Biennale d’Aix, 2ème édition

Aix-en-Provence : jusqu’au 14 décembre 2024

Après une pause estivale, la Biennale d’Aix 2024 revient le 21 septembre pour la deuxième partie de sa programmation.
Après le bilan très positif du premier temps fort qui a rassemblé plus de 120 000 spectateurs, ce second volet de la Biennale d’Aix sera marqué par de multiples propositions artistiques : du 21 septembre au 14 décembre, ce sont près de 72 propositions artistiques dont 68 en accès libre et 90 artistes qui sont présentés dans les lieux culturels, les lieux patrimoniaux ouverts exceptionnellement, ainsi que dans l’espace public !

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

Nouveau Parcours

Musée des beaux-arts, Calais
Depuis le 13 mai 2023

Le Musée des beaux-arts de Calais entame une période de transformation de ses volumes intérieurs. Il modifie ses espaces et présente de nouvelles galeries permanentes consacrées aux collections Beaux-Arts.
Plus de deux cent oeuvres sont à découvrir au travers d’un parcours qui nous plonge dans l’histoire de l’art du 16ème siècle à nos jours. Une dizaine de thématiques facilitent l’appréhension de l’évolution des pratiques et des goûts artistiques, notamment aux 19ème et 20ème siècles.
En plus des oeuvres sorties des réserves qui sont présentées, deux nouveaux ensembles d’oeuvres viennent d’être offerts au musée par des descendants d’artistes. Ces dons aussi importants en nombre et en qualité sont exceptionnels. Une partie de ces oeuvres est exposée dans les nouvelles salles : la collection Jeanne Thil en peinture (née à Calais en 1887) et une importante donation du sculpteur Henri Delcambre en sculpture (né à Marquise en 1911 et ayant grandi à Calais).

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

Combattre loin de chez soi. L’empire colonial français dans la Grande Guerre

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 30 décembre 2024

Cette exposition du musée de la Grande Guerre s’attache à expliquer la portée et les particularités de la participation de l’Empire colonial français au premier conflit mondial dans les multiples registres de l’engagement, des conséquences et des héritages. Elle entend faire connaitre et comprendre le rôle des hommes de l’Empire engagés dans la guerre en mettant en avant une histoire partagée.
L’exposition permettra de livrer à tous les publics des clés de compréhension de l’histoire et des mémoires des anciennes colonies et territoires français. En effet, cette histoire entre la France et son Empire est à la fois ancienne et éminemment contemporaine dans le contexte particulièrement sensible de l’écriture de l’histoire coloniale.
L’exposition « Combattre loin de chez soi, l’Empire colonial dans la Grande Guerre » que présente le musée de la Grande Guerre adopte une position mesurée, rigoureuse qui s’inscrit dans la continuité de sa collection permanente, bâtie sur les aspects sociétaux et militaires de la Grande Guerre.
Dans une approche pluridisciplinaire, l’exposition donne à comprendre les enjeux des récits historiques à travers la présentation de figures, de données scientifiques, d’oeuvres, de documents et d’objets issus des collections du musée ou de celles de partenaires institutionnels.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn

Musée départemental Albert-Kahn, Boulogne-Billancourt : jusqu’au 31 décembre 2024

Après un cycle d’expositions consacré au voyage (Autour du Monde, puis Rio-Buenos Aires 1909), le musée poursuit sa déclinaison des « fondamentaux » du projet du célèbre banquier philanthrope avec sa grande exposition de l’année : Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn, qui illustre la passion du philanthrope pour le végétal à travers les milliers d’images réalisées dans ses jardins de Boulogne et du Cap-Martin, accompagnées d’œuvres d’artistes contemporains. Sur une proposition de l’historienne de l’art et commissaire d’exposition Luce Lebart, elle réunit près de 200 photographies autochromes pour la plupart présentées pour la première fois au public, accompagnées de films, objets, et d’une série de contributions d’artistes contemporains invités.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

Roues libres. La grande histoire du vélo

Musée du Domaine départemental de Sceaux : jusqu’au 31 décembre 2024

À l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, qui se tiendront respectivement du 26 juillet au 11 août 2024 et du 28 août au 8 septembre 2024, le musée du Domaine départemental de Sceaux proposera dans l’Orangerie une grande exposition consacrée aux cycles, des origines de ce moyen de transport né avec la draisienne au début du XIXe siècle, aux pratiques sportives et ludiques actuelles. Le projet s’appuie sur la présence, dans les collections du MDDS, d’un ensemble de 25 cycles anciens ayant appartenu à Robert Grandseigne (1885-1961), pionnier de l’aviation et grand amateur de vélos. Ce fonds comprend notamment le vélocipède à vapeur (1870-1871) de Louis-Guillaume Perrault (1816-1889), considéré comme la première moto de l’histoire, statut qui confère à cet objet une place de premier ordre dans l’histoire des techniques et fait par conséquent du musée un acteur légitime sur ce thème.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

Être peintre dans la France de l’Après-guerre, l’étonnant parcours de Denise Ferrier (1920-2011)

Musée des Ursulines, Mâcon : jusqu’au 31 décembre 2024

L’exposition présentée au musée des Ursulines de Mâcon met en lumière le parcours complexe d’une femme peintre dans la période complexe de la France de l’Après-guerre. C’est une invitation à découvrir une œuvre singulière se déployant de 1950 jusqu’en 2011.
Installée à Paris dès 1947, Denise Ferrier bénéficie du soutien de personnalités artistiques importantes telles André Lhote ou Henry Valensi, mais ne trouve pas la reconnaissance attendue. Ce n’est qu’en 2021 que plusieurs de ses toiles intègrent les collections du Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou à Paris.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

Rodin/Bourdelle. Corps à corps

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 1er juin 2025

Bourdelle admira Rodin. Rodin soutint Bourdelle qui fut son praticien, et perçut en lui son héritier. Deux artistes liés par une amitié et une admiration réciproques dont les carrières, mais aussi les vies, furent entremêlées.
Rassemblant plus de 170 oeuvres (sculptures, dessins, mais aussi photographies et archives), ce face-à-face entre deux grands maîtres de la sculpture donne à voir, avec une ambition et une ampleur inédite, près de 50 ans de création commune ou croisée.
Cette exposition a été initiée et conçue par le musée Bourdelle/Paris Musées et le musée Rodin. Elle est organisée en collaboration entre le musée Bourdelle/Paris Musées, le musée La Piscine de Roubaix et le musée Ingres Bourdelle de Montauban.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Elsa Sahal : Pool Dance

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 1er juin 2025

Initiée au modelage de la terre, qui permet métamorphoses et expressions du corps, Elsa Sahal incarne le renouveau de la sculpture en céramique. Sa série des « Pole Dance », rebaptisée pour La Piscine, s’inspire des poses lascives et tournoyantes de cette discipline aérienne, mais aussi de l’observation des esquisses de Rodin. La sculpture décomplexée d’Elsa Sahal, dont l’art mêle liberté d’expression et humour, entre ainsi en parfaite résonance avec l’exposition Rodin/ Bourdelle. Corps à corps.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Sans dessus-dessous

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 8 juin 2025

Vêtements de dessous, vêtements de dessus, habits de l’intimité se révélant au grand public : la confusion règne au fil des époques. Les cabines Mode de La Piscine décryptent l’art du déshabillé à travers des tenues issues des collections du musée.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19