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Workshop #2 – Palais des Beaux-Arts de Lille
Mathurin Méheut, arpenteur de la Bretagne – Musée de Pont-Aven
Lecoanet Hemant -Cité de la Dentelle et de la Mode, Calais
Drawing Now Art Fair – Le Salon du dessin contemporain
RCR Arquitectes. Ici et ailleurs, la matière et le temps – Musée Soulages
Vaux-le-Vicomte en fête
En route vers l’impressionnisme – Musée de Lodève
Insurgé.es ! Regards sur celles et ceux de la Commune de Paris de 1871 – Musée d’art et d’histoire Paul Eluard, Saint-Denis
Salon International du Patrimoine Culturel
Impressions au fil de l’Oise
Rêve d’Egypte – Musée Rodin
Du Temps sois la mesure – Drawing Lab Paris
William Morris (1834-1896) : L’art dans tout – Musée La Piscine
Artistes voyageuses. L’appel des lointains 1880-1944 – Palais Lumière, d’Evian
Maison Impressionniste Claude Monet – Argenteuil
Château de Vaux-le-Vicomte
ST-ART STRASBOURG
Musée de la Grande Guerre
Vaux-le-Vicomte en Fête
Musée des Arts Précieux Paul-Dupuy
Hommage des Aveyronnais à Pierre Soulages
Luke Newton : Un produit de consommation – Musée La Piscine
Pierre Soulages
Feuillages. L’art et les puissances du végétal – Editions Hazan
Du Temps sois la mesure – par Francois RÉAU au Drawing Lab Paris
Sur le fil. Création textile des femmes afghanes – Musée national des arts asiatiques – Guimet
Afghanistan. Ombres et légendes – Musée national des arts asiatiques – Guimet
Roubaix à l’heure anglaise 1840-1968 – Musée La Piscine
Salon International du Patrimoine Culturel
La chambre Valentinois – Palais Princier de Monaco
Nous, les fleuves – Musée des ConfluencesNous, les fleuves –
« Prière de toucher. L’Art et la matière » – Palais des Beaux-Arts de Lille
Drawing Hotels Collection
Chapitre 2 : Terminal – MusVerre
« Du Temps sois la mesure » par Francois RÉAU – Drawing Lab
Palais princier de Monaco
En route vers l’impressionnisme – Musée de Lodève
Les soirées aux chandelles
Domaine de Vaux-le-Vicomte
Tous les samedis, jusqu’au 30 septembre 2023
Et tous les vendredis de juillet et août
2000 bougies et un feu d’artifice scénarisé
On profite des beaux jours pour découvrir le domaine à la lumière vacillante de deux mille bougies, illuminant château et jardins à la française. Dîner raffiné romantique, jeux, bar à champagne, complètent cette délicieuse soirée hors du temps.
A l’issue de la soirée un feu d’artifice vous fait revivre la fête du 17 août 1661 grâce à la lecture, interprétée par Jean Dussolier, de la lettre écrite par Jean de La Fontaine à son ami Maucroix !
Un moment magique, qui transporte les visiteurs plus de 360 ans en arrière.
Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36
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Fleurs de pierre, regard botanique sur le patrimoine
Château de Châteaudun
Jusqu’au 1er octobre 2023
Le botaniste et directeur du Jardin Majorelle de Marrakech Marc Jeanson est invité au château de Châteaudun. Il s’attachera à constituer un herbier vivant des plantes chasmophytes (poussant sur les rochers) des jardins et des murs du château et des plantes saxifrages (casseuses de pierres). L’exposition rassemblera des prêts exceptionnels et présentera au sein des différents espaces du château des herbiers, des documents photographiques anciens et contemporains, ainsi que des collections botaniques vivantes. Cette programmation s’inscrit dans la saison culturelle de la Région des Pays de la Loire « Le jardin de la France ».
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
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René Iché (1897-1954) : l’art en lutte
La Piscine, Roubaix
Du 24 juin au 3 septembre 2023
Cette exposition fait redécouvrir René Iché (1897-1954), figure même de l’artiste engagé, considéré comme l’un des plus remarquables représentants de la sculpture moderne française puis, après-guerre, du mouvement de la Figuration européenne. Ses recherches esthétiques et techniques ont été menées de front avec une réflexion plus générale sur la place de l’artiste dans la société et dans l’histoire. Il a développé une production érudite, à plusieurs niveaux de lecture, interrogeant ses expériences intimes pour concevoir une œuvre contemporaine de portée universelle. Le motif de la lutte, comprise comme corps-à-corps charnel, ou comme combat, résistance, défense d’une cause, est au cœur de son œuvre et constitue le fil directeur de l’exposition.
Proche d’Apollinaire et de Max Jacob, soutenu par Bourdelle, ce vétéran de 14-18 conçoit à Montparnasse dès ses premières ébauches d’Homme succombant ou de Lutteurs. Deux décades plus tard, alors qu’il a rejoint la Résistance, au sein du réseau du musée de l’Homme, Iché reprend ces thèmes et les décline de manière quasi obsessionnelle. Très tôt, il a accompagné les thèmes et engagements des surréalistes comme en témoignent son Inconnue de la Seine, les masques d’André Breton et de Paul Eluard. Dans les années trente et quarante, Iché livre des bustes et des statues qui sont autant des figures psychologiques que des manifestes. Après la Libération, il inscrit ses Otages de Puiseaux ou ses Lutteurs de Carcassonne dans un espace ouvert où la sculpture monumentale s’allie à l’architecture. En 1954, il décède prématurément à Paris alors qu’il vient d’être désigné pour imaginer le Monument aux martyrs d’Auschwitz.
Cette exposition monographique d’envergure, la première organisée depuis 25 ans par un musée français réunit, grâce aux prêts consentis par la famille de l’artiste et maintes collections publiques françaises ou étrangères, plus d’une centaine d’œuvres, bien souvent inédites.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Guernica : l’histoire immédiate
La Piscine, Roubaix
Du 24 juin au 3 septembre 2023
À l’occasion de l’exposition « René Iché », le musée de Roubaix met en valeur Guernica, une oeuvre méconnue, aussi emblématique de l’engagement de l’artiste qu’atypique dans sa production, réaction immédiate à un événement historique très contemporain et vision apocalyptique de l’avenir.
Le 26 avril 1937, la ville basque de Guernica est bombardée par des avions envoyés par l’Allemagne nazie et l’Italie fasciste, en soutien aux rebelles nationalistes, emmenés par le général Franco, contre le gouvernement de la Seconde République espagnole. Les hommes étant aux champs, femmes et enfants sont les principales victimes de ce qui constitue le premier raid de l’histoire de l’aviation militaire moderne sur une population civile sans défense. Cet épisode de la guerre d’Espagne marque les esprits par l’ampleur et la violence de la répression des anti-franquistes et ce qui apparaît vite comme un acte terroriste.
Guernica de Picasso, monumental « échiquier de la vie et de la mort » (pour reprendre les termes de Michel Leiris), a joué pour beaucoup dans la propagande républicaine avant de devenir un symbole politique, intemporel et universel, des guerres et des violences faites aux populations civiles. Mais Picasso n’est pas le seul artiste à avoir réagi à ce désastre dont le retentissement est fort dans les milieux antifascistes. L’exposition permet de (re)découvrir, entre autres, l’ambitieuse composition du peintre Jean Amblard (1911-1989) conservée au musée de Denain, l’eau-forte de Jean Deville (1901-1972) (dont la composition figurant la Mort dévoilant son vrai visage devant les ruines de Guernica fut acquise dès 1937 par l’État français), ou encore le célèbre poème de Paul Éluard, intitulée La Victoire de Guernica.
Au centre du propos, figure la terrifiante sculpture que René Iché modèle vraisemblablement dès le 27 avril 1937 à l’annonce radiophonique du bombardement. Interrompant le dîner familial, il aurait fait poser sa plus jeune fille, Hélène, âgée de 6 ans, et ainsi exécuté dans l’urgence un corps de fillette debout, mi-chair, mi-os, au regard fixe et impitoyable, vêtu d’une robe en lambeaux et dont le déhanché arrogant évoque les danses macabres du Moyen-Âge derrière le cauchemar contemporain. L’artiste n’exposa cette œuvre, qu’il intitulait Guernica ou Giovinezza (pour Jeunesse, le chant de Giuseppe Blanc devenu hymne officiel du parti fasciste à partir de 1923), qu’une seule fois de son vivant, en 1940.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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T @VanessaRavenaux
Les derniers Soulages. 2010-2022
Musée Soulages, Rodez
Du 24 juin 2023 au 7 janvier 2024
Pierre Soulages parti le 25 octobre 2022, plus que jamais le musée veut lui rendre hommage en confirmant que l’oeuvre des dernières années réserve sa part de découverte et surtout la matérialisation intacte d’une forte énergie créatrice : des oeuvres de grandes dimensions, une matière riche, un noir travaillé à la lame pour en accentuer la brillance, les effets de lumière, la réintroduction du blanc… Ceux qui ont eu la chance de fréquenter son atelier à Sète et à Paris, dans cette décennie savent à quel point Soulages a travaillé avec passion et opiniâtreté.
Les dernières oeuvres ont la subtilité de la célèbre citation de Lampedusa : le tremblement perceptif à l’épreuve du passé, la fidélité à soi-même et pourtant des solutions nouvelles, des échappées. Changer tout en revenant à des fondamentaux des premiers temps.
Aussi, le musée Soulages a souhaité réaliser une rétrospective aussi complète que possible du peintre ruthénois. Nous avons envisagé une sélection de 35 à 40 oeuvres, des Outrenoir, sur le principe de reprendre le fil de la production de 2010 après la grande exposition du Centre Pompidou à 2022 (Peinture 102 X 130 cm, 15 mai 2022, son ultime peinture dans l’atelier de Sète).
Cette exposition sera à n’en pas douter un hommage et un point d’étape de l’oeuvre de ce grand peintre.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
T @aurelie_cadot
L aureliecadot
Artistes voyageuses, l’appel des lointains (1880-1944)
Musée de Pont-Aven
Du 24 juin au 5 novembre 2023
En partenariat avec le Palais Lumière d’Evian
Une quarantaine d’artistes et de photographes, de la « Belle Époque » à la seconde guerre mondiale, dont les itinéraires artistiques ont emprunté les routes de l’ailleurs, parcourant le monde, du continent africain à l’Orient lointain occuperont les cimaises du Musée de Pont-Aven à l’été 2023. Les premiers mouvements féministes encouragent les femmes à s’affirmer hors de l’espace domestique, et promeut l’image d’une « femme nouvelle » actrice de son destin. La formation académique des femmes, effectuée aux Beaux-Arts ou dans des académies privées, permet aux artistes femmes d’acquérir un statut professionnel et d’obtenir des bourses de voyage, des commandes pour les compagnies maritimes ou pour les expositions universelles et coloniales. Le tournant du XXe siècle est marqué par un renouvellement d’intérêt pour l’orientalisme, stimulé par le tourisme d’hivernage en Afrique Nord, et encouragé par les expositions de la Société des peintres orientaliste français auxquelles participent Marie Caire-Tonoir et Marie Aimée Lucas-Robiquet. À partir des années vingt, ce sont les territoires de « la plus grande France » qui invitent de nombreuses artistes aux voyages, loin du monde occidental, de l’Afrique équatoriale à Madagascar, jusqu’à la péninsule indochinoise et au-delà. D’autres voyagent jusqu’au Tibet et en Chine, telles Alexandra David-Neel, Léa Lafugie, et Simone Gouzé. Parfois le voyage devient le déclencheur d’une carrière de photographe, c’est le cas pour Denise Colomb et Thérèse Le Prat. L’exposition présente en outre d’autres itinéraires, celui de deux artistes chinoises, Fan Tchunpi et Pan Yuliang, venues en France étudier aux Beaux-arts de Paris, puis voyageant en Europe et en Chine.
Quelque deux cents peintures, sculptures, dessins, affiches et photographies questionnent l’altérité. Une riche documentation permet d’appréhender le contexte culturel et sociétal de la Troisième République, marqué à la fois par les premiers mouvements féministes et l’expansion coloniale.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
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Yves Saint Laurent : Transparences
Cité de la dentelle et de la mode, Calais – Du 24 juin au 12 novembre 2023
En 2023, la Cité de la dentelle et de la mode met en lumière l’œuvre d’Yves Saint Laurent, couturier majeur du XXeme siècle. L’exposition est co-produite avec le Musée Yves Saint Laurent Paris.
En s’attachant au thème de la transparence, cette collaboration inédite des deux musées permet de révéler combien le couturier a su renverser les codes du dévoilement du corps féminin. A travers une soixantaine de modèles issus des collections de la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent et de la Cité de la dentelle et de la mode, complétés d’accessoires, de dessins, de photographies et de vidéos, l’exposition démontre la manière dont Yves Saint Laurent a su utiliser les effets de transparence des tissus pour proposer une figure de femme nouvelle, puissante et sensuelle.
L’exposition sera présentée en 2 volets, à la Cité de la dentelle et de la mode du 24 juin au 12 novembre 2023, puis au Musée Yves Saint Laurent Paris à partir de début 2024. Un ouvrage largement illustré accompagnera l’exposition.
Co-commissariat : Elsa Janssen, direction du Musée Yves Saint Laurent Paris, Domitille Éblé, chargée de collection arts graphiques, Shazia Boucher et Anne-Claire Laronde, direction des musées de Calais.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
T @aurelie_cadot
L aureliecadot
La Grande Journée Costumée
Domaine de Vaux-le-Vicomte
Le dimanche 25 juin 2023
Une expérience insolite et magique
C’est le moment tant attendu des amoureux du XVIIe siècle ! Une journée costumée à la mode de l’époque, où les danses baroques se mêlent aux spectacles de mousquetaires et promenades en calèche. Une expérience unique de l’art de vivre à la française au temps de Louis XIV et Nicolas Fouquet. Les visiteurs non costumés pourront également déambuler dans les jardins, parrés d’un masque doré qui leur aura été remis à l’entrée du domaine.
Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36
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Rio – Buenos Aires 1909. Modernités sud-américaines
Département des Hauts-de-Seine, Musée Albert-Khan, Boulogne-Billancourt
Du 27 juin au 19 novembre 2023
Le Département des Hauts-de-Seine présente la nouvelle exposition temporaire du musée départemental Albert-Kahn « Rio – Buenos Aires 1909. Modernités sud-américaines », qui retrace un voyage d’affaires que le banquier et philanthrope Albert Kahn entreprit en Argentine et au Brésil d’août à octobre 1909. Ce voyage est celui du passage à la couleur, avec particulier les premières autochromes réalisées hors de France à l’instigation d’Albert Kahn, dans la période précédant le déploiement à grande échelle du projet des Archives de la Planète. L’exposition présente des images inédites de ce fonds peu connu, dans un parcours immersif et pédagogique qui prend pour toile de fond l’explosion urbaine de ces jeunes nations sud-américaines résolument tournées vers l’Europe.
Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Inauguration de l’oeuvre “Ether” de Kohei Nawa
Île Seguin, Boulogne-Billancourt
Le 28 juin 2023
“Ether (Égalité)”, l’œuvre imaginée par le sculpteur Kohei Nawa et DANAE.IO sera inaugurée sur la pointe de l’Île Seguin le 28 juin 2023 !
Ether, sculpture proposée par l’agence Danae et l’artiste japonais Kohei Nawa, a remporté le concours international lancé par le Département des Hauts-de- Seine, afin de doter d’une œuvre monumentale la pointe aval de l’Ile Seguin à Boulogne-Billancourt, à proximité de La Seine Musicale. Cette œuvre incarne l’idée d’Egalité, en écho à la statue de la Liberté d’Auguste Bartholdi, installée au pied du Pont de Grenelle à Paris.
Ether est une sculpture tridimensionnelle de 25 mètres de haut, faite de 12 facettes, comme un écho à l’architecture de la sphère de La Seine Musicale, en inox peint d’un chrome mat légèrement rosé. L’œuvre symbolise la notion d’égalité figurant dans tout principe de gravité. La gravité agit de la même manière pour toute vie sur terre, nous rendant tous égaux.
Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
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Angles de Vision, Sculptures / Installations
Friche de l’Escalette, Marseille
Du 1er juillet au 31 août 2023 et les week end de septembre et octobre
Artistes : Richard Baquié, Jean Amado, François Stahly
La Friche de l’Escalette située à l’orée du Parc National des Calanques de Marseille offre à la visite les vestiges de son patrimoine industriel remarquable pour la huitième saison estivale consécutive.
Le cadre monumental de ces ruines accueille cette année des artistes que rien ne rapproche en apparence. Richard Baquié pour qui le concept prime sur la forme. Jean Amado et François Stahly, artistes-artisans héritiers de savoirs-faire ancestraux, pour qui la qualité d’exécution va de pair avec leur vision spirituelle de l’art. Cependant en dépit de ces angles de vision et de ces moyens d’expression si différents, leur engagement total pour leur art et leur faculté à créer des œuvres poétiques rapprochent ces trois personnalités. De plus, la patine de l’histoire – nous parlons là de la deuxième moitié du siècle dernier – ajoute une distanciation avec le contexte de la création, particulièrement chez Baquié, lorsque s’agissant d’un message à connotation politique. Reste donc l’objet offert à notre contemplation – sans discours… où si peu – et ses qualités plastiques alliées à une certaine nostalgie pour ce passé récent et déjà si lointain, d’où résulte cette alchimie qui fait la différence avec ce qui est condamné à disparaître dans les poubelles de l’histoire ou à s’inscrire durablement dans la postérité.
La collection permanente d’œuvres modernes et contemporaines, qui s’étoffe d’année en année, représentée par des œuvres de l’Atelier Baptiste & Jaïna, Héloïse Bariol, Parvine Curie, Marjolaine Dégremont, Myriam Mihindou, Costas Coulentianos, Gérard Lardeur, Vincent Scali, François Stahly, Gérard Traquandi, Pierre Tual, Adrien Vescovi, Luciano et Ivan Zanoni… et par Jean Prouvé pour l’architecture, émaille le parcours de la visite.
Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
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Les médiévales de la Renaissance
Département de la Seine-Maritime, Parc animalier et botanique de Clères Centre-bourg de Clères
Les 8 et 9 juillet 2023
Les médiévales de Clères en renaissance est un événement festif qui se déroule à la fois dans la commune de Clères de 1 400 habitants, située à 25 km au nord de Rouen et dans le parc animalier et botanique, propriété du Département de la Seine-Maritime. La dernière édition en date avait rassemblé 10 000 visiteurs.
Au programme de ce week end festif, des reconstitutions historiques, des défilés en costumes allant du début du moyen-âge à la fin de la Renaissance, des tournois d’archerie et un grand bal Renaissance organisé au coeur de la commune.
Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36
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Man Ray, le beau temps
La Banque, musée des Cultures et du Paysage, Hyères
Du 8 juillet au 19 novembre 2023
La Banque, musée des Cultures et du Paysage d’Hyères, propose l’exposition Man Ray, le beau temps, du 08 juillet au 19 novembre 2023. Cette exposition, qui a obtenu le label d’exposition d’intérêt national du Ministère de la Culture, sera divisée en quatre parties : les oeuvres emblématiques de Man Ray, la visite de l’artiste à la Villa Noailles à la fin des années 1920, les portraits des surréalistes et les photos du groupe surréaliste dans le Sud. Cette exposition présentera près de 200 oeuvres : photos, statues, peintures, lithographies, manuscrits.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
T @VanessaRavenaux