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Être(s) ensemble – Musée d’Ethnographie de Genève
Fleurs de pierre, regard sur le patrimoine – Château de Chateaudun
Naples pour passion. Chefs d’oeuvre de la collection De Vito – Musée Granet
Ether – Kohei Nawa et Danae.io à l’Ile Seguin
Afrique, mille vies d’objets – Musée des Confluences
Le Gué – Domaine départemental de Sceaux
Rio-Buenos Aires 1909. Modernités sud-américaines – Musée départemental Albert-Kahn
Écran total, par Corinne Vionnet
Musée de Pont-Aven : du 1er février au 4 mai 2025
L’exposition de l’artiste franco-suisse Corinne Vionnet intitulée « Écran Total » présente une centaine d’oeuvres issues de plusieurs séries, notamment Photo Opportunities, Me Here Now, Scenic Views, Total Palm Tree… Cette exposition monographique représente une étape importante dans la reconnaissance de son oeuvre.
Son travail est une réflexion sur le partage et la répétition des images, à l’heure du numérique, des réseaux sociaux et du tourisme de masse. Elle interroge le risque de l’épuisement du regard. Sa démarche artistique s’appuie sur le collage après un travail considérable de repérages et de recherches d’archives. Elle est l’une des premières artistes à avoir exploré et réutilisé les images partagées sur internet.
Pour cette exposition, Corinne Vionnet a créé deux oeuvres exclusives à partir de paysages bretons : la pointe de Pen hir (les fameux tas de pois) et la ville close de Concarneau.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
Trop forts !
Musée des Confluences, Lyon : du 19 février au 31 décembre 2025
Dans le désert, sous un froid glacial, ou encore en haute montagne, certaines espèces animales sont capables de vivre dans des milieux extrêmes. L’exposition, imaginée pour les enfants de 8 à 12 ans, emmène tous les grands curieux sur les traces de ces animaux aux capacités étonnantes. Vivre sans jamais boire, respirer à 10 000 m d’altitude ou pouvoir être entièrement pris dans la glace : si ces aptitudes semblent défier notre compréhension, elles inspirent les scientifiques et pourraient permettre de grandes innovations.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
René Iché (1897-1954) : l’art en lutte – La Piscine
Jon One : la tentation du décor – La Piscine
Galerie Houg
Médecines d’Asie. L’art de l’équilibre – Musée Guimet
Les Femmes dans la Grande Guerre – Musée de la Grande Guerre de Meaux
Open Museum Jeu Vidéo – Palais des Beaux-Arts de Lille
Sur le fil – MusVerre
Folles Époques ! – Spectacle historique de Meaux
Un siècle pour le musée – Société des Amis du Musée Guimet
Jean Sala. 1869-1918. Couleurs d’une époque – Musée Bernard Boesch
Maison et Jardins Claude Monet à Giverny – Fondation Claude Monet
Avec la lumière – Galerie Guillaume
Rendez-vous aux jardins
Sur les pas d’Atget – Domaine de Sceaux
Les soirées aux chandelles – Domaine de Vaux-le-Vicomte
À corps
MusVerre, Sars-Poteries : du 21 février 2025 au 4 janvier 2026
La nouvelle exposition du MusVerre explore les facettes du corps humain revisité par les artistes verriers et plasticiens : en mouvement ou au repos, du détail à l’ensemble, du trivial au sublime. La visite propose de se pencher sur les subtiles mécaniques du vaisseau charnel. C’est une occasion d’en admirer les rouages, d’en reconnaître les limites aussi bien que les mérites, et, peut-être, d’apprivoiser davantage cet organisme à la fois complexe et merveilleux.
Par une diversité de points de vue, l’exposition nous invite à un examen minutieux, presque radioscopique, de l’organisme humain ; son parcours propose un cheminement allant du corps trivial vers le sublime.
La première partie nous plonge dans l’intimité du genre humain et s’intéresse à sa représentation quotidienne, banale et prosaïque. Les corps sont dénudés, rendus visibles et dévoilés aux spectateurs dans toute leur vérité physique et leur vulnérabilité. Le parcours se poursuit par l’étude mathématique du corps, sa fragmentation et sa mise en mouvement pour aboutir à sa représentation dans l’espace public. Passant de l’ombre à la lumière, le second temps de l’exposition nous amène à découvrir des êtres sublimés, glorifiés, voire métaphoriques. Échappant à la tyrannie du corps physique, les artistes nous offrent un tableau plus sensible et poétique de l’enveloppe charnelle. Magnifié, voire rêvé, il devient le support d’un message, d’un symbole et d’un idéal. C’est dans une approche quasi introspective que les artistes nous invitent à un examen de soi.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Victor Hugo nu debout – Musée Rodin
Emprunt Lointain – Musée d’Art et d’Histoire Louis Senlecq
Open Museum Jeu Vidéo. Les studios Ankama et Spiders s’invitent au musée – Palais des Beaux-Arts de Lille
Ruines. Variations photographiques – Abbaye de Jumièges
Réouverture [mac] musée d’art contemporain de Marseille
Nouveau Parcours
Musée des beaux-arts, Calais
Depuis le 13 mai 2023
Le Musée des beaux-arts de Calais entame une période de transformation de ses volumes intérieurs. Il modifie ses espaces et présente de nouvelles galeries permanentes consacrées aux collections Beaux-Arts.
Plus de deux cent oeuvres sont à découvrir au travers d’un parcours qui nous plonge dans l’histoire de l’art du 16ème siècle à nos jours. Une dizaine de thématiques facilitent l’appréhension de l’évolution des pratiques et des goûts artistiques, notamment aux 19ème et 20ème siècles.
En plus des oeuvres sorties des réserves qui sont présentées, deux nouveaux ensembles d’oeuvres viennent d’être offerts au musée par des descendants d’artistes. Ces dons aussi importants en nombre et en qualité sont exceptionnels. Une partie de ces oeuvres est exposée dans les nouvelles salles : la collection Jeanne Thil en peinture (née à Calais en 1887) et une importante donation du sculpteur Henri Delcambre en sculpture (né à Marquise en 1911 et ayant grandi à Calais).
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
Combattre loin de chez soi. L’empire colonial français dans la Grande Guerre
Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 30 décembre 2024
Cette exposition du musée de la Grande Guerre s’attache à expliquer la portée et les particularités de la participation de l’Empire colonial français au premier conflit mondial dans les multiples registres de l’engagement, des conséquences et des héritages. Elle entend faire connaitre et comprendre le rôle des hommes de l’Empire engagés dans la guerre en mettant en avant une histoire partagée.
L’exposition permettra de livrer à tous les publics des clés de compréhension de l’histoire et des mémoires des anciennes colonies et territoires français. En effet, cette histoire entre la France et son Empire est à la fois ancienne et éminemment contemporaine dans le contexte particulièrement sensible de l’écriture de l’histoire coloniale.
L’exposition « Combattre loin de chez soi, l’Empire colonial dans la Grande Guerre » que présente le musée de la Grande Guerre adopte une position mesurée, rigoureuse qui s’inscrit dans la continuité de sa collection permanente, bâtie sur les aspects sociétaux et militaires de la Grande Guerre.
Dans une approche pluridisciplinaire, l’exposition donne à comprendre les enjeux des récits historiques à travers la présentation de figures, de données scientifiques, d’oeuvres, de documents et d’objets issus des collections du musée ou de celles de partenaires institutionnels.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn
Musée départemental Albert-Kahn, Boulogne-Billancourt : jusqu’au 31 décembre 2024
Après un cycle d’expositions consacré au voyage (Autour du Monde, puis Rio-Buenos Aires 1909), le musée poursuit sa déclinaison des « fondamentaux » du projet du célèbre banquier philanthrope avec sa grande exposition de l’année : Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn, qui illustre la passion du philanthrope pour le végétal à travers les milliers d’images réalisées dans ses jardins de Boulogne et du Cap-Martin, accompagnées d’œuvres d’artistes contemporains. Sur une proposition de l’historienne de l’art et commissaire d’exposition Luce Lebart, elle réunit près de 200 photographies autochromes pour la plupart présentées pour la première fois au public, accompagnées de films, objets, et d’une série de contributions d’artistes contemporains invités.
Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
Roues libres. La grande histoire du vélo
Musée du Domaine départemental de Sceaux : jusqu’au 31 décembre 2024
À l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, qui se tiendront respectivement du 26 juillet au 11 août 2024 et du 28 août au 8 septembre 2024, le musée du Domaine départemental de Sceaux proposera dans l’Orangerie une grande exposition consacrée aux cycles, des origines de ce moyen de transport né avec la draisienne au début du XIXe siècle, aux pratiques sportives et ludiques actuelles. Le projet s’appuie sur la présence, dans les collections du MDDS, d’un ensemble de 25 cycles anciens ayant appartenu à Robert Grandseigne (1885-1961), pionnier de l’aviation et grand amateur de vélos. Ce fonds comprend notamment le vélocipède à vapeur (1870-1871) de Louis-Guillaume Perrault (1816-1889), considéré comme la première moto de l’histoire, statut qui confère à cet objet une place de premier ordre dans l’histoire des techniques et fait par conséquent du musée un acteur légitime sur ce thème.
Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
Être peintre dans la France de l’Après-guerre, l’étonnant parcours de Denise Ferrier (1920-2011)
Musée des Ursulines, Mâcon : jusqu’au 31 décembre 2024
L’exposition présentée au musée des Ursulines de Mâcon met en lumière le parcours complexe d’une femme peintre dans la période complexe de la France de l’Après-guerre. C’est une invitation à découvrir une œuvre singulière se déployant de 1950 jusqu’en 2011.
Installée à Paris dès 1947, Denise Ferrier bénéficie du soutien de personnalités artistiques importantes telles André Lhote ou Henry Valensi, mais ne trouve pas la reconnaissance attendue. Ce n’est qu’en 2021 que plusieurs de ses toiles intègrent les collections du Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou à Paris.
Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
Rodin/Bourdelle. Corps à corps
La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 1er juin 2025
Bourdelle admira Rodin. Rodin soutint Bourdelle qui fut son praticien, et perçut en lui son héritier. Deux artistes liés par une amitié et une admiration réciproques dont les carrières, mais aussi les vies, furent entremêlées.
Rassemblant plus de 170 oeuvres (sculptures, dessins, mais aussi photographies et archives), ce face-à-face entre deux grands maîtres de la sculpture donne à voir, avec une ambition et une ampleur inédite, près de 50 ans de création commune ou croisée.
Cette exposition a été initiée et conçue par le musée Bourdelle/Paris Musées et le musée Rodin. Elle est organisée en collaboration entre le musée Bourdelle/Paris Musées, le musée La Piscine de Roubaix et le musée Ingres Bourdelle de Montauban.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Elsa Sahal : Pool Dance
La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 1er juin 2025
Initiée au modelage de la terre, qui permet métamorphoses et expressions du corps, Elsa Sahal incarne le renouveau de la sculpture en céramique. Sa série des « Pole Dance », rebaptisée pour La Piscine, s’inspire des poses lascives et tournoyantes de cette discipline aérienne, mais aussi de l’observation des esquisses de Rodin. La sculpture décomplexée d’Elsa Sahal, dont l’art mêle liberté d’expression et humour, entre ainsi en parfaite résonance avec l’exposition Rodin/ Bourdelle. Corps à corps.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
1923. Le Domaine de Sceaux. Les origines d’une renaissance – Domaine de Sceaux
Hiroshige et l’éventail. Voyage dans le Japon du 19ème siècle – Musée Guimet
Saison Prédateurs – Parc Zoologique de Paris
Regard d’artiste : Bertrand Gadenne. Les images réfléchies – Domaine de Trévarez
Marc Alberghina : Chronos – La Piscine – Musée d’art et d’industrie André Diligent de Roubaix
Métamorphoses : Violaine Laveaux dialogue avec Paul Doré – Musée de Lodève
Le Styx, la rivière des Enfers – Domaine de Vaux-le-Vicomte
Vacances de Printemps – Domaine de Vaux-le-Vicomte
Maison et Jardins Claude Monet – Giverny
L’Atelier Rodin
Sans dessus-dessous
La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 8 juin 2025
Vêtements de dessous, vêtements de dessus, habits de l’intimité se révélant au grand public : la confusion règne au fil des époques. Les cabines Mode de La Piscine décryptent l’art du déshabillé à travers des tenues issues des collections du musée.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Trésors de collectionneur – Château de Martainville – musée des traditions et des arts normands
Pulp.e – Drawing Lab
Réouverture du [mac] musée d’art contemporain de Marseille
Héroïnes silencieuses de la Grande Guerre – Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux
Réouverture hebdomadaire du musée d’Ennery
Jardins en Eveil – Jardins de l’Abbaye Saint-Georges de Boscherville
Marc Riboud, Vietnam (1967-1976)
Musée national des arts asiatiques-Guimet : du 5 mars au 12 mai 2025
A l’occasion des 50 ans de la fin de la guerre du Vietnam, l’association Les amis de Marc Riboud et le musée Guimet, qui conserve le fonds Riboud, s’associent pour présenter photographies et documents d’archives retraçant le travail de Marc Riboud au Vietnam (1967-1976).
Regardant aujourd’hui ses reportages qui documentent le Vietnam pendant près de dix ans, on reconnaît la « méthode » de Marc Riboud et son regard singulier. Il aimait revenir dans les pays qu’il avait visités. Il repérait les lieux et les habitudes, s’attachait aux gens, aimait les retrouver, comprendre leur pensée, voir comment évoluait leur vie. Il restait sur place autant qu’il le pouvait, interrogeant toutes sortes de personnes. Jamais il n’a été un photographe de guerre : quand l’on regarde ses reportages au Vietnam, ce ne sont pas les combats que l’on voit, mais la vie qui continue dans les ruines, les corps qui tentent de se reposer dans les refuges de fortune, les amoureux qui se retrouvent près des abris anti-bombes, la vivacité des enfants, la grâce des femmes. On découvre aussi le désespoir des veuves dans les temples ou dans les églises, le courage de ceux qui rebâtissent à mains nues, les digues ou des quartiers entiers en morceaux… C’est une vie bouleversée, blessée, mais une vie qui continue, tenace, envers et contre tout.
Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
Les Orchidées
Abbaye de Vaucelles : du 13 au 16 mars 2025
L’exposition d’orchidées & Bons plants de Vaucelles aura cette année pour thème « les couleurs des orchidées ». L’abbaye de Vaucelles organisera cet évènement du 13 au 16 mars 2025. Cette 34ème édition associera :
– le Mont Noir qui proposera une exposition de photographie d’orchidées sauvages et un atelier de réalisation de marque-pages fleuris
– le Musée Matisse qui animera sur les 4 jours une oeuvre collective sur papiers découpés et des ateliers individuels.
Ce rendez-vous annuel est l’évènement incontournable des orchidophiles et passionnés d’art floral. Des exposants et producteurs du monde entier sont présents chaque année pour conseiller et accompagner les visiteurs dans la culture d’orchidées.
La Société Nationale d’Horticulture de France décernera plusieurs prix, et de nombreuses animations, adaptées aux petits comme aux grands, ponctueront cette nouvelle édition.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Festival Chorus des enfants
Festival Chorus
Saison Prédateurs – Parc Zoologique de Paris
Ruines. Variations photographiques – Abbaye de Jumièges
Réouverture [mac] musée d’art contemporain de Marseille
Drawing Now Art Fair – Le Salon du dessin contemporain
Suzanne Husky, lauréate 2023 du Prix Drawing Now
Willy Ronis : se retrouver – Musée de Pont-Aven
La maison et les jardins de Claude Monet – Giverny
La Piscine – Musée d’art et d’industrie André Diligent de Roubaix
Emprunt Lointain – Musée Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq
Domaine de Sceaux
Château de Vaux-le-Vicomte
Saison Prédateurs – Parc Zoologique de Paris
Belles feuilles & petits papiers. Vincent Tavernier figures libres – La Piscine de Roubaix
Ruines – Variations Photographiques – Abbaye de Jumièges
Drawing Now Art Fair
Marc Riboud – Musée des Confluences
Sur les pas d’Atget – Domaine de Sceaux
Inspirations au potager – Abbaye Saint-Georges
Le printemps du dessin, 8ème édition
Partout en France : du 20 mars au 21 juin 2025
Créé en 2017, par l’équipe de Drawing Now Paris, la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.
Du 20 mars au 21 juin, en réunissant des lieux aussi différents que des Monuments nationaux, des artothèques, des FRAC ou des centres d’art, le Printemps du dessin inscrit la culture au sein même des territoires et répond déjà au souhait du Ministère de la Culture d’un « Printemps de la ruralité ».
À travers des expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et publics, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique.
Ces rencontres réparties au niveau national permettent à des publics différents une proximité avec les artistes et leur travail lors des expositions et rencontres. Le dessin facilite ces rencontres car ce medium paraît plus direct et accessible.
En 2024, 76 structures ont oeuvré partout en France pour faire du printemps une grande fête du dessin en mettant le sport au coeur de la pratique dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques.
Pour cette nouvelle édition, le Printemps du dessin propose à ses participants d’imaginer une programmation autour du thème du langage et de l’écriture. Ces formes d’expression se rejoignent, en utilisant le dessin pour illustrer des idées, des récits et des émotions qui pourraient aussi être capturés par les mots. La 8e édition aura pour but de souligner le trait et la ligne comme outils narratifs, comme écriture universelle.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
David Hockney – Musée Granet
Complètement marteau ? La Piscine – Musée d’art et d’industrie André Diligent de Roubaix
Drawing Now Paris, 18e édition
Le salon du dessin contemporain
Le Carreau du Temple, Paris : du 27 au 30 mars 2025
La 18e édition de Drawing Now Paris, première foire d’art contemporain dédiée au dessin en Europe, aura lieu du 27 au 30 mars 2025 au Carreau du Temple à Paris. Pendant 4 jours, sur les deux niveaux du Carreau du Temple, plus de 70 galeries internationales vous feront découvrir toute la diversité du dessin
contemporain d’aujourd’hui et des 50 dernières années.
Afin d’approfondir la découverte du dessin contemporain, Drawing Now Paris multiplie les événements et propose une programmation associée autour d’une exposition en partenariat avec le Frac Picardie – Hauts de France et le Cnap.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
Willy Ronis : se retrouver – Musée de Pont-Aven
En route vers l’impressionnisme – Musée de Lodève
Le Département des Hauts-de-Seine
150e anniversaire du jardin botanique Val Rahmeh à Menton
En 2025, le jardin botanique Val Rahmeh-Menton célèbre son anniversaire, avec la création du domaine en 1875 : 150 ans d’une histoire marquée par les aménagements et les plantations initiés par ses occupants successifs. Le domaine est finalement cédé à l’État en 1966 qui confie la gestion du domaine au Muséum national d’Histoire naturelle. Il est ouvert au public depuis 1967.
Dans un environnement méditerranéen avec vue sur la mer depuis la terrasse de la villa, le jardin Val-Rahmeh abrite une exceptionnelle palette végétale : 1 800 espèces, des variétés méditerranéennes, mais aussi tropicales et subtropicales.
Labelisé EcoJardin, Val Rahmeh a mis en place des pratiques de culture respectueuses de l’environnement, économes en eau, en énergie et favorable à la biodiversité. Un suivi de la faune est aussi assuré, notamment des insectes ravageurs qui menacent certaines espèces végétales. Une gestion et une veille qui se révèlent essentiels en raison des effets du réchauffement climatique.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
TROP-PLEIN
MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’au 5 janvier 2025
Sur toute l’année 2024, cette exposition plurielle, réinterprétation d’un thème plus que jamais d’actualité, offre au public l’opportunité d’explorer les facettes de la société de surconsommation à travers plusieurs thématiques : le rapport à l’argent, qui conditionne tous les excès ; le gaspillage alimentaire et l’obsolescence programmée, qui engendrent chaque année des tonnes de déchets mettant en péril l’équilibre écologique planétaire ; enfin, les nouvelles perceptions et les codes inédits d’une société qui définit des normes difficilement atteignables. Entre images familières, symbolisme, références culturelles et historiques et oeuvres « à charge », les pièces de verre exposées viennent souligner avec justesse les excès contemporains.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Odette Lepeltier : Forme et couleur – La Piscine
Mémoires. Genève dans le monde colonial
MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 5 janvier 2025
Quel est le passé colonial de Genève ? Le Musée d’ethnographie en est-il l’un des acteurs ? Qu’en racontent ses collections ? Autant de questions que pose « Mémoires. Genève dans le monde colonial » la nouvelle exposition temporaire du MEG.
Dans le parcours d’exposition, de nombreux partenaires sondent notre histoire commune, redéfinissent le statut des collections ethnographiques et inventent leurs futurs. L’exposition questionne le rôle du MEG dans une société post-coloniale où les traces du passé, les discriminations et le racisme se font écho.
Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36
Boris Labbé, Ito Meikyū / Fil d’errance
Commissaire d’exposition : Judith Guez
Lauréats de la Bourse Drawing Lab Project 2024
Drawing Lab, Paris : jusqu’au 5 janvier 2025
La Bourse Drawing Lab Project 2024 d’un montant de 20 000 euros hors taxe a été attribuée à l’artiste Boris Labbé et la commissaire d’exposition Judith Guez. Ils exposent cet automne au Drawing Lab leur projet Ito Meikyū / Fil d’errance.
Boris Labbé cherche plusieurs manières d’exprimer la matière du dessin : de la faire « déborder, craquer, crépiter, proliférer, vivre ». Le dessin a toujours été central dans sa vie et s’est nourri de plusieurs rencontres et projets : du dessin classique à l’animation 3D, de la réalité virtuelle à la performance et installation vidéo. Dans cette exposition, le dessin devient volume et architecture avec l’oeuvre centrale Ito Meikyū (mot inventé du collage de deux mots : ito qui signifie « fil » et meikyū qui signifie « labyrinthe »). L’oeuvre immersive et interactive propose au spectateur de plonger dans une grande fresque animée. Elle présente une collection hétérogène de scènes dessinées, animées et sonores, qui sont prises dans la matière numérique. Elle recrée en quelque sorte un monde subjectif (monde intérieur et extérieur) sous la forme d’un labyrinthe composé d’architectures fractales, habitées de plantes, d’objets, d’animaux, d’hommes, de femmes, de motifs et de calligraphies. Le spectateur est invité à déambuler dans cet espace virtuel de manière libre en se laissant guider par le hasard de ses découvertes.
Cette installation en réalité virtuelle est inspirée par des oeuvres clés de l’art classique et la littérature japonaise (tel que Le Dit du Genji de Murasaki Shikibu et Les Notes de Chevets de Sei Shonagon), mais également par divers contacts et événements de la vie de l’artiste et de ses voyages au Japon.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
YUIMA NAKAZATO, Au-delà de la couture
Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 5 janvier 2025
La Cité de la dentelle et de la mode de Calais présente la première exposition consacrée au créateur de mode japonais Yuima Nakazato.
Personnalité artistique d’avant-garde, Yuima Nakazato façonne une mode humaniste et écologique qui repense les procédés de fabrication avec une volonté de démocratisation de la création sur mesure. Il fusionne pour cela la haute-technologie et les savoir-faire, les traditions d’Asie et d’Occident.
Dans un univers poétique et futuriste pensé avec le créateur, l’exposition s’appuie sur une cinquantaine de silhouettes ayant défilé au calendrier de la haute couture parisienne, des accessoires, des croquis de mode, des échantillons de matières, des photographies de mode et des vidéos.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny
du 1er avril au 1er novembre 2025
Après leur traditionnelle trêve hivernale, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes le 1er avril 2025. Un cycle immuable qui n’empêche pas le renouveau, tant horticole qu’artistique ! En ce mois d’avril, les jardins accueillent le public quand les cerisiers et pommiers rivalisent de floraisons nuageuses en un camaïeu rose, comme une évocation nippone. Tels des rehauts colorés, les narcisses blancs parfumés et les jonquilles éclaboussent le pied des arbres.
Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36
Eugène Dodeigne (1923-2015) : une rétrospective
La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025
Personnalité essentielle de la sculpture française contemporaine, à laquelle il a apporté une contribution singulière et reconnue dans le monde entier, Eugène Dodeigne est aussi l’une des figures de proue du Groupe de Roubaix.
Cette rétrospective, organisée une première fois en 2020 à La Piscine et qui n’avait pu alors ouvrir ses portes au public à cause de la pandémie, est l’occasion unique de découvrir un portrait renouvelé de l’artiste, en reconsidérant son oeuvre dans toute sa richesse. Aux côtés des pierres de Soignies – sa signature évidente –, seront présentés des plâtres, bois, bronzes, terres cuites, dessins, peintures et éléments de mobilier, embrassant en quelques 200 oeuvres – l’ensemble le plus important jamais rassemblé – près de soixante ans de création. A cette occasion, le catalogue de l’exposition dirigé par Germain Hirselj et qui a reçu en 2021 le prestigieux prix du Festival International du Livre d’Art et du Film, va aussi reparaître.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Mado Jolain (1921-2019), céramiste. Côté maison-Côté jardin
La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025
Dans le paysage de la céramique des années 1950, l’oeuvre de Mado Jolain (1921-2019) séduit par sa modernité et les jeux formels qu’elle a multipliés. La céramiste manifeste très tôt une préférence pour les volumes simples, architecturés et travaillés de telle sorte que l’articulation subtile de l’ombre et de la lumière puisse s’y épanouir.
Cet hommage rendu par La Piscine permettra au public de découvrir l’oeuvre d’une céramiste dont l’esprit libre épris de rigueur a compté dans le renouveau de la céramique des années 1950-1960.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
L’Or des Ming, fastes et beautés de la Chine impériale (14e – 17e siècle)
Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 13 janvier 2025
Comment se faire belle sous les Ming ? Une splendide exploration de l’esthétisme féminin à la cour impériale.
Le musée Guimet présente une exposition exceptionnelle de parures en or produites au temps de la dynastie des Ming (1368-1644), et de vases prêtés par le musée Qujian de Xi’an.
Métal précieux par excellence, l’or enrichit dès l’antiquité les ornements en bronze et en jade. Au temps des Ming, l’orfèvrerie d’or est réservée à l’entourage impérial et aux hautes classes sociales. Les peintures qui nous sont parvenues laissent un témoignage saisissant de vases et parures en or utilisés dans la vie quotidienne à la cour de l’Empereur. Les artisans royaux laissent alors libre cours à leur imagination pour commencer à fabriquer des bijoux et objets purement décoratifs, développant des savoir-faire et une haute maîtrise de techniques variées : gravure, filigrane, damasquinage, incrustation de jade ou de pierres précieuses.
Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
Soirée Love – Musée Rodin
Nous qui désirons sans fin – Drawing Lab
Workshop #2 – au Palais des Beaux-Arts de Lille
Marc Riboud – Musée des Confluences
David Hockney – Musée Granet
Biennale des Imaginaires Numériques
4ème édition
Aix-en-Provence, Marseille, Avignon, Arles, Istres : jusqu’au 19 janvier 2025
Après avoir réuni plus de 98 000 personnes lors de sa troisième édition, la Biennale des Imaginaires Numériques revient du 7 novembre 2024 au 19 janvier 2025 à Aix-en-Provence, Marseille, Avignon et avec de nouveaux partenaires à Istres et Arles.
Créée en 2018 et organisée par CHRONIQUES – la Biennale des Imaginaires Numériques est le temps fort des arts et cultures numériques de la région Sud. En explorant les arts visuels, les arts sonores et le spectacle vivant, la Biennale s’intéresse à la présence et l’usage des technologies dans l’art, investit l’espace public et donne la parole aux artistes nationaux·ales et internationaux·ales d’horizons différents.
Thématique 2024 – Plaisir
Dans un monde où les crises environnementales et sociales s’accumulent, pour la Biennale des Imaginaires Numériques 2024, nous souhaitons réfléchir à la place du plaisir dans notre vie quotidienne : comment imaginer de nouvelles sources de joie malgré les défis d’aujourd’hui ?
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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