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Lucio Fontana. Il y a bien eu un futur. Un futuro c’è stato

Musée Soulages, Rodez : jusqu’au 3 novembre 2024

Cette exposition propose un voyage dans l’ensemble de l’oeuvre de Fontana, avant et après la Guerre, en Argentine et en Italie, une évocation de sa variété créatrice : peintures, papiers, sculptures, céramiques et installations lumineuses et spatiales. Le public découvre ainsi au-delà des Concetti Spaziali (les concepts spatiaux), avec les Attese (les fentes) et les Buchi (les trous), un artiste figuratif et informel, un homme classique et futuriste.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Femmes chez les Nabis, de fil en aiguille

Musée de Pont-Aven : jusqu’au 3 novembre 2024

A la fin du XIXe siècle, le groupe des Nabis (prophètes en hébreu) forme une confrérie de jeunes artistes audacieux animée d’une même communauté de pensée et admirative de l’oeuvre de Gauguin. L’exposition propose de dévoiler une autre facette du groupe réunissant Sérusier, Denis, Vuillard, Bonnard, Vallotton, Ranson, Lacombe… En les étudiant par l’intermédiaire de leurs épouses, amantes, mères, belles-mères. Cet entourage peuplé de femmes se veut un point d’entrée pour regarder finement les conditions de réalisation, les logiques d’influences et les processus de création à l’oeuvre chez les Nabis. Alors que ces femmes remplissent majoritairement les rôles conventionnels d’hôtesses d’accueil, maîtresses de maison et gardiennes de la vie familiale, certaines se distinguent par leur contribution artistique concrète dans un système où prime toutefois une division sexuée des rôles : aux hommes reviennent l’invention du sujet et son exécution graphique première, aux femmes est confié le tissage. De leur place dans le couple, où la frontière entre compagnes, modèles et assistantes reste ténue, aux rôles dans le foyer, entre travaux d’aiguille et mise en scène de la vie domestique, l’exposition tire le fil de l’intimité dans la création artistique. Environ 80 oeuvres présentent l’esthétique nabie ouverte au décloisonnement des arts et des médiums (peintures, sculptures, mais aussi photographies, objets d’arts décoratifs, mobilier et textiles…).
Cette exposition bénéficie du partenariat exceptionnel du musée d’Orsay.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Chefs-d’oeuvre du Musée Langmatt

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : jusqu’au 3 novembre 2024

Exceptionnelles par son envergure et sa qualité, Chefs-d’oeuvre du Musée Langmatt présente pour la toute première fois hors de l’institution badenoise une septantaine de toiles de grands peintres impressionnistes et postimpressionnistes tels que Bonnard, Boudin, Corot, Cézanne, Degas, Fantin-Latour, Gauguin Renoir ou encore Matisse.
Sise dans une splendide demeure du XIXe siècle au coeur d’un parc centenaire offrant une vue unique sur le lac Léman et les Alpes, la Fondation de l’Hermitage célèbre ainsi son 40 ans anniversaire. Clin d’oeil aussi à son exposition inaugurale L’impressionnisme dans les collections romandes, qui allait donner sa ligne à une collection particulière constituée dans l’esprit des lieux.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Éthiopie, la vallée des stèles

Musée Fenaille, Rodez : jusqu’au 3 novembre 2024

Le mégalithisme de la Corne de l’Afrique est l’un des plus riches et exceptionnels du continent africain. Dans le sud de l’Éthiopie, sur les contreforts orientaux de la grande vallée du Rift, près de cent trente sites identifiés à ce jour rassemblent plusieurs milliers de stèles phalliques ou anthropomorphes. La densité des découvertes, répartie entre les zones Gedeo, Oromo Guji et Sidaama, est unique à l’échelle du continent africain et en fait un ensemble d’intérêt mondial. Le paysage mégalithique du pays Gedeo vient d’être inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO lors de la 45e session, en septembre 2023.
L’exposition Éthiopie, la vallée des stèles vise à restituer le travail scientifique engagé depuis près d’un siècle autour de ces monuments comme les résultats les plus récents, fruits des nouvelles techniques d’investigation en archéologie. Elle ambitionne aussi de présenter les enjeux actuels de conservation d’un patrimoine fragile, soumis à une forte pression démographique, dans une région où prédomine une agroforesterie traditionnelle reconnue au titre du patrimoine mondial de l’UNESCO, associant la culture du café et de l’ensète, un proche cousin des bananiers.
Cette exposition s’appuiera sur un ensemble unique de stèles éthiopiennes conservées dans les collections du Weltkulturen museum de Francfort suite aux missions de l’ethnologue Adolf E. Jensen. Près d’une dizaine de monolithes provenant du site de Tuto Fela seront présentés pour la première fois en France, en association avec des dessins et aquarelles réalisées sur le terrain par l’artiste Alf Bayrle. Cette sélection sera complétée par un large choix de sculptures, objets, photographies et archives de fouilles provenant de collections publiques françaises et allemandes (musée du Quai Branly – Jacques Chirac, Paris ; Frobenius-Institut, Francfort ; musée des abattoirs, Toulouse …). Cet ensemble restituera le contexte culturel et politique de ces grandes missions archéologiques dans l’Éthiopie impériale comme l’aventure scientifique liée à la découverte de ces milliers de stèles.
Objets collectés sur le terrain, vidéos et entretiens réalisés lors des deux dernières missions (2022-2023) compléteront le dispositif pour donner à voir et à entendre les habitants vivant à proximité de ces sites, sources de récits renouvelés.

Cette exposition sera déclinée dans un deuxième temps en Éthiopie en s’appuyant sur les collections et la documentation conservée dans les différentes institutions, en collaboration avec le musée national d’Addis-Abeba et l’ARCCH (Ethiopian Authority for Research and Conservation of Cultural Heritage). Un important programme de sensibilisation et de formation des communautés locales accompagne ce projet en pays Gedeo. 

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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DES SAMOURAÏS AU KAWAII. Histoire croisée du Japon et de l’Occident

Abbaye de Daoulas : jusqu’au 1er décembre 2024

Cette exposition explore les relations tissées entre le Japon et l’Occident, du 16ème siècle jusqu’à nos jours. Elle évoque les influences réciproques, les ruptures et les métissages engendrés par cette histoire croisée.
Le parcours de l’exposition est l’occasion de montrer des oeuvres d’une rare beauté avec notamment le prêt de pièces exceptionnelles issues de la collection d’objets japonais d’Émile Guimet conservés par le Musée des Confluences. De l’armure de samouraï du Japon féodal aux figurines de Goldorak en passant par les oeuvres d’artistes japonisants du 19ème siècle, le public voyage à travers cinq siècles d’histoire. Il assiste à la rencontre entre Occidentaux et Japonais au milieu du 16ème siècle, puis au repli du pays du Soleil-Levant qui, échappant à l’influence occidentale, développe une société urbaine et raffinée.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Biennale d’Aix, 2ème édition

Aix-en-Provence : jusqu’au 14 décembre 2024

Après une pause estivale, la Biennale d’Aix 2024 revient le 21 septembre pour la deuxième partie de sa programmation.
Après le bilan très positif du premier temps fort qui a rassemblé plus de 120 000 spectateurs, ce second volet de la Biennale d’Aix sera marqué par de multiples propositions artistiques : du 21 septembre au 14 décembre, ce sont près de 72 propositions artistiques dont 68 en accès libre et 90 artistes qui sont présentés dans les lieux culturels, les lieux patrimoniaux ouverts exceptionnellement, ainsi que dans l’espace public !

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Combattre loin de chez soi. L’empire colonial français dans la Grande Guerre

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 30 décembre 2024

Cette exposition du musée de la Grande Guerre s’attache à expliquer la portée et les particularités de la participation de l’Empire colonial français au premier conflit mondial dans les multiples registres de l’engagement, des conséquences et des héritages. Elle entend faire connaitre et comprendre le rôle des hommes de l’Empire engagés dans la guerre en mettant en avant une histoire partagée.
L’exposition permettra de livrer à tous les publics des clés de compréhension de l’histoire et des mémoires des anciennes colonies et territoires français. En effet, cette histoire entre la France et son Empire est à la fois ancienne et éminemment contemporaine dans le contexte particulièrement sensible de l’écriture de l’histoire coloniale.
L’exposition « Combattre loin de chez soi, l’Empire colonial dans la Grande Guerre » que présente le musée de la Grande Guerre adopte une position mesurée, rigoureuse qui s’inscrit dans la continuité de sa collection permanente, bâtie sur les aspects sociétaux et militaires de la Grande Guerre.
Dans une approche pluridisciplinaire, l’exposition donne à comprendre les enjeux des récits historiques à travers la présentation de figures, de données scientifiques, d’oeuvres, de documents et d’objets issus des collections du musée ou de celles de partenaires institutionnels.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn

Musée départemental Albert-Kahn, Boulogne-Billancourt : jusqu’au 31 décembre 2024

Après un cycle d’expositions consacré au voyage (Autour du Monde, puis Rio-Buenos Aires 1909), le musée poursuit sa déclinaison des « fondamentaux » du projet du célèbre banquier philanthrope avec sa grande exposition de l’année : Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn, qui illustre la passion du philanthrope pour le végétal à travers les milliers d’images réalisées dans ses jardins de Boulogne et du Cap-Martin, accompagnées d’œuvres d’artistes contemporains. Sur une proposition de l’historienne de l’art et commissaire d’exposition Luce Lebart, elle réunit près de 200 photographies autochromes pour la plupart présentées pour la première fois au public, accompagnées de films, objets, et d’une série de contributions d’artistes contemporains invités.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Roues libres. La grande histoire du vélo

Musée du Domaine départemental de Sceaux : jusqu’au 31 décembre 2024

À l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, qui se tiendront respectivement du 26 juillet au 11 août 2024 et du 28 août au 8 septembre 2024, le musée du Domaine départemental de Sceaux proposera dans l’Orangerie une grande exposition consacrée aux cycles, des origines de ce moyen de transport né avec la draisienne au début du XIXe siècle, aux pratiques sportives et ludiques actuelles. Le projet s’appuie sur la présence, dans les collections du MDDS, d’un ensemble de 25 cycles anciens ayant appartenu à Robert Grandseigne (1885-1961), pionnier de l’aviation et grand amateur de vélos. Ce fonds comprend notamment le vélocipède à vapeur (1870-1871) de Louis-Guillaume Perrault (1816-1889), considéré comme la première moto de l’histoire, statut qui confère à cet objet une place de premier ordre dans l’histoire des techniques et fait par conséquent du musée un acteur légitime sur ce thème.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Être peintre dans la France de l’Après-guerre, l’étonnant parcours de Denise Ferrier (1920-2011)

Musée des Ursulines, Mâcon : jusqu’au 31 décembre 2024

L’exposition présentée au musée des Ursulines de Mâcon met en lumière le parcours complexe d’une femme peintre dans la période complexe de la France de l’Après-guerre. C’est une invitation à découvrir une œuvre singulière se déployant de 1950 jusqu’en 2011.
Installée à Paris dès 1947, Denise Ferrier bénéficie du soutien de personnalités artistiques importantes telles André Lhote ou Henry Valensi, mais ne trouve pas la reconnaissance attendue. Ce n’est qu’en 2021 que plusieurs de ses toiles intègrent les collections du Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou à Paris.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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TROP-PLEIN

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’au 5 janvier 2025

Sur toute l’année 2024, cette exposition plurielle, réinterprétation d’un thème plus que jamais d’actualité, offre au public l’opportunité d’explorer les facettes de la société de surconsommation à travers plusieurs thématiques : le rapport à l’argent, qui conditionne tous les excès ; le gaspillage alimentaire et l’obsolescence programmée, qui engendrent chaque année des tonnes de déchets mettant en péril l’équilibre écologique planétaire ; enfin, les nouvelles perceptions et les codes inédits d’une société qui définit des normes difficilement atteignables. Entre images familières, symbolisme, références culturelles et historiques et oeuvres « à charge », les pièces de verre exposées viennent souligner avec justesse les excès contemporains.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Mémoires. Genève dans le monde colonial

MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 5 janvier 2025

Quel est le passé colonial de Genève ? Le Musée d’ethnographie en est-il l’un des acteurs ? Qu’en racontent ses collections ? Autant de questions que pose « Mémoires. Genève dans le monde colonial » la nouvelle exposition temporaire du MEG.
Dans le parcours d’exposition, de nombreux partenaires sondent notre histoire commune, redéfinissent le statut des collections ethnographiques et inventent leurs futurs. L’exposition questionne le rôle du MEG dans une société post-coloniale où les traces du passé, les discriminations et le racisme se font écho.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Boris Labbé, Ito Meikyū / Fil d’errance

Commissaire d’exposition : Judith Guez
Lauréats de la Bourse Drawing Lab Project 2024

Drawing Lab, Paris : jusqu’au 5 janvier 2025

La Bourse Drawing Lab Project 2024 d’un montant de 20 000 euros hors taxe a été attribuée à l’artiste Boris Labbé et la commissaire d’exposition Judith Guez. Ils exposent cet automne au Drawing Lab leur projet Ito Meikyū / Fil d’errance.

Boris Labbé cherche plusieurs manières d’exprimer la matière du dessin : de la faire « déborder, craquer, crépiter, proliférer, vivre ». Le dessin a toujours été central dans sa vie et s’est nourri de plusieurs rencontres et projets : du dessin classique à l’animation 3D, de la réalité virtuelle à la performance et installation vidéo. Dans cette exposition, le dessin devient volume et architecture avec l’oeuvre centrale Ito Meikyū (mot inventé du collage de deux mots : ito qui signifie « fil » et meikyū qui signifie « labyrinthe »). L’oeuvre immersive et interactive propose au spectateur de plonger dans une grande fresque animée. Elle présente une collection hétérogène de scènes dessinées, animées et sonores, qui sont prises dans la matière numérique. Elle recrée en quelque sorte un monde subjectif (monde intérieur et extérieur) sous la forme d’un labyrinthe composé d’architectures fractales, habitées de plantes, d’objets, d’animaux, d’hommes, de femmes, de motifs et de calligraphies. Le spectateur est invité à déambuler dans cet espace virtuel de manière libre en se laissant guider par le hasard de ses découvertes.
Cette installation en réalité virtuelle est inspirée par des oeuvres clés de l’art classique et la littérature japonaise (tel que Le Dit du Genji de Murasaki Shikibu et Les Notes de Chevets de Sei Shonagon), mais également par divers contacts et événements de la vie de l’artiste et de ses voyages au Japon.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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YUIMA NAKAZATO, Au-delà de la couture

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 5 janvier 2025

La Cité de la dentelle et de la mode de Calais présente la première exposition consacrée au créateur de mode japonais Yuima Nakazato.
Personnalité artistique d’avant-garde, Yuima Nakazato façonne une mode humaniste et écologique qui repense les procédés de fabrication avec une volonté de démocratisation de la création sur mesure. Il fusionne pour cela la haute-technologie et les savoir-faire, les traditions d’Asie et d’Occident.
Dans un univers poétique et futuriste pensé avec le créateur, l’exposition s’appuie sur une cinquantaine de silhouettes ayant défilé au calendrier de la haute couture parisienne, des accessoires, des croquis de mode, des échantillons de matières, des photographies de mode et des vidéos.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Eugène Dodeigne (1923-2015) : une rétrospective

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025

Personnalité essentielle de la sculpture française contemporaine, à laquelle il a apporté une contribution singulière et reconnue dans le monde entier, Eugène Dodeigne est aussi l’une des figures de proue du Groupe de Roubaix.
Cette rétrospective, organisée une première fois en 2020 à La Piscine et qui n’avait pu alors ouvrir ses portes au public à cause de la pandémie, est l’occasion unique de découvrir un portrait renouvelé de l’artiste, en reconsidérant son oeuvre dans toute sa richesse. Aux côtés des pierres de Soignies – sa signature évidente –, seront présentés des plâtres, bois, bronzes, terres cuites, dessins, peintures et éléments de mobilier, embrassant en quelques 200 oeuvres – l’ensemble le plus important jamais rassemblé – près de soixante ans de création. A cette occasion, le catalogue de l’exposition dirigé par Germain Hirselj et qui a reçu en 2021 le prestigieux prix du Festival International du Livre d’Art et du Film, va aussi reparaître.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Mado Jolain (1921-2019), céramiste. Côté maison-Côté jardin

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025

Dans le paysage de la céramique des années 1950, l’oeuvre de Mado Jolain (1921-2019) séduit par sa modernité et les jeux formels qu’elle a multipliés. La céramiste manifeste très tôt une préférence pour les volumes simples, architecturés et travaillés de telle sorte que l’articulation subtile de l’ombre et de la lumière puisse s’y épanouir.
Cet hommage rendu par La Piscine permettra au public de découvrir l’oeuvre d’une céramiste dont l’esprit libre épris de rigueur a compté dans le renouveau de la céramique des années 1950-1960.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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L’Or des Ming, fastes et beautés de la Chine impériale (14e – 17e siècle)

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 13 janvier 2025

Comment se faire belle sous les Ming ? Une splendide exploration de l’esthétisme féminin à la cour impériale.
Le musée Guimet présente une exposition exceptionnelle de parures en or produites au temps de la dynastie des Ming (1368-1644), et de vases prêtés par le musée Qujian de Xi’an.
Métal précieux par excellence, l’or enrichit dès l’antiquité les ornements en bronze et en jade. Au temps des Ming, l’orfèvrerie d’or est réservée à l’entourage impérial et aux hautes classes sociales. Les peintures qui nous sont parvenues laissent un témoignage saisissant de vases et parures en or utilisés dans la vie quotidienne à la cour de l’Empereur. Les artisans royaux laissent alors libre cours à leur imagination pour commencer à fabriquer des bijoux et objets purement décoratifs, développant des savoir-faire et une haute maîtrise de techniques variées : gravure, filigrane, damasquinage, incrustation de jade ou de pierres précieuses.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Made in France. Une histoire du textile

Archives nationales, Paris : jusqu’au 27 janvier 2025

À l’heure où l’industrie textile est au coeur d’une prise de conscience environnementale et éthique, revenir sur son histoire en France est un moyen de saisir l’immense importance économique et sociale qu’elle a occupée dans notre pays, avant qu’elle ne s’effondre à la fin du XXe siècle.
Made in France. Une histoire du textile souhaite montrer comment l’État a accompagné cette industrie, depuis les efforts de Jean-Baptiste Colbert sous Louis XIV jusqu’aux plans gouvernementaux des IVe et Ve Républiques pour tenter de la sauver des crises économiques. Elle présente ainsi l’action des gouvernements sur plusieurs siècles pour contrôler, connaître et encourager la production du textile français, des fibres naturelles aux matières synthétiques.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Epidémies. Prendre soin du vivant

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 16 février 2025

Alors que nous venons de traverser collectivement la pandémie de la COVID-19, quelle mémoire conservons-nous des épidémies du passé et comment nous préparer à celles à venir ? Depuis des millénaires, les épidémies touchent les sociétés humaines mais aussi les autres espèces animales, sur tous les continents. En s’appuyant sur des collections de médecine, d’ethnographie, des spécimens d’histoire naturelle ou encore des œuvres contemporaines, l’exposition nous invite à envisager les épidémies comme un phénomène non seulement biologique mais également social, dans un monde où santé humaine, santé animale et santé environnementale sont liées.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Expérience Raphaël

Palais des Beaux-Arts de Lille : jusqu’au 17 février 2025

Après Expérience Goya en 2021, puis la Forêt magique en 2022, le Palais des Beaux-Arts achève son cycle d’expositions « augmentées » avec Expérience Raphaël. Pour la première fois, l’intégralité du fonds de dessins légué par le peintre et collectionneur Jean-Baptiste Wicar (Lille, 1762-Rome, 1834), y sera révélée au public. Le parcours permettra de suivre la carrière de ce génie de la Renaissance, de ses premières commandes en 1500 jusqu’à sa mort en 1520. Il sera complété par des tableaux et des reconstitutions numériques de quelques peintures aujourd’hui détruites, dont les dessins constituent parfois la seule trace.
Exposition réalisée en coproduction avec GrandPalaisRmn

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Gardiens du Temps. Installation monumentale de Jiang Qiong Er

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’en février 2025

Pour ouvrir avec faste l’année de la Chine à Guimet, des installations monumentales et spectaculaires investissent les espaces du musée Guimet pour une réinterprétation contemporaine et follement imaginative de symboles culturels et mythologiques chinois.
À partir de fin avril 2024, le musée Guimet invite l’artiste plasticienne et designer Jiang Qiong Er, originaire de Shanghai, à dialoguer avec ce haut lieu des arts asiatiques à travers une oeuvre inédite. Avec Gardiens du Temps, Jiang Qiong Er intervient dans plusieurs espaces emblématiques invitant à cheminer au gré d’émotions spectaculaires et de moments d’envoûtement, engageant une réflexion visionnaire sur le temps, entre tradition et technologie, héritage et innovation, mémoire et imagination.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Corps In.visibles. Une enquête autour de la robe de chambre du Balzac 

Musée Rodin : jusqu’au 2 mars 2025

À l’automne 2024, le musée Rodin met à l’honneur une pièce méconnue de ses collections, l’Étude de robe de chambre pour Balzac d’Auguste Rodin.
Conçue à partir d’une sélection de sculptures issues des collections du musée, de pièces de mode du 19e siècle du Palais Galliera et d’archives inédites de la bibliothèque de l’Institut de France, l’exposition intitulée « Corps In.visibles » déplie, à partir de la singulière Robe de chambre, une enquête sur la recherche d’un corps de Balzac par Rodin. Cette investigation est un véritable prélude à une réflexion sur les corps – réels, idéalisés, statufiés et occultés – dans la statuaire monumentale du 19e siècle qui peuplent toujours notre monde contemporain.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Tisser l’imaginaire

Musée de Lodève : jusqu’au 9 mars 2025

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

L’exposition invite à parcourir des Imaginaires prenant des formes aussi bien figuratives qu’abstraites, permettant au visiteur de se déconnecter un temps du monde réel, pour déambuler dans un Ailleurs enchanté qui mêlera tapisseries anciennes et modernes.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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En forêt avec Vincent Munier

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 13 avril 2025

Les espaces forestiers sont le décor d’une vie foisonnante.
Photographe des grands espaces sauvages, Vincent Munier parcourt les forêts françaises, en particulier celles des Vosges, depuis son enfance. Avec le musée des Confluences, il propose un voyage visuel et sonore dans une nature en apparence familière mais souvent méconnue. Les images, fixes et animées, révèlent la faune qui peuple les forêts en invitant chacun à apprendre à observer, comme à l’affût, pour mieux s’émerveiller de cet univers grandiose et menacé.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Rencontres

MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 18 août 2025

La nouvelle exposition temporaire du MEG intitulée « Rencontres » donne la parole à des membres de diverses communautés, leur permettant de se connecter à des objets de leur propre culture issus des collections du MEG, et de partager leurs histoires. Cette exposition a pour but de mettre en avant des récits personnels et communautaires, souvent non racontés, tout en célébrant les liens émotionnels qui unissent les individus à leurs racines culturelles.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Le temps d’un rêve

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 24 août 2025

Afin de tenter de définir le phénomène onirique, l’exposition propose une série d’escales dans les lieux où le rêve s’exprime, dans différentes cultures, depuis l’Antiquité.
Un être humain passe un tiers de sa vie à dormir et une bonne partie de ce temps à rêver. Exceptions faites de son rôle central dans la création artistique et dans le domaine de la psychanalyse, le rêve est pourtant un sujet souvent absent de nos sociétés occidentales contemporaines. Sans doute car sa nature semble sans cesse se dérober.
Des temples d’incubation grecs au laboratoire de neurosciences, du divan du psychanalyste à l’imaginaire de l’artiste, d’un continent à l’autre, Le temps d’un rêve offre autant d’étapes pour approcher le miracle de « ce voyage aventureux de tous les soirs » comme le qualifiait Charles Baudelaire. Inspirée par ces différents lieux, la scénographie fait s’estomper les frontières entre réalité et visions oniriques. Près de 150 objets et de nombreuses oeuvres audiovisuelles tissent des liens parfois inattendus entre l’histoire, la psychologie, l’ethnologie, l’art ou la recherche en neurosciences. Ces multiples regards réveilleront peut-être le rêveur en chaque visiteur.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Quels beaux visages !

Nouvelles oeuvres

Musée des beaux-arts, Calais : prolongation jusqu’au 31 août 2025

Le Musée des beaux-arts de Calais remercie ses donateurs en mettant en valeur les œuvres récemment entrées dans ses collections, soit près d’un tiers des pièces exposées. Le thème du portrait semble naturellement les relier, ici étendu aux portraits d’artistes, aux portraits de groupes et à ceux en mémoire des oubliés. Ces créations modernes appartiennent à l’art contemporain, aux nouvelles formes de figurations, à la photographie et au street art.
La prolongation de cette exposition inaugurée en avril 2024 s’accompagne cet automne d’un renouvellement d’une partie des œuvres exposées.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trois siècles à l’Isle Adam

Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq, L’Isle-Adam : jusqu’au 21 septembre 2025

À vingt-cinq kilomètres à vol d’oiseau de Paris, L’Isle-Adam se trouve aux portes du parc naturel régional du Vexin français, du Pays de France et du département de l’Oise. Qualifiée de « paradis terrestre » par Honoré de Balzac dans une lettre qu’il écrit à sa sœur en 1819, la ville bénéficie d’un environnement exceptionnel situé entre rivière et forêt domaniale.
Avec cette nouvelle exposition intitulée Trois siècles à L’Isle-Adam, le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq invite ses visiteurs à un voyage à travers l’histoire et le patrimoine de la cité adamoise et de son territoire. Organisé de manière chronologique et couvrant une période allant du XVIIIe au milieu du XXe siècle, le parcours s’articule autour des grandes thématiques représentées dans les collections du musée. L’histoire et l’évolution urbaine de L’Isle-Adam y sont évoquées, le passé industrieux de la ville est également mis en avant,…
L’exposition rassemble peintures, sculptures, aquarelles, gravures, affiches publicitaires, cartes postales et photographies anciennes, toutes issues du fonds du musée.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Vas-y Champion ! Le sport dans les années de Gaulle (1958-1969)

Maison natale Charles de Gaulle : jusqu’au 22 septembre 2025

UNE EXPOSITION AU COEUR D’UNE DÉCENNIE DÉTERMINANTE POUR LE SPORT EN FRANCE
À l’occasion des Jeux olympiques de Paris en 2024, la Maison natale Charles de Gaulle présente une exposition sur le sport sous la présidence du général de Gaulle. Quel a été l’impact des années 1960 sur le sport en France ? Comment ce dernier est-il devenu une passion partagée par un nombre croissant de Français ? L’exposition Vas-y champion ! Le sport dans les années de Gaulle (1958-1969) propose une rétrospective captivante, visant à saisir l’esprit du sport de cette époque.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Atala, 1801. Voyage illustré au coeur d’un roman

Maison de Chateaubriand : jusqu’au 28 septembre 2025

Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert, le premier roman de François René de Chateaubriand, est un chef-d’oeuvre de la littérature française. Publié en 1801, accueilli par un succès immédiat et durable, maintes fois réédité et traduit dans la plupart des langues européennes, l’ouvrage lance la carrière de l’écrivain.
La maison de Chateaubriand, au sein du domaine départemental de la Vallée-aux-Loups, présente l’exposition Atala, 1801. Voyage illustré au coeur d’un roman. Cette exposition propose un voyage inédit au coeur de l’intrigue, rythmé par douze épisodes, associant des extraits du récit et une grande diversité d’oeuvres. Elle aborde également la postérité du roman et son succès littéraire et éditorial jusqu’au 20ème siècle.
Une centaine d’oeuvres créées aux 19ème et 20ème siècles, seront présentées : peintures, gravures, dessins, sculptures, objets d’art, objets décoratifs, produits dérivés, éditions (originales, parodiques, illustrées, traductions).

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94