Biennale des Imaginaires Numériques 

4ème édition

Aix-en-Provence, Marseille, Avignon, Arles, Istres : jusqu’au 19 janvier 2025

Après avoir réuni plus de 98 000 personnes lors de sa troisième édition, la Biennale des Imaginaires Numériques revient du 7 novembre 2024 au 19 janvier 2025 à Aix-en-Provence, Marseille, Avignon et avec de nouveaux partenaires à Istres et Arles.
Créée en 2018 et organisée par CHRONIQUES – la Biennale des Imaginaires Numériques est le temps fort des arts et cultures numériques de la région Sud. En explorant les arts visuels, les arts sonores et le spectacle vivant, la Biennale s’intéresse à la présence et l’usage des technologies dans l’art, investit l’espace public et donne la parole aux artistes nationaux·ales et internationaux·ales d’horizons différents.

Thématique 2024 – Plaisir
Dans un monde où les crises environnementales et sociales s’accumulent, pour la Biennale des Imaginaires Numériques 2024, nous souhaitons réfléchir à la place du plaisir dans notre vie quotidienne : comment imaginer de nouvelles sources de joie malgré les défis d’aujourd’hui ?

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

Made in France. Une histoire du textile

Archives nationales, Paris : jusqu’au 27 janvier 2025

À l’heure où l’industrie textile est au coeur d’une prise de conscience environnementale et éthique, revenir sur son histoire en France est un moyen de saisir l’immense importance économique et sociale qu’elle a occupée dans notre pays, avant qu’elle ne s’effondre à la fin du XXe siècle.
Made in France. Une histoire du textile souhaite montrer comment l’État a accompagné cette industrie, depuis les efforts de Jean-Baptiste Colbert sous Louis XIV jusqu’aux plans gouvernementaux des IVe et Ve Républiques pour tenter de la sauver des crises économiques. Elle présente ainsi l’action des gouvernements sur plusieurs siècles pour contrôler, connaître et encourager la production du textile français, des fibres naturelles aux matières synthétiques.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

Epidémies. Prendre soin du vivant

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 16 février 2025

Alors que nous venons de traverser collectivement la pandémie de la COVID-19, quelle mémoire conservons-nous des épidémies du passé et comment nous préparer à celles à venir ? Depuis des millénaires, les épidémies touchent les sociétés humaines mais aussi les autres espèces animales, sur tous les continents. En s’appuyant sur des collections de médecine, d’ethnographie, des spécimens d’histoire naturelle ou encore des œuvres contemporaines, l’exposition nous invite à envisager les épidémies comme un phénomène non seulement biologique mais également social, dans un monde où santé humaine, santé animale et santé environnementale sont liées.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

Des chevaux et des hommes (titre provisoire)

Musée de la Grande Guerre, Meaux : d’avril à décembre 2025

Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés –chevaux, ânes, mulets. Au coeur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 millions.
Pour cette nouvelle exposition temporaire, le musée de la Grande Guerre aborde le sujet du sort des chevaux dans le conflit, de leurs emplois dans les différentes armes des armées, des hommes qui les emploient, les utilisent et des relations homme- animal qui dépassent le strict usage militaire.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Expérience Raphaël

Palais des Beaux-Arts de Lille : jusqu’au 17 février 2025

Après Expérience Goya en 2021, puis la Forêt magique en 2022, le Palais des Beaux-Arts achève son cycle d’expositions « augmentées » avec Expérience Raphaël. Pour la première fois, l’intégralité du fonds de dessins légué par le peintre et collectionneur Jean-Baptiste Wicar (Lille, 1762-Rome, 1834), y sera révélée au public. Le parcours permettra de suivre la carrière de ce génie de la Renaissance, de ses premières commandes en 1500 jusqu’à sa mort en 1520. Il sera complété par des tableaux et des reconstitutions numériques de quelques peintures aujourd’hui détruites, dont les dessins constituent parfois la seule trace.
Exposition réalisée en coproduction avec GrandPalaisRmn

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Gardiens du Temps. Installation monumentale de Jiang Qiong Er

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’en février 2025

Pour ouvrir avec faste l’année de la Chine à Guimet, des installations monumentales et spectaculaires investissent les espaces du musée Guimet pour une réinterprétation contemporaine et follement imaginative de symboles culturels et mythologiques chinois.
À partir de fin avril 2024, le musée Guimet invite l’artiste plasticienne et designer Jiang Qiong Er, originaire de Shanghai, à dialoguer avec ce haut lieu des arts asiatiques à travers une oeuvre inédite. Avec Gardiens du Temps, Jiang Qiong Er intervient dans plusieurs espaces emblématiques invitant à cheminer au gré d’émotions spectaculaires et de moments d’envoûtement, engageant une réflexion visionnaire sur le temps, entre tradition et technologie, héritage et innovation, mémoire et imagination.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

Amazonies

Musée des Confluences, Lyon : du 18 avril 2025 au 8 février 2026

Longtemps réduite à l’image d’une « forêt vierge », inhospitalière et impénétrable à l’influence humaine, la forêt amazonienne est en réalité peuplée depuis 9 000 ans avant notre ère, par des habitants en grande interaction avec leur environnement. L’exposition présente des facettes d’une Amazonie contemporaine au travers des collections matérielles et immatérielles constituées par le musée entre 2018 et 2022 lors de trois missions de terrain chez nos partenaires Ashaninka, Kayapo Mebenkogre, Wayana et Apalaï. Leur parole guide le visiteur dans la découverte de leurs récits fondateurs, dans leurs connaissances de la forêt et dans leurs savoir-faire, comme dans leurs luttes pour la défense de leurs territoires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

Corps In.visibles. Une enquête autour de la robe de chambre du Balzac 

Musée Rodin : jusqu’au 2 mars 2025

À l’automne 2024, le musée Rodin met à l’honneur une pièce méconnue de ses collections, l’Étude de robe de chambre pour Balzac d’Auguste Rodin.
Conçue à partir d’une sélection de sculptures issues des collections du musée, de pièces de mode du 19e siècle du Palais Galliera et d’archives inédites de la bibliothèque de l’Institut de France, l’exposition intitulée « Corps In.visibles » déplie, à partir de la singulière Robe de chambre, une enquête sur la recherche d’un corps de Balzac par Rodin. Cette investigation est un véritable prélude à une réflexion sur les corps – réels, idéalisés, statufiés et occultés – dans la statuaire monumentale du 19e siècle qui peuplent toujours notre monde contemporain.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

La Chine des Tang. Une dynastie cosmopolite (7ème-10ème siècle)

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 3 mars 2025

Passez les portes de la majestueuse cité de Chang’an, capitale impériale et cosmopolite de la dynastie des Tang.
Un matin de l’an 700, les portes de la plus grande ville du monde s’ouvrent au son d’une cloche qui raisonne 300 fois. Venant de tout l’empire et au-delà, des milliers de marchands, musiciens, artistes, lettrés, poêtes, fonctionnaires, aristocrates et dames de cour vaquent à leurs affaires. Les rues sont bordées de centaines de temples, pagodes, monastères, restaurants, magasins et marchés vendant de tout : soies, épices, poteries, pierres précieuses…
Nous sommes à Chang’an (“Longue paix”), capitale de la dynastie des Tang (618-907). Dans une Asie en pleine métamorphose géopolitique, la puissance des Tang parvient au 7e siècle à se distinguer par une prospérité matérielle, artistique et culturelle, et un niveau de tolérance sans précédent à l’égard des cultures et des religions étrangères. Carrefour des Routes de la Soie, Chang’an est une véritable ville-monde. Son plan est conçu pour servir la gloire des empereurs. Tout est gigantesque dans ses proportions : d’une surface intérieure d’environ 77 km2, comptant plus d’un million et demi de personnes, elle est alors la ville la plus densément peuplée du monde devant Bagdad et Constantinople. Le palais impérial lui-même est alors trois fois plus grand que le sera la Cité interdite de la dynastie des Ming (1368-1644).

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

Tisser l’imaginaire

Musée de Lodève : jusqu’au 9 mars 2025

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

L’exposition invite à parcourir des Imaginaires prenant des formes aussi bien figuratives qu’abstraites, permettant au visiteur de se déconnecter un temps du monde réel, pour déambuler dans un Ailleurs enchanté qui mêlera tapisseries anciennes et modernes.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

En forêt avec Vincent Munier

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 13 avril 2025

Les espaces forestiers sont le décor d’une vie foisonnante.
Photographe des grands espaces sauvages, Vincent Munier parcourt les forêts françaises, en particulier celles des Vosges, depuis son enfance. Avec le musée des Confluences, il propose un voyage visuel et sonore dans une nature en apparence familière mais souvent méconnue. Les images, fixes et animées, révèlent la faune qui peuple les forêts en invitant chacun à apprendre à observer, comme à l’affût, pour mieux s’émerveiller de cet univers grandiose et menacé.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

Comment j’ai fait mes livres

Musée Henri Matisse, Le Cateau-Cambrésis : jusqu’au 13 avril 2025

Exposition inaugurale

Équipement culturel du Département du Nord, le musée départemental Matisse au Cateau-Cambrésis, créé par le peintre lui-même dans la ville où il est né en 1869, est installé dans un bâtiment remarquable datant du XVIIIème siècle.
Le Département du Nord réalise actuellement des travaux d’extension et de restructuration afin de permettre l’exposition d’une cinquantaine d’oeuvres en plus de celles qui étaient exposées préalablement. de Matisse, Herbin, Claisse, de la donation Tériade et d’autres artistes contemporains ayant travaillé sur l’oeuvre d’Henri Matisse, l’inversement du sens de visite pour finir la collection Matisse au carrefour des trois autres expositions (Herbin, Claisse, Tériade) et de l’exposition temporaire, le réaménagement de l’accueil du musée et de la boutique et la création d’un nouvel accueil pour les groupes ainsi que quatre ateliers.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Rendre visible

Reichel | Klee | Discrit | Finel
Musée de Lodève : du 19 avril au 31 août 2025

« L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible. » Paul Klee

Rendre visible est une exposition à quatre voix, quatre artistes qui dévoilent la nature dans ce qu’elle révèle… ou cache. D’un côté, un dialogue intime entre les œuvres de deux amis, Paul Klee et Hans Reichel. De l’autre, les vidéos, sculptures et installations d’Anne-Charlotte Finel et de Julien Discrit.
L’exposition, empreinte de délicatesse, prend une dimension vertigineuse grâce à la présence de fossiles, témoins d’une nature disparue depuis des millions d’années et qui entrent en résonance avec les œuvres.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17