1971. II- Lignes d’encre de 1995. III- Dessins saturés de 1997. IV- Fil de crin des années 1980. V- Pages d’écriture de 1986. VI- Dessins à gros points de 1996. VII- Ensemble de papiers asiatiques de 2006.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
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L’arrière-monde
Galerie Guillaume, Paris
Jusqu’au 13 janvier 2024
Commissariat : Raphaëlle Ziadé, conservatrice du département byzantin du Petit Palais.
Pour ses 20 ans, la Galerie Guillaume invite quatre commissaires pour un programme d’expositions tout au long de l’année.
«Fêter les 20 ans de la galerie, c’est une manière de célébrer tout ce qui s’est passé pendant toutes ces années, 120 expositions, 50 artistes qui ont bénéficié d’une exposition personnelle, des dizaines de «Rencontres de la Galerie Guillaume»… L’idée est de s’arrêter un moment pour se réjouir de tous ces beaux évènements.» (Guillaume Sébastien)
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
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En forêt avec Vincent Munier
Musée des Confluences, Lyon : du 16 février 2024 au 13 avril 2025
Les espaces forestiers sont le décor d’une vie foisonnante.
Photographe des grands espaces sauvages, Vincent Munier parcourt les forêts françaises, en particulier celles des Vosges, depuis son enfance. Avec le musée des Confluences, il propose un voyage visuel et sonore dans une nature en apparence familière mais souvent méconnue. Les images, fixes et animées, révèlent la faune qui peuple les forêts en invitant chacun à apprendre à observer, comme à l’affût, pour mieux s’émerveiller de cet univers grandiose et menacé.
Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
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Allez, Roubaix jeunesse !
La Piscine, Roubaix : du 17 février au 26 mai 2024
Depuis plusieurs années, notamment grâce au soutien des Amis du musée, d’artistes ou de collectionneurs, La Piscine s’est attachée à faire entrer dans ses collections des oeuvres d’artistes vivants liés, à un moment ou à un autre, à la scène artistique roubaisienne ou à la ville tout simplement.
Cet accrochage, forcément hétéroclite, fait un point sur ces enrichissements liés au territoire d’un musée qui tient beaucoup à ces regards de proximité et de connivence. Il intègre différents modes de création et d’expression et prend naturellement place dans les espaces identitaires de La Piscine,
son entrée historique, à proximité immédiate des collections du Groupe de Roubaix qu’il prolonge en quelque sorte comme un autre avatar de la ville industrielle aux mille facettes.
Inscrit dans le printemps des collections qui signe la programmation du début de l’année 2024, Allez, Roubaix jeunesse ! est à la fois le témoignage d’une veille forcément incomplète sur l’actualité créative de la cité et un appel à venir présenter les parcours oubliés au musée : chacun(e) son tour !
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
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MAHPP : Le Musée révélé
Musée d’Art et d’Histoire Pissarro, Pontoise
Jusqu’au 14 janvier 2024
Privé de quarantième anniversaire par la crise sanitaire, le MAHPP célèbre les 40 ans du Musée Camille Pissarro avec MAHPP : le musée révélé et vous invite à découvrir l’histoire du musée, ses missions, ses coulisses et ses plus belles réussites, visibles ou cachées.
Installée dans l’ensemble du parcours muséal et du cabinet d’arts graphiques, l’exposition vous invite à poser votre regard sur l’histoire du musée et à redécouvrir les collections des années 1860-1920 sous un autre angle. Pour l’occasion, une sélection de 40 des plus belles acquisitions du musée sort des réserves.
Au programme ? Camille Pissarro, Charles François Daubigny, Gustave Caillebotte, Norbert Goeneutte, Armand Guillaumin, Henri Martin, Ludovic Piette, Paul Signac, Victor Vignon, Claude Monet et tant d’autres, vous racontent en anecdotes les nombreux succès d’Edda Maillet puis de Christophe Duvivier, du Musée Pissarro au MAHPP.
Compagnons d’une vie : une donation à La Piscine
La Piscine, Roubaix : du 17 février au 26 mai 2024
Suite à une donation qui fera date dans son histoire, La Piscine expose une remarquable collection particulière, élaborée au fil d’un demi-siècle de recherches et d’amitiés.
Les oeuvres qui la composent dévoilent le cheminement sensible par lequel les goûts, les intérêts intellectuels, les rêveries des collectionneurs en sont venus à former un ensemble harmonieux et singulier. Principalement consacrée aux dix-neuvième et vingtième siècles, la donation s’articule autour d’ensembles d’oeuvres de Victor Hugo, Cocteau, Desnoyer, Lapicque, Vieira Da Silva, Arikha ou encore Dezeuze. S’y ajoutent des créations de Vuillard, Sima, Valentine et Jean Hugo, Dali, Bérard, Szenes, Hajdu, Gilioli, Zao Wou-Ki, Alechinsky, Sarthou, Magdeleine Vessereau, Olivier Debré, Bruce Naumann… – pour ne citer que quelques-uns des artistes représentés.
De l’embrasement romantique à l’ascèse de Supports/Surfaces en passant par la palette radieuse d’un Desnoyer, c’est à une traversée de deux siècles de création artistique que convie Compagnons d’une vie : une donation à La Piscine.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Jan et Joël Martel, Le monument à Debussy
La Piscine, Roubaix : du 17 février au 26 mai 2024
Durant le printemps 2024, La Piscine s’associe à la Villa Cavrois pour rendre hommage aux sculpteurs Jan et Joël Martel (1896-1966) qui furent très proches de l’architecte Robert Mallet-Stevens et qui participèrent au chantier de la grande demeure moderniste élevée à Croix, dans l’immédiate banlieue de Roubaix, pour un grand patron du textile local.
Inauguré en 1932, ce palais moderne est le strict contemporain de la piscine de Roubaix et de l’installation, à Paris, d’un Monument à Claude Debussy auquel travaillaient les jumeaux de la sculpture depuis la disparition du compositeur. D’abord prévu pour Saint-Germain-en-Laye, ville natale du musicien, cet hommage fut finalement installé boulevard Lannes, à Paris, près de l’emblématique rue Mallet-Stevens où les Martel avaient leur atelier et leurs appartements, également construits sur les plans de l’architecte. Des premières idées de 1919 jusqu’à l’aspect définitif de 1932, le monument évolue d’une complexe construction encore d’esprit très symboliste vers une expression manifeste du classicisme art-déco.
L’ensemble des sculptures et dessins relatifs à ce projet que conserve La Piscine permet de raconter ce chemin complexe et d’évoquer les aléas chaotiques qui sont le fait de nombreuses histoires de monuments publics de cette génération.
L’exposition dossier prévue par le musée met en valeur un fonds Martel très précieux dans la collection de sculpture moderne du musée. Quelques oeuvres en mains privées, empruntées pour l’occasion, complèteront utilement cette présentation patrimoniale.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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À l’invitation de La Petite Châtelaine : des enfants impressionnistes à La Piscine grâce au musée d’Orsay
La Piscine, Roubaix : du 17 février au 26 mai 2024
À l’occasion du cent cinquantième anniversaire de l’Impressionnisme, le musée d’Orsay a proposé à plusieurs musées en région, de prêter des oeuvres emblématiques de sa prestigieuse collection pour créer une chaîne d’évènements et pour dialoguer avec les fonds des institutions intéressées par cette proposition.
Saisissant cette généreuse opportunité, La Piscine a émis l’idée de demander à sa « Joconde », La Petite Châtelaine de Camille Claudel, de convier quelques enfants impressionnistes des collections nationales. Trois tableaux, de Degas, Renoir et Pissarro, et une sculpture de Degas seront donc, durant trois mois, les invités de marque du marbre élaboré par Claudel dans l’esprit de l’Impressionnisme, au début des années 1890. Ce rendez-vous sera présenté dans la salle actuellement consacrée au thème de l’enfance au coeur du parcours permanent et dont l’accrochage sera profondément modifié pour permettre de vrais dialogues entre les oeuvres et les protagonistes.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Pascal Barbe. Les bonhommes prennent le métro et occupent le musée. Ils fêtent leurs 50 ans en 2024
La Piscine, Roubaix : du 17 février au 26 mai 2024
Pascal Barbe (né en 1957 à Bruay-en-Artois) est un artiste singulier qui, depuis les années 1980, est
une référence importante sur la scène artistique régionale. Son oeuvre pictural s’apparente souvent à l’expressionnisme contemporain, proche de ses sources flamandes ou d’échos allemands : une peinture à l’écoute du monde. Dans son enfance, marquée par une relation fusionnelle avec son grand-père, le futur artiste est fasciné par le jeu des ombres chinoises qui, dès 1974, investissent son travail sous la forme qu’il nomme ses « bonhommes », « emblèmes de notre tribu européenne avec lesquels il touche de la façon la plus concise, les archétypes poétiques ». À l’encre ou à l’huile, à plat ou en volume, ces personnages allumettes font intimement et durablement partie de l’univers de Pascal Barbe et s’affirment comme une expression graphique iconique de son message créatif, politique et humaniste. En 2000, ils prennent vie dans un film d’animation, La pomme et le papillon. Après avoir « tatoué » sur les murs du FRAC à Dunkerque ses petits bonhommes indélébiles, il les expose en 1992 dans une église du Tarn. L’architecte Jean-Claude Burdèse les remarque et propose à l’artiste de les intégrer dans son projet pour la station de métro Charles de Gaulle à Roubaix. Cette installation pérenne est assurément l’intervention artistique la plus convaincante du vaste chantier de la construction d’une nouvelle ligne souterraine qui, en 1999, modifie considérablement le rapport de la métropole nordiste à son versant industriel. Mieux qu’un décor, ce projet, malgré quelques coups de rabot budgétaires, s’impose comme une véritable oeuvre plastique structurant le site auquel il est destiné et, dans l’espace public, il offre généreusement aux passagers un peuple miroir évoquant poétiquement leurs silhouettes, leurs attitudes, leurs états d’âme…
En 2019, Pascal Barbe propose au musée de Roubaix de lui offrir l’intégralité des dessins préparatoires originaux pour sa création et les poèmes en version reflet (l’artiste maîtrise magnifiquement l’écriture à l’endroit comme à l’envers et signe souvent ses oeuvres de droite à gauche !) qui les accompagnent.
C’est l’esprit de ce superbe ensemble qui est aujourd’hui révélé, faisant entrer au musée l’autre temps d’une oeuvre dédiée aux passants de la cité.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Présentation de la 4ème donation consentie par Colette Soulages
En 2024, le musée présentera dans une salle des collections permanentes la quatrième donation consentie par Colette Soulages en juin 2023. Cette présentation des sept Outrenoirs (oeuvres majeures de 1999 à 2022, dont la dernière Peinture 102 X 130 cm 15 mai 2022) s’inscrit au coeur d’une présentation plus générale d’un nouvel accrochage des collections.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Mon trousseau de mariage
Département de la Seine-Maritime, Château de Martainville – Musée des Traditions et Arts Normands
Jusqu’au 14 janvier 2024
Au XIXe siècle, le trousseau de mariage est en usage dans toutes les classes sociales et sa qualité reflète le statut de la future épouse. Confectionné par la jeune fille qui a été formée aux travaux d’aiguilles dès son plus jeune âge, le trousseau présente le linge de maison, le linge de corps et le menu linge tels que les bonnets, les coiffes et les mouchoirs de cou. L’étude des contrats de mariage nous renseigne sur la composition du trousseau de la femme au moment de son mariage. Il diffère par la quantité du linge, son ornementation et la richesse des matériaux, en fonction de la classe sociale du père de la future mariée. Le coût élevé des vêtements prouve qu’ils devaient durer la vie entière et qu’ils se transmettaient également par héritage.
L’exposition portera sur l’étude et la présentation d’un exceptionnel trousseau complet, acquis par le musée en 2020 qui sera mis en relation avec d’autres éléments appartenant aux collections du Musée des Traditions et Arts Normands.
En parallèle, l’artiste Elsa Duault propose son regard contemporain sur le trousseau de mariage par le biais d’entretiens réalisés auprès de femmes de la Seine-Maritime et de l’Eure. Ces témoignages accompagnent ses sculptures réalisées à partir des draps brodés de mariage, témoins de notre héritage matrimonial.
Attachée de presse : Margot Spanneut
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TROP-PLEIN
MusVerre, Sars-Poteries : du 22 février 2024 au 5 janvier 2025
Le MusVerre propose d’aborder les facettes de la société de surconsommation à travers l’exploration de plusieurs thématiques : le rapport à l’argent, qui conditionne tous les excès ; le gaspillage alimentaire, mais aussi l’obsolescence programmée, qui engendrent chaque année des tonnes de déchets difficilement recyclables, mettant en péril l’équilibre écologique planétaire ; enfin, les nouvelles perceptions et les codes inédits d’une société qui définit des normes difficilement atteignables.
De cette pléthore de propositions découle une sensation de saturation, un étouffement progressif, qu’examinent et réinterprètent les artistes contemporains.
Les œuvres présentées dans l’exposition incarnent ainsi autant de visions, tantôt désabusées, tantôt pleines d’espoir, de ce « Trop-Plein » dans lequel nous vivons aujourd’hui.
Empruntées aux artistes ou à des institutions internationales, ces pièces exceptionnelles choquent ou séduisent… mais interpellent dans tous les cas.
Cette exposition narrative et engagée, dont la thématique correspond aux questionnements actuels, s’accompagne d’une riche programmation culturelle : théâtre, concert, ateliers de pratique plastique, cinéma… et de partenariats divers, tant à l’échelle du territoire local qu’à celle, plus étendue, des Hauts-de-France.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Réouverture complète de la Tour aux Figures de Jean Dubuffet aux visites du public
La Tour aux Figures, Issy-les-Moulineaux : à partir de mars 2024
Peintre et sculpteur français né en juillet 1901, Jean Dubuffet a marqué l’histoire de l’art. Inventeur du terme Art brut, concept qui rassemble les productions des non-initiés à l’art, il explore dans ses œuvres différentes techniques et utilise les matériaux les plus inattendus. En 1967, il débute la conception de la Tour aux Figures qui deviendra une œuvre monumentale en 1988. Cette dernière s’élève au centre du parc de l’île Saint-Germain, à Issy-les-Moulineaux.
Attachée de presse : Camille Faivre
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Le musée Soulages fête ses 10 ans !
En 2024, le musée Soulages fêtera ses 10 ans et dans ce cadre proposera une programmation culturelle avec des événements tout au long de l’année et un point d’orgue le weekend du 30-31 mai.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Portrait éphémère du Japon, photographies de Pierre-Elie de Pibrac
Musée national des arts asiatiques – Guimet
Jusqu’au 15 janvier 2024
Série de photographies réalisée au Japon entre décembre 2019 et août 2020, Hakanai Sonzai signifie « Je me sens moi-même une créature éphémère ». Elle décrit le quotidien de personnes ordinaires, les figeant dans un espace onirique où tout mouvement et ligne d’horizon sont effacés. L’artiste y raconte les histoires d’individus cherchant à comprendre leur identité face au poids des règles de la société dans laquelle ils évoluent. La série est accompagnée d’un ensemble de photographies en noir et blanc, illustrant les réalisations humaines oubliées et les merveilles de la nature que composent le paysage japonais.
Portrait éphémère du Japon, photographies de Pierre-Elie de Pibrac – Musée Guimet
Nikos Aliagas, le spleen d’Ulysse – Abbaye de Jumièges
De Monet à Cézanne. Paysages impressionnistes du musée d’Orsay
MUba Eugène Leroy, Tourcoing : du 16 mars au 24 juin 2024
Investis dans une dynamique politique de démocratisation culturelle, le MUba Eugène Leroy de Tourcoing et le musée d’Orsay s’associent pour imaginer une ambitieuse exposition sur le thème du paysage impressionniste, du 16 mars au 24 juin 2024.
Pour la première fois, 56 chefs-d’œuvre des collections nationales signés Monet, Sisley, Renoir, Pissarro, Cézanne, Caillebotte, Signac, Gauguin ou Bonnard, seront prêtés à une exposition en région, faisant de cette manifestation l’évènement majeur des « 150 ans de l’impressionnisme ».
Comment est né le paysage impressionniste ? Quels est la spécificité du regard posé par Monet et ses amis sur les paysages de leur époque ? Comment ces peintures traduisent les mutations du rapport des hommes et des femmes à leur environnement au XIXe siècle et comment entrent-elles en résonance avec nos préoccupations actuelles ? De quelle manière le paysage impressionniste a-t-il ouvert la voie à d’autres audaces picturales ? Pour répondre à ces questions, le parcours est organisé en cinq sections.
Exposition présentée dans le cadre des 150 ans de l’impressionnisme avec le musée d’Orsay
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Festival Chorus
La Seine Musicale, Île Seguin, Boulogne-Billancourt : du 20 au 24 mars 2024
Un lieu unique, une programmation moderne, éclectique et exigeante, des espaces scénographiés et immersifs et un accueil des plus soignés : mélangez le sachet, et vous obtenez ? Le Festival Chorus des Hauts-de-Seine – six scènes dont une salle de 6 000 places, un auditorium de musique classique revisité et une terrasse de folie entourée par la Seine.
Attachée de presse : Camille Faivre
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Le Printemps du dessin, 7e édition
Partout en France : du 20 mars au 21 juin 2024
Lancé en 2018 en Europe, en parallèle de Drawing Now Art Fair — première foire d’art contemporain uniquement dédiée au dessin, créé en 2007 par Christine Phal — le Printemps du dessin a pour objectif de faire de mars à juin, une grande fête du dessin à l’échelle nationale.
Le Printemps du dessin mobilise les lieux culturels publics et privés français afin de mettre en lumière les actions dessinées qu’ils organisent avec des artistes contemporains.
Du 20 mars au 21 juin, le Printemps du dessin fédère les expositions qui se déroulent dans les institutions ou centres d’art et toutes les actions type workshops, ateliers, conférences et rencontres entre l’artiste et le public.
Le médium du dessin s’impose sous toutes ses formes et permet à un public varié d’être au plus près des artistes et de la création.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Drawing Now Art Fair, le salon du dessin contemporain, 17e édition
Carreau du Temple, Paris : du 21 au 24 mars 2024
Drawing Now Art Fair, le salon du dessin contemporain, revient du jeudi 21 au dimanche 24 mars 2024 au Carreau du Temple à Paris.
Créée en 2007, Drawing Now Art Fair est la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin en Europe.
Une sélection de galeries internationales présenteront leur sélection d’oeuvres autour du dessin contemporain de ces 50 dernières années. Les deux secteurs, Insight et Process, permettront une fois encore de montrer le versant le plus contemporain du dessin.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny
Du 29 mars au 1er novembre 2024
Après leur traditionnelle trêve hivernale, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes le 29 mars 2024.
Un cycle immuable qui n’empêche pas le renouveau, tant horticole qu’artistique !
Attachée de presse : Margot Spanneut
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L’empire colonial français dans la Grande Guerre (titre provisoire)
Musée de la Grande Guerre, Meaux : d’avril 2024 à janvier 2025
En 1914, l’Empire colonial français s’étend en Afrique, en Indochine, dans l’Océan Indien (Madagascar, Réunion), l’Océanie et le Pacifique, sur la Côte des Somalis et dans les Antilles. Colonies et protectorats rassemblent une population de 41 millions d’habitants. Pendant le conflit, 600 000 hommes combattent sur tous les fronts où intervient l’armée française tandis que 200 000 travailleurs sont engagés dans les usines, les ateliers et les champs. Les colonies participent à l’effort économique en fournissant denrées et matières premières malgré les
difficultés de transport.
L’exposition entend faire connaître et comprendre le rôle des hommes de l’empire engagés dans la guerre en mettant en avant une histoire commune. En effet, leur participation constitue, sans aucun doute, un événement important dans les relations à venir avec la métropole.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Le monde fabuleux de Nicolas Eekman
Musée de Flandre, Cassel : du 6 avril au 8 septembre 2024
Au printemps prochain, le musée de Flandre organisera une rétrospective consacrée au peintre Nicolas Eekman (1889-1973). L’exposition proposera au public de découvrir plus de quatre-vingts oeuvres de cet artiste injustement oublié par le XXe siècle.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Epidémies. Prendre soin du vivant
Musée des Confluences, Lyon : du 12 avril 2024 au 16 février 2025
Alors que nous venons de traverser collectivement la pandémie de la COVID-19, quelle mémoire conservons-nous des épidémies du passé et comment nous préparer à celles à venir ? Depuis des millénaires, les épidémies touchent les sociétés humaines mais aussi les autres espèces animales, sur tous les continents. En s’appuyant sur des collections de médecine, d’ethnographie, des spécimens d’histoire naturelle ou encore des œuvres contemporaines, l’exposition nous invite à envisager les épidémies comme un phénomène non seulement biologique mais également social, dans un monde où santé humaine, santé animale et santé environnementale sont liées.
Attachée de presse : Camille Faivre
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Monet à Vétheuil. Les saisons d’une vie
Palais des Beaux-Arts de Lille : du 18 avril au 24 septembre 2024
Au printemps 2024, le Palais des Beaux-Arts de Lille s’associe au musée d’Orsay pour célébrer les 150 ans de l’impressionnisme autour de Claude Monet, figure fondatrice de ce mouvement.
Le Palais des Beaux-Arts de Lille possède deux toiles de Claude Monet représentant le village de Vétheuil, issues toutes deux de la donation Masson datant des années 1970 : La Débâcle, peinte dans les premières semaines de 1880 et Vétheuil, le matin, réalisée vingt ans plus tard. Vétheuil occupe une place singulière dans la vie et l’oeuvre de l’artiste. En rapprochant les oeuvres du Palais des Beaux-Arts de Lille de quatre prêts prestigieux du musée d’Orsay sur le même sujet, cette exposition permettra d’évoquer à la fois le rythme des saisons et deux périodes stylistiques de l’artiste. Cet ensemble exceptionnel de 6 oeuvres rassemblées pour la première fois à Lille montrera ainsi au public deux moments marquants de la vie de Claude Monet, l’un difficile et l’autre plus prospère.
L’exposition sera accompagnée par une expérience immersive au coeur de l’Atrium du musée qui offrira l’opportunité d’une respiration et prolongera l’expérience de visite par une méditation guidée permettant d’explorer, en pleine conscience, un paysage des collections du Palais des Beaux-Arts.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Ouverture du musée départemental Dobrée, Nantes
Mai 2024
En plein coeur de Nantes, le musée départemental Dobrée réunit un ensemble patrimonial remarquable autour d’un palais néo-médiéval, d’un manoir du 15e siècle et d’un bâtiment d’architecture « brutaliste » des années 1970. Il abrite des collections uniques par leur richesse et leur diversité. Un patrimoine culturel commun que le Département de Loire-Atlantique s’attache à conserver, à entretenir et à transmettre.
Porté par le Département de Loire-Atlantique, le projet de rénovation imaginé par l’Atelier Novembre (architecte), l’Agence Moabi (paysagiste) et les Ateliers Adeline Rispal (scénographe) souhaite révéler toute l’originalité de ce lieu atypique, et offrir aux futurs visiteurs une expérience muséographique unique, accessible et guidée par la curiosité.
En cours de rénovation et d’extension, le musée Dobrée et son nouveau parcours muséographique ouvriront leurs portes en mai 2024 pour accueillir les 2 400 objets présentés dans les 2000 m2 d’espace d’exposition permanente.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
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Mémoires. Genève dans le monde colonial
MEG, Musée d’ethnographie de Genève : du 3 mai 2024 au 5 janvier 2025
Quel est le passé colonial de Genève ? Le Musée d’ethnographie en est-il l’un des acteurs ? Qu’en racontent ses collections ? Autant de questions que pose « Mémoires. Genève dans le monde colonial » la nouvelle exposition temporaire du MEG.
Dans le parcours d’exposition, de nombreux partenaires sondent notre histoire commune, redéfinissent le statut des collections ethnographiques et inventent leurs futurs. L’exposition questionne le rôle du MEG dans une société post-coloniale où les traces du passé, les discriminations et le racisme se font écho.
Attachée de presse : Margot Spanneut
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Splendeurs de la porcelaine monochrome chinoise
Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 12 juin au 16 septembre 2024
En juin, le musée Guimet ouvrira une exposition-événement consacrée aux splendeurs de la porcelaine monochrome chinoise mettant en lumière des pièces exceptionnelles, pour certaines vieilles de plus de 2000 ans mais d’une incroyable modernité. Souvent issus des ateliers impériaux, ces chefs d’œuvre, qui proviennent de la collection Zhuyuetang de Richard Kan, sont le résultat de siècles de perfectionnement. Une quête incessante de l’épure jusqu’à trouver la forme et la couleur parfaites, donnant naissance à des pièces uniques et d’une grande finesse esthétique.
Autre savoir-faire unique pour lequel la Chine a acquis au cours des siècles une réputation d’excellence, l’art de la laque : le musée y consacrera également une exposition pendant l’été.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
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YUIMA NAKAZATO, Au-delà de la couture
Cité de la dentelle et de la mode, Calais : du 15 juin 2024 au 5 janvier 2025
La Cité de la dentelle et de la mode de Calais présente la première exposition consacrée au créateur de mode japonais Yuima Nakazato.
Personnalité artistique d’avant-garde, Yuima Nakazato façonne une mode humaniste et écologique qui repense les procédés de fabrication avec une volonté de démocratisation de la création sur mesure. Il fusionne pour cela la haute-technologie et les savoir-faire, les traditions d’Asie et d’Occident.
Dans un univers poétique et futuriste pensé avec le créateur, l’exposition s’appuie sur une cinquantaine de silhouettes ayant défilé au calendrier de la haute couture parisienne, des accessoires, des croquis de mode, des échantillons de matières, des photographies de mode et des vidéos.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Allegoria, les clés de la symbolique baroque – Domaine départemental de Sceaux
Être(s) ensemble – Musée d’Ethnographie de Genève
Naples pour passion, chefs d’oeuvre de la collection De Vito – Musée Granet
Thomas Henriot, my private Harlem – Galerie Houg
Artistes voyageuses, l’appel des lointains (1880-1944) – Musée de Pont-Aven
Psychoses. L’Expressionnisme dans l’art et le cinéma
Musée de Lodève : du 15 juin au 15 septembre 2024
Nosferatu le vampire, Metropolis, Le Cabinet du docteur Caligari… ceux qui ont vu ces films des années 1920 ne peuvent s’empêcher de frissonner à leur évocation. L’exposition du Musée de Lodève ravive le frisson et met en lumière comment la peinture et les arts graphiques ont influencé le cinéma expressionniste de l’époque, qui se hisse alors au rang d’art à part entière. Les peintures, dessins et gravures d’une trentaine d’artistes (A. Macke, E. Heckel, O. Dix, K. Schmidt-Rottluff, E.L. Kirchner….) sont confrontées à des extraits de 12 films célèbres.
Cette exploration troublante de l’univers expressionniste nous plonge directement dans la société allemande de l’entre-deux guerres, ses traumatismes, ses rêves et ses cauchemars.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Éthiopie, la vallée des stèles
Musée Fenaille, Rodez : du 15 juin au 3 novembre 2024
Le mégalithisme de la Corne de l’Afrique est l’un des plus riches et exceptionnels du continent africain. Dans le sud de l’Éthiopie, sur les contreforts orientaux de la grande vallée du Rift, près de cent trente sites identifiés à ce jour rassemblent plusieurs milliers de stèles phalliques ou anthropomorphes. La densité des découvertes, répartie entre les zones Gedeo, Oromo Guji et Sidaama, est unique à l’échelle du continent africain et en fait un ensemble d’intérêt mondial. Le paysage mégalithique du pays Gedeo vient d’être inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO lors de la 45e session, en septembre 2023.
L’exposition Éthiopie, la vallée des stèles vise à restituer le travail scientifique engagé depuis près d’un siècle autour de ces monuments comme les résultats les plus récents, fruits des nouvelles techniques d’investigation en archéologie. Elle ambitionne aussi de présenter les enjeux actuels de conservation d’un patrimoine fragile, soumis à une forte pression démographique, dans une région où prédomine une agroforesterie traditionnelle reconnue au titre du patrimoine mondial de l’UNESCO, associant la culture du café et de l’ensète, un proche cousin des bananiers.
Cette exposition s’appuiera sur un ensemble unique de stèles éthiopiennes conservées dans les collections du Weltkulturen museum de Francfort suite aux missions de l’ethnologue Adolf E. Jensen. Près d’une dizaine de monolithes provenant du site de Tuto Fela seront présentés pour la première fois en France, en association avec des dessins et aquarelles réalisées sur le terrain par l’artiste Alf Bayrle. Cette sélection sera complétée par un large choix de sculptures, objets, photographies et archives de fouilles provenant de collections publiques françaises et allemandes (musée du Quai Branly – Jacques Chirac, Paris ; Frobenius-Institut, Francfort ; musée des abattoirs, Toulouse …). Cet ensemble restituera le contexte culturel et politique de ces grandes missions archéologiques dans l’Éthiopie impériale comme l’aventure scientifique liée à la découverte de ces milliers de stèles.
Objets collectés sur le terrain, vidéos et entretiens réalisés lors des deux dernières missions (2022-2023) compléteront le dispositif pour donner à voir et à entendre les habitants vivant à proximité de ces sites, sources de récits renouvelés.
Cette exposition sera déclinée dans un deuxième temps en Éthiopie en s’appuyant sur les collections et la documentation conservée dans les différentes institutions, en collaboration avec le musée national d’Addis-Abeba et l’ARCCH (Ethiopian Authority for Research and Conservation of Cultural Heritage). Un important programme de sensibilisation et de formation des communautés locales accompagne ce projet en pays Gedeo.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Lucio Fontana. Un futur a bien existé/ Un futuro c’é stato
Musée Soulages, Rodez : du 22 juin au 3 novembre 2024
Pierre Soulages voyait entre l’œuvre de Lucio Fontana (1899-1968) et la sienne de subtils rapports entre le temps et l’espace.
Peintre, sculpteur, céramiste, Fontana aura à Rodez une exposition majeure après celle du Centre Pompidou (1987) et celle du musée d’art moderne de la Ville de Paris (2014).
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Femmes chez les Nabis, de fil en aiguille
Musée de Pont-Aven : du 22 juin au 29 septembre 2024
A la fin du XIXe siècle, le groupe des Nabis (prophètes en hébreu) forme une confrérie de jeunes artistes audacieux animée d’une même communauté de pensée et admirative de l’oeuvre de Gauguin. L’exposition propose de dévoiler une autre facette du groupe réunissant Sérusier, Denis, Vuillard, Bonnard, Vallotton, Ranson, Lacombe… En les étudiant par l’intermédiaire de leurs épouses, amantes, mères, belles-mères. Cet entourage peuplé de femmes se veut un point d’entrée pour regarder finement les conditions de réalisation, les logiques d’influences et les processus de création à l’oeuvre chez les Nabis. Alors que ces femmes remplissent majoritairement les rôles conventionnels d’hôtesses d’accueil, maîtresses de maison et gardiennes de la vie familiale, certaines se distinguent par leur contribution artistique concrète dans un système où prime toutefois une division sexuée des rôles : aux hommes reviennent l’invention du sujet et son exécution graphique première, aux femmes est confié le tissage. De leur place dans le couple, où la frontière entre compagnes, modèles et assistantes reste ténue, aux rôles dans le foyer, entre travaux d’aiguille et mise en scène de la vie domestique, l’exposition tire le fil de l’intimité dans la création artistique. Environ 80 oeuvres présentent l’esthétique nabie ouverte au décloisonnement des arts et des médiums (peintures, sculptures, mais aussi photographies, objets d’arts décoratifs, mobilier et textiles…).
Cette exposition bénéficie du partenariat exceptionnel du musée d’Orsay.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
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Paul Hémery (1921-2006)
La Piscine, Roubaix : du 22 juin au 1er septembre 2024
Paul Hémery, bien qu’il soit né à Tourcoing, est l’une des figures importantes du Groupe de Roubaix, rassemblement informel d’amis, peintres et sculpteurs, ayant débuté leur carrière artistique au Salon des Artistes Roubaisiens et dans les galeries de la ville. Ensemble, ils éveillèrent la région Nord-Pas-de-Calais à l’art contemporain dans les années suivant la Seconde Guerre mondiale.
Au fil du temps, La Piscine a rassemblé un fonds de référence grâce à divers dons, mais surtout au legs concédé par son ami le peintre Michel Delporte en 2001, et grâce à la générosité de l’artiste lui-même en 2000 et 2002. Le musée se propose ainsi de redécouvrir une figure aussi essentielle que méconnue du paysage artistique septentrional de l’après-guerre.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Mado Jolain (1921-2019)
La Piscine, Roubaix : du 22 juin au 1er septembre 2024
Dans le paysage de la céramique des années 1950, l’oeuvre de Mado Jolain (1921-2019) séduit par sa modernité et les jeux formels qu’elle a multipliés. La céramiste manifeste très tôt une préférence pour les volumes simples, architecturés et travaillés de telle sorte que l’articulation subtile de l’ombre et de la lumière puisse s’y épanouir.
Cet hommage rendu par La Piscine permettra au public de découvrir l’oeuvre d’une céramiste dont l’esprit libre épris de rigueur a compté dans le renouveau de la céramique des années 1950-1960.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Chefs-d’oeuvre du Musée Langmatt
Fondation de l’Hermitage, Lausanne : du 28 juin au 03 novembre 2024
Exceptionnelles par son envergure et sa qualité, Chefs-d’oeuvre du Musée Langmatt présente pour la toute première fois hors de l’institution badenoise une septantaine de toiles de grands peintres impressionnistes et postimpressionnistes tels que Bonnard, Boudin, Corot, Cézanne, Degas, Fantin-Latour, Gauguin Renoir ou encore Matisse.
Sise dans une splendide demeure du XIXe siècle au coeur d’un parc centenaire offrant une vue unique sur le lac Léman et les Alpes, la Fondation de l’Hermitage célèbre ainsi son 40 ans anniversaire. Clin d’oeil aussi à son exposition inaugurale L’impressionnisme dans les collections romandes, qui allait donner sa ligne à une collection particulière constituée dans l’esprit des lieux.
L’HERMITAGE EST UNE FÊTE ! Pour marquer l’événement, la Fondation de l’Hermitage organise une journée festive le samedi 29 juin 2024 entre 14h et minuit. Sous la bannière « On n’est pas sérieux, quand on a 40 ans ! », l’événement propose des animations et de nombreuses activités offertes à toutes et à tous.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
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Boris Labbé, Ito Meikyu / Fil d’errance
Commissaire d’exposition : Judith Guez
Lauréats de la Bourse Drawing Lab Project 2024
Drawing Lab, Paris : d’octobre 2024 à janvier 2025
La Bourse Drawing Lab Project 2024 d’un montant de 20 000 euros hors taxe a été attribuée à l’artiste Boris Labbé et la commissaire d’exposition Judith Guez. Ils exposeront au Drawing Lab leur projet Ito Meikyu / Fil d’errance en octobre 2024.
Ito Meikyu / Fil d’errance (ito « le fil », meikyu « le labyrinthe) est un projet d’exposition qui vient à la suite de dix années d’expérimentations. C’est encore une manière pour moi d’élargir le champ des possibles, d’inventer (peut-être) un nouveau langage, de nouvelles formes, et de rencontrer un nouveau public.
L’exposition nous plongera dans une déambulation audiovisuelle immersive où le dessin (fixe et animé), en sera le centre de gravité, et s’articulera cette fois autour d’un nouveau champ de création pour moi : la réalité virtuelle.
Le projet d’exposition propose de parcourir l’univers de la fresque immersive de Mono no aware, expérience VR qui se déploie comme une grande fresque sensorielle au fort potentiel émotionnel. Une collection hétérogène de scènes dessinées, animées et sonores, sont prises dans la matière numérique ; elles recréent en quelque sorte un monde subjectif (monde intérieur et extérieur) sous la forme d’un labyrinthe composé d’architectures fractales, habitées de plantes, d’objets, d’animaux, d’hommes, de femmes, de motifs et de calligraphies.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Le temps d’un rêve
Musée des Confluences, Lyon : du 18 octobre 2024 au 25 août 2025
Un être humain passe un tiers de sa vie à dormir et une bonne partie de ce temps à rêver. La nature du rêve semble pourtant sans cesse se dérober. Pour tenter de définir le phénomène onirique, l’exposition propose une série d’escales dans les lieux où le rêve s’exprime, dans différentes cultures, depuis l’Antiquité. Des temples d’incubation grecs au laboratoire de neurosciences, du divan du psychanalyste à l’imaginaire de l’artiste, d’un continent à l’autre, Le temps d’un rêve convie une multiplicité de regards pour lever le voile sur le « mystère » onirique.
Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
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EXPÉRIENCE RAPHAËL
Palais des Beaux-Arts de Lille : du 18 octobre 2024 au 17 février 2025
De façon exceptionnelle, le Palais des Beaux-Arts sort de ses réserves l’ensemble de ses dessins de Raphaël (1483-1520) qui, avec Léonard de Vinci (1452-1519) et Michel-Ange (1475-1564), forme le trio mythique de la Renaissance italienne.
À travers ce trésor inestimable, le musée invite le public à découvrir la destinée hors du commun du « Prince des artistes », de sa formation à sa gloire, sa carrière de Pérouse, à Florence et à Rome.
EXPÉRIENCE RAPHAËL sera une exposition expérientielle et immersive, associant œuvres originales, reconstitutions et dispositifs numériques pour nous plonger dans le processus de création de l’artiste, du dessin à la peinture illustrée grâce à des prêts prestigieux des musées du Louvre et d’Orsay ou de grands musées étrangers.
L’art de Raphaël sera aussi mis en perspective à travers la postérité de ses œuvres devenues iconiques, de Rubens à Kehinde Wiley, en passant par Degas et Dalí.
Exposition réalisée en coproduction avec la RMN-GP
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Imaginaires Tissés
Musée de Lodève : du 19 octobre 2024 au 16 mars 2025
L’idée de l’exposition est d’explorer la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie.
Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de fables…, ou à l’inverse, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, prenant différentes formes selon les artistes.
Exposition réalisée en partenariat avec le Mobilier national et les manufactures des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Salon International du Patrimoine Culturel, 30ème anniversaire
Ateliers d’Art de France
Carrousel du Louvre, Paris : du 24 au 27 octobre 2024
En 2024, le Salon International du Patrimoine Culturel fêtera son 30ème anniversaire et se tiendra du 24 au 27 octobre toujours au Carrousel du Louvre. Cette année anniversaire représente une occasion unique de rassembler l’ensemble des figures emblématiques du patrimoine pour célébrer ensemble les réalisations passées tout en envisageant un avenir prometteur pour le secteur.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
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Rencontres
MEG, Musée d’ethnographie de Genève : du 1er novembre 2024 au 18 août 2025
La nouvelle exposition temporaire du MEG intitulée « Rencontres » donne la parole à des membres de diverses communautés, leur permettant de se connecter à des objets de leur propre culture issus des collections du MEG, et de partager leurs histoires. Cette exposition a pour but de mettre en avant des récits personnels et communautaires, souvent non racontés, tout en célébrant les liens émotionnels qui unissent les individus à leurs racines culturelles.
Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Le musée rêvé de Vincent
Musée Daubigny, Auvers-sur-Oise
Jusqu’au 11 février 2024
Dans le cadre du 170ème anniversaire de sa naissance, le musée Daubigny propose d’offrir à Vincent van Gogh une collection réunissant des oeuvres de peintres français pour lesquels il avait une grande admiration. A partir de 1872, et jusqu’à sa mort en 1890, Vincent van Gogh a écrit plus de 600 lettres à son frère Théo auxquelles s’ajoute sa correspondance pendant 5 ans avec le peintre Anthon van Rappard. Mieux qu’une biographie, ces écrits dessinent la figure d’une personnalité hors du commun que l’on voit naître au fil des mots. Ces mots sont le fil conducteur de l’exposition, la parole lui est donné et en sa compagnie le public est invité à découvrir cette collection imaginaire.
Attachée de presse : Margot Spanneut
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Marc Ronet. La main & le geste
MUba Eugène Leroy, Tourcoing
Jusqu’au 11 février 2024
Cette exposition personnelle de grande ampleur met en lumière l’œuvre aussi prolifique que passionnante de Marc Ronet. Dans le prolongement des expositions monographiques qui lui ont été consacrées au musée des Beaux-Arts de Tourcoing et au musée La Piscine, Roubaix en 2005 et au Musée du dessin et de l’estampe originale de Gravelines en 2011, l’exposition « La main & le geste » rend compte des dernières productions de l’artiste.
Exécutées de 2005 à aujourd’hui, plus de 150 œuvres – peinture, gravure et dessin – dévoilent les thèmes récurrents de sa création : le paysage, la nature morte au travers d’une fleur, d’une table ou d’un bâton, et le portrait. Rarement chez un artiste, les sujets se succèdent, s’imbriquent et fusionnent comme dans un grand tout, un même univers aux mille ramifications qui se nourrissent les unes les autres. Présentées dans l’exposition, les dernières séries, ou variations, souvent inédites, témoignent des recherches incessantes d’un artiste quotidiennement à l’atelier depuis près de soixante-dix ans.
Elève d’Eugène Dodeigne à l’Académie Saint-Luc à Tournai et ami d’Eugène Leroy rencontré au début des années 1960, Marc Ronet (né en 1937) partage avec ses aînés la lumière, souvent vaporeuse du Nord, et le travail obstiné de la matière – l’huile appliquée sur la toile, le fusain ou la gouache sur le papier comme la plaque de zinc ardemment recreusée. Cette matière guide, fascine et met au défi l’artiste qui prétend pourtant prendre « le vide comme objet ». Au-delà du sujet de l’œuvre, le rapport à l’espace, à la matérialité, au format, à l’outil que l’artiste invente parfois, à la technique qu’il détourne souvent, conduit la main comme le geste.
Homme discret, Marc Ronet déploie une œuvre importante qui s’est imposée dans les musées métropolitains : le MUba qui a reçu une grande donation d’œuvres de son ami Eugène Leroy en 2009, conserve et présente régulièrement les réalisations de Marc Ronet depuis les années 1970. Le musée de La Piscine de Roubaix expose également ses peintures au sein de l’espace permanent dévolu au « Groupe de Roubaix » et organise d’octobre 2023 à janvier 2024 un accrochage spécifique en hommage à Marc Ronet et en dialogue avec l’exposition tourquennoise.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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L’âge d’or de la dynastie des Tang
Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 20 novembre 2024 au 10 février 2025
Pour clôturer sa grande année consacrée à la Chine,, le musée Guimet présentera une exceptionnelle exposition consacrée à l’âge d’or de la dynastie des Tang, à travers un parcours à la découverte de sa resplendissante et cosmopolite capitale, Chang’An. Plus grande ville du monde au 8ème siècle avec 3 millions d’habitants, carrefour commercial des « Routes de la Soie », on y pénétrait par son imposante porte au sud, jusqu’au majestueux palais de l’Empereur. L’exposition présentera des œuvres d’art millénaires de l’Empire Tang, cartes, plans, photographies de l’actuelle ville de Xi’an, jeux de sons et lumières, reconstitutions 3D et productions numériques pour une immersion unique dans la capitale impériale : celle des marchands, des lettrés, des artistes et des aristocrates de la cour. Au son du tambour, signal de la fermeture des portes de la ville au coucher du soleil, le public quittera la cité…
Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
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H+, transhumanisme(s). Matthieu Gafsou
Lavoir Numérique, Gentilly
Jusqu’au 11 février 2024
H+ traite du transhumanisme, un mouvement qui prône l’usage des sciences et des techniques afin d’améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains.
H+ est une enquête philosophique, qui documente et questionne. Artificielles, les photos ressemblent à leur sujet: on ne sait plus si c’est le vivant qui s’éteint en devenant machine ou si l’inanimé prend vie.
Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Afrique, mille vies d’objets
Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 18 février 2024
Avec l’exposition Afrique, mille vies d’objets, le musée des Confluences s’intéresse aux trajectoires de vie des masques, statuettes et autres objets ayant composé la collection d’Ewa et Yves Develon. Du processus de création à leur usage, de l’objet rituel à l’œuvre d’art, de l’Afrique à l’Europe, de la collection privée au musée, ces œuvres ont vu se poser sur elles une diversité de regards, de statuts et de valeurs.
Présentant plus de 200 objets d’une grande variété de formes et de styles, l’exposition revient aux sources de leur création, en Afrique. Des gestes des sculpteurs à leurs sources d’inspiration, la sculpture africaine témoigne aussi de l’étroite relation entre esthétisme, croyances religieuses et ordre social.
Statuettes vénérées dans les sanctuaires, masques dansant dans les cérémonies ou parures indiquant le statut de leur porteur, tous ces objets sont créés pour des fonctions rituelles ou sociales. La scénographie contemporaine s’appuiera sur de nombreux films et photos documentaires rarement présentés pour évoquer les contextes d’usage de ces objets.
Admirés pour leur qualité esthétique, ces objets vont intégrer les galeries d’art ou les collections de passionnés. Ainsi, pendant près de 50 ans, les collectionneurs Ewa et Yves Develon ont rassemblé une importante collection d’art africain provenant principalement du Nigeria et du Cameroun.
La majeure partie de cette collection est désormais conservée au musée des Confluences où se déroule une nouvelle étape de leur existence, à la fois objets d’étude, d’exposition ou d’inspiration.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
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Philippe Baudelocque, Un pas de côté vers le centre
Drawing House, Paris
Depuis le 6 novembre 2023
Invité à poser ses valises à la Drawing House, l’artiste Philippe Baudelocque réalise sur l’ensemble des murs du Drawing Hall une oeuvre in situ immersive et protéiforme.
Un pas de côté vers le centre est la synthèse des recherches passées et actuelles de l’artiste. La ligne blanche relie des points sur les murs noirs de l’espace d’exposition, formant alors des constellations qui prennent forme. Paréidolie ou symbole, chaque dessin est une projection mentale de l’artiste dans ses sujets de prédilection : la place de l’humain sur Terre et dans l’Univers, la vie extraterrestre, l’interaction entre les différents règnes ou encore la Connaissance.
En parallèle de son travail d’atelier, l’artiste est invité à travers le monde afin de rendre visible le sensible. L’espace est au coeur de sa démarche ; de chaque lieu émerge une nouvelle poésie et un nouveau défi. À la Drawing House, Philippe Baudelocque propose de prendre le temps de contempler, d’admirer et de se retrouver dans la nature. Ainsi chacun peut trouver son centre, son soi interne, celui qui nous permet à tous de vivre en harmonie et en symbiose avec notre espace.
L’oeuvre totale Un pas de côté vers le centre est une installation inédite et évolutive. Tout au long de l’année, l’artiste poursuit ses recherches et agrémente son oeuvre au gré de ses trouvailles. Il y a plus de mondes que celui que l’on tient dans sa main.
Des temps forts et des rencontres seront organisés tout au long de l’exposition en présence de l’artiste.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Et nos morts ? La photographie post mortem aujourd’hui en Europe
Maison de la Photographie Robert Doisneau, Gentilly
Jusqu’au 18 février 2024
Le rapport que nous entretenons avec nos morts, le traitement que nous réservons aux dépouilles de nos défunts, décrivent notre société et notre manière de nous penser. Mais justement où sont nos morts ? Que devons-nous penser d’une société qui dissimule ses morts ?
Ce qui était visible en Europe jusqu’aux années 1960 à travers la photographie post mortem a de toute évidence évolué ou semble désormais révolu. Le but de cette exposition, de ce bref séjour parmi les morts, est d’offrir une visibilité à ce qui, aujourd’hui, ne se voit plus ou rarement.
Cette exposition collective réunit des autrices et auteurs contemporains qui illustrent notre rapport aux morts. En abordant les différentes étapes de « la vie des morts » (trépas, gestion puis éloignement physique des corps trépassés), elle interroge à chaque fois, ce qui est à portée de regard des vivants et ce qui demeure habituellement invisible, ce qui est permis de voir ou ce qui est interdit mais aussi ce qui est de l’ordre de la fracture ou de la réconciliation avec les morts.
Photographes : Laure Albin Guillot, Philippe Bazin, Goran Bertok, Patrik Budenz, Christine Delory-Momberger, Eric Dexheimer, Robert Doisneau, Odhràn Dunne, Laurence Geai, Steeve Iuncker, Irène Jonas, Beate Lakotta et Walter Schels, Franck Landron, Jacques Henri Lartigue, Frédéric Pauwels, Bruno Réquillart, Rudolf Schäfer, Raymond Voinquel et Sophie Zénon.
Attachée de presse : Margot Spanneut
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Pose de la première pierre du musée du Grand Siècle
Ancienne caserne Sully, Saint-Cloud
Le 5 octobre 2023
Porté par le Département des Hauts-de-Seine, le projet ambitieux du musée du Grand Siècle s’inscrit dans la Vallée de la culture et mettra à l’honneur la donation de Pierre Rosenberg au Département des Hauts-de-Seine.
Attachée de presse : Margot Spanneut
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Annonce des lauréats de la Bourse Drawing Lab Project 2024
Boris Labbé et Judith Guez
Lauréats de la Bourse Drawing Lab Project 2024
La Bourse Drawing Lab Project 2024 d’un montant de 20 000 euros hors taxe a été attribuée à l’artiste Boris Labbé et la commissaire d’exposition Judith Guez. Ils exposeront au Drawing Lab leur projet Ito Meikyu / Fil d’errance en octobre 2024.
La Bourse Drawing Lab Project est la bourse de production destinée à une exposition de dessin contemporain et proposée par le Drawing Lab, l’espace d’expositions de la Drawing Society fondé et mécéné par Christine Phal. L’appel à projets, destiné aux duos artiste / commissaire d’exposition, âgés minimum de 25 ans et de nationalité française ou vivant en France, a été diffusé du 29 juin au 25 septembre 2023.
En 2024, l’appel à projets du Drawing Lab intitulé « Nouveaux médias•iums » a souhaité contribuer à la production d’une exposition qui interroge le dessin à travers les nouveaux médias (digital, virtuel, NFT, jeux vidéos, film d’animation, IA, etc.) tout en parcourant les nouveaux médiums (ordinateur, tablette numérique, casques de réalité virtuelle, écrans, etc.).
Rendez-vous en octobre 2024 pour découvrir le projet complet du duo.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
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