Jon One : la tentation du décor – La Piscine
Galerie Houg
Médecines d’Asie. L’art de l’équilibre – Musée Guimet
Les Femmes dans la Grande Guerre – Musée de la Grande Guerre de Meaux
Open Museum Jeu Vidéo – Palais des Beaux-Arts de Lille
Sur le fil – MusVerre
Folles Époques ! – Spectacle historique de Meaux
Soldats sportifs, pratiques sportives dans l’armée française de 1914 à nos jours
Musée de la Grande Guerre, Meaux
Jusqu’au 19 août 2024
Une exposition de photographies qui plonge les visiteurs dans l’univers des sports de 1914 à nos jours
En partenariat avec l’ECPAD (Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense)
La rentrée 2023 propose une toute nouvelle exposition sur les pratiques sportives pendant la Grande Guerre et post Grande Guerre, faisant écho à la coupe du monde de rugby et aux JO 2024 !
La pratique sportive a joué un rôle indéniable dans la préparation du soldat, mais elle représentait aussi un moyen de découverte, d’évasion et de cohésion durant la Première Guerre mondiale.
Cette série de photographies située sur le parvis du musée, illustre les exercices physiques du monde combattant de la Grande Guerre, à nos jours. À travers cette exposition en accès libre, les visiteurs en apprendront davantage sur l’évolution et l’impact des sports durant la Première Guerre mondiale et plus largement, au sein de l’armée et la société de l’époque.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Léonard de Vinci, à la croisée des arts et des sciences
Forum des Sciences, Villeneuve d’Ascq
Jusqu’au 25 août 2024
Peintre, dessinateur, ingénieur et architecte, Léonard de Vinci se place à la croisée des arts et des techniques par la diversité et la pluridisciplinarité de l’ensemble son œuvre. Ses travaux nous ont fourni un héritage intellectuel et culturel qui nous fascine encore aujourd’hui.
L’exposition « Léonard de Vinci, à la croisée des arts et des sciences » propose un parcours immersif de découverte de son univers grâce à des reproductions d’une partie de ses peintures, dessins, croquis… Des reconstitutions 3D des fameuses « machines » qu’il a imaginées montrent comment Léonard de Vinci s’inspirait des savoirs artistiques et techniques de son époque pour ses travaux.
En parcourant l’exposition, vous découvrirez ses différentes champs d’activités et sa préoccupation de représenter le plus fidèlement plus le monde qui l’entourait. L’exposition se présente sous forme d’un circuit de découverte de l’univers de Léonard de Vinci : Léonard de Vinci, peintre ; Leonard de Vinci, architecte et urbaniste ; Leonard de Vinci, ingénieur civil et militaire ; Leonard de Vinci, l’art du vol ; Leonard de Vinci et l’anatomie ; L’héritage de Léonard de Vinci.
Durant votre visite, vous découvrirez comment Léonard de Vinci, par sa vision humaniste, incarne l’esprit de son époque, la Renaissance, prémices de l’histoire moderne.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
À nos amours
Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 25 août 2024
Exposition conçue et réalisée par le Palais de la découverte, adaptée par le musée des Confluences
L’amour, sujet qui nous concerne tous, semble insaisissable, tour à tour fragile, passionnel, déconcertant ou moteur puissant de nombreuses histoires. À nos amours propose une exploration des territoires amoureux, en constantes transformations, traversés et bouleversés par les évolutions sociétales et technologiques.
Adapté de l’exposition De l’amour, présentée par le Palais de la découverte à Paris en 2019-2020, le projet du musée des Confluences fait découvrir ou redécouvrir l’universalité de l’amour et la diversité des attachements amoureux, familiaux et amicaux.
Cette multiplicité des attachements est soulignée par les quatre mots grecs exprimant l’amour et introduisant l’exposition : éros, le désir, la passion charnelle ; storgê, l’amour familial ; agapè, l’amour désintéressé ; philia, l’amitié, le lien social.
Dans une scénographie nouvelle, pensée comme une expérience sensorielle et émotionnelle, À nos amours fait dialoguer les points de vue scientifique, sociétal et artistique, à la rencontre des cultures humaines du monde entier et des autres espèces vivantes.
L’exposition présente quelque 200 objets, provenant en majorité des collections du musée des Confluences, mais aussi des prêts illustrant des pratiques et des traditions populaires.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
L’Atelier Rodin
Musée Rodin, Paris : jusqu’au 1er septembre 2024
Jouez, créez, bougez !
Place à l’action ! Dédié à la découverte et la compréhension de la sculpture par la pratique, l’Atelier Rodin est rempli de nouveautés pour s’amuser et apprendre au musée. À l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, cette troisième édition invite petits et grands au mouvement et au jeu avec un espace inédit pour Vivre la sculpture de tout son corps.
Jouer, découvrir et apprendre. Plongez dans l’univers d’Auguste Rodin et d’un atelier de sculpteur. Dessiner, modeler, bouquiner, jouer ou bouger… Chacun des cinq espaces est riche en activités et découvertes pour favoriser une exploration sensible et intuitive.
A vos marques, prêt… « En mouvement ! » est un tout nouvel espace pour appréhender les défifis du sculpteur. Entre torsion et équilibre, utilisez votre corps pour comprendre comment l’immobile peut évoquer le mouvement.
L’Atelier Rodin 2024 est labellisé Olympiade Culturelle.
Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
Paul Hémery (1921-2006)
La Piscine, Roubaix : jusqu’au 1er septembre 2024
Paul Hémery, bien qu’il soit né à Tourcoing, est l’une des figures importantes du Groupe de Roubaix, rassemblement informel d’amis, peintres et sculpteurs, ayant débuté leur carrière artistique au Salon des Artistes Roubaisiens et dans les galeries de la ville. Ensemble, ils éveillèrent la région Nord-Pas-de-Calais à l’art contemporain dans les années suivant la Seconde Guerre mondiale.
Au fil du temps, La Piscine a rassemblé un fonds de référence grâce à divers dons, mais surtout au legs concédé par son ami le peintre Michel Delporte en 2001, et grâce à la générosité de l’artiste lui-même en 2000 et 2002. Le musée se propose ainsi de redécouvrir une figure aussi essentielle que méconnue du paysage artistique septentrional de l’après-guerre.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
La loi sur l’IVG. 1974 – Le discours de Simone Veil
Archives nationales, Paris : jusqu’au 2 septembre 2024
À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, les Archives nationales inaugurent le second rendez-vous de leur cycle Les Remarquables et présentent le célèbre discours de Simone Veil défendant à la tribune de l’Assemblée nationale, en 1974, le projet de loi sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG). C’est le public qui, au moment même où le président de la République a souhaité constitutionnaliser la liberté des femmes de recourir à l’IVG, a plébiscité ce document à l’issue d’un vote organisé à l’été 2023.
L’exposition, gratuite et au format volontairement resserré, invite le visiteur à découvrir le manuscrit original du discours et sa version dactylographiée, annotée de la main de Simone Veil. À travers ces deux ensembles de feuillets et les documents qui les accompagnent, c’est un moment décisif du combat pour la conquête des droits des femmes que les visiteurs peuvent (re)découvrir.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
Le monde fabuleux de Nicolas Eekman
Musée de Flandre, Cassel : jusqu’au 8 septembre 2024
Au printemps prochain, le musée de Flandre organisera une rétrospective consacrée au peintre Nicolas Eekman (1889-1973). L’exposition proposera au public de découvrir plus de quatre-vingts oeuvres de cet artiste injustement oublié par le XXe siècle.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Psychoses. L’Expressionnisme dans l’art et le cinéma
Musée de Lodève : jusqu’au 15 septembre 2024
Nosferatu le vampire, Metropolis, Le Cabinet du docteur Caligari… ceux qui ont vu ces films des années 1920 ne peuvent s’empêcher de frissonner à leur évocation. L’exposition du Musée de Lodève ravive le frisson et met en lumière comment la peinture et les arts graphiques ont influencé le cinéma expressionniste de l’époque, qui se hisse alors au rang d’art à part entière. Les peintures, dessins et gravures d’une trentaine d’artistes (A. Macke, E. Heckel, O. Dix, K. Schmidt-Rottluff, E.L. Kirchner….) sont confrontées à des extraits de 12 films célèbres.
Cette exploration troublante de l’univers expressionniste nous plonge directement dans la société allemande de l’entre-deux guerres, ses traumatismes, ses rêves et ses cauchemars.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
Au coeur de la couleur – Chefs d’oeuvre de la porcelaine monochrome chinoise (8ème – 18ème siècle)
Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 16 septembre 2024
En juin, le musée Guimet ouvrira une exposition-événement consacrée aux splendeurs de la porcelaine monochrome chinoise mettant en lumière des pièces exceptionnelles, pour certaines vieilles de plus de 2000 ans mais d’une incroyable modernité. Souvent issus des ateliers impériaux, ces chefs d’œuvre, qui proviennent de la collection Zhuyuetang de Richard Kan, sont le résultat de siècles de perfectionnement. Une quête incessante de l’épure jusqu’à trouver la forme et la couleur parfaites, donnant naissance à des pièces uniques et d’une grande finesse esthétique.
Autre savoir-faire unique pour lequel la Chine a acquis au cours des siècles une réputation d’excellence, l’art de la laque : le musée y consacrera également une exposition pendant l’été.
Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
Un siècle pour le musée – Société des Amis du Musée Guimet
Jean Sala. 1869-1918. Couleurs d’une époque – Musée Bernard Boesch
Maison et Jardins Claude Monet à Giverny – Fondation Claude Monet
Avec la lumière – Galerie Guillaume
Rendez-vous aux jardins
Sur les pas d’Atget – Domaine de Sceaux
Les soirées aux chandelles – Domaine de Vaux-le-Vicomte
Cappiello caricaturiste – 1898-1905
Musée Louis Senlecq, L’Isle Adam : jusqu’au 22 septembre 2024
Le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq de L’Isle-Adam présente une exposition consacrée aux caricatures de Leonetto Cappiello (1875-1942).
Pour la première fois, Cappiello est mis à l’honneur dans un projet d’envergure à travers un prisme moins attendu que son œuvre d’affichiste, sujet privilégié des expositions et publications qui lui ont été consacrées ces quarante dernières années.
L’œuvre de caricaturiste de Cappiello est ici mise en perspective avec son activité d’affichiste mais aussi de sculpteur. Il s’agit par ailleurs de questionner les enjeux de la caricature mondaine à la lumière des réalités socioculturelles de l’époque.
À travers dessins, esquisses préparatoires, affiches et sculptures – dont plusieurs seront présentées pour la première fois – se dessine un portrait du Tout-Paris artistique, littéraire et mondain de la Belle Époque.
Cette exposition rassemble une centaine d’œuvres et de documents provenant de l’Atelier Cappiello, du Musée d’Orsay et du Musée des Arts décoratifs (Paris).
Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
Monet à Vétheuil : les saisons d’une vie
Palais des Beaux-Arts de Lille : jusqu’au 24 septembre 2024
Au printemps 2024, le Palais des Beaux-Arts de Lille s’associe au musée d’Orsay pour célébrer les 150 ans de l’impressionnisme autour de Claude Monet, figure fondatrice de ce mouvement.
Le Palais des Beaux-Arts de Lille possède deux toiles de Claude Monet représentant le village de Vétheuil, issues toutes deux de la donation Masson datant des années 1970 : La Débâcle, peinte dans les premières semaines de 1880 et Vétheuil, le matin, réalisée vingt ans plus tard. Vétheuil occupe une place singulière dans la vie et l’oeuvre de l’artiste. En rapprochant les oeuvres du Palais des Beaux-Arts de Lille de quatre prêts prestigieux du musée d’Orsay sur le même sujet, cette exposition permettra d’évoquer à la fois le rythme des saisons et deux périodes stylistiques de l’artiste. Cet ensemble exceptionnel de 6 oeuvres rassemblées pour la première fois à Lille montrera ainsi au public deux moments marquants de la vie de Claude Monet, l’un difficile et l’autre plus prospère.
L’exposition sera accompagnée par une expérience immersive au coeur de l’Atrium du musée qui offrira l’opportunité d’une respiration et prolongera l’expérience de visite par une méditation guidée permettant d’explorer, en pleine conscience, un paysage des collections du Palais des Beaux-Arts.
Exposition présentée dans le cadre des 150 ans de l’impressionnisme avec le musée d’Orsay
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Anouk Desury, les poings ouverts
La Piscine, Roubaix : jusqu’au 29 septembre 2024
« La photographie est pour moi une manière de mieux comprendre le monde qui m’entoure. Très attachée à témoigner des histoires et des combats personnels, j’ai cette volonté forte de mettre en lumière ceux à qui on laisse trop peu la parole. C’est l’attachement au territoire de Roubaix et à chacune des personnes que je rencontre qui guide ma photographie».
Jeune photographe de 28 ans, Anouk Desury découvre la ville de Roubaix lorsqu’elle passe un BTS Photographie. Passionnée, elle complète sa formation par un diplôme universitaire en Photographie Documentaire (DU) à Carcassonne. Revenue s’installer à Roubaix, sa ville « de coeur et d’adoption », elle s’attache aux gens avec pour toile de fond ce territoire si singulier qu’est l’ancienne capitale textile et son travail s’inscrit dans la lignée des photographes humanistes.
Plusieurs sujets vont capter son attention. En 2017, la photographe entame un travail de mémoire auprès des habitants d’un quartier populaire en cours de rénovation, sujet qu’elle expose plusieurs fois dans la cité roubaisienne. Elle poursuit cette quête du quotidien en s’attachant à suivre pendant deux ans le combat d’une famille d’immigrés venue guérir un père ancien champion de boxe devenu hémiplégique. En 2020, lorsque la crise sanitaire éclate, Anouk Desury capte avec empathie la pandémie, à l’échelle du territoire roubaisien, mais aussi au CHU de Lille. Le reportage fait l’objet d’un ouvrage « Une évidence, malgré tout », publié par l’agence photographique et maison d’édition Light Motiv. En 2023, toujours avec le concours de Light Motiv et l’association SOLFA (Solidarité Femmes Accueil) à Lille, Anouk Desury porte un regard bienveillant sur six femmes, six parcours, victimes de violences. Ses photos saisies sur le vif sont publiées sous forme de recueil d’images et de textes écrits par Samira El Ayachi : « Ce soir je prendrai soin de moi », ouvrage qui témoigne avec force d’une forme de résilience.
En 2021, elle est lauréate de la plus grande commande publique photographique d’Europe pour son reportage intime sur trois jeunes boxeurs (Aziz, Djamal, Moustapha) et une boxeuse (Shaina), de Roubaix. Saisis dans leur environnement immédiat – leur entrainement, mais aussi leur lieu de vie -, l’image en couleur est un outil et un moyen pour saisir au-delà du ring les aspirations et l’importance que revêt pour eux cette discipline rigoureuse. Cette complicité nouée avec ces jeunes sportifs où l’humain transparaît est aujourd’hui présentée à la BNF dans l’exposition « La France sous leurs yeux ». L’été 2024, en écho au Festival des cultures urbaines (URBX), La Piscine présentera dans ses cabines du premier étage les portraits de ces jeunes Roubaisiens (28 photos), assortis de tenues leur appartenant.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Jean Daret, peintre du Roi en Provence
Musée Granet, Aix-en-Provence : jusqu’au 29 septembre 2024
Le musée Granet consacre au peintre Jean Daret (Bruxelles 1614-Aix-en-Provence 1668) une exposition, la première manifestation de ce type dédiée à ce grand peintre du baroque provençal. Redécouvert par le grand public à l’occasion de l’exposition sur la peinture en Provence au XVIIe siècle organisée à Marseille en 1978, Jean Daret a travaillé pour les mécènes les plus importants de son époque dont le roi Louis XIV et le gouverneur de Provence. Si nombre de ses œuvres sont visibles dans les musées français, étrangers (États-Unis, Russie) comme dans de nombreuses églises et cathédrales de Provence, hôtels particuliers d’Aix-en-Provence (Hôtel de Châteaurenard et Maurel de Pontevès), Jean Daret demeure peu connu du grand public et son œuvre d’envergure mérite d’être mise à l’honneur.
L’exposition au musée Granet est ainsi l’occasion de montrer un ensemble exceptionnel d’une centaine d’œuvres comprenant les productions les plus importantes de l’artiste, huiles sur toile, dessins et gravures, accompagnées d’œuvres des grands maîtres du siècle tant parisiens (Jacques Blanchard) que provençaux (Nicolas Mignard, Reynaud Levieux ou encore Gilles Garcin). A travers huit sections thématiques qui suivent également la chronologie de la carrière de l’artiste, l’exposition montre l’ensemble de sa carrière, des chefs-d’œuvre des premières années («Daret caravagesque»), à l’élégance et la richesse des scènes de genre, tableaux de dévotion ou de décor (« Collectionnisme » et « Décor »), sans omettre la place centrale occupée par les tableaux religieux, où se mêlent sobriété et pathétique, douceur et expressivité, pour terminer par le second séjour parisien, les dernières années de la carrière de l’artiste.
Cette exposition est la première manifestation dédiée à l’œuvre de Jean Daret et de façon plus générale à la peinture baroque provençale depuis de nombreuses années. Elle est l’occasion d’apprécier l’importance de cette production et permet aussi de donner la place que Jean Daret mérite dans l’histoire de la peinture française du XVIIe siècle et de mettre en lumière la richesse patrimoniale de la région.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
Germaine Richier, la Méditerranéenne
Friche de l’Escalette, Marseille : jusqu’au 1er septembre 2024, et tous les week-ends de septembre
La Friche de l’Escalette située à l’orée du Parc des Calanques de Marseille propose à la visite son site naturel grandiose, les vestiges de son patrimoine industriel remarquable, ainsi que ses expositions estivales d’art moderne & contemporain.
Cette année Germaine Richier (1902-1959) native de Montpellier et viscéralement attachée à la Méditerranée est à l’honneur avec une douzaine de ses sculptures saisissantes.
L’accent est mis sur la représentation humaine, avec Le Coureur, fort à propos en ses temps d’Olympisme, et ses métamorphoses, comme pour L’Eau, déesse antique à tête d’amphore semblant surgir de la mer.
Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
C215 autour de l’Inguimbertine
Ville de Carpentras : jusqu’au 31 octobre 2024
Après avoir déjà peint plusieurs oeuvres dans le centre-ville, Christian Guémy, alias C215, s’est récemment installé à Carpentras. La Ville de Carpentras a souhaité offrir à cet artiste reconnu la première exposition temporaire de l’Inguimbertine à l’hôtel-Dieu.
Cette exposition qui se déroulera du 1er juin au 30 octobre 2024 sera composée de deux parties. La première dans la galerie d’honneur de l’hôtel-Dieu présentera une retrospective de sa carrière et la seconde sera à découvrir dans tout le centre-ville. Elle sera consacré à son interprétation des oeuvres présentes dans la collection permanente de l’Inguimbertine.
« C215 autour de l’Inguimbertine » sera l’occasion de poursuivre l’oeuvre de Malachie d’Inguimbert qui soutenait les artistes de sa génération. Cet art contemporain d’alors qui orne aujourd’hui les plus belles salles des musées français.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny
Ouverture jusqu’au 1er novembre 2024
« Du haut d’un pont garni de glycines, qui se trouve être de style japonais, Monet vient juger le tableau qu’il a créé. » Gustave Geffroy, Monet, sa vie, son œuvre, 1924
En cette année des 150 ans de l’impressionnisme, de nombreux événements culturels célébreront, la naissance de mouvement pictural révolutionnaire. Mais quelle meilleure manière de s’imprégner de la culture impressionniste que d’arpenter l’écrin givernois, palette grandeur nature et intarissable source d’inspiration pour le maître des lieux ?
Inversant la démarche traditionnelle du peintre paysagiste, Claude Monet a façonné son motif avant de le peindre avec acharnement. À tel point que son bassin aux nymphéas, qu’il commence à représenter en 1899 sous la caresse d’une lumière perpétuellement changeante, deviendra vers 1910 son thème d’inspiration exclusif et son testament pictural, Les Grandes Décorations de Nymphéas, exposées au musée de l’Orangerie à Paris.
Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36