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Soldats sportifs, pratiques sportives dans l’armée française de 1914 à nos jours

Musée de la Grande Guerre, Meaux
Jusqu’au 19 août 2024

Une exposition de photographies qui plonge les visiteurs dans l’univers des sports de 1914 à nos jours
En partenariat avec l’ECPAD (Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense)

La rentrée 2023 propose une toute nouvelle exposition sur les pratiques sportives pendant la Grande Guerre et post Grande Guerre, faisant écho à la coupe du monde de rugby et aux JO 2024 !
La pratique sportive a joué un rôle indéniable dans la préparation du soldat, mais elle représentait aussi un moyen de découverte, d’évasion et de cohésion durant la Première Guerre mondiale.
Cette série de photographies située sur le parvis du musée, illustre les exercices physiques du monde combattant de la Grande Guerre, à nos jours. À travers cette exposition en accès libre, les visiteurs en apprendront davantage sur l’évolution et l’impact des sports durant la Première Guerre mondiale et plus largement, au sein de l’armée et la société de l’époque.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Léonard de Vinci, à la croisée des arts et des sciences

Forum des Sciences, Villeneuve d’Ascq
Jusqu’au 25 août 2024

Peintre, dessinateur, ingénieur et architecte, Léonard de Vinci se place à la croisée des arts et des techniques par la diversité et la pluridisciplinarité de l’ensemble son œuvre. Ses travaux nous ont fourni un héritage intellectuel et culturel qui nous fascine encore aujourd’hui.
L’exposition « Léonard de Vinci, à la croisée des arts et des sciences » propose un parcours immersif de découverte de son univers grâce à des reproductions d’une partie de ses peintures, dessins, croquis… Des reconstitutions 3D des fameuses « machines » qu’il a imaginées montrent comment Léonard de Vinci s’inspirait des savoirs artistiques et techniques de son époque pour ses travaux.

En parcourant l’exposition, vous découvrirez ses différentes champs d’activités et sa préoccupation de représenter le plus fidèlement plus le monde qui l’entourait. L’exposition se présente sous forme d’un circuit de découverte de l’univers de Léonard de Vinci : Léonard de Vinci, peintre ; Leonard de Vinci, architecte et urbaniste ; Leonard de Vinci, ingénieur civil et militaire ; Leonard de Vinci, l’art du vol ; Leonard de Vinci et l’anatomie ; L’héritage de Léonard de Vinci.
Durant votre visite, vous découvrirez comment Léonard de Vinci, par sa vision humaniste, incarne l’esprit de son époque, la Renaissance, prémices de l’histoire moderne.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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À nos amours

Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 25 août 2024

Exposition conçue et réalisée par le Palais de la découverte, adaptée par le musée des Confluences
L’amour, sujet qui nous concerne tous, semble insaisissable, tour à tour fragile, passionnel, déconcertant ou moteur puissant de nombreuses histoires. À nos amours propose une exploration des territoires amoureux, en constantes transformations, traversés et bouleversés par les évolutions sociétales et technologiques.
Adapté de l’exposition De l’amour, présentée par le Palais de la découverte à Paris en 2019-2020, le projet du musée des Confluences fait découvrir ou redécouvrir l’universalité de l’amour et la diversité des attachements amoureux, familiaux et amicaux.
Cette multiplicité des attachements est soulignée par les quatre mots grecs exprimant l’amour et introduisant l’exposition : éros, le désir, la passion charnelle ; storgê, l’amour familial ; agapè, l’amour désintéressé ; philia, l’amitié, le lien social.
Dans une scénographie nouvelle, pensée comme une expérience sensorielle et émotionnelle, À nos amours fait dialoguer les points de vue scientifique, sociétal et artistique, à la rencontre des cultures humaines du monde entier et des autres espèces vivantes.
L’exposition présente quelque 200 objets, provenant en majorité des collections du musée des Confluences, mais aussi des prêts illustrant des pratiques et des traditions populaires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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L’Atelier Rodin

Musée Rodin, Paris : jusqu’au 1er septembre 2024

Jouez, créez, bougez !
Place à l’action ! Dédié à la découverte et la compréhension de la sculpture par la pratique, l’Atelier Rodin est rempli de nouveautés pour s’amuser et apprendre au musée. À l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, cette troisième édition invite petits et grands au mouvement et au jeu avec un espace inédit pour Vivre la sculpture de tout son corps.
Jouer, découvrir et apprendre. Plongez dans l’univers d’Auguste Rodin et d’un atelier de sculpteur. Dessiner, modeler, bouquiner, jouer ou bouger… Chacun des cinq espaces est riche en activités et découvertes pour favoriser une exploration sensible et intuitive.
A vos marques, prêt… « En mouvement ! » est un tout nouvel espace pour appréhender les défifis du sculpteur. Entre torsion et équilibre, utilisez votre corps pour comprendre comment l’immobile peut évoquer le mouvement.
L’Atelier Rodin 2024 est labellisé Olympiade Culturelle.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Paul Hémery (1921-2006)

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 1er septembre 2024

Paul Hémery, bien qu’il soit né à Tourcoing, est l’une des figures importantes du Groupe de Roubaix, rassemblement informel d’amis, peintres et sculpteurs, ayant débuté leur carrière artistique au Salon des Artistes Roubaisiens et dans les galeries de la ville. Ensemble, ils éveillèrent la région Nord-Pas-de-Calais à l’art contemporain dans les années suivant la Seconde Guerre mondiale.
Au fil du temps, La Piscine a rassemblé un fonds de référence grâce à divers dons, mais surtout au legs concédé par son ami le peintre Michel Delporte en 2001, et grâce à la générosité de l’artiste lui-même en 2000 et 2002. Le musée se propose ainsi de redécouvrir une figure aussi essentielle que méconnue du paysage artistique septentrional de l’après-guerre.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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La loi sur l’IVG. 1974 – Le discours de Simone Veil

Archives nationales, Paris : jusqu’au 2 septembre 2024

À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, les Archives nationales inaugurent le second rendez-vous de leur cycle Les Remarquables et présentent le célèbre discours de Simone Veil défendant à la tribune de l’Assemblée nationale, en 1974, le projet de loi sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG). C’est le public qui, au moment même où le président de la République a souhaité constitutionnaliser la liberté des femmes de recourir à l’IVG, a plébiscité ce document à l’issue d’un vote organisé à l’été 2023.
L’exposition, gratuite et au format volontairement resserré, invite le visiteur à découvrir le manuscrit original du discours et sa version dactylographiée, annotée de la main de Simone Veil. À travers ces deux ensembles de feuillets et les documents qui les accompagnent, c’est un moment décisif du combat pour la conquête des droits des femmes que les visiteurs peuvent (re)découvrir.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73

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Le monde fabuleux de Nicolas Eekman

Musée de Flandre, Cassel : jusqu’au 8 septembre 2024

Au printemps prochain, le musée de Flandre organisera une rétrospective consacrée au peintre Nicolas Eekman (1889-1973). L’exposition proposera au public de découvrir plus de quatre-vingts oeuvres de cet artiste injustement oublié par le XXe siècle.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Psychoses. L’Expressionnisme dans l’art et le cinéma

Musée de Lodève : jusqu’au 15 septembre 2024

Nosferatu le vampire, Metropolis, Le Cabinet du docteur Caligari… ceux qui ont vu ces films des années 1920 ne peuvent s’empêcher de frissonner à leur évocation. L’exposition du Musée de Lodève ravive le frisson et met en lumière comment la peinture et les arts graphiques ont influencé le cinéma expressionniste de l’époque, qui se hisse alors au rang d’art à part entière. Les peintures, dessins et gravures d’une trentaine d’artistes (A. Macke, E. Heckel, O. Dix, K. Schmidt-Rottluff, E.L. Kirchner….) sont confrontées à des extraits de 12 films célèbres.
Cette exploration troublante de l’univers expressionniste nous plonge directement dans la société allemande de l’entre-deux guerres, ses traumatismes, ses rêves et ses cauchemars.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Au coeur de la couleur – Chefs d’oeuvre de la porcelaine monochrome chinoise (8ème – 18ème siècle)

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 16 septembre 2024

En juin, le musée Guimet ouvrira une exposition-événement consacrée aux splendeurs de la porcelaine monochrome chinoise mettant en lumière des pièces exceptionnelles, pour certaines vieilles de plus de 2000 ans mais d’une incroyable modernité. Souvent issus des ateliers impériaux, ces chefs d’œuvre, qui proviennent de la collection Zhuyuetang de Richard Kan, sont le résultat de siècles de perfectionnement. Une quête incessante de l’épure jusqu’à trouver la forme et la couleur parfaites, donnant naissance à des pièces uniques et d’une grande finesse esthétique.

Autre savoir-faire unique pour lequel la Chine a acquis au cours des siècles une réputation d’excellence, l’art de la laque : le musée y consacrera également une exposition pendant l’été.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Cappiello caricaturiste – 1898-1905

Musée Louis Senlecq, L’Isle Adam : jusqu’au 22 septembre 2024

Le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq de L’Isle-Adam présente une exposition consacrée aux caricatures de Leonetto Cappiello (1875-1942).
Pour la première fois, Cappiello est mis à l’honneur dans un projet d’envergure à travers un prisme moins attendu que son œuvre d’affichiste, sujet privilégié des expositions et publications qui lui ont été consacrées ces quarante dernières années.

L’œuvre de caricaturiste de Cappiello est ici mise en perspective avec son activité d’affichiste mais aussi de sculpteur. Il s’agit par ailleurs de questionner les enjeux de la caricature mondaine à la lumière des réalités socioculturelles de l’époque.

À travers dessins, esquisses préparatoires, affiches et sculptures – dont plusieurs seront présentées pour la première fois – se dessine un portrait du Tout-Paris artistique, littéraire et mondain de la Belle Époque.
Cette exposition rassemble une centaine d’œuvres et de documents provenant de l’Atelier Cappiello, du Musée d’Orsay et du Musée des Arts décoratifs (Paris).

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Monet à Vétheuil : les saisons d’une vie

Palais des Beaux-Arts de Lille : jusqu’au 24 septembre 2024

Au printemps 2024, le Palais des Beaux-Arts de Lille s’associe au musée d’Orsay pour célébrer les 150 ans de l’impressionnisme autour de Claude Monet, figure fondatrice de ce mouvement.
Le Palais des Beaux-Arts de Lille possède deux toiles de Claude Monet représentant le village de Vétheuil, issues toutes deux de la donation Masson datant des années 1970 : La Débâcle, peinte dans les premières semaines de 1880 et Vétheuil, le matin, réalisée vingt ans plus tard. Vétheuil occupe une place singulière dans la vie et l’oeuvre de l’artiste. En rapprochant les oeuvres du Palais des Beaux-Arts de Lille de quatre prêts prestigieux du musée d’Orsay sur le même sujet, cette exposition permettra d’évoquer à la fois le rythme des saisons et deux périodes stylistiques de l’artiste. Cet ensemble exceptionnel de 6 oeuvres rassemblées pour la première fois à Lille montrera ainsi au public deux moments marquants de la vie de Claude Monet, l’un difficile et l’autre plus prospère.
L’exposition sera accompagnée par une expérience immersive au coeur de l’Atrium du musée qui offrira l’opportunité d’une respiration et prolongera l’expérience de visite par une méditation guidée permettant d’explorer, en pleine conscience, un paysage des collections du Palais des Beaux-Arts.

Exposition présentée dans le cadre des 150 ans de l’impressionnisme avec le musée d’Orsay

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Anouk Desury, les poings ouverts

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 29 septembre 2024

« La photographie est pour moi une manière de mieux comprendre le monde qui m’entoure. Très attachée à témoigner des histoires et des combats personnels, j’ai cette volonté forte de mettre en lumière ceux à qui on laisse trop peu la parole. C’est l’attachement au territoire de Roubaix et à chacune des personnes que je rencontre qui guide ma photographie».

Jeune photographe de 28 ans, Anouk Desury découvre la ville de Roubaix lorsqu’elle passe un BTS Photographie. Passionnée, elle complète sa formation par un diplôme universitaire en Photographie Documentaire (DU) à Carcassonne. Revenue s’installer à Roubaix, sa ville « de coeur et d’adoption », elle s’attache aux gens avec pour toile de fond ce territoire si singulier qu’est l’ancienne capitale textile et son travail s’inscrit dans la lignée des photographes humanistes.
Plusieurs sujets vont capter son attention. En 2017, la photographe entame un travail de mémoire auprès des habitants d’un quartier populaire en cours de rénovation, sujet qu’elle expose plusieurs fois dans la cité roubaisienne. Elle poursuit cette quête du quotidien en s’attachant à suivre pendant deux ans le combat d’une famille d’immigrés venue guérir un père ancien champion de boxe devenu hémiplégique. En 2020, lorsque la crise sanitaire éclate, Anouk Desury capte avec empathie la pandémie, à l’échelle du territoire roubaisien, mais aussi au CHU de Lille. Le reportage fait l’objet d’un ouvrage « Une évidence, malgré tout », publié par l’agence photographique et maison d’édition Light Motiv. En 2023, toujours avec le concours de Light Motiv et l’association SOLFA (Solidarité Femmes Accueil) à Lille, Anouk Desury porte un regard bienveillant sur six femmes, six parcours, victimes de violences. Ses photos saisies sur le vif sont publiées sous forme de recueil d’images et de textes écrits par Samira El Ayachi : « Ce soir je prendrai soin de moi », ouvrage qui témoigne avec force d’une forme de résilience.
En 2021, elle est lauréate de la plus grande commande publique photographique d’Europe pour son reportage intime sur trois jeunes boxeurs (Aziz, Djamal, Moustapha) et une boxeuse (Shaina), de Roubaix. Saisis dans leur environnement immédiat – leur entrainement, mais aussi leur lieu de vie -, l’image en couleur est un outil et un moyen pour saisir au-delà du ring les aspirations et l’importance que revêt pour eux cette discipline rigoureuse. Cette complicité nouée avec ces jeunes sportifs où l’humain transparaît est aujourd’hui présentée à la BNF dans l’exposition « La France sous leurs yeux ». L’été 2024, en écho au Festival des cultures urbaines (URBX), La Piscine présentera dans ses cabines du premier étage les portraits de ces jeunes Roubaisiens (28 photos), assortis de tenues leur appartenant.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Jean Daret, peintre du Roi en Provence

Musée Granet, Aix-en-Provence : jusqu’au 29 septembre 2024

Le musée Granet consacre au peintre Jean Daret (Bruxelles 1614-Aix-en-Provence 1668) une exposition, la première manifestation de ce type dédiée à ce grand peintre du baroque provençal. Redécouvert par le grand public à l’occasion de l’exposition sur la peinture en Provence au XVIIe siècle organisée à Marseille en 1978, Jean Daret a travaillé pour les mécènes les plus importants de son époque dont le roi Louis XIV et le gouverneur de Provence. Si nombre de ses œuvres sont visibles dans les musées français, étrangers (États-Unis, Russie) comme dans de nombreuses églises et cathédrales de Provence, hôtels particuliers d’Aix-en-Provence (Hôtel de Châteaurenard et Maurel de Pontevès), Jean Daret demeure peu connu du grand public et son œuvre d’envergure mérite d’être mise à l’honneur.
L’exposition au musée Granet est ainsi l’occasion de montrer un ensemble exceptionnel d’une centaine d’œuvres comprenant les productions les plus importantes de l’artiste, huiles sur toile, dessins et gravures, accompagnées d’œuvres des grands maîtres du siècle tant parisiens (Jacques Blanchard) que provençaux (Nicolas Mignard, Reynaud Levieux ou encore Gilles Garcin). A travers huit sections thématiques qui suivent également la chronologie de la carrière de l’artiste, l’exposition montre l’ensemble de sa carrière, des chefs-d’œuvre des premières années («Daret caravagesque»), à l’élégance et la richesse des scènes de genre, tableaux de dévotion ou de décor (« Collectionnisme » et « Décor »), sans omettre la place centrale occupée par les tableaux religieux, où se mêlent sobriété et pathétique, douceur et expressivité, pour terminer par le second séjour parisien, les dernières années de la carrière de l’artiste.
Cette exposition est la première manifestation dédiée à l’œuvre de Jean Daret et de façon plus générale à la peinture baroque provençale depuis de nombreuses années. Elle est l’occasion d’apprécier l’importance de cette production et permet aussi de donner la place que Jean Daret mérite dans l’histoire de la peinture française du XVIIe siècle et de mettre en lumière la richesse patrimoniale de la région.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Germaine Richier, la Méditerranéenne

Friche de l’Escalette, Marseille : jusqu’au 1er septembre 2024, et tous les week-ends de septembre

La Friche de l’Escalette située à l’orée du Parc des Calanques de Marseille propose à la visite son site naturel grandiose, les vestiges de son patrimoine industriel remarquable, ainsi que ses expositions estivales d’art moderne & contemporain.

Cette année Germaine Richier (1902-1959) native de Montpellier et viscéralement attachée à la Méditerranée est à l’honneur avec une douzaine de ses sculptures saisissantes.
L’accent est mis sur la représentation humaine, avec Le Coureur, fort à propos en ses temps d’Olympisme, et ses métamorphoses, comme pour L’Eau, déesse antique à tête d’amphore semblant surgir de la mer.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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C215 autour de l’Inguimbertine

Ville de Carpentras : jusqu’au 31 octobre 2024

Après avoir déjà peint plusieurs oeuvres dans le centre-ville, Christian Guémy, alias C215, s’est récemment installé à Carpentras. La Ville de Carpentras a souhaité offrir à cet artiste reconnu la première exposition temporaire de l’Inguimbertine à l’hôtel-Dieu.
Cette exposition qui se déroulera du 1er juin au 30 octobre 2024 sera composée de deux parties. La première dans la galerie d’honneur de l’hôtel-Dieu présentera une retrospective de sa carrière et la seconde sera à découvrir dans tout le centre-ville. Elle sera consacré à son interprétation des oeuvres présentes dans la collection permanente de l’Inguimbertine.
« C215 autour de l’Inguimbertine » sera l’occasion de poursuivre l’oeuvre de Malachie d’Inguimbert qui soutenait les artistes de sa génération. Cet art contemporain d’alors qui orne aujourd’hui les plus belles salles des musées français.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73

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Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny

Ouverture jusqu’au 1er novembre 2024

« Du haut d’un pont garni de glycines, qui se trouve être de style japonais, Monet vient juger le tableau qu’il a créé. » Gustave Geffroy, Monet, sa vie, son œuvre, 1924
En cette année des 150 ans de l’impressionnisme, de nombreux événements culturels célébreront, la naissance de mouvement pictural révolutionnaire. Mais quelle meilleure manière de s’imprégner de la culture impressionniste que d’arpenter l’écrin givernois, palette grandeur nature et intarissable source d’inspiration pour le maître des lieux ?
Inversant la démarche traditionnelle du peintre paysagiste, Claude Monet a façonné son motif avant de le peindre avec acharnement. À tel point que son bassin aux nymphéas, qu’il commence à représenter en 1899 sous la caresse d’une lumière perpétuellement changeante, deviendra vers 1910 son thème d’inspiration exclusif et son testament pictural, Les Grandes Décorations de Nymphéas, exposées au musée de l’Orangerie à Paris.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Lucio Fontana. Il y a bien eu un futur. Un futuro c’è stato

Musée Soulages, Rodez : jusqu’au 3 novembre 2024

Cette exposition propose un voyage dans l’ensemble de l’oeuvre de Fontana, avant et après la Guerre, en Argentine et en Italie, une évocation de sa variété créatrice : peintures, papiers, sculptures, céramiques et installations lumineuses et spatiales. Le public découvre ainsi au-delà des Concetti Spaziali (les concepts spatiaux), avec les Attese (les fentes) et les Buchi (les trous), un artiste figuratif et informel, un homme classique et futuriste.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Femmes chez les Nabis, de fil en aiguille

Musée de Pont-Aven : jusqu’au 3 novembre 2024

A la fin du XIXe siècle, le groupe des Nabis (prophètes en hébreu) forme une confrérie de jeunes artistes audacieux animée d’une même communauté de pensée et admirative de l’oeuvre de Gauguin. L’exposition propose de dévoiler une autre facette du groupe réunissant Sérusier, Denis, Vuillard, Bonnard, Vallotton, Ranson, Lacombe… En les étudiant par l’intermédiaire de leurs épouses, amantes, mères, belles-mères. Cet entourage peuplé de femmes se veut un point d’entrée pour regarder finement les conditions de réalisation, les logiques d’influences et les processus de création à l’oeuvre chez les Nabis. Alors que ces femmes remplissent majoritairement les rôles conventionnels d’hôtesses d’accueil, maîtresses de maison et gardiennes de la vie familiale, certaines se distinguent par leur contribution artistique concrète dans un système où prime toutefois une division sexuée des rôles : aux hommes reviennent l’invention du sujet et son exécution graphique première, aux femmes est confié le tissage. De leur place dans le couple, où la frontière entre compagnes, modèles et assistantes reste ténue, aux rôles dans le foyer, entre travaux d’aiguille et mise en scène de la vie domestique, l’exposition tire le fil de l’intimité dans la création artistique. Environ 80 oeuvres présentent l’esthétique nabie ouverte au décloisonnement des arts et des médiums (peintures, sculptures, mais aussi photographies, objets d’arts décoratifs, mobilier et textiles…).
Cette exposition bénéficie du partenariat exceptionnel du musée d’Orsay.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Chefs-d’oeuvre du Musée Langmatt

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : jusqu’au 3 novembre 2024

Exceptionnelles par son envergure et sa qualité, Chefs-d’oeuvre du Musée Langmatt présente pour la toute première fois hors de l’institution badenoise une septantaine de toiles de grands peintres impressionnistes et postimpressionnistes tels que Bonnard, Boudin, Corot, Cézanne, Degas, Fantin-Latour, Gauguin Renoir ou encore Matisse.
Sise dans une splendide demeure du XIXe siècle au coeur d’un parc centenaire offrant une vue unique sur le lac Léman et les Alpes, la Fondation de l’Hermitage célèbre ainsi son 40 ans anniversaire. Clin d’oeil aussi à son exposition inaugurale L’impressionnisme dans les collections romandes, qui allait donner sa ligne à une collection particulière constituée dans l’esprit des lieux.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Éthiopie, la vallée des stèles

Musée Fenaille, Rodez : jusqu’au 3 novembre 2024

Le mégalithisme de la Corne de l’Afrique est l’un des plus riches et exceptionnels du continent africain. Dans le sud de l’Éthiopie, sur les contreforts orientaux de la grande vallée du Rift, près de cent trente sites identifiés à ce jour rassemblent plusieurs milliers de stèles phalliques ou anthropomorphes. La densité des découvertes, répartie entre les zones Gedeo, Oromo Guji et Sidaama, est unique à l’échelle du continent africain et en fait un ensemble d’intérêt mondial. Le paysage mégalithique du pays Gedeo vient d’être inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO lors de la 45e session, en septembre 2023.
L’exposition Éthiopie, la vallée des stèles vise à restituer le travail scientifique engagé depuis près d’un siècle autour de ces monuments comme les résultats les plus récents, fruits des nouvelles techniques d’investigation en archéologie. Elle ambitionne aussi de présenter les enjeux actuels de conservation d’un patrimoine fragile, soumis à une forte pression démographique, dans une région où prédomine une agroforesterie traditionnelle reconnue au titre du patrimoine mondial de l’UNESCO, associant la culture du café et de l’ensète, un proche cousin des bananiers.
Cette exposition s’appuiera sur un ensemble unique de stèles éthiopiennes conservées dans les collections du Weltkulturen museum de Francfort suite aux missions de l’ethnologue Adolf E. Jensen. Près d’une dizaine de monolithes provenant du site de Tuto Fela seront présentés pour la première fois en France, en association avec des dessins et aquarelles réalisées sur le terrain par l’artiste Alf Bayrle. Cette sélection sera complétée par un large choix de sculptures, objets, photographies et archives de fouilles provenant de collections publiques françaises et allemandes (musée du Quai Branly – Jacques Chirac, Paris ; Frobenius-Institut, Francfort ; musée des abattoirs, Toulouse …). Cet ensemble restituera le contexte culturel et politique de ces grandes missions archéologiques dans l’Éthiopie impériale comme l’aventure scientifique liée à la découverte de ces milliers de stèles.
Objets collectés sur le terrain, vidéos et entretiens réalisés lors des deux dernières missions (2022-2023) compléteront le dispositif pour donner à voir et à entendre les habitants vivant à proximité de ces sites, sources de récits renouvelés.

Cette exposition sera déclinée dans un deuxième temps en Éthiopie en s’appuyant sur les collections et la documentation conservée dans les différentes institutions, en collaboration avec le musée national d’Addis-Abeba et l’ARCCH (Ethiopian Authority for Research and Conservation of Cultural Heritage). Un important programme de sensibilisation et de formation des communautés locales accompagne ce projet en pays Gedeo. 

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Quels beaux visages !

Nouvelles oeuvres

Musée des beaux-arts, Calais : jusqu’au 3 novembre 2024

L’exposition du musée des beaux-arts de Calais est construite à partir de plusieurs oeuvres et séries d’oeuvres qui toutes ont en commun la représentation de personnes, de visages. Ces créations ont été réalisées entre 1968 et 2019. La plupart d’entre elles sont donc récemment entrées dans les collections du musée et quelques-unes n’ont jamais été exposées. Elles appartiennent à différents champs artistiques, de la sculpture en bronze au street art et se découvrent au travers de trois approches contemporaines de la représentation des individus.
Les thèmes du portrait d’artiste, de la mémoire et de la représentation sociale transpirent de ces oeuvres qui interpellent le visiteur.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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DES SAMOURAÏS AU KAWAII. Histoire croisée du Japon et de l’Occident

Abbaye de Daoulas : jusqu’au 1er décembre 2024

Cette exposition explore les relations tissées entre le Japon et l’Occident, du 16ème siècle jusqu’à nos jours. Elle évoque les influences réciproques, les ruptures et les métissages engendrés par cette histoire croisée.
Le parcours de l’exposition est l’occasion de montrer des oeuvres d’une rare beauté avec notamment le prêt de pièces exceptionnelles issues de la collection d’objets japonais d’Émile Guimet conservés par le Musée des Confluences. De l’armure de samouraï du Japon féodal aux figurines de Goldorak en passant par les oeuvres d’artistes japonisants du 19ème siècle, le public voyage à travers cinq siècles d’histoire. Il assiste à la rencontre entre Occidentaux et Japonais au milieu du 16ème siècle, puis au repli du pays du Soleil-Levant qui, échappant à l’influence occidentale, développe une société urbaine et raffinée.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Combattre loin de chez soi. L’empire colonial français dans la Grande Guerre

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 30 décembre 2024

Cette exposition du musée de la Grande Guerre s’attache à expliquer la portée et les particularités de la participation de l’Empire colonial français au premier conflit mondial dans les multiples registres de l’engagement, des conséquences et des héritages. Elle entend faire connaitre et comprendre le rôle des hommes de l’Empire engagés dans la guerre en mettant en avant une histoire partagée.
L’exposition permettra de livrer à tous les publics des clés de compréhension de l’histoire et des mémoires des anciennes colonies et territoires français. En effet, cette histoire entre la France et son Empire est à la fois ancienne et éminemment contemporaine dans le contexte particulièrement sensible de l’écriture de l’histoire coloniale.
L’exposition « Combattre loin de chez soi, l’Empire colonial dans la Grande Guerre » que présente le musée de la Grande Guerre adopte une position mesurée, rigoureuse qui s’inscrit dans la continuité de sa collection permanente, bâtie sur les aspects sociétaux et militaires de la Grande Guerre.
Dans une approche pluridisciplinaire, l’exposition donne à comprendre les enjeux des récits historiques à travers la présentation de figures, de données scientifiques, d’oeuvres, de documents et d’objets issus des collections du musée ou de celles de partenaires institutionnels.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn

Musée départemental Albert-Kahn, Boulogne-Billancourt : jusqu’au 31 décembre 2024

Après un cycle d’expositions consacré au voyage (Autour du Monde, puis Rio-Buenos Aires 1909), le musée poursuit sa déclinaison des « fondamentaux » du projet du célèbre banquier philanthrope avec sa grande exposition de l’année : Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn, qui illustre la passion du philanthrope pour le végétal à travers les milliers d’images réalisées dans ses jardins de Boulogne et du Cap-Martin, accompagnées d’œuvres d’artistes contemporains. Sur une proposition de l’historienne de l’art et commissaire d’exposition Luce Lebart, elle réunit près de 200 photographies autochromes pour la plupart présentées pour la première fois au public, accompagnées de films, objets, et d’une série de contributions d’artistes contemporains invités.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Roues libres. La grande histoire du vélo

Musée du Domaine départemental de Sceaux : jusqu’au 31 décembre 2024

À l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, qui se tiendront respectivement du 26 juillet au 11 août 2024 et du 28 août au 8 septembre 2024, le musée du Domaine départemental de Sceaux proposera dans l’Orangerie une grande exposition consacrée aux cycles, des origines de ce moyen de transport né avec la draisienne au début du XIXe siècle, aux pratiques sportives et ludiques actuelles. Le projet s’appuie sur la présence, dans les collections du MDDS, d’un ensemble de 25 cycles anciens ayant appartenu à Robert Grandseigne (1885-1961), pionnier de l’aviation et grand amateur de vélos. Ce fonds comprend notamment le vélocipède à vapeur (1870-1871) de Louis-Guillaume Perrault (1816-1889), considéré comme la première moto de l’histoire, statut qui confère à cet objet une place de premier ordre dans l’histoire des techniques et fait par conséquent du musée un acteur légitime sur ce thème.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Être peintre dans la France de l’Après-guerre, l’étonnant parcours de Denise Ferrier (1920-2011)

Musée des Ursulines, Mâcon : jusqu’au 31 décembre 2024

L’exposition présentée au musée des Ursulines de Mâcon met en lumière le parcours complexe d’une femme peintre dans la période complexe de la France de l’Après-guerre. C’est une invitation à découvrir une œuvre singulière se déployant de 1950 jusqu’en 2011.
Installée à Paris dès 1947, Denise Ferrier bénéficie du soutien de personnalités artistiques importantes telles André Lhote ou Henry Valensi, mais ne trouve pas la reconnaissance attendue. Ce n’est qu’en 2021 que plusieurs de ses toiles intègrent les collections du Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou à Paris.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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CHEMINS DU PATRIMOINE EN FINISTÈRE : Le Domaine de Trévarez

À la découverte des trésors patrimoniaux du Finistère. Le Domaine de Trévarez : un patrimoine Belle Époque

Au coeur d’un parc de 85 hectares aux nombreuses distinctions, le château de Trévarez est un site incontournable du centre Finistère, labellisé « Patrimoine du XXe siècle ». L’histoire du Domaine est marquée par l’empreinte d’un homme, James de Kerjégu, un politicien qui entreprend en 1893 la construction d’une résidence prestigieuse, à la pointe de la modernité, dans le contexte trépidant de la Belle Époque. Le site accueille tout au long de l’année des expositions et des temps forts autour de ses collections botaniques.

Les saisons botaniques de Trévarez : d’avril à juillet 2024

Trévarez, un jardin remarquable, des collections d’exception.
Créé à la fin du 19e siècle, le parc de Trévarez a évolué au fil des décennies , progressivement restauré, réhabilité, des collections botaniques y sont installées, développées et sont aujourd’hui reconnues nationalement et internationalement.
Ces trois collections végétales majeures – d’octobre à mai les camélias (800 variétés), du 20 avril au 12 mai 2024 les rhododendrons (600 variétés), du 6 au 28 juillet 2024 les hortensias (120 variétés) – sont valorisées lors des saisons botaniques (ateliers, visites, troc de plantes…).

Roland Cognet, après la tempête
Regard d’artiste : du 27 avril au 6 octobre 2024

Roland Cognet entame dès le début des années 1980 une réflexion sur les matières et les formes dans la droite ligne des artistes de la sculpture concrète française et américaine. Il poursuit depuis son travail de confrontation entre nature et sculpture en restant fidèle aux matériaux bruts. Roland Cognet exerce son art en combinant tous les moyens à la disposition d’un sculpteur : taille directe, modelage, moulage, assemblage… De même, il ne souhaite se priver d’aucune matière, et si le bois
prédomine, il lui associe d’autres matériaux : résine, acier, bronze, ciment…
À Trévarez, Roland Cognet crée plusieurs sculptures à partir d’arbres remarquables trouvés dans le domaine : un chêne, un pin de Monterey, un séquoiadendron. En s’inspirant de leurs histoires singulières, il conçoit des installations qu’il expose dans le parc, sous la verrière des écuries et devant la façade sud du château. D’autres sculptures complètent le parcours à l’intérieur du château.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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CHEMINS DU PATRIMOINE EN FINISTÈRE : L’Abbaye de Daoulas

À la découverte des trésors patrimoniaux du Finistère. L’Abbaye de Daoulas : une abbaye citadine tournée vers l’ailleurs

L’Abbaye de Daoulas concentre en un lieu plusieurs centres d’intérêt : on y apprécie la qualité des jardins des plantes et arbres médicinaux du monde entier (labélisés jardin remarquable), on y découvre la richesse de la diversité culturelle au travers de grandes expositions qui invitent à la découverte de l’Autre. Avec en moyenne 45 000 visiteurs, l’Abbaye de Daoulas propose chaque année, des expositions photographiques dans ses jardins, de grandes expositions de renommées nationales ainsi qu’un programme d’activité en lien avec les richesses de son site.

Les Balades photographiques de Daoulas : jusqu’au 1er décembre 2024

Depuis 10 ans, l’Abbaye et la ville de Daoulas proposent un parcours photographique en plein air en lien avec son exposition annuelle. Pour cette l’édition, les jardins remarquables de l’Abbaye accueilleront une exposition inédite de Françoise Huguier sur le Japon. Dans la ville, c’est le photographe Hans Silvester qui présentera de nouvelles photos sur le pays du soleil levant.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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CHEMINS DU PATRIMOINE EN FINISTÈRE : Le Château de Kerjean

À la découverte des trésors patrimoniaux du Finistère. Le Château de Kerjean : joyau de la Renaissance bretonne

En plein âge d’or de la Bretagne à la fin du 16e siècle, la famille Barbier édifie un château qui surpasse les plus belles demeures de la région. Bijou d’architecture Renaissance entouré d’une exceptionnelle enceinte fortifiée pour le protéger, le Château de Kerjean et son parc arboré présentent de multiples facettes : escape game, visites, murder party, évènements musicaux, marché de créateurs, promenades…

Un été à Kerjean : du 6 juillet au 14 septembre 2024

Durant l’été 2024, un tout nouveau spectacle nocturne, numérique, immersif et innovant sera présenté au Château de Kerjean. Inspiré par l’histoire du château, ses habitants d’hier et d’aujourd’hui, son architecture, son parc, la flore ou bien la faune qui l’occupent, ce spectacle se vivra comme une immersion expérientielle esthétique et onirique.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Le Parc Zoologique de Paris

Saison 2024

Pour les 10 ans de la réouverture du Parc zoologique de Paris, la thématique de saison « 10 projets de recherche et conservation » se décline dans toute l’offre : événements, médiation et informations sur le parcours. À partir du 31 mars et pour toute la saison, les actions de conservation seront valorisées le long du parcours : par des panneaux dédiés aux 10 projets, par une exposition dans le petit Chalet et le kiosque pédagogique dédié.

Weekend anniversaire : les 12, 13 et 14 avril 2024
L’accès au Parc sera gratuit pour les moins de 13 ans pendant les 3 jours (réservation recommandée).

Les visites guidées :
Pendant les vacances scolaires de la zone C, les mercredis, samedis et dimanches, à 10h30, sur la thématique de la conservation. Durée 1h30, 5 euros.

Les dimanches au zoo :
Pour les bébés (1 – 3 ans) : « 1, 2, 3 Croque Moi » les 7 avril, 2 juin, 1er septembre, 3 novembre.
Pour les bébés (18 mois – 3 ans) : « Attrape-moi si tu peux » les 5 mai, 7 juillet, 6 octobre.
Pour les enfants (3 – 6 ans) : les 12 mai, 9 juin, 14 juillet, 8 septembre et 13 octobre.
En famille : les 21 avril, 19 mai, 16 juin, 7 juillet, 25 août, 15 septembre, 20 octobre.
Balade dessinée avec l’illustratrice miss Prickly, autrice de la BD Animal Jack.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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TROP-PLEIN

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’au 5 janvier 2025

Sur toute l’année 2024, cette exposition plurielle, réinterprétation d’un thème plus que jamais d’actualité, offre au public l’opportunité d’explorer les facettes de la société de surconsommation à travers plusieurs thématiques : le rapport à l’argent, qui conditionne tous les excès ; le gaspillage alimentaire et l’obsolescence programmée, qui engendrent chaque année des tonnes de déchets mettant en péril l’équilibre écologique planétaire ; enfin, les nouvelles perceptions et les codes inédits d’une société qui définit des normes difficilement atteignables. Entre images familières, symbolisme, références culturelles et historiques et oeuvres « à charge », les pièces de verre exposées viennent souligner avec justesse les excès contemporains.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Mémoires. Genève dans le monde colonial

MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 5 janvier 2025

Quel est le passé colonial de Genève ? Le Musée d’ethnographie en est-il l’un des acteurs ? Qu’en racontent ses collections ? Autant de questions que pose « Mémoires. Genève dans le monde colonial » la nouvelle exposition temporaire du MEG.
Dans le parcours d’exposition, de nombreux partenaires sondent notre histoire commune, redéfinissent le statut des collections ethnographiques et inventent leurs futurs. L’exposition questionne le rôle du MEG dans une société post-coloniale où les traces du passé, les discriminations et le racisme se font écho.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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YUIMA NAKAZATO, Au-delà de la couture

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 5 janvier 2025

La Cité de la dentelle et de la mode de Calais présente la première exposition consacrée au créateur de mode japonais Yuima Nakazato.
Personnalité artistique d’avant-garde, Yuima Nakazato façonne une mode humaniste et écologique qui repense les procédés de fabrication avec une volonté de démocratisation de la création sur mesure. Il fusionne pour cela la haute-technologie et les savoir-faire, les traditions d’Asie et d’Occident.
Dans un univers poétique et futuriste pensé avec le créateur, l’exposition s’appuie sur une cinquantaine de silhouettes ayant défilé au calendrier de la haute couture parisienne, des accessoires, des croquis de mode, des échantillons de matières, des photographies de mode et des vidéos.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Mado Jolain (1921-2019), céramiste. Côté maison-Côté jardin

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025

Dans le paysage de la céramique des années 1950, l’oeuvre de Mado Jolain (1921-2019) séduit par sa modernité et les jeux formels qu’elle a multipliés. La céramiste manifeste très tôt une préférence pour les volumes simples, architecturés et travaillés de telle sorte que l’articulation subtile de l’ombre et de la lumière puisse s’y épanouir.
Cet hommage rendu par La Piscine permettra au public de découvrir l’oeuvre d’une céramiste dont l’esprit libre épris de rigueur a compté dans le renouveau de la céramique des années 1950-1960.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Epidémies. Prendre soin du vivant

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 16 février 2025

Alors que nous venons de traverser collectivement la pandémie de la COVID-19, quelle mémoire conservons-nous des épidémies du passé et comment nous préparer à celles à venir ? Depuis des millénaires, les épidémies touchent les sociétés humaines mais aussi les autres espèces animales, sur tous les continents. En s’appuyant sur des collections de médecine, d’ethnographie, des spécimens d’histoire naturelle ou encore des œuvres contemporaines, l’exposition nous invite à envisager les épidémies comme un phénomène non seulement biologique mais également social, dans un monde où santé humaine, santé animale et santé environnementale sont liées.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Gardiens du Temps. Installation monumentale de Jiang Qiong Er

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’en février 2025

Pour ouvrir avec faste l’année de la Chine à Guimet, des installations monumentales et spectaculaires investissent les espaces du musée Guimet pour une réinterprétation contemporaine et follement imaginative de symboles culturels et mythologiques chinois.
À partir de fin avril 2024, le musée Guimet invite l’artiste plasticienne et designer Jiang Qiong Er, originaire de Shanghai, à dialoguer avec ce haut lieu des arts asiatiques à travers une oeuvre inédite. Avec Gardiens du Temps, Jiang Qiong Er intervient dans plusieurs espaces emblématiques invitant à cheminer au gré d’émotions spectaculaires et de moments d’envoûtement, engageant une réflexion visionnaire sur le temps, entre tradition et technologie, héritage et innovation, mémoire et imagination.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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En forêt avec Vincent Munier

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 13 avril 2025

Les espaces forestiers sont le décor d’une vie foisonnante.
Photographe des grands espaces sauvages, Vincent Munier parcourt les forêts françaises, en particulier celles des Vosges, depuis son enfance. Avec le musée des Confluences, il propose un voyage visuel et sonore dans une nature en apparence familière mais souvent méconnue. Les images, fixes et animées, révèlent la faune qui peuple les forêts en invitant chacun à apprendre à observer, comme à l’affût, pour mieux s’émerveiller de cet univers grandiose et menacé.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94