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CARNET ROSE 2023

Heureux événements
au Parc Zoologique de Paris

Le Parc Zoologique de Paris, site du Muséum national d’Histoire naturelle, a le plaisir d’annoncer plus de 70 naissances depuis le début de l’année. De nombreux petits ont vu le jour dont une gazelle de Mhorr, 4 fossas et 3 chiens des buissons. Et ce n’est pas fini ! De belles surprises restent encore à venir !

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
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Shared Passion / Passion partagée

An African Art Collection Built in the XXIst Century
Sortie de l’ouvrage depuis le 5 septembre 2023

Shared Passion : le titre résume tout l’engagement, la patience et l’exigence avec lesquels le marchand d’art Didier Claes et les collectionneurs Michel et Anne Vdk ont construit une importante collection d’art classique africain durant dix-sept ans. Ils publient aujourd’hui l’histoire richement illustrée de cette aventure commune.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
T @aurelie_cadot
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Domaine de Jean-Claude Brialy

Monthyon
Ouverture au public depuis septembre 2023

Le domaine de Jean-Claude Brialy à Monthyon, propriété de la Ville de Meaux, ouvre ses portes au public en septembre 2023 !
En 1959, Jean-Claude Brialy n’a que vingt-six ans lorsqu’il acquiert « Monthyon ». Il s’y rend tous les week-ends jusqu’à sa mort en 2007 et y reçoit tout ce que le monde du cinéma, du théâtre, de la politique et des arts, compte comme célébrités… Il fait don du domaine à la Ville de Meaux peu avant sa mort.
Dans l’intimité d’un amoureux du cinéma.
Depuis septembre, le domaine ouvre ses portes au public. L’occasion de revivre, le temps d’une visite, l’époque où les soeurs Dorléac, Romy Schneider, Barbara, Claudia Cardinale, Isabelle Adjani mais aussi Jean Marais, François Truffaut … étaient les hôtes du maître de maison.
Au détour de chaque pièce du château, le visiteur est instantanément plongé dans l’univers de Jean-Claude Brialy.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
T @VanessaRavenaux

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Installation de l’oeuvre “Ether” de Kohei Nawa

Île Seguin, Boulogne-Billancourt
Depuis le 28 juin 2023

“Ether (Égalité)”, l’œuvre imaginée par le sculpteur Kohei Nawa et DANAE.IO a été inaugurée sur la pointe de l’Île Seguin le 28 juin 2023 !

Ether, sculpture proposée par l’agence Danae et l’artiste japonais Kohei Nawa, a remporté le concours international lancé par le Département des Hauts-de- Seine, afin de doter d’une œuvre monumentale la pointe aval de l’Ile Seguin à Boulogne-Billancourt, à proximité de La Seine Musicale. Cette œuvre incarne l’idée d’Egalité, en écho à la statue de la Liberté d’Auguste Bartholdi, installée au pied du Pont de Grenelle à Paris.
Ether est une sculpture tridimensionnelle de 25 mètres de haut, faite de 12 facettes, comme un écho à l’architecture de la sphère de La Seine Musicale, en inox peint d’un chrome mat légèrement rosé. L’œuvre symbolise la notion d’égalité figurant dans tout principe de gravité. La gravité agit de la même manière pour toute vie sur terre, nous rendant tous égaux.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
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La galerie Houg ouvre un nouvel espace à Lyon 

Depuis le 23 juin 2023

C’est en 1996 qu’Olivier Houg a créé la galerie éponyme à Lyon. Après 17 ans d’activités riches en évènements qui ont marqué les mémoires lyonnaises, c’est au tour de Romain Houg, fils d’Olivier, d’ouvrir à Paris un espace exclusivement consacré à l’art contemporain émergent, tandis que la galerie lyonnaise poursuivait une activité de second marché et d’expertise.
Après 10 ans d’expositions, de projets curatoriaux et autres invitations artistiques, la galerie Houg quitte Paris pour ouvrir un nouvel et unique espace de plus de 230 m2 à Lyon, afin de développer ses projets dans des conditions optimales.

Un retour à Lyon motivé par de nouvelles ambitions :
• Profiter d’un outil parfaitement adapté aux projets curatoriaux et aux projets artistiques de la galerie.
• Rapprocher les deux activités (art contemporain et art moderne) afin de favoriser les échanges entre ces deux univers, de plus en plus vécus, aujourd’hui, comme perméables l’un à l’autre.
• Renouer avec le dynamisme culturel de la ville de Lyon.
• Participer à sa vie culturelle en offrant une programmation riche en découvertes et innovations

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Nouveau Parcours

Musée des beaux-arts, Calais
Depuis le 13 mai 2023

Le Musée des beaux-arts de Calais entame une période de transformation de ses volumes intérieurs. Il modifie ses espaces et présente de nouvelles galeries permanentes consacrées aux collections Beaux-Arts.
Plus de deux cent oeuvres sont à découvrir au travers d’un parcours qui nous plonge dans l’histoire de l’art du 16ème siècle à nos jours. Une dizaine de thématiques facilitent l’appréhension de l’évolution des pratiques et des goûts artistiques, notamment aux 19ème et 20ème siècles.
En plus des oeuvres sorties des réserves qui sont présentées, deux nouveaux ensembles d’oeuvres viennent d’être offerts au musée par des descendants d’artistes. Ces dons aussi importants en nombre et en qualité sont exceptionnels. Une partie de ces oeuvres est exposée dans les nouvelles salles : la collection Jeanne Thil en peinture (née à Calais en 1887) et une importante donation du sculpteur Henri Delcambre en sculpture (né à Marquise en 1911 et ayant grandi à Calais).

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Réouverture hebdomadaire du musée d’Ennery

Fabuleux cabinet d’art et de curiosités de la fin du 19e siècle
Depuis le 8 avril 2023, tous les samedis matin à 10h et 11h30


Merveilleux hôtel particulier situé au 59 de l’avenue Foch, le musée d’Ennery est, avec l’hôtel d’Heidelbach et le bâtiment principal de la place d’Iéna, l’un des trois sites du musée national des arts asiatiques – Guimet. Ce fabuleux cabinet d’arts et de curiosités, méconnu du grand public, est un témoignage unique du goût de la fin du 19e siècle pour l’Extrême-Orient. Par dispositions testamentaires, le lieu est resté préservé, sans aucun ajout ou modification qui puisse briser l’homogénéité de cette collection singulière d’objets d’art, dans un lieu bâti spécifiquement pour l’abriter et l’exposer. C’est à un véritable voyage dans le temps et dans l’espace que convie la réouverture du musée d’Ennery à partir du 8 avril 2023.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
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Réouverture du [mac] musée d’art contemporain de Marseille

Depuis le 7 avril 2023

Une inauguration événement !
Depuis le 7 avril, le [mac] musée d’art contemporain de Marseille accueille à nouveau les Marseillaises et les Marseillais après quatre ans de travaux et une remarquable campagne de rénovation.
Au programme, un tout nouveau hall d’accueil, un parcours totalement réinventé, un toit-terrasse dominant la ville… Autant dire une révolution, dans cette institution du quartier de Bonneveine, proche des calanques et de l’avenue du Prado, inaugurée en 1994 et qui bénéficiait déjà d’une notoriété certaine.
Un lifting complet, donc, qui a de quoi faire de cet équipement l’un des fers de lance de la scène artistique contemporaine internationale et méditerranéenne !
L’occasion de venir à Marseille, le temps d’un week-end ou plus si affinités, afin de célébrer la richesse des collections du [mac] présentées dans un nouveau parcours de visite : Parade, qui permettra aux Marseillaises et aux Marseillais de se réapproprier ce musée municipal.
Et pour fêter sa réouverture, le [mac] propose un week-end des plus festifs ainsi qu’une exposition de l’artiste italienne Paola Pivi.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
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Vaux-le-Vicomte

Réouverture depuis le 1er avril 2023

Situé en Seine-et-Marne à seulement 50 kilomètres de Paris, Vaux-le-Vicomte est un véritable chef-d’oeuvre de l’architecture classique du XVIIe siècle. OEuvre de Nicolas Fouquet, Surintendant des Finances de Louis XIV, sa construction a nécessité neuf ans de travaux. A l’époque, Fouquet innove. Passionné et audacieux, il s’entoure des meilleurs. Érigé par trois des plus grands artistes du XVIIe siècle, le jardinier André Le Nôtre, l’architecte Louis Le Vau et le peintre Charles Le Brun, Vaux-le-Vicomte sera un modèle dont l’Europe entière s’inspirera. A l’époque, on n’avait jamais rien vu de tel ! Fontaines, jardins à la française, statues et au centre du parc, une immense demeure de 2.500 m2 pour une centaine de pièces. Non content de bâtir un palais somptueux, Nicolas Fouquet a fait de Vaux-le-Vicomte le rendez-vous des plus grands artistes du royaume. Vaux-le-Vicomte est un exemple du classicisme à la française, au carrefour de l’architecture, de l’art et des plaisirs. De nombreux personnages emblématiques y ont posé leur empreinte et le domaine, malgré ses 360 ans d’existence est toujours aussi majestueux et vivant ! Riche d’un passé remarquable, le château est bel et bien tourné vers l’avenir.

Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Maison et Jardins Claude Monet

Giverny
Réouverture depuis le 1er avril 2023

« Rester fidèle à l’esprit du maître givernois » constitue l’immuable feuille de route des jardiniers dirigés, depuis le 1er avril 2018, par Jean-Marie Avisard. Néanmoins le respect de la véracité historique n’exclut pas l’introduction, par petites touches, de nouveautés. « Claude Monet, qui était lui-même un précurseur, en aurait fait de même ! », assure Rémi Lecoutre, chef jardinier adjoint…

Attachée de presse : Margot Spanneut
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Les soirées aux chandelles

Domaine de Vaux-le-Vicomte
Tous les samedis, jusqu’au 30 septembre 2023

2000 bougies et un feu d’artifice scénarisé
On profite des beaux jours pour découvrir le domaine à la lumière vacillante de deux mille bougies, illuminant château et jardins à la française. Dîner raffiné romantique, jeux, bar à champagne, complètent cette délicieuse soirée hors du temps.
A l’issue de la soirée un feu d’artifice vous fait revivre la fête du 17 août 1661 grâce à la lecture, interprétée par Jean Dussolier, de la lettre écrite par Jean de La Fontaine à son ami Maucroix !

Un moment magique, qui transporte les visiteurs plus de 360 ans en arrière.

Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Anna Waisman, Mouvements

Commissaire d’exposition : Sibylle Blumenfeld
Drawing House, Paris
Jusqu’au 1er octobre 2023

Anna Waisman est une artiste française de la deuxième moitié du XXe siècle qui maîtrisait 5 des 7 arts majeurs. Elle fut également danseuse étoile et musicologue. Elle s’est réinventée sculptrice, peintre et même écrivain, comme le montre sa correspondance avec le philosophe André Neher, publiée en avril 2023, Cette chose indispensable, qui reste invisible et que je sais voir et entendre.
L’exposition Anna Waisman, Mouvements tire des fils pour redécouvrir l’oeuvre de cette artiste
pluridisciplinaire, qui de ses premiers pas, jusqu’à son dernier souffle, n’aura jamais cessé de créer.
Elle invite le visiteur à parcourir les mouvements créatifs successifs de l’artiste, et à cheminer le long
des pleins et des vides d’un alphabet hébraïque révélé.
Lorsqu’Anna a renoncé à la danse et la scène, elle a su transposer sa maîtrise du mouvement et de
l’espace dans l’énergie de la pierre et le rythme de ses traits de peinture. Elle travaillait toujours en
musique. Son dessin est une performance et un langage du corps. Partie du point et du trait, elle a cherché à comprendre comment se formait un corps dans l’espace. Puis elle s’est mise à travailler sur le fil. Le point, le trait et le fil. Le fil matérialise l’espace invisible, rendant cette énergie tangible.
C’est cela la trame de tout le travail d’Anna Waisman. Que ce soit dans ses sculptures, ses Déchirures, ou ses collages de microprocesseurs et fils électriques. Toutes ses directions créatives en arborescence sont reliées à son coeur par un fil conducteur, à l’énergie à la fois tangible et invisible. Les sculptures de lettres hébraïques « biomorphiques » d’Anna Waisman sont uniques. Elles sont à la fois abstraites et organiques, saisissantes et sensuelles. Anna Waisman nous donne à voir des lettres hébraïques, non seulement de profil, mais à 360 degrés, dans des postures où elles semblent animées, prêtes à danser. Tout part du même mouvement, d’une alchimie du corps et de la mystique.
Anna Waisman fut une artiste et femme libre. Cette exposition Mouvements contribue à montrer à
quel point l’oeuvre d’Anna Waisman préfigure certaines pratiques artistiques contemporaines.
Sibylle Blumenfeld

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
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L aureliecadot

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Fleurs de pierre, regard botanique sur le patrimoine

Château de Châteaudun
Jusqu’au 1er octobre 2023

Le botaniste et directeur du Jardin Majorelle de Marrakech Marc Jeanson est invité au château de Châteaudun. Il s’attachera à constituer un herbier vivant des plantes chasmophytes (poussant sur les rochers) des jardins et des murs du château et des plantes saxifrages (casseuses de pierres). L’exposition rassemblera des prêts exceptionnels et présentera au sein des différents espaces du château des herbiers, des documents photographiques anciens et contemporains, ainsi que des collections botaniques vivantes. Cette programmation s’inscrit dans la saison culturelle de la Région des Pays de la Loire « Le jardin de la France ».

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
T @VanessaRavenaux

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Bertrand Gadenne, les images réfléchies

Regard d’artiste 2023
Chemins du Patrimoine en Finistère, Domaine de Trévarez
Jusqu’au 8 octobre 2023

Regard d’artiste consacre son édition 2023 au photographe et vidéaste Bertrand Gadenne.
Depuis plus de 20 ans, l’artiste invente une nouvelle manière de se confronter à la nature, notamment en projetant sur les murs ou les vitrines des animaux sauvages surdimensionnés. Par ces situations insolites et éphémères, il invite à l’émerveillement et convoque l’impermanence des êtres et du temps. « Je n’ai qu’un désir, sortir le spectateur de son quotidien et l’entrainer dans la fiction, entre rêve et cauchemar. J’aime métamorphoser le réel, qu’il dérape dans le surréel. En ce sens, mon travail a des affinités avec le surréalisme, c’est un voyage mental, aux accents métaphoriques liés au merveilleux.»

Diplômé de l’École nationale supérieure d’art de Nancy en 1979, Bertrand Gadenne a enseigné à l’École supérieure d’art du Nord-Pas-de-Calais jusqu’en 2015. Il expose régulièrement en France et à l’étranger, plusieurs de ses œuvres appartiennent à des collections publiques. En 2017, il est lauréat de la Résidence Ackerman-Fontevraud La Scène.

À Trévarez, il installe dans l’obscurité des salles du rez-de-chaussée des écuries son bestiaire sauvage, composé entre autre d’un renard, d’un cerf et d’un hibou. Au château, il propose une série de photographies réalisées avec des végétaux cueillis dans le parc : des branches mortes recouvertes de mousses et de lichens dont les formes rappellent celles des « grotesques », ces motifs décoratifs peints sur les boiseries du grand salon et inspirés par le végétal.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
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Thomas Henriot, My private Harlem

Galerie Houg, Lyon
Jusqu’au 21 octobre 2023

À l’occasion de l’ouverture de son nouvel espace à Lyon, la Galerie Houg présente une exposition monographique de l’artiste Thomas Henriot (né en 1980 à Besançon , vivant entre Marseille et La Havane, Cuba).

Cette exposition est l’occasion de présenter entre autre, un corpus de dessins réalisé au cours de l’été 2022 à Harlem, New York.

Thomas a travaillé en immersion dans ce quartier dont est originaire l’écrivain James Baldwin. Son œuvre a suscité une empathie profonde de la part l’artiste, qui a choisi d’en questionner le contexte concret, actuel, et comme à son habitude, d’en faire une expérience vivante à travers le prisme du dessin.

Il en résulte l’une des périodes de dessin les plus puissantes vécues par Thomas, qui s’est installé en un lieu unique, Marcus Garvey Parc, emblématique de la culture noire-américaine depuis les années 50 et particulièrement à partir de 1969.

Il nous emmène à travers ses papiers de bambou, à traverser le temps d’une exposition, ces/ses lieux habités par la mélancolie, la défiance, la violence et l’amour.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
T @aurelie_cadot
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Naples pour passion, chefs-d’oeuvre de la collection De Vito

Musée Granet, Aix-en-Provence – Jusqu’au 29 octobre 2023

Le musée Granet, institution de la ville d’Aix-en-Provence, présente du 15 juillet au 29 octobre 2023 une exposition tout à fait exceptionnelle de la collection De Vito.
Cet ensemble de peintures napolitaines du XVIIe est l’un des plus prestigieux au monde tant par la richesse de son contenu que par la qualité des oeuvres que Giuseppe De Vito (1924 – 2015) a collectionné tout au long de sa vie, devenant l’un des plus grands spécialistes de l’art napolitain du Seicento.
La quasi intégralité de cette collection est ainsi présentée au public sur 700 m2, soit une quarantaine de tableaux, dans les salles d’exposition temporaire du musée Granet.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Nikos Aliagas, Le spleen d’Ulysse

Département de la Seine-Maritime, Abbaye de Jumièges
Jusqu’au 31 octobre 2023

En lien avec la manifestation Armada de Rouen, le Département de la Seine-Maritime présentera une grande exposition monographique de Nikos Aliagas du 7 juin au 31 octobre 2023 à l’abbaye de Jumièges.
Ce site consacre depuis 10 ans sa programmation aux arts visuels contemporains et à de grandes expositions photographiques telles que La Tentation du paysage de Jean Gaumy en 2014, Vestiges de Josef Kouldeka en 2018, ou bien encore Ravir la force mais toujours aimer d’Ange Leccia en 2019.
Pour cette exposition, Nikos Aliagas a conçu un projet dans lequel dialoguent toutes les images de son vocabulaire artistique : la Grèce et la Méditerranée, les portraits, les paysages, les mains, les objets qui disent l’au-delà.

Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Racines

Département de la Seine-Maritime, Parc de Clères
Jusqu’au 31 octobre 2023

Dans le cadre de l’année du Liban en 2022, le Parc de Clères a proposé une thématique autour de l’arbre rappelant le cèdre du Liban, symbole de ce pays. Cette thématique s’est décliné à travers les arts plastiques, la lecture, l’écriture et des
ateliers scientifiques.
Armelle Normand façonne des écorces du bout de son pinceau, s’intéresse aux formes et aux silhouettes de ces géants à la présence silencieuse, leurs racines courant sur le sol du parc. Cette exposition intérieure/extérieure vous fera découvrir les arbres de la cime aux radicelles.

Attachée de presse : Margot Spanneut
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Angles de Vision, Sculptures / Installations

Friche de l’Escalette, Marseille
Jusqu’au 31 août 2023 et les week end de septembre et octobre

Artistes : Richard Baquié, Jean Amado, François Stahly

La Friche de l’Escalette située à l’orée du Parc National des Calanques de Marseille offre à la visite les vestiges de son patrimoine industriel remarquable pour la huitième saison estivale consécutive.

Le cadre monumental de ces ruines accueille cette année des artistes que rien ne rapproche en apparence. Richard Baquié pour qui le concept prime sur la forme. Jean Amado et François Stahly, artistes-artisans héritiers de savoirs-faire ancestraux, pour qui la qualité d’exécution va de pair avec leur vision spirituelle de l’art. Cependant en dépit de ces angles de vision et de ces moyens d’expression si différents, leur engagement total pour leur art et leur faculté à créer des œuvres poétiques rapprochent ces trois personnalités. De plus, la patine de l’histoire – nous parlons là de la deuxième moitié du siècle dernier – ajoute une distanciation avec le contexte de la création, particulièrement chez Baquié, lorsque s’agissant d’un message à connotation politique. Reste donc l’objet offert à notre contemplation – sans discours… où si peu – et ses qualités plastiques alliées à une certaine nostalgie pour ce passé récent et déjà si lointain, d’où résulte cette alchimie qui fait la différence avec ce qui est condamné à disparaître dans les poubelles de l’histoire ou à s’inscrire durablement dans la postérité.

La collection permanente d’œuvres modernes et contemporaines, qui s’étoffe d’année en année, représentée par des œuvres de l’Atelier Baptiste & Jaïna, Héloïse Bariol, Parvine Curie, Marjolaine Dégremont, Myriam Mihindou, Costas Coulentianos, Gérard Lardeur, Vincent Scali, François Stahly, Gérard Traquandi, Pierre Tual, Adrien Vescovi, Luciano et Ivan Zanoni… et par Jean Prouvé pour l’architecture, émaille le parcours de la visite.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
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Terres de fortune et d’infortune. Les premiers métissages (du 16e au 18e siècle)

Chemins du Patrimoine en Finistère, Château de Kerjean
Jusqu’au 5 novembre 2023

Le Château de Kerjean est heureux d’ouvrir ses portes au public pour présenter sa nouvelle exposition « Terres de fortune et d’infortune. Les premiers métissages (du 16e au 18e siècle) ». Dernier volet d’un cycle de trois ans sur le thème de l’élargissement du monde à la Renaissance, cette exposition montre les relations complexes entre les différentes populations et les Européens ainsi que l’apparition de sociétés métissées. Un parcours jalonné d’objets anciens, d’un film d’animation, de multimédias et d’œuvres contemporaines.


Le Château de Kerjean : joyau de la Renaissance bretonne
En plein âge d’or de la Bretagne à la fin du 16e siècle, la famille Barbier édifie un château qui surpasse les plus belles demeures de la région. Bijou d’architecture Renaissance entouré d’une exceptionnelle enceinte fortifiée pour le protéger, le Château de Kerjean et son parc arboré présentent de multiples facettes : exposition temporaire, visites, événements, promenades…
Dès le début de la visite, cinq salles du château sont consacrées au site et à son architecture avec l’exposition permanente «Les riches heures de Kerjean ».
25 salles sont à parcourir de la chapelle avec sa magnifique sablière sculptée à la cuisine de la basse-cour en passant par les appartements seigneuriaux et la collection de mobilier du Léon.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Artistes voyageuses, l’appel des lointains (1880-1944)

Musée de Pont-Aven
Jusqu’au 5 novembre 2023

En partenariat avec le Palais Lumière d’Evian


Une quarantaine d’artistes et de photographes, de la « Belle Époque » à la seconde guerre mondiale, dont les itinéraires artistiques ont emprunté les routes de l’ailleurs, parcourant le monde, du continent africain à l’Orient lointain occuperont les cimaises du Musée de Pont-Aven à l’été 2023. Les premiers mouvements féministes encouragent les femmes à s’affirmer hors de l’espace domestique, et promeut l’image d’une « femme nouvelle » actrice de son destin. La formation académique des femmes, effectuée aux Beaux-Arts ou dans des académies privées, permet aux artistes femmes d’acquérir un statut professionnel et d’obtenir des bourses de voyage, des commandes pour les compagnies maritimes ou pour les expositions universelles et coloniales. Le tournant du XXe siècle est marqué par un renouvellement d’intérêt pour l’orientalisme, stimulé par le tourisme d’hivernage en Afrique Nord, et encouragé par les expositions de la Société des peintres orientaliste français auxquelles participent Marie Caire-Tonoir et Marie Aimée Lucas-Robiquet. À partir des années vingt, ce sont les territoires de « la plus grande France » qui invitent de nombreuses artistes aux voyages, loin du monde occidental, de l’Afrique équatoriale à Madagascar, jusqu’à la péninsule indochinoise et au-delà. D’autres voyagent jusqu’au Tibet et en Chine, telles Alexandra David-Neel, Léa Lafugie, et Simone Gouzé. Parfois le voyage devient le déclencheur d’une carrière de photographe, c’est le cas pour Denise Colomb et Thérèse Le Prat. L’exposition présente en outre d’autres itinéraires, celui de deux artistes chinoises, Fan Tchunpi et Pan Yuliang, venues en France étudier aux Beaux-arts de Paris, puis voyageant en Europe et en Chine.
Quelque deux cents peintures, sculptures, dessins, affiches et photographies questionnent l’altérité. Une riche documentation permet d’appréhender le contexte culturel et sociétal de la Troisième République, marqué à la fois par les premiers mouvements féministes et l’expansion coloniale.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
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La saison « Prédateurs »

Parc Zoologique de Paris
Jusqu’au 5 novembre 2023


Pour cette nouvelle saison, le Parc zoologique de Paris propose à ses visiteurs de partir à la rencontre des prédateurs et d’en découvrir toute la diversité. Mammifères mais aussi oiseaux, insectes, poissons ; les prédateurs sont beaucoup plus nombreux qu’il n’y parait et présents dans tous les groupes d’animaux.
Du 25 mars au 5 novembre 2023, un parcours de visite dédié, des animations inédites, une mini-exposition de spécimens, et des rencontres avec des spécialistes, permettent d’en apprendre plus sur les prédateurs. Les visiteurs sont invités à découvrir leur diversité, leurs stratégies de prédation, leur importance écologique et leurs caractéristiques : loups, jaguars, lions, fossas, manchots, caméléons, rolliers… mais aussi, plus inattendu, grenouilles taureaux, étoiles de mer et libellules. Car les animaux qui chassent et se nourrissent de proies vivantes ne sont pas forcément ceux que l’on croit !

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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La rivière des Enfers

Domaine de Vaux-le-Vicomte
Tous les week-ends et jours fériés jusqu’au 5 novembre (+ tous les jours pendant les vacances scolaires de la zone C)

Au coeur de la rivière souterraine détournée par André Le Nôtre lors de la création des jardins à la française, les visiteurs progressent dans un parcours scénarisé, ludique et interactif. Equipés de lampes frontales et de bottes cuissardes, ils devront surmonter une série d’épreuves d’agilité et de logique en lien avec le texte de Jean de La Fontaine « Les amours de Psyché et Cupidon ».
Une aventure inédite et intense menée par des comédiens professionnels à vivre en famille ou entre amis !

Attachée de presse : Margot Spanneut
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Yves Saint Laurent : Transparences

Cité de la dentelle et de la mode, Calais – Jusqu’au 12 novembre 2023

En 2023, la Cité de la dentelle et de la mode met en lumière l’œuvre d’Yves Saint Laurent, couturier majeur du XXeme siècle. L’exposition est co-produite avec le Musée Yves Saint Laurent Paris.
En s’attachant au thème de la transparence, cette collaboration inédite des deux musées permet de révéler combien le couturier a su renverser les codes du dévoilement du corps féminin. A travers une soixantaine de modèles issus des collections de la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent et de la Cité de la dentelle et de la mode, complétés d’accessoires, de dessins, de photographies et de vidéos, l’exposition démontre la manière dont Yves Saint Laurent a su utiliser les effets de transparence des tissus pour proposer une figure de femme nouvelle, puissante et sensuelle.
L’exposition sera présentée en 2 volets, à la Cité de la dentelle et de la mode du 24 juin au 12 novembre 2023, puis au Musée Yves Saint Laurent Paris à partir de début 2024. Un ouvrage largement illustré accompagnera l’exposition.

Co-commissariat : Elsa Janssen, direction du Musée Yves Saint Laurent Paris, Domitille Éblé, chargée de collection arts graphiques, Shazia Boucher et Anne-Claire Laronde, direction des musées de Calais.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Haute-voltige, œuvres en plumes de Maxime Leroy

Musée des Arts Précieux Paul-Dupuy, Toulouse – Jusqu’au 12 novembre 2023

Musée des arts décoratifs de la Mairie de Toulouse, le musée des Arts Précieux Paul- Dupuy se donne pour ambition de faire découvrir les plus remarquables créateurs contemporains qui perpétuent des savoir-faire ancestraux oubliés et les revivifient en les ancrant dans le goût actuel.
Plumassier du Moulin Rouge, artisan d’art reconnu internationalement, sollicité par les plus fameuses maisons de la haute couture et du luxe, Maxime Leroy est notre invité de marque 2023, pour une exposition d’exception marquant la réouverture du musée après travaux.
Il s’agira de la première rétrospective nationale de l’artisan d’art, avec de nombreuses oeuvres créées pour l’occasion et des prêts prestigieux des maisons Dior, Jean-Paul Gaultier et Hermès !

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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100 ans de partage !

1923-2023, la renaissance du domaine de Sceaux
Domaine départemental de Sceaux
Jusqu’au 14 novembre 2023

Cette année marque le centenaire de l’acquisition du Domaine de Sceaux par le Conseil Général de la Seine en 1923. Pour l’occasion, le Département des Hautsde- Seine, aujourd’hui propriétaire, revient sur son histoire et son évolution à travers l’évènement « 100 ans de partage ! 1923-2023, la Renaissance du Domaine de Sceaux ». De nombreux temps forts seront proposés tout au long de cette année.
Au programme : une exposition historique, des expositions photos, une installation monumentale, des escapes games, des activités pour la Nuit européenne des musées ainsi que les Journées européennes du patrimoine, un colloque et bien d’autres choses encore…

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Man Ray, le beau temps

La Banque, musée des Cultures et du Paysage, Hyères
Jusqu’au 19 novembre 2023

La Banque, musée des Cultures et du Paysage d’Hyères, propose l’exposition Man Ray, le beau temps, du 08 juillet au 19 novembre 2023. Cette exposition, qui a obtenu le label d’exposition d’intérêt national du Ministère de la Culture, sera divisée en quatre parties : les oeuvres emblématiques de Man Ray, la visite de l’artiste à la Villa Noailles à la fin des années 1920, les portraits des surréalistes et les photos du groupe surréaliste dans le Sud. Cette exposition présentera près de 200 oeuvres : photos, statues, peintures, lithographies, manuscrits.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Rio – Buenos Aires 1909. Modernités sud-américaines

Département des Hauts-de-Seine, Musée Albert-Khan, Boulogne-Billancourt
Jusqu’au 19 novembre 2023

Le Département des Hauts-de-Seine présente la nouvelle exposition temporaire du musée départemental Albert-Kahn « Rio – Buenos Aires 1909. Modernités sud-américaines », qui retrace un voyage d’affaires que le banquier et philanthrope Albert Kahn entreprit en Argentine et au Brésil d’août à octobre 1909. Ce voyage est celui du passage à la couleur, avec particulier les premières autochromes réalisées hors de France à l’instigation d’Albert Kahn, dans la période précédant le déploiement à grande échelle du projet des Archives de la Planète. L’exposition présente des images inédites de ce fonds peu connu, dans un parcours immersif et pédagogique qui prend pour toile de fond l’explosion urbaine de ces jeunes nations sud-américaines résolument tournées vers l’Europe.

Attachée de presse : Margot Spanneut
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Mourir, quelle histoire !

Chemins du Patrimoine en Finistère, Abbaye de Daoulas
Jusqu’au 3 décembre 2023

Exposition coproduite avec le Musée de Bretagne, Rennes

Que faisons-nous face à la mort ? L’être humain se sait mortel. La conscience de cette finitude propre à l’Homme n’est-elle pas ce qui précisément donne un sens à sa vie ?
L’exposition présentée à l’Abbaye de Daoulas questionne le rapport qu’entretiennent les vivants à la mort et aux morts. Elle montre en quoi cette relation particulière produit des manières d’être, de penser et d’agir auxquelles toute société est attachée.

La mort des autres est en soi source de bouleversements, tant pour l’individu que pour la société. Pour tenter de surmonter cette épreuve, les sociétés ont inventé des rites funéraires ayant vocation à assurer la paix des vivants.
L’exposition propose de questionner ces rituels : le cérémonial, les gestes, les paroles et les objets qui, en apaisant et en attribuant une nouvelle place à chacun, contribuent à rétablir un ordre social bouleversé. Si les questionnements sont communs, les réponses sont singulières et témoignent d’une grande diversité culturelle. En se plaçant sous l’angle de la culture occidentale, la nôtre, l’exposition présente différents points de vue tant sur la perception de la mort que sur les étapes du deuil. La présentation de pratiques extra-occidentales permet de mieux aborder les nôtres et de comprendre leur portée universelle, mais également d’appréhender la différence.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Sur les pas d’Atget

Domaine départemental de Sceaux
Jusqu’au 15 décembre 2023

Le photographe Jean Eugène Auguste Atget (1857-1927) a immortalisé les lieux au moment de l’entrée du Domaine de Sceaux dans le domaine public. Une quinzaine de photos de l’artiste, datées de juin 1925 à août 1927, sera présentée dans le parc, au plus proche des lieux mêmes qui ont été photographiés, illustrant l’état du site avant la grande restauration de l’architecte Léon Azéma. Une exposition qui donne à voir le chemin accompli en un siècle pour faire de ce patrimoine vivant un lieu d’histoire et de biodiversité ouvert à tous.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Marc Riboud, 100 photographies pour 100 ans

Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 31 décembre 2023


En collaboration avec Les amis de Marc Riboud


L’exposition célèbre le centenaire de la naissance, à Saint-Genis-Laval près de Lyon, de Marc Riboud, photographe de renommée internationale.
Dès son entrée à l’agence Magnum en 1953, Marc Riboud place le voyage au coeur de son oeuvre. De l’Inde à la Chine, de l’Algérie au Ghana ou au Nigeria, son regard se pose sur les cultures du monde, et notamment sur l’Asie, où il fera de nombreux et longs séjours. Ses reportages sur les transformations d’une Chine, du Grand Bond en avant (1957) au boom économique (années 1980), le rendront célèbre. Témoin d’autres grandes révolutions en Iran, en Pologne ou en Afrique du Sud, il est aussi sur le front des combats au Viêtnam, au Pakistan oriental.
Si son instinct pour la géométrie est une marque de son oeuvre, la présence humaine dans l’image, visible ou invisible, révèle sa sympathie naturelle envers ceux qui combattent pour leur liberté.
En cent photographies, l’exposition propose un aperçu de la richesse et de la diversité du travail de Marc Riboud et met en exergue la passion d’un homme : comprendre le monde et affronter les autres. 

Cette exposition bénéficie des prêts du fonds photographique Marc Riboud, légué en 2019 au musée national des arts asiatiques – Guimet (Paris). Ce projet est aussi l’occasion d’une collaboration entre deux musées historiquement reliés à Émile Guimet, collectionneur passionné par les voyages et l’étude des civilisations, tout comme Marc Riboud le fut, à sa façon, un siècle plus tard.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Secrets de la Terre

Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 31 décembre 2023

L’exposition invite les visiteurs à pénétrer dans les profondeurs de la Terre pour y découvrir les richesses minérales de la planète.
Dialoguant entre l’histoire des civilisations et celle, bien plus ancienne, de la formation des minéraux, elle met en évidence leurs propriétés physiques et chimiques et leurs utilisations à travers les âges, depuis la Préhistoire. La pierre sert à la construction des outils et des habitats, les métaux à la fabrication des armes, des monnaies, puis des machines, les roches, comme le charbon, à la production de l’énergie, les terres, minerais et sels à l’alimentation de l’industrie. L’exploitation intensive de ces ressources, jusqu’à leur raréfaction, pousse aujourd’hui nos prospections toujours plus profondément sous terre. Et bien que les missions d’exploration martiennes aient essentiellement pour but de nous apporter une meilleure connaissance des processus géologiques en œuvre dans sa constitution, certaines entreprises rêvent déjà d’exploiter un jour la planète rouge.
Avec près de 8 000 échantillons de minéraux, 525 gemmes et 2 500 spécimens de roches, le musée des Confluences conserve une des grandes collections publiques de minéralogie.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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INFIRMIÈRES. Héroïnes silencieuses de la Grande Guerre

Musée de la Grande Guerre, Meaux – Jusqu’au 31 décembre 2023

L’évocation de la Grande Guerre renvoie le plus souvent aux Poilus dans les tranchées, aux souffrances et aux morts, il est peu question des soignants et notamment des infirmières qui, bénévoles ou salariées, civiles ou militaires, qualifiées ou simplement sensibilisées, ont œuvré au service des victimes.
Cette nouvelle exposition du musée de la Grande Guerre leur est consacrée. Elle a pour ambition de témoigner de l’engagement et de la participation des infirmières parmi les personnels de santé mobilisés sur les fronts mais aussi à l’arrière auprès des populations civiles.

Plus de cent ans après, il est difficile d’imaginer les infirmières dans leur contexte, tant nous avons tendance à leur appliquer nos modèles d’aujourd’hui. C’est toute la volonté de l’exposition qui expliquera comment la Première Guerre mondiale a été un tournant majeur pour la profession. En effet, le conflit établit les premiers pas vers la reconnaissance d’un métier véritable alliant connaissances médicales et savoirs des corps, même si les infirmières restent plus reconnues pour leur dévouement que pour leurs compétences.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Les derniers Soulages. 2010-2022

Musée Soulages, Rodez
Jusqu’au 7 janvier 2024

Pierre Soulages parti le 25 octobre 2022, plus que jamais le musée veut lui rendre hommage en confirmant que l’oeuvre des dernières années réserve sa part de découverte et surtout la matérialisation intacte d’une forte énergie créatrice : des oeuvres de grandes dimensions, une matière riche, un noir travaillé à la lame pour en accentuer la brillance, les effets de lumière, la réintroduction du blanc… Ceux qui ont eu la chance de fréquenter son atelier à Sète et à Paris, dans cette décennie savent à quel point Soulages a travaillé avec passion et opiniâtreté.
Les dernières oeuvres ont la subtilité de la célèbre citation de Lampedusa : le tremblement perceptif à l’épreuve du passé, la fidélité à soi-même et pourtant des solutions nouvelles, des échappées. Changer tout en revenant à des fondamentaux des premiers temps.
Aussi, le musée Soulages a souhaité réaliser une rétrospective aussi complète que possible du peintre ruthénois. Nous avons envisagé une sélection de 35 à 40 oeuvres, des Outrenoir, sur le principe de reprendre le fil de la production de 2010 après la grande exposition du Centre Pompidou à 2022 (Peinture 102 X 130 cm, 15 mai 2022, son ultime peinture dans l’atelier de Sète).

Cette exposition sera à n’en pas douter un hommage et un point d’étape de l’oeuvre de ce grand peintre.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
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Être(s) ensemble

MEG, Musée d’Ethnographie de Genève
Jusqu’au 7 janvier 2024

Dans son exposition «Être(s) ensemble», le MEG questionne de manière originale les relations entre les humains et la Nature. Peut-on communiquer et se comprendre entre espèces différentes ? Pour essayer de répondre à cette question, le MEG présente six relations particulières qui se sont nouées entre des humains, des végétaux et des animaux. Ces compagnonnages surprenants nous suggèrent des pistes à suivre afin d’«être(s) ensemble», toujours un peu plus, toujours un peu mieux.

Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Mémoire Vive

MusVerre, Sars-Poteries
Jusqu’au 7 janvier 2024

« Mémoire Vive » reviendra sur la carrière de Michèle Perozeni, à l’occasion de l’exceptionnelle donation d’une grande partie de la collection de l’artiste au MusVerre.
D’étapes en rencontres, d’expérimentations en découvertes, le parcours scénographique pose les jalons rétrospectifs du parcours de Michèle via des œuvres majeures. Mêlant le cristal aux éléments naturels, ce travail spectaculaire évoque en filigrane la thématique du réchauffement climatique, et des catastrophes écologiques résultant de l’impact de l’homme sur les biotopes.
Un voyage poétique et artistique d’une grande délicatesse.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Allegoria, les clés de la symbolique baroque

Domaine de Sceaux
Jusqu’au 14 janvier 2024

Le Département des Hauts-de-Seine dévoile une nouvelle exposition dans les Anciennes Écuries du Domaine départemental de Sceaux du 15 septembre 2023 au 14 janvier 2024. Cette exposition intitulée Allegoria, les clés de la symbolique baroque illustre l’importance du genre allégorique en France au XVIIème siècle à travers des œuvres ayant permis l’émergence du genre.
L’objectif de cette exposition est de montrer l’importance du genre allégorique et son évolution dans la pensée artistique française. En partant des ouvrages qui ont permis l’émergence du genre (Horapollon, Alciati, Valeriano…), le parcours introduira à l’Iconologia de Cesare Ripa (Rome, 1593) dont la version française (Paris, 1636-1644), établie par Jean Baudoin, fut la référence de la plupart des artistes français – et notamment des grands décorateurs – sous le règne de Louis XIV.
La collection de tableaux, de dessins et d’estampes montrera comment chaque artiste a su s’approprier, dans le strict respect du code ou en l’adaptant, la syntaxe allégorique devenue rapidement commune à toutes les écoles européennes (des peintres aussi différents que Rubens, Vermeer ou Vélasquez avaient alors une parfaite connaissance de l’Iconologia de Ripa).

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
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Portrait éphémère du Japon, photographies de Pierre-Elie de Pibrac

Musée national des arts asiatiques – Guimet
Jusqu’au 15 janvier 2024

Série de photographies réalisée au Japon entre décembre 2019 et août 2020, Hakanai Sonzai signifie « Je me sens moi-même une créature éphémère ». Elle décrit le quotidien de personnes ordinaires, les figeant dans un espace onirique où tout mouvement et ligne d’horizon sont effacés. L’artiste y raconte les histoires d’individus cherchant à comprendre leur identité face au poids des règles de la société dans laquelle ils évoluent. La série est accompagnée d’un ensemble de photographies en noir et blanc, illustrant les réalisations humaines oubliées et les merveilles de la nature que composent le paysage japonais.

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H+, transhumanisme(s). Matthieu Gafsou

Lavoir Numérique, Gentilly
Jusqu’au 11 février 2024

H+ traite du transhumanisme, un mouvement qui prône l’usage des sciences et des techniques afin d’améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains.
H+ est une enquête philosophique, qui documente et questionne. Artificielles, les photos ressemblent à leur sujet: on ne sait plus si c’est le vivant qui s’éteint en devenant machine ou si l’inanimé prend vie.

Attachée de presse : Margot Spanneut
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Et nos morts ? La photographie post mortem aujourd’hui en Europe

Maison de la Photographie Robert Doisneau, Gentilly
Jusqu’au 18 février 2024

Le rapport que nous entretenons avec nos morts, le traitement que nous réservons aux dépouilles de nos défunts, décrivent notre société et notre manière de nous penser. Mais justement où sont nos morts ? Que devons-nous penser d’une société qui dissimule ses morts ?
Ce qui était visible en Europe jusqu’aux années 1960 à travers la photographie post mortem a de toute évidence évolué ou semble désormais révolu. Le but de cette exposition, de ce bref séjour parmi les morts, est d’offrir une visibilité à ce qui, aujourd’hui, ne se voit plus ou rarement.
Cette exposition collective réunit des autrices et auteurs contemporains qui illustrent notre rapport aux morts. En abordant les différentes étapes de « la vie des morts » (trépas, gestion puis éloignement physique des corps trépassés), elle interroge à chaque fois, ce qui est à portée de regard des vivants et ce qui demeure habituellement invisible, ce qui est permis de voir ou ce qui est interdit mais aussi ce qui est de l’ordre de la fracture ou de la réconciliation avec les morts.

Photographes : Laure Albin Guillot, Philippe Bazin, Goran Bertok, Patrik Budenz, Christine Delory-Momberger, Eric Dexheimer, Robert Doisneau, Odhràn Dunne, Laurence Geai, Steeve Iuncker, Irène Jonas, Beate Lakotta et Walter Schels, Franck Landron, Jacques Henri Lartigue, Frédéric Pauwels, Bruno Réquillart, Rudolf Schäfer, Raymond Voinquel et Sophie Zénon.

Attachée de presse : Margot Spanneut
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Afrique, mille vies d’objets

Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 18 février 2024

Avec l’exposition Afrique, mille vies d’objets, le musée des Confluences s’intéresse aux trajectoires de vie des masques, statuettes et autres objets ayant composé la collection d’Ewa et Yves Develon. Du processus de création à leur usage, de l’objet rituel à l’œuvre d’art, de l’Afrique à l’Europe, de la collection privée au musée, ces œuvres ont vu se poser sur elles une diversité de regards, de statuts et de valeurs.
Présentant plus de 200 objets d’une grande variété de formes et de styles, l’exposition revient aux sources de leur création, en Afrique. Des gestes des sculpteurs à leurs sources d’inspiration, la sculpture africaine témoigne aussi de l’étroite relation entre esthétisme, croyances religieuses et ordre social.
Statuettes vénérées dans les sanctuaires, masques dansant dans les cérémonies ou parures indiquant le statut de leur porteur, tous ces objets sont créés pour des fonctions rituelles ou sociales. La scénographie contemporaine s’appuiera sur de nombreux films et photos documentaires rarement présentés pour évoquer les contextes d’usage de ces objets.
Admirés pour leur qualité esthétique, ces objets vont intégrer les galeries d’art ou les collections de passionnés. Ainsi, pendant près de 50 ans, les collectionneurs Ewa et Yves Develon ont rassemblé une importante collection d’art africain provenant principalement du Nigeria et du Cameroun.
La majeure partie de cette collection est désormais conservée au musée des Confluences où se déroule une nouvelle étape de leur existence, à la fois objets d’étude, d’exposition ou d’inspiration.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
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Terra incognita, rendez-vous au bout du monde

Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 3 mars 2024

Luc Jacquet, réalisateur passionné, s’inscrit dans le sillage de grands explorateurs et partage dans cette exposition la « fièvre » de l’Antarctique, cet attachement magnétique aux terres polaires pourtant inaccessibles et inhospitalières.
L’Antarctique, terre du bout du monde, a fait l’objet de tous les fantasmes jusqu’à sa découverte au 19e siècle, suivie de nombreuses expéditions polaires épiques. Les témoignages de ceux qui ont atteint ces immensités glacées sont unanimes: ce continent émet une attraction sans précédent.
Aux confins des mers et des terres australes, livrés à des conditions extrêmes, les aventuriers n’ont d’autre issue que d’interroger leur place sur la planête, et de constater la fragilité du monde qui les entoure.
Luc Jacquet invite les visiteurs à le suivre pour vivre une expérience unique et immersive : un voyage de la Patagonie au pôle Sud au travers d’ambiances sonores et de séquences filmées en noir et blanc, projetées sur une structure géante et mouvante.
Pour – qui sait? – ressentir le magnétisme de ce continent fabuleux.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
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Travailler en temps de guerre : 14-18/39-45

Archives nationales du monde du travail, Roubaix
Jusqu’au 4 mai 2024

Les Archives nationales du monde du travail présentent l’exposition « Travailler en temps de guerre : 14-18/39-45 » du 26 mai 2023 au 4 mai 2024 à Roubaix. Pour la première fois, une exposition s’intéresse au thème du travail en France sur les périodes de la Première et de la Seconde Guerre mondiale.

Révéler une histoire inédite du travail en temps de guerre
Nombreuses sont les archives d’entreprises témoignant des activités liées à la collaboration économique sous l’Occupation allemande dans les fonds des Archives nationales du monde du travail (ANMT). C’est en partant de ce constat que l’institution a souhaité s’interroger sur les profondes mutations du travail pendant les périodes de guerre. La réflexion s’est élargie aux deux guerres mondiales en France car elles sont majoritairement représentées dans les fonds des ANMT. Les archives de l’époque nous amènent à nous interroger sur l’importance des témoignages personnels et collectifs laissés par des générations ayant vécu ces évènements, alors qu’elles disparaissent peu à peu. Aujourd’hui même, en divers lieux du globe, des hommes et des femmes travaillent en temps de guerre.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
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Soldats sportifs, pratiques sportives dans l’armée française de 1914 à nos jours

Musée de la Grande Guerre, Meaux
Jusqu’au 19 août 2024

Une exposition de photographies qui plonge les visiteurs dans l’univers des sports de 1914 à nos jours
En partenariat avec l’ECPAD (Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense)

La rentrée 2023 propose une toute nouvelle exposition sur les pratiques sportives pendant la Grande Guerre et post Grande Guerre, faisant écho à la coupe du monde de rugby et aux JO 2024 !
La pratique sportive a joué un rôle indéniable dans la préparation du soldat, mais elle représentait aussi un moyen de découverte, d’évasion et de cohésion durant la Première Guerre mondiale.
Cette série de photographies située sur le parvis du musée, illustre les exercices physiques du monde combattant de la Grande Guerre, à nos jours. À travers cette exposition en accès libre, les visiteurs en apprendront davantage sur l’évolution et l’impact des sports durant la Première Guerre mondiale et plus largement, au sein de l’armée et la société de l’époque.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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