La joie et rien d’autre

Galerie Guillaume, Paris
Du 5 octobre au 18 novembre 2023

Commissariat : Paul Ardenne, écrivain et historien de l’art, est l’auteur d’essais sur l’art et la culture d’aujourd’hui, ainsi que de plusieurs romans.


Pour ses 20 ans, la Galerie Guillaume invite quatre commissaires pour un programme d’expositions tout au long de l’année.
«Fêter les 20 ans de la galerie, c’est une manière de célébrer tout ce qui s’est passé pendant toutes ces années, 120 expositions, 50 artistes qui ont bénéficié d’une exposition personnelle, des dizaines de «Rencontres de la Galerie Guillaume»… L’idée est de s’arrêter un moment pour se réjouir de tous ces beaux évènements.» (Guillaume Sébastien)

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
L https://www.linkedin.com/in/kassandre-fradelin-51a7a4208/

Bertrand Gadenne, les images réfléchies

Regard d’artiste 2023
Chemins du Patrimoine en Finistère, Domaine de Trévarez
Jusqu’au 8 octobre 2023

Regard d’artiste consacre son édition 2023 au photographe et vidéaste Bertrand Gadenne.
Depuis plus de 20 ans, l’artiste invente une nouvelle manière de se confronter à la nature, notamment en projetant sur les murs ou les vitrines des animaux sauvages surdimensionnés. Par ces situations insolites et éphémères, il invite à l’émerveillement et convoque l’impermanence des êtres et du temps. « Je n’ai qu’un désir, sortir le spectateur de son quotidien et l’entrainer dans la fiction, entre rêve et cauchemar. J’aime métamorphoser le réel, qu’il dérape dans le surréel. En ce sens, mon travail a des affinités avec le surréalisme, c’est un voyage mental, aux accents métaphoriques liés au merveilleux.»

Diplômé de l’École nationale supérieure d’art de Nancy en 1979, Bertrand Gadenne a enseigné à l’École supérieure d’art du Nord-Pas-de-Calais jusqu’en 2015. Il expose régulièrement en France et à l’étranger, plusieurs de ses œuvres appartiennent à des collections publiques. En 2017, il est lauréat de la Résidence Ackerman-Fontevraud La Scène.

À Trévarez, il installe dans l’obscurité des salles du rez-de-chaussée des écuries son bestiaire sauvage, composé entre autre d’un renard, d’un cerf et d’un hibou. Au château, il propose une série de photographies réalisées avec des végétaux cueillis dans le parc : des branches mortes recouvertes de mousses et de lichens dont les formes rappellent celles des « grotesques », ces motifs décoratifs peints sur les boiseries du grand salon et inspirés par le végétal.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
T @VanessaLeroyObs
L vanessa-leroy-4b36bb67

Nikos Aliagas, Le spleen d’Ulysse

Département de la Seine-Maritime, Abbaye de Jumièges
Jusqu’au 31 octobre 2023

En lien avec la manifestation Armada de Rouen, le Département de la Seine-Maritime présentera une grande exposition monographique de Nikos Aliagas du 7 juin au 31 octobre 2023 à l’abbaye de Jumièges.
Ce site consacre depuis 10 ans sa programmation aux arts visuels contemporains et à de grandes expositions photographiques telles que La Tentation du paysage de Jean Gaumy en 2014, Vestiges de Josef Kouldeka en 2018, ou bien encore Ravir la force mais toujours aimer d’Ange Leccia en 2019.
Pour cette exposition, Nikos Aliagas a conçu un projet dans lequel dialoguent toutes les images de son vocabulaire artistique : la Grèce et la Méditerranée, les portraits, les paysages, les mains, les objets qui disent l’au-delà.

Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36
L https://www.linkedin.com/in/margot-spanneut-363648153

La saison « Prédateurs »

Parc Zoologique de Paris
Jusqu’au 5 novembre 2023


Pour cette nouvelle saison, le Parc zoologique de Paris propose à ses visiteurs de partir à la rencontre des prédateurs et d’en découvrir toute la diversité. Mammifères mais aussi oiseaux, insectes, poissons ; les prédateurs sont beaucoup plus nombreux qu’il n’y parait et présents dans tous les groupes d’animaux.
Du 25 mars au 5 novembre 2023, un parcours de visite dédié, des animations inédites, une mini-exposition de spécimens, et des rencontres avec des spécialistes, permettent d’en apprendre plus sur les prédateurs. Les visiteurs sont invités à découvrir leur diversité, leurs stratégies de prédation, leur importance écologique et leurs caractéristiques : loups, jaguars, lions, fossas, manchots, caméléons, rolliers… mais aussi, plus inattendu, grenouilles taureaux, étoiles de mer et libellules. Car les animaux qui chassent et se nourrissent de proies vivantes ne sont pas forcément ceux que l’on croit !

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
T @VanessaLeroyObs
L vanessa-leroy-4b36bb67

Mourir, quelle histoire !

Chemins du Patrimoine en Finistère, Abbaye de Daoulas
Jusqu’au 3 décembre 2023

Exposition coproduite avec le Musée de Bretagne, Rennes

Que faisons-nous face à la mort ? L’être humain se sait mortel. La conscience de cette finitude propre à l’Homme n’est-elle pas ce qui précisément donne un sens à sa vie ?
L’exposition présentée à l’Abbaye de Daoulas questionne le rapport qu’entretiennent les vivants à la mort et aux morts. Elle montre en quoi cette relation particulière produit des manières d’être, de penser et d’agir auxquelles toute société est attachée.

La mort des autres est en soi source de bouleversements, tant pour l’individu que pour la société. Pour tenter de surmonter cette épreuve, les sociétés ont inventé des rites funéraires ayant vocation à assurer la paix des vivants.
L’exposition propose de questionner ces rituels : le cérémonial, les gestes, les paroles et les objets qui, en apaisant et en attribuant une nouvelle place à chacun, contribuent à rétablir un ordre social bouleversé. Si les questionnements sont communs, les réponses sont singulières et témoignent d’une grande diversité culturelle. En se plaçant sous l’angle de la culture occidentale, la nôtre, l’exposition présente différents points de vue tant sur la perception de la mort que sur les étapes du deuil. La présentation de pratiques extra-occidentales permet de mieux aborder les nôtres et de comprendre leur portée universelle, mais également d’appréhender la différence.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
T @VanessaLeroyObs
L vanessa-leroy-4b36bb67

Marc Riboud, 100 photographies pour 100 ans

Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 31 décembre 2023


En collaboration avec Les amis de Marc Riboud


L’exposition célèbre le centenaire de la naissance, à Saint-Genis-Laval près de Lyon, de Marc Riboud, photographe de renommée internationale.
Dès son entrée à l’agence Magnum en 1953, Marc Riboud place le voyage au coeur de son oeuvre. De l’Inde à la Chine, de l’Algérie au Ghana ou au Nigeria, son regard se pose sur les cultures du monde, et notamment sur l’Asie, où il fera de nombreux et longs séjours. Ses reportages sur les transformations d’une Chine, du Grand Bond en avant (1957) au boom économique (années 1980), le rendront célèbre. Témoin d’autres grandes révolutions en Iran, en Pologne ou en Afrique du Sud, il est aussi sur le front des combats au Viêtnam, au Pakistan oriental.
Si son instinct pour la géométrie est une marque de son oeuvre, la présence humaine dans l’image, visible ou invisible, révèle sa sympathie naturelle envers ceux qui combattent pour leur liberté.
En cent photographies, l’exposition propose un aperçu de la richesse et de la diversité du travail de Marc Riboud et met en exergue la passion d’un homme : comprendre le monde et affronter les autres. 

Cette exposition bénéficie des prêts du fonds photographique Marc Riboud, légué en 2019 au musée national des arts asiatiques – Guimet (Paris). Ce projet est aussi l’occasion d’une collaboration entre deux musées historiquement reliés à Émile Guimet, collectionneur passionné par les voyages et l’étude des civilisations, tout comme Marc Riboud le fut, à sa façon, un siècle plus tard.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
T @VanessaLeroyObs
L vanessa-leroy-4b36bb67

Les derniers Soulages. 2010-2022

Musée Soulages, Rodez
Jusqu’au 7 janvier 2024

Pierre Soulages parti le 25 octobre 2022, plus que jamais le musée veut lui rendre hommage en confirmant que l’oeuvre des dernières années réserve sa part de découverte et surtout la matérialisation intacte d’une forte énergie créatrice : des oeuvres de grandes dimensions, une matière riche, un noir travaillé à la lame pour en accentuer la brillance, les effets de lumière, la réintroduction du blanc… Ceux qui ont eu la chance de fréquenter son atelier à Sète et à Paris, dans cette décennie savent à quel point Soulages a travaillé avec passion et opiniâtreté.
Les dernières oeuvres ont la subtilité de la célèbre citation de Lampedusa : le tremblement perceptif à l’épreuve du passé, la fidélité à soi-même et pourtant des solutions nouvelles, des échappées. Changer tout en revenant à des fondamentaux des premiers temps.
Aussi, le musée Soulages a souhaité réaliser une rétrospective aussi complète que possible du peintre ruthénois. Nous avons envisagé une sélection de 35 à 40 oeuvres, des Outrenoir, sur le principe de reprendre le fil de la production de 2010 après la grande exposition du Centre Pompidou à 2022 (Peinture 102 X 130 cm, 15 mai 2022, son ultime peinture dans l’atelier de Sète).

Cette exposition sera à n’en pas douter un hommage et un point d’étape de l’oeuvre de ce grand peintre.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
T @aurelie_cadot
L aureliecadot

À nos amours

Musée des Confluences, Lyon
Du 20 octobre 2023 au 25 août 2024

Exposition conçue et réalisée par le Palais de la découverte, adaptée par le musée des Confluences

L’amour, sujet qui nous concerne tous, semble insaisissable, tour à tour fragile, passionnel, déconcertant ou moteur puissant de nombreuses histoires. À nos amours propose une exploration des territoires amoureux, en constantes transformations, traversés et bouleversés par les évolutions sociétales et technologiques.
Adapté de l’exposition De l’amour, présentée par le Palais de la découverte à Paris en 2019-2020, le projet du musée des Confluences fait découvrir ou redécouvrir l’universalité de l’amour et la diversité des attachements amoureux, familiaux et amicaux.
Cette multiplicité des attachements est soulignée par les quatre mots grecs exprimant l’amour et introduisant l’exposition : éros, le désir, la passion charnelle ; storgê, l’amour familial ; agapè, l’amour désintéressé ; philia, l’amitié, le lien social.
Dans une scénographie nouvelle, pensée comme une expérience sensorielle et émotionnelle, À nos amours fait dialoguer les points de vue scientifique, sociétal et artistique, à la rencontre des cultures humaines du monde entier et des autres espèces vivantes.
L’exposition présente quelque 200 objets, provenant en majorité des collections du musée des Confluences, mais aussi des prêts illustrant des pratiques et des traditions populaires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
T @VanessaLeroyObs
L vanessa-leroy-4b36bb67

Afrique, mille vies d’objets

Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 18 février 2024

Avec l’exposition Afrique, mille vies d’objets, le musée des Confluences s’intéresse aux trajectoires de vie des masques, statuettes et autres objets ayant composé la collection d’Ewa et Yves Develon. Du processus de création à leur usage, de l’objet rituel à l’œuvre d’art, de l’Afrique à l’Europe, de la collection privée au musée, ces œuvres ont vu se poser sur elles une diversité de regards, de statuts et de valeurs.
Présentant plus de 200 objets d’une grande variété de formes et de styles, l’exposition revient aux sources de leur création, en Afrique. Des gestes des sculpteurs à leurs sources d’inspiration, la sculpture africaine témoigne aussi de l’étroite relation entre esthétisme, croyances religieuses et ordre social.
Statuettes vénérées dans les sanctuaires, masques dansant dans les cérémonies ou parures indiquant le statut de leur porteur, tous ces objets sont créés pour des fonctions rituelles ou sociales. La scénographie contemporaine s’appuiera sur de nombreux films et photos documentaires rarement présentés pour évoquer les contextes d’usage de ces objets.
Admirés pour leur qualité esthétique, ces objets vont intégrer les galeries d’art ou les collections de passionnés. Ainsi, pendant près de 50 ans, les collectionneurs Ewa et Yves Develon ont rassemblé une importante collection d’art africain provenant principalement du Nigeria et du Cameroun.
La majeure partie de cette collection est désormais conservée au musée des Confluences où se déroule une nouvelle étape de leur existence, à la fois objets d’étude, d’exposition ou d’inspiration.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
L https://www.linkedin.com/in/kassandre-fradelin-51a7a4208/

Travailler en temps de guerre : 14-18/39-45

Archives nationales du monde du travail, Roubaix
Jusqu’au 4 mai 2024

Les Archives nationales du monde du travail présentent l’exposition « Travailler en temps de guerre : 14-18/39-45 » du 26 mai 2023 au 4 mai 2024 à Roubaix. Pour la première fois, une exposition s’intéresse au thème du travail en France sur les périodes de la Première et de la Seconde Guerre mondiale.

Révéler une histoire inédite du travail en temps de guerre
Nombreuses sont les archives d’entreprises témoignant des activités liées à la collaboration économique sous l’Occupation allemande dans les fonds des Archives nationales du monde du travail (ANMT). C’est en partant de ce constat que l’institution a souhaité s’interroger sur les profondes mutations du travail pendant les périodes de guerre. La réflexion s’est élargie aux deux guerres mondiales en France car elles sont majoritairement représentées dans les fonds des ANMT. Les archives de l’époque nous amènent à nous interroger sur l’importance des témoignages personnels et collectifs laissés par des générations ayant vécu ces évènements, alors qu’elles disparaissent peu à peu. Aujourd’hui même, en divers lieux du globe, des hommes et des femmes travaillent en temps de guerre.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
T @VanessaRavenaux

L’arrière-monde

Galerie Guillaume, Paris
Du 29 novembre 2023 au 13 janvier 2024

Commissariat : Raphaëlle Ziadé, conservatrice du département byzantin du Petit Palais.

Pour ses 20 ans, la Galerie Guillaume invite quatre commissaires pour un programme d’expositions tout au long de l’année.
«Fêter les 20 ans de la galerie, c’est une manière de célébrer tout ce qui s’est passé pendant toutes ces années, 120 expositions, 50 artistes qui ont bénéficié d’une exposition personnelle, des dizaines de «Rencontres de la Galerie Guillaume»… L’idée est de s’arrêter un moment pour se réjouir de tous ces beaux évènements.» (Guillaume Sébastien)

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
L https://www.linkedin.com/in/kassandre-fradelin-51a7a4208/

Kassandre Fradelin

Attachée de presse

Observatoire depuis 2021

Anglais : courant
Italien : intermédiaire
Maîtrise Indesign : avancée

FORMATION

Licence en Classe Préparatoire aux Grandes Écoles A/L à Claude Monet, Paris XIIIè
Master en Humanités et Lettres Classiques, Université Paris X, Nanterre
Master en Lettres – Édition – Médias, Université Paris III, Sorbonne Nouvelle