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Le Musée des Beaux-Arts de Valenciennes prépare sa métamorphose

Réouverture prévue en septembre 2026

Le Musée des Beaux-Arts de Valenciennes entame une importante mue qui repose sur un nouveau Projet Scientifique et Culturel. Musée de France de par son intérêt patrimonial et l’importance de ses collections, il est abrité dans un bâtiment inscrit aux Monuments Historiques et se distingue par la pluralité de ses collections artistiques et archéologiques.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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La Fondation de l’Hermitage fête ses 40 ans !

Sise dans une splendide demeure du XIXe siècle au cœur d’un parc centenaire offrant une vue unique sur le lac Léman et les Alpes, la Fondation de l’Hermitage célèbre cette année son 40 ans anniversaire.
L’HERMITAGE EST UNE FÊTE ! Pour marquer l’événement, la Fondation de l’Hermitage organise une journée festive le samedi 29 juin 2024 entre 14h et minuit. Sous la bannière « On n’est pas sérieux, quand on a 40 ans ! », l’événement propose des animations et de nombreuses activités offertes à toutes et à tous.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73

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Le musée Soulages fête ses 10 ans !

C’est le 30 mai 2014 que le musée Soulages a ouvert ses portes, à Rodez, ville natale du peintre, sans aucun doute l’une des plus grandes figures de l’abstraction tant en France qu’à l’étranger. Le musée abrite les donations de Pierre et Colette Soulages, parmi les plus conséquentes consenties par un artiste de son vivant, et qui constituent le plus important ensemble de Pierre Soulages au monde. Imaginé par les architectes catalans de RCR, le musée Soulages se veut un bâtiment résolument contemporain et parfaitement intégré au paysage.
En 2024, le musée Soulages fêtera ses 10 ans et dans ce cadre proposera une programmation culturelle avec des événements tout au long de l’année et un point d’orgue le weekend du 30-31 mai.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Ouverture du musée L’Inguimbertine, Carpentras

Depuis le 19 avril 2024

L’unique bibliothèque-musée de France ouvre à Carpentras en 2024.
L’Inguimbertine, la seule bibliothèque-musée de France, rouvre ses portes dans un nouvel écrin de 10 000 m2 : l’hôtel-Dieu de Carpentras. Cette inauguration aura lieu le week-end du 19, 20 et 21 avril 2024 et viendra clore un chantier de 15 ans pour le deuxième plus grand monument historique du Vaucluse.
Cet événement marquant promet d’immerger les visiteurs dans un univers exceptionnel, fusionnant la richesse d’une bibliothèque de lecture publique, un fonds bibliographique ancien de renom, et une collection muséale diversifiée. L’héritage visionnaire de l’évêque dom Malachie d’Inguimbert, datant du XVIIIe siècle, prend ainsi une nouvelle vie dans ce monument historique, qu’il a lui-même imaginé.
Au sein d’un cadre architectural exceptionnel, la bibliothèque-musée Inguimbertine s’érige comme une ode à la diffusion des savoirs, célébrant entre autres, le patrimoine culturel du Comtat Venaissin, État indépendant appartenant au Pape jusqu’en 1791.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Ouverture du musée départemental Dobrée, Nantes

Depuis le 18 mai 2024

En plein coeur de Nantes, le musée départemental Dobrée réunit un ensemble patrimonial remarquable autour d’un palais néo-médiéval, d’un manoir du 15e siècle et d’un bâtiment d’architecture « brutaliste » des années 1970. Il abrite des collections uniques par leur richesse et leur diversité. Un patrimoine culturel commun que le Département de Loire-Atlantique s’attache à conserver, à entretenir et à transmettre.
Porté par le Département de Loire-Atlantique, le projet de rénovation imaginé par l’Atelier Novembre (architecte), l’Agence Moabi (paysagiste) et les Ateliers Adeline Rispal (scénographe) souhaite révéler toute l’originalité de ce lieu atypique, et offrir aux futurs visiteurs une expérience muséographique unique, accessible et guidée par la curiosité.
En cours de rénovation et d’extension, le musée Dobrée et son nouveau parcours muséographique ouvriront leurs portes en mai 2024 pour accueillir les 2 400 objets présentés dans les 2000 m2 d’espace d’exposition permanente.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Ouverture de l’espace des sciences de Morlaix 

Depuis le 2 juillet 2024

Dans le cadre prestigieux de l’ancienne Manufacture des tabacs de Morlaix, l’Espace des sciences propose un parcours de découverte original qui conjugue sciences et patrimoine industriel.
Sur 2400 m2, il a pour missions de valoriser l’histoire de la Manufacture, sa mémoire ouvrière et de promouvoir la culture scientifique au travers des expositions, ateliers, animations et conférences destinés à tous… Sciences et techniques vont de pair dans l’industrie.
À la Manufacture de Morlaix, chacun peut découvrir l’évolution des techniques dans ce lieu chargé d’histoire, riche d’un patrimoine industriel exceptionnel conservé sur le site grâce aux « anciens de la manu » : moulins à râper le tabac (classés Monuments Historiques), capeuses, rouets…

Émanation de l’Espace des sciences de Rennes, il est de fait, intégré au Pôle Bretagne Culture Scientifique.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Inauguration de la Tranchée

Musée de la Grande Guerre, Meaux : depuis le 11 novembre 2024


Le 11 novembre marquait à la fois l’anniversaire du musée et les commémorations de l’armistice du 11 novembre 1918.
La tranchée pédagogique du musée de la Grande Guerre a été inaugurée à cette occasion. Cette tranchée entend concilier une parfaite représentation scientifique et historique du système de tranchée à l’échelle 1, et préserver la cohérence architecturale et scénographique du musée. L’objectif de ce projet est ainsi de donner aux visiteurs une parfaite compréhension du système complexe des tranchées, des différents espaces qui les composent, et ainsi de remettre en contexte le quotidien des hommes dans le combat, les préparatifs, l’organisation de vie et l’attente. Implantée entre les deux rampes qui raccrochent l’architecture spectaculaire de l’atelier Christophe Lab au sol, la tranchée pédagogique joue un rôle essentiel dans la découverte du musée. De par sa situation, elle constitue un élément central du parcours de visite. On peut d’abord la deviner depuis le parvis, puis la surplomber depuis le hall et la coursive, puis descendre au coeur du dispositif pour la parcourir et l’expérimenter. Une ambiance sonore – explosions, sifflements des balles, cris – accompagne le visiteur dans son parcours. Des dispositifs de médiations sont également mis à disposition des visiteurs pour accentuer le côté pédagogique de la tranchée.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Les 10 ans du Parc Zoologique de Paris

Dès le printemps 2024

En 2014, un zoo réinventé et moderne voyait le jour, pleinement engagé dans ses missions d’éducation et de recherche.
Durant toute la saison 2024 de nombreux événements et installations permettront aux visiteurs d’en apprendre plus sur les nombreux projets soutenus et engagés par le Parc zoologique, de Madagascar à l’Amazonie en passant par les Balkans. Chaque année, plusieurs programmes sont menés sur site ou en milieu naturel pour améliorer la connaissance de nombreuses espèces et concourir à leur protection.
Petits et grands sont notamment invités, de manière collective, à s’impliquer tout au long de l’année dans le grand défi qu’est la protection de la biodiversité grâce à des animations dédiées.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Museum Connections 2025

Paris Expo Porte de Versailles : les 14 et 15 janvier 2025

Après une année record en 2024 avec 5414 visiteurs et 383 exposants, Museum Connections revient pour une 29e édition. Salon professionnel international, résolument tourné vers les enjeux économiques et durables des musées, lieux culturels et touristiques, Museum Connections décode les tendances et innovations pour imaginer les nouvelles expériences de visite.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Belladone

Tatiana Wolska, lauréate du Prix Drawing Now 2024
Commissaire d’exposition : Marianne Derrien
Drawing Lab, Paris : du 24 janvier au 20 avril 2025

L’exposition Belladone de Tatiana Wolska (née 1977 en Pologne, vit et travaille à Bruxelles) se niche entre le politique et l’intime en proposant une expérience physique et cognitive où le dessin fusionne avec la sculpture.

Plante des sorcières, bonne ou mauvaise herbe magique connue depuis l’Antiquité, la Belladone, est à la fois le remède et le poison nous rappelant que son utilisation requiert un maniement subtil ainsi qu’une grande connaissance. À travers l’histoire de cette plante, l’exposition favorise la prolifération et le dialogue afin d’unir le familier et l’étrange, la légèreté et l’ardeur, la suggestion et la revendication. Les œuvres graphiques et en volume de Tatiana Wolska mutent en autant d’enveloppes organiques probables ou indéfinies. En donnant de la valeur à ce qui ne perdure pas, l’artiste affirme une posture expérimentale et engagée avec cette nouvelle œuvre-construction en papier (déchirés, découpés et agrafés) aux côtés d’autres œuvres déjà produites. Du dehors au dedans, d’un corps à un autre, du végétal à l’humain, c’est notre relation aux cycles vitaux, au déracinement ainsi qu’aux formes d’émancipation et d’affranchissement qui est sondé. Tout au long de ce projet, récits et échanges se mêlent et se croisent pour créer l’archive d’une présence, celle de l’artiste elle-même avec celles d’autres artistes, activistes, écrivaines…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trésors du Petit Palais de Genève

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : du 24 janvier au 1er juin 2025

Au printemps 2025, la Fondation de l’Hermitage accueille les chefs-d’œuvre du Petit Palais de Genève, une collection impressionniste et postimpressionniste particulièrement originale. Réuni à partir des années 1950 par Oscar Ghez, cet ensemble témoigne d’un esprit de collectionneur remarquablement libre. L’industriel s’intéressa avec une grande curiosité à la peinture de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle, sans limiter ses choix aux grands maîtres (Renoir, Manet…) mais également de toiles somptueuses d’artistes moins connus alors (Caillebotte, Valadon, Angrand…).
Depuis la fermeture au public du Petit Palais de Genève en 1998, les œuvres ne sont plus visibles que par des prêts à des expositions temporaires ou des tournées de la collection hors de Suisse. Articulée autour des grands courants artistiques qui structurent l’ensemble, la présentation à la Fondation de l’Hermitage constituera donc un événement : une occasion unique de (re)découvrir ses chefs-d’œuvre et de percevoir la richesse et l’audace de cette collection suisse de premier plan.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Geneviève Asse. Le bleu prend tout ce qui passe

Musée Soulages, Rodez : du 25 janvier au 18 mai 2025

Depuis les années 1970, Geneviève Asse peint en bleu. Sa palette va du bleu clair au bleu profond, c’est sa marque poétique et sa technique. Ce bleu n’est pas monochrome au sens strict, mais exprime la passion, l’empathie avec la mer et le ciel, avec l’infini. Le bleu sans cesse gagnera du terrain : « Le bleu prend tout ce qui passe » affirmera-t-elle. La lumière, fractionnée, diffusée, naissante… est la grande affaire de Geneviève Asse. C’est une lumière immanente, une sorte de paysage grand ouvert, horizontal. Le souvenir des toiles intitulées Fenêtres le rend vertical. Asse a fait des vitraux à Lamballe ; elle a conçu des pièces de porcelaine pour la Manufacture de Sèvres. Cela la rapproche de Soulages aimant varier les techniques et les expériences.
L’exposition du musée Soulages rassemblera environ 70 oeuvres, essentiellement des peintures sur toile et des oeuvres sur papier, des dessins et des estampes. Le commissariat en est assuré par Benoît Decron et Malika Noui, avec le soutien décisif du Fonds de dotation Geneviève Asse. Les prêts émanant de ce fonds seront complétés par le Centre Pompidou-musée national d’art moderne, la Fondation Gandur, le musée de Vannes, le musée des beaux-arts de Lyon, le musée des beaux-arts de Rennes, le musée de Grenoble, le MACVAL, par des galeries, celle d’Antoine Laurentin son dernier marchand notamment, la galerie Claude Bernard, par des collectionneurs (des pièces rares). Les carnets de la peintre, riches et variés, bénéficieront d’une présentation spécifique, une consultation numérique accessible au public. Ils sont des marqueurs chronologiques de son parcours pictural, un itinéraire précieux.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Écran total, par Corinne Vionnet

Musée de Pont-Aven : du 1er février au 4 mai 2025

L’exposition de l’artiste franco-suisse Corinne Vionnet intitulée « Écran Total » présente une centaine d’oeuvres issues de plusieurs séries, notamment Photo Opportunities, Me Here Now, Scenic Views, Total Palm Tree… Cette exposition monographique représente une étape importante dans la reconnaissance de son oeuvre.
Son travail est une réflexion sur le partage et la répétition des images, à l’heure du numérique, des réseaux sociaux et du tourisme de masse. Elle interroge le risque de l’épuisement du regard. Sa démarche artistique s’appuie sur le collage après un travail considérable de repérages et de recherches d’archives. Elle est l’une des premières artistes à avoir exploré et réutilisé les images partagées sur internet.
Pour cette exposition, Corinne Vionnet a créé deux oeuvres exclusives à partir de paysages bretons : la pointe de Pen hir (les fameux tas de pois) et la ville close de Concarneau.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Trop forts !

Musée des Confluences, Lyon : du 19 février au 31 décembre 2025

Dans le désert, sous un froid glacial, ou encore en haute montagne, certaines espèces animales sont capables de vivre dans des milieux extrêmes. L’exposition, imaginée pour les enfants de 8 à 12 ans, emmène tous les grands curieux sur les traces de ces animaux aux capacités étonnantes. Vivre sans jamais boire, respirer à 10 000 m d’altitude ou pouvoir être entièrement pris dans la glace : si ces aptitudes semblent défier notre compréhension, elles inspirent les scientifiques et pourraient permettre de grandes innovations.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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À corps

MusVerre, Sars-Poteries : du 21 février 2025 au 4 janvier 2026

La nouvelle exposition du MusVerre explore les facettes du corps humain revisité par les artistes verriers et plasticiens : en mouvement ou au repos, du détail à l’ensemble, du trivial au sublime. La visite propose de se pencher sur les subtiles mécaniques du vaisseau charnel. C’est une occasion d’en admirer les rouages, d’en reconnaître les limites aussi bien que les mérites, et, peut-être, d’apprivoiser davantage cet organisme à la fois complexe et merveilleux.
Par une diversité de points de vue, l’exposition nous invite à un examen minutieux, presque radioscopique, de l’organisme humain ; son parcours propose un cheminement allant du corps trivial vers le sublime.
La première partie nous plonge dans l’intimité du genre humain et s’intéresse à sa représentation quotidienne, banale et prosaïque. Les corps sont dénudés, rendus visibles et dévoilés aux spectateurs dans toute leur vérité physique et leur vulnérabilité. Le parcours se poursuit par l’étude mathématique du corps, sa fragmentation et sa mise en mouvement pour aboutir à sa représentation dans l’espace public. Passant de l’ombre à la lumière, le second temps de l’exposition nous amène à découvrir des êtres sublimés, glorifiés, voire métaphoriques. Échappant à la tyrannie du corps physique, les artistes nous offrent un tableau plus sensible et poétique de l’enveloppe charnelle. Magnifié, voire rêvé, il devient le support d’un message, d’un symbole et d’un idéal. C’est dans une approche quasi introspective que les artistes nous invitent à un examen de soi.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Biennale d’Aix, 2ème édition

Aix-en-Provence : jusqu’au 14 décembre 2024

Après une pause estivale, la Biennale d’Aix 2024 revient le 21 septembre pour la deuxième partie de sa programmation.
Après le bilan très positif du premier temps fort qui a rassemblé plus de 120 000 spectateurs, ce second volet de la Biennale d’Aix sera marqué par de multiples propositions artistiques : du 21 septembre au 14 décembre, ce sont près de 72 propositions artistiques dont 68 en accès libre et 90 artistes qui sont présentés dans les lieux culturels, les lieux patrimoniaux ouverts exceptionnellement, ainsi que dans l’espace public !

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Nouveau Parcours

Musée des beaux-arts, Calais
Depuis le 13 mai 2023

Le Musée des beaux-arts de Calais entame une période de transformation de ses volumes intérieurs. Il modifie ses espaces et présente de nouvelles galeries permanentes consacrées aux collections Beaux-Arts.
Plus de deux cent oeuvres sont à découvrir au travers d’un parcours qui nous plonge dans l’histoire de l’art du 16ème siècle à nos jours. Une dizaine de thématiques facilitent l’appréhension de l’évolution des pratiques et des goûts artistiques, notamment aux 19ème et 20ème siècles.
En plus des oeuvres sorties des réserves qui sont présentées, deux nouveaux ensembles d’oeuvres viennent d’être offerts au musée par des descendants d’artistes. Ces dons aussi importants en nombre et en qualité sont exceptionnels. Une partie de ces oeuvres est exposée dans les nouvelles salles : la collection Jeanne Thil en peinture (née à Calais en 1887) et une importante donation du sculpteur Henri Delcambre en sculpture (né à Marquise en 1911 et ayant grandi à Calais).

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Combattre loin de chez soi. L’empire colonial français dans la Grande Guerre

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 30 décembre 2024

Cette exposition du musée de la Grande Guerre s’attache à expliquer la portée et les particularités de la participation de l’Empire colonial français au premier conflit mondial dans les multiples registres de l’engagement, des conséquences et des héritages. Elle entend faire connaitre et comprendre le rôle des hommes de l’Empire engagés dans la guerre en mettant en avant une histoire partagée.
L’exposition permettra de livrer à tous les publics des clés de compréhension de l’histoire et des mémoires des anciennes colonies et territoires français. En effet, cette histoire entre la France et son Empire est à la fois ancienne et éminemment contemporaine dans le contexte particulièrement sensible de l’écriture de l’histoire coloniale.
L’exposition « Combattre loin de chez soi, l’Empire colonial dans la Grande Guerre » que présente le musée de la Grande Guerre adopte une position mesurée, rigoureuse qui s’inscrit dans la continuité de sa collection permanente, bâtie sur les aspects sociétaux et militaires de la Grande Guerre.
Dans une approche pluridisciplinaire, l’exposition donne à comprendre les enjeux des récits historiques à travers la présentation de figures, de données scientifiques, d’oeuvres, de documents et d’objets issus des collections du musée ou de celles de partenaires institutionnels.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn

Musée départemental Albert-Kahn, Boulogne-Billancourt : jusqu’au 31 décembre 2024

Après un cycle d’expositions consacré au voyage (Autour du Monde, puis Rio-Buenos Aires 1909), le musée poursuit sa déclinaison des « fondamentaux » du projet du célèbre banquier philanthrope avec sa grande exposition de l’année : Natures vivantes, images et imaginaires des jardins d’Albert Kahn, qui illustre la passion du philanthrope pour le végétal à travers les milliers d’images réalisées dans ses jardins de Boulogne et du Cap-Martin, accompagnées d’œuvres d’artistes contemporains. Sur une proposition de l’historienne de l’art et commissaire d’exposition Luce Lebart, elle réunit près de 200 photographies autochromes pour la plupart présentées pour la première fois au public, accompagnées de films, objets, et d’une série de contributions d’artistes contemporains invités.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Roues libres. La grande histoire du vélo

Musée du Domaine départemental de Sceaux : jusqu’au 31 décembre 2024

À l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, qui se tiendront respectivement du 26 juillet au 11 août 2024 et du 28 août au 8 septembre 2024, le musée du Domaine départemental de Sceaux proposera dans l’Orangerie une grande exposition consacrée aux cycles, des origines de ce moyen de transport né avec la draisienne au début du XIXe siècle, aux pratiques sportives et ludiques actuelles. Le projet s’appuie sur la présence, dans les collections du MDDS, d’un ensemble de 25 cycles anciens ayant appartenu à Robert Grandseigne (1885-1961), pionnier de l’aviation et grand amateur de vélos. Ce fonds comprend notamment le vélocipède à vapeur (1870-1871) de Louis-Guillaume Perrault (1816-1889), considéré comme la première moto de l’histoire, statut qui confère à cet objet une place de premier ordre dans l’histoire des techniques et fait par conséquent du musée un acteur légitime sur ce thème.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Être peintre dans la France de l’Après-guerre, l’étonnant parcours de Denise Ferrier (1920-2011)

Musée des Ursulines, Mâcon : jusqu’au 31 décembre 2024

L’exposition présentée au musée des Ursulines de Mâcon met en lumière le parcours complexe d’une femme peintre dans la période complexe de la France de l’Après-guerre. C’est une invitation à découvrir une œuvre singulière se déployant de 1950 jusqu’en 2011.
Installée à Paris dès 1947, Denise Ferrier bénéficie du soutien de personnalités artistiques importantes telles André Lhote ou Henry Valensi, mais ne trouve pas la reconnaissance attendue. Ce n’est qu’en 2021 que plusieurs de ses toiles intègrent les collections du Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou à Paris.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Rodin/Bourdelle. Corps à corps

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 1er juin 2025

Bourdelle admira Rodin. Rodin soutint Bourdelle qui fut son praticien, et perçut en lui son héritier. Deux artistes liés par une amitié et une admiration réciproques dont les carrières, mais aussi les vies, furent entremêlées.
Rassemblant plus de 170 oeuvres (sculptures, dessins, mais aussi photographies et archives), ce face-à-face entre deux grands maîtres de la sculpture donne à voir, avec une ambition et une ampleur inédite, près de 50 ans de création commune ou croisée.
Cette exposition a été initiée et conçue par le musée Bourdelle/Paris Musées et le musée Rodin. Elle est organisée en collaboration entre le musée Bourdelle/Paris Musées, le musée La Piscine de Roubaix et le musée Ingres Bourdelle de Montauban.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Elsa Sahal : Pool Dance

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 1er juin 2025

Initiée au modelage de la terre, qui permet métamorphoses et expressions du corps, Elsa Sahal incarne le renouveau de la sculpture en céramique. Sa série des « Pole Dance », rebaptisée pour La Piscine, s’inspire des poses lascives et tournoyantes de cette discipline aérienne, mais aussi de l’observation des esquisses de Rodin. La sculpture décomplexée d’Elsa Sahal, dont l’art mêle liberté d’expression et humour, entre ainsi en parfaite résonance avec l’exposition Rodin/ Bourdelle. Corps à corps.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Sans dessus-dessous

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 8 juin 2025

Vêtements de dessous, vêtements de dessus, habits de l’intimité se révélant au grand public : la confusion règne au fil des époques. Les cabines Mode de La Piscine décryptent l’art du déshabillé à travers des tenues issues des collections du musée.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Marc Riboud, Vietnam (1967-1976)

Musée national des arts asiatiques-Guimet : du 5 mars au 12 mai 2025

A l’occasion des 50 ans de la fin de la guerre du Vietnam, l’association Les amis de Marc Riboud et le musée Guimet, qui conserve le fonds Riboud, s’associent pour présenter photographies et documents d’archives retraçant le travail de Marc Riboud au Vietnam (1967-1976).
Regardant aujourd’hui ses reportages qui documentent le Vietnam pendant près de dix ans, on reconnaît la « méthode » de Marc Riboud et son regard singulier. Il aimait revenir dans les pays qu’il avait visités. Il repérait les lieux et les habitudes, s’attachait aux gens, aimait les retrouver, comprendre leur pensée, voir comment évoluait leur vie. Il restait sur place autant qu’il le pouvait, interrogeant toutes sortes de personnes. Jamais il n’a été un photographe de guerre : quand l’on regarde ses reportages au Vietnam, ce ne sont pas les combats que l’on voit, mais la vie qui continue dans les ruines, les corps qui tentent de se reposer dans les refuges de fortune, les amoureux qui se retrouvent près des abris anti-bombes, la vivacité des enfants, la grâce des femmes. On découvre aussi le désespoir des veuves dans les temples ou dans les églises, le courage de ceux qui rebâtissent à mains nues, les digues ou des quartiers entiers en morceaux… C’est une vie bouleversée, blessée, mais une vie qui continue, tenace, envers et contre tout.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Les Orchidées

Abbaye de Vaucelles : du 13 au 16 mars 2025

L’exposition d’orchidées & Bons plants de Vaucelles aura cette année pour thème « les couleurs des orchidées ». L’abbaye de Vaucelles organisera cet évènement du 13 au 16 mars 2025. Cette 34ème édition associera :
– le Mont Noir qui proposera une exposition de photographie d’orchidées sauvages et un atelier de réalisation de marque-pages fleuris
– le Musée Matisse qui animera sur les 4 jours une oeuvre collective sur papiers découpés et des ateliers individuels.
Ce rendez-vous annuel est l’évènement incontournable des orchidophiles et passionnés d’art floral. Des exposants et producteurs du monde entier sont présents chaque année pour conseiller et accompagner les visiteurs dans la culture d’orchidées.
La Société Nationale d’Horticulture de France décernera plusieurs prix, et de nombreuses animations, adaptées aux petits comme aux grands, ponctueront cette nouvelle édition.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Le printemps du dessin, 8ème édition

Partout en France : du 20 mars au 21 juin 2025

Créé en 2017, par l’équipe de Drawing Now Art Fair, la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.
Du 20 mars au 21 juin, en réunissant des lieux aussi différents que des Monuments nationaux, des artothèques, des FRAC ou des centres d’art, le Printemps du dessin inscrit la culture au sein même des territoires et répond déjà au souhait du Ministère de la Culture d’un « Printemps de la ruralité ». À travers des expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et publics, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique.
En 2024, 75 structures ont œuvré pour faire du printemps une grande fête du dessin en mettant le sport au cœur de la pratique dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques. Pour cette nouvelle édition, le Printemps du dessin propose à ses participants d’imaginer une programmation autour du thème du langage et de l’écriture. Ces formes d’expression se rejoignent, en utilisant le dessin pour illustrer des idées, des récits et des émotions qui pourraient aussi être capturés par les mots. La 8e édition aura pour but de souligner le trait et la ligne comme outils narratifs, comme écriture universelle.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Drawing Now Paris, 18e édition

Le salon du dessin contemporain

Le Carreau du Temple, Paris : du 27 au 30 mars 2025

La 18e édition de Drawing Now Paris, première foire d’art contemporain dédiée au dessin en Europe, aura lieu du 27 au 30 mars 2025 au Carreau du Temple à Paris. Pendant 4 jours, sur les deux niveaux du Carreau du Temple, plus de 70 galeries internationales vous feront découvrir toute la diversité du dessin
contemporain d’aujourd’hui et des 50 dernières années.
Afin d’approfondir la découverte du dessin contemporain, Drawing Now Paris multiplie les événements et propose une programmation associée autour d’une exposition en partenariat avec le Frac Picardie – Hauts de France et le Cnap.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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TROP-PLEIN

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’au 5 janvier 2025

Sur toute l’année 2024, cette exposition plurielle, réinterprétation d’un thème plus que jamais d’actualité, offre au public l’opportunité d’explorer les facettes de la société de surconsommation à travers plusieurs thématiques : le rapport à l’argent, qui conditionne tous les excès ; le gaspillage alimentaire et l’obsolescence programmée, qui engendrent chaque année des tonnes de déchets mettant en péril l’équilibre écologique planétaire ; enfin, les nouvelles perceptions et les codes inédits d’une société qui définit des normes difficilement atteignables. Entre images familières, symbolisme, références culturelles et historiques et oeuvres « à charge », les pièces de verre exposées viennent souligner avec justesse les excès contemporains.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Mémoires. Genève dans le monde colonial

MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 5 janvier 2025

Quel est le passé colonial de Genève ? Le Musée d’ethnographie en est-il l’un des acteurs ? Qu’en racontent ses collections ? Autant de questions que pose « Mémoires. Genève dans le monde colonial » la nouvelle exposition temporaire du MEG.
Dans le parcours d’exposition, de nombreux partenaires sondent notre histoire commune, redéfinissent le statut des collections ethnographiques et inventent leurs futurs. L’exposition questionne le rôle du MEG dans une société post-coloniale où les traces du passé, les discriminations et le racisme se font écho.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Boris Labbé, Ito Meikyū / Fil d’errance

Commissaire d’exposition : Judith Guez
Lauréats de la Bourse Drawing Lab Project 2024

Drawing Lab, Paris : jusqu’au 5 janvier 2025

La Bourse Drawing Lab Project 2024 d’un montant de 20 000 euros hors taxe a été attribuée à l’artiste Boris Labbé et la commissaire d’exposition Judith Guez. Ils exposent cet automne au Drawing Lab leur projet Ito Meikyū / Fil d’errance.

Boris Labbé cherche plusieurs manières d’exprimer la matière du dessin : de la faire « déborder, craquer, crépiter, proliférer, vivre ». Le dessin a toujours été central dans sa vie et s’est nourri de plusieurs rencontres et projets : du dessin classique à l’animation 3D, de la réalité virtuelle à la performance et installation vidéo. Dans cette exposition, le dessin devient volume et architecture avec l’oeuvre centrale Ito Meikyū (mot inventé du collage de deux mots : ito qui signifie « fil » et meikyū qui signifie « labyrinthe »). L’oeuvre immersive et interactive propose au spectateur de plonger dans une grande fresque animée. Elle présente une collection hétérogène de scènes dessinées, animées et sonores, qui sont prises dans la matière numérique. Elle recrée en quelque sorte un monde subjectif (monde intérieur et extérieur) sous la forme d’un labyrinthe composé d’architectures fractales, habitées de plantes, d’objets, d’animaux, d’hommes, de femmes, de motifs et de calligraphies. Le spectateur est invité à déambuler dans cet espace virtuel de manière libre en se laissant guider par le hasard de ses découvertes.
Cette installation en réalité virtuelle est inspirée par des oeuvres clés de l’art classique et la littérature japonaise (tel que Le Dit du Genji de Murasaki Shikibu et Les Notes de Chevets de Sei Shonagon), mais également par divers contacts et événements de la vie de l’artiste et de ses voyages au Japon.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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YUIMA NAKAZATO, Au-delà de la couture

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 5 janvier 2025

La Cité de la dentelle et de la mode de Calais présente la première exposition consacrée au créateur de mode japonais Yuima Nakazato.
Personnalité artistique d’avant-garde, Yuima Nakazato façonne une mode humaniste et écologique qui repense les procédés de fabrication avec une volonté de démocratisation de la création sur mesure. Il fusionne pour cela la haute-technologie et les savoir-faire, les traditions d’Asie et d’Occident.
Dans un univers poétique et futuriste pensé avec le créateur, l’exposition s’appuie sur une cinquantaine de silhouettes ayant défilé au calendrier de la haute couture parisienne, des accessoires, des croquis de mode, des échantillons de matières, des photographies de mode et des vidéos.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny

du 1er avril au 1er novembre 2025

Après leur traditionnelle trêve hivernale, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes le 1er avril 2025. Un cycle immuable qui n’empêche pas le renouveau, tant horticole qu’artistique ! En ce mois d’avril, les jardins accueillent le public quand les cerisiers et pommiers rivalisent de floraisons nuageuses en un camaïeu rose, comme une évocation nippone. Tels des rehauts colorés, les narcisses blancs parfumés et les jonquilles éclaboussent le pied des arbres.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Eugène Dodeigne (1923-2015) : une rétrospective

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025

Personnalité essentielle de la sculpture française contemporaine, à laquelle il a apporté une contribution singulière et reconnue dans le monde entier, Eugène Dodeigne est aussi l’une des figures de proue du Groupe de Roubaix.
Cette rétrospective, organisée une première fois en 2020 à La Piscine et qui n’avait pu alors ouvrir ses portes au public à cause de la pandémie, est l’occasion unique de découvrir un portrait renouvelé de l’artiste, en reconsidérant son oeuvre dans toute sa richesse. Aux côtés des pierres de Soignies – sa signature évidente –, seront présentés des plâtres, bois, bronzes, terres cuites, dessins, peintures et éléments de mobilier, embrassant en quelques 200 oeuvres – l’ensemble le plus important jamais rassemblé – près de soixante ans de création. A cette occasion, le catalogue de l’exposition dirigé par Germain Hirselj et qui a reçu en 2021 le prestigieux prix du Festival International du Livre d’Art et du Film, va aussi reparaître.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Mado Jolain (1921-2019), céramiste. Côté maison-Côté jardin

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 12 janvier 2025

Dans le paysage de la céramique des années 1950, l’oeuvre de Mado Jolain (1921-2019) séduit par sa modernité et les jeux formels qu’elle a multipliés. La céramiste manifeste très tôt une préférence pour les volumes simples, architecturés et travaillés de telle sorte que l’articulation subtile de l’ombre et de la lumière puisse s’y épanouir.
Cet hommage rendu par La Piscine permettra au public de découvrir l’oeuvre d’une céramiste dont l’esprit libre épris de rigueur a compté dans le renouveau de la céramique des années 1950-1960.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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L’Or des Ming, fastes et beautés de la Chine impériale (14e – 17e siècle)

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 13 janvier 2025

Comment se faire belle sous les Ming ? Une splendide exploration de l’esthétisme féminin à la cour impériale.
Le musée Guimet présente une exposition exceptionnelle de parures en or produites au temps de la dynastie des Ming (1368-1644), et de vases prêtés par le musée Qujian de Xi’an.
Métal précieux par excellence, l’or enrichit dès l’antiquité les ornements en bronze et en jade. Au temps des Ming, l’orfèvrerie d’or est réservée à l’entourage impérial et aux hautes classes sociales. Les peintures qui nous sont parvenues laissent un témoignage saisissant de vases et parures en or utilisés dans la vie quotidienne à la cour de l’Empereur. Les artisans royaux laissent alors libre cours à leur imagination pour commencer à fabriquer des bijoux et objets purement décoratifs, développant des savoir-faire et une haute maîtrise de techniques variées : gravure, filigrane, damasquinage, incrustation de jade ou de pierres précieuses.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Biennale des Imaginaires Numériques 

4ème édition

Aix-en-Provence, Marseille, Avignon, Arles, Istres : jusqu’au 19 janvier 2025

Après avoir réuni plus de 98 000 personnes lors de sa troisième édition, la Biennale des Imaginaires Numériques revient du 7 novembre 2024 au 19 janvier 2025 à Aix-en-Provence, Marseille, Avignon et avec de nouveaux partenaires à Istres et Arles.
Créée en 2018 et organisée par CHRONIQUES – la Biennale des Imaginaires Numériques est le temps fort des arts et cultures numériques de la région Sud. En explorant les arts visuels, les arts sonores et le spectacle vivant, la Biennale s’intéresse à la présence et l’usage des technologies dans l’art, investit l’espace public et donne la parole aux artistes nationaux·ales et internationaux·ales d’horizons différents.

Thématique 2024 – Plaisir
Dans un monde où les crises environnementales et sociales s’accumulent, pour la Biennale des Imaginaires Numériques 2024, nous souhaitons réfléchir à la place du plaisir dans notre vie quotidienne : comment imaginer de nouvelles sources de joie malgré les défis d’aujourd’hui ?

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Made in France. Une histoire du textile

Archives nationales, Paris : jusqu’au 27 janvier 2025

À l’heure où l’industrie textile est au coeur d’une prise de conscience environnementale et éthique, revenir sur son histoire en France est un moyen de saisir l’immense importance économique et sociale qu’elle a occupée dans notre pays, avant qu’elle ne s’effondre à la fin du XXe siècle.
Made in France. Une histoire du textile souhaite montrer comment l’État a accompagné cette industrie, depuis les efforts de Jean-Baptiste Colbert sous Louis XIV jusqu’aux plans gouvernementaux des IVe et Ve Républiques pour tenter de la sauver des crises économiques. Elle présente ainsi l’action des gouvernements sur plusieurs siècles pour contrôler, connaître et encourager la production du textile français, des fibres naturelles aux matières synthétiques.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Epidémies. Prendre soin du vivant

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 16 février 2025

Alors que nous venons de traverser collectivement la pandémie de la COVID-19, quelle mémoire conservons-nous des épidémies du passé et comment nous préparer à celles à venir ? Depuis des millénaires, les épidémies touchent les sociétés humaines mais aussi les autres espèces animales, sur tous les continents. En s’appuyant sur des collections de médecine, d’ethnographie, des spécimens d’histoire naturelle ou encore des œuvres contemporaines, l’exposition nous invite à envisager les épidémies comme un phénomène non seulement biologique mais également social, dans un monde où santé humaine, santé animale et santé environnementale sont liées.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Des chevaux et des hommes (titre provisoire)

Musée de la Grande Guerre, Meaux : d’avril à décembre 2025

Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés –chevaux, ânes, mulets. Au coeur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 millions.
Pour cette nouvelle exposition temporaire, le musée de la Grande Guerre aborde le sujet du sort des chevaux dans le conflit, de leurs emplois dans les différentes armes des armées, des hommes qui les emploient, les utilisent et des relations homme- animal qui dépassent le strict usage militaire.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Expérience Raphaël

Palais des Beaux-Arts de Lille : jusqu’au 17 février 2025

Après Expérience Goya en 2021, puis la Forêt magique en 2022, le Palais des Beaux-Arts achève son cycle d’expositions « augmentées » avec Expérience Raphaël. Pour la première fois, l’intégralité du fonds de dessins légué par le peintre et collectionneur Jean-Baptiste Wicar (Lille, 1762-Rome, 1834), y sera révélée au public. Le parcours permettra de suivre la carrière de ce génie de la Renaissance, de ses premières commandes en 1500 jusqu’à sa mort en 1520. Il sera complété par des tableaux et des reconstitutions numériques de quelques peintures aujourd’hui détruites, dont les dessins constituent parfois la seule trace.
Exposition réalisée en coproduction avec GrandPalaisRmn

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Gardiens du Temps. Installation monumentale de Jiang Qiong Er

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’en février 2025

Pour ouvrir avec faste l’année de la Chine à Guimet, des installations monumentales et spectaculaires investissent les espaces du musée Guimet pour une réinterprétation contemporaine et follement imaginative de symboles culturels et mythologiques chinois.
À partir de fin avril 2024, le musée Guimet invite l’artiste plasticienne et designer Jiang Qiong Er, originaire de Shanghai, à dialoguer avec ce haut lieu des arts asiatiques à travers une oeuvre inédite. Avec Gardiens du Temps, Jiang Qiong Er intervient dans plusieurs espaces emblématiques invitant à cheminer au gré d’émotions spectaculaires et de moments d’envoûtement, engageant une réflexion visionnaire sur le temps, entre tradition et technologie, héritage et innovation, mémoire et imagination.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Amazonies

Musée des Confluences, Lyon : du 18 avril 2025 au 8 février 2026

Longtemps réduite à l’image d’une « forêt vierge », inhospitalière et impénétrable à l’influence humaine, la forêt amazonienne est en réalité peuplée depuis 9 000 ans avant notre ère, par des habitants en grande interaction avec leur environnement. L’exposition présente des facettes d’une Amazonie contemporaine au travers des collections matérielles et immatérielles constituées par le musée entre 2018 et 2022 lors de trois missions de terrain chez nos partenaires Ashaninka, Kayapo Mebenkogre, Wayana et Apalaï. Leur parole guide le visiteur dans la découverte de leurs récits fondateurs, dans leurs connaissances de la forêt et dans leurs savoir-faire, comme dans leurs luttes pour la défense de leurs territoires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Corps In.visibles. Une enquête autour de la robe de chambre du Balzac 

Musée Rodin : jusqu’au 2 mars 2025

À l’automne 2024, le musée Rodin met à l’honneur une pièce méconnue de ses collections, l’Étude de robe de chambre pour Balzac d’Auguste Rodin.
Conçue à partir d’une sélection de sculptures issues des collections du musée, de pièces de mode du 19e siècle du Palais Galliera et d’archives inédites de la bibliothèque de l’Institut de France, l’exposition intitulée « Corps In.visibles » déplie, à partir de la singulière Robe de chambre, une enquête sur la recherche d’un corps de Balzac par Rodin. Cette investigation est un véritable prélude à une réflexion sur les corps – réels, idéalisés, statufiés et occultés – dans la statuaire monumentale du 19e siècle qui peuplent toujours notre monde contemporain.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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La Chine des Tang. Une dynastie cosmopolite (7ème-10ème siècle)

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 3 mars 2025

Passez les portes de la majestueuse cité de Chang’an, capitale impériale et cosmopolite de la dynastie des Tang.
Un matin de l’an 700, les portes de la plus grande ville du monde s’ouvrent au son d’une cloche qui raisonne 300 fois. Venant de tout l’empire et au-delà, des milliers de marchands, musiciens, artistes, lettrés, poêtes, fonctionnaires, aristocrates et dames de cour vaquent à leurs affaires. Les rues sont bordées de centaines de temples, pagodes, monastères, restaurants, magasins et marchés vendant de tout : soies, épices, poteries, pierres précieuses…
Nous sommes à Chang’an (“Longue paix”), capitale de la dynastie des Tang (618-907). Dans une Asie en pleine métamorphose géopolitique, la puissance des Tang parvient au 7e siècle à se distinguer par une prospérité matérielle, artistique et culturelle, et un niveau de tolérance sans précédent à l’égard des cultures et des religions étrangères. Carrefour des Routes de la Soie, Chang’an est une véritable ville-monde. Son plan est conçu pour servir la gloire des empereurs. Tout est gigantesque dans ses proportions : d’une surface intérieure d’environ 77 km2, comptant plus d’un million et demi de personnes, elle est alors la ville la plus densément peuplée du monde devant Bagdad et Constantinople. Le palais impérial lui-même est alors trois fois plus grand que le sera la Cité interdite de la dynastie des Ming (1368-1644).

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Tisser l’imaginaire

Musée de Lodève : jusqu’au 9 mars 2025

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

L’exposition invite à parcourir des Imaginaires prenant des formes aussi bien figuratives qu’abstraites, permettant au visiteur de se déconnecter un temps du monde réel, pour déambuler dans un Ailleurs enchanté qui mêlera tapisseries anciennes et modernes.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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En forêt avec Vincent Munier

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 13 avril 2025

Les espaces forestiers sont le décor d’une vie foisonnante.
Photographe des grands espaces sauvages, Vincent Munier parcourt les forêts françaises, en particulier celles des Vosges, depuis son enfance. Avec le musée des Confluences, il propose un voyage visuel et sonore dans une nature en apparence familière mais souvent méconnue. Les images, fixes et animées, révèlent la faune qui peuple les forêts en invitant chacun à apprendre à observer, comme à l’affût, pour mieux s’émerveiller de cet univers grandiose et menacé.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Comment j’ai fait mes livres

Musée Henri Matisse, Le Cateau-Cambrésis : jusqu’au 13 avril 2025

Exposition inaugurale

Équipement culturel du Département du Nord, le musée départemental Matisse au Cateau-Cambrésis, créé par le peintre lui-même dans la ville où il est né en 1869, est installé dans un bâtiment remarquable datant du XVIIIème siècle.
Le Département du Nord réalise actuellement des travaux d’extension et de restructuration afin de permettre l’exposition d’une cinquantaine d’oeuvres en plus de celles qui étaient exposées préalablement. de Matisse, Herbin, Claisse, de la donation Tériade et d’autres artistes contemporains ayant travaillé sur l’oeuvre d’Henri Matisse, l’inversement du sens de visite pour finir la collection Matisse au carrefour des trois autres expositions (Herbin, Claisse, Tériade) et de l’exposition temporaire, le réaménagement de l’accueil du musée et de la boutique et la création d’un nouvel accueil pour les groupes ainsi que quatre ateliers.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rendre visible

Reichel | Klee | Discrit | Finel
Musée de Lodève : du 19 avril au 31 août 2025

« L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible. » Paul Klee

Rendre visible est une exposition à quatre voix, quatre artistes qui dévoilent la nature dans ce qu’elle révèle… ou cache. D’un côté, un dialogue intime entre les œuvres de deux amis, Paul Klee et Hans Reichel. De l’autre, les vidéos, sculptures et installations d’Anne-Charlotte Finel et de Julien Discrit.
L’exposition, empreinte de délicatesse, prend une dimension vertigineuse grâce à la présence de fossiles, témoins d’une nature disparue depuis des millions d’années et qui entrent en résonance avec les œuvres.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Fêtes et célébrations flamandes. Brueghel, Rubens, Jordaens…

Palais des Beaux-arts de Lille : du 26 avril au 31 août 2025

Cérémonies urbaines, noces et kermesses villageoises, fêtes de cour et des rois : c’est à travers le prisme du divertissement collectif dans l’espace public, que cette exposition se propose d’explorer les fêtes flamandes aux XVIe et XVIIe siècles.
Illustrant tantôt la fête comme rituel social et comme exutoire en période d’épidémie ou de guerre, tantôt comme vecteur moral et politique, le parcours, d’une richesse exceptionnelle, rassemblera près de 100 peintures, gravures, dessins et realia provenant majoritairement d’institutions belges et françaises, et d’autres musées internationaux.
Première à répertorier et traiter tous les types de fêtes, l’exposition emmènera le visiteur dans un univers dont les traditions et les valeurs propres à cette région résonnent encore aujourd’hui.
Cette exposition est co-produite par le Palais des Beaux-Arts de Lille et le Grand Palais RMN, dans le cadre de la saison Fiesta de lille3000. Elle bénéficie d’un partenariat exceptionnel avec les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, et le musée du Louvre, Paris.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Angkor, Bronzes royaux d’Angkor

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 30 avril au 8 septembre 2025

L’exposition-événement Bronzes royaux d’Angkor, présentée au musée national des arts asiatiques – Guimet du 30 avril au 8 septembre 2025, offre un voyage exceptionnel à la découverte de la technique ancienne et sacrée du bronze, au coeur d’une capitale inscrite au Patrimoine de l’Humanité, dont la simple évocation fait rêver.
Parmi les 240 oeuvres qui composent cette exposition, 126 prêts exceptionnels proviennent du Musée national du Cambodge. Autour du Grand Vishnu du Mébon, ils réunissent des chefs-d’oeuvre de la statuaire de pierre et de bronze, des objets rituels et de mobilier, des éléments de décor architectural, auxquels sont associés photographies d’archive, moulages, documents graphiques et reconstitutions numériques 3D, pour une exposition exceptionnelle qui fera date.
6 institutions s’associent pour cette exposition internationale : le musée Guimet, le ministère de la Culture et des Beaux-Arts du Cambodge, le musée national du Cambodge, le C2RMF et l’EFEO ; avec le soutien exceptionnel d’ALIPH.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Afrosonica. Paysages sonores

MEG, Musée d’Ethnographie de Genève : du 16 mai 2025 au 4 janvier 2026

L’exposition du MEG « Afrosonica. Paysages sonores » invite à découvrir l’importance de la musique et du son en Afrique et dans le monde.
Cette exposition immersive explore les sons, les gestes et l’impact culturel de la musique africaine, offrant un voyage multisensoriel à travers les traditions sonores évolutives du continent. Afrosonica. Paysages sonores invite le public à découvrir la signification spirituelle, sociale et politique de la musique africaine, passée et présente, en retraçant son influence mondiale à travers la diaspora. À partir du 16 mai 2025, l’exposition présente une vingtaine d’artistes, principalement originaires d’Afrique et de la diaspora.
Cette exposition est co-organisée par Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), conservateur, artiste, compositeur et DJ.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Nouvelles salles : Auguste Rodin, sculpteur des Bourgeois de Calais

Musée des Beaux-Arts, Calais : à partir du 17 mai 2025

Le musée des Beaux-Arts de Calais a entrepris depuis quelques années le renouvellement de ses espaces d’accueil et d’expositions. Après la transformation du hall, de la salle d’exposition temporaire en parcours permanent des collections Beaux-Arts en 2023, le musée prépare pour 2025 la refonte complète de la galerie consacrée au sculpteur Auguste Rodin.
Le réaménagement de cette galerie revêt une importance particulière pour le musée, historiquement très lié à la figure de Rodin. Celui-ci a en effet répondu à la commande de la Ville de Calais en 1885 pour la réalisation du célèbre Monument aux Bourgeois de Calais, encore visible aujourd’hui sur la place de l’hôtel de Ville. Par ailleurs, le musée entretient depuis plusieurs décennies un partenariat privilégié avec le musée Rodin, à Paris, et est dépositaire de plusieurs de ses oeuvres. Enfin, Rodin est considéré comme le père de la sculpture moderne, or les collections du musée de Calais sont particulièrement riches de cette thématique.
La galerie Rodin réinventée complète le nouveau parcours des collections et introduit les salles dédiées à l’histoire du territoire calaisien. Pensée comme un espace autonome, elle permet en outre d’accueillir des groupes touristiques qui souhaitent une introduction à la découverte de la ville.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Brueghel & Van Balen, artistes & complices

Musée de Flandre, Cassel : du 17 mai au 28 septembre 2025

En 2025, à l’occasion du 400ème anniversaire de sa mort, le musée de Flandre rend hommage à l’un des plus importants peintres flamand du XVIIe siècle : Jan Brueghel l’Ancien. Dernier fils du grand Pieter Bruegel l’Ancien, il marque son temps par son sens de la couleur et sa touche miniaturiste hors du commun. Son extraordinaire virtuosité lui valut d’ailleurs le surnom de Brueghel « de Velours ». De la peinture d’histoire, en passant par les bouquets de fleurs et les scènes de chasse, la diversité est le maître-mot qui guide sa production. Spécialiste des paysages, des fleurs, des fruits et des animaux, Brueghel s’adjoint souvent les compétences d’autres peintres, chargés de représenter les figures humaines. Et notamment celles de Hendrick van Balen, un artiste aujourd’hui méconnu mais qui, pourtant, a eu une carrière brillante. À la tête d’un grand atelier, ses œuvres étaient parfois mieux rémunérées que celles de Rubens.
Van Balen est reconnu pour ses impressionnants retables d’églises ainsi que pour ses tableaux plus intimes, inspirés de la mythologie greco-romaine et de la Bible.
Une amitié profonde liait Van Balen, Rubens et Brueghel, si bien qu’à la mort de ce dernier, Van Balen et Rubens furent nommés co-tuteurs de ses enfants.
Grâce à des prêts exceptionnels de grands musées internationaux et de collections privées, le Musée de Flandre honore sa mission de mettre en lumière des artistes oubliés, en soulignant notamment la relation entre Brueghel et Van Balen, artistes et complices.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rencontres

MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 18 août 2025

La nouvelle exposition temporaire du MEG intitulée « Rencontres » donne la parole à des membres de diverses communautés, leur permettant de se connecter à des objets de leur propre culture issus des collections du MEG, et de partager leurs histoires. Cette exposition a pour but de mettre en avant des récits personnels et communautaires, souvent non racontés, tout en célébrant les liens émotionnels qui unissent les individus à leurs racines culturelles.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
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Cezanne 2025

Aix-en-Provence
Une exposition internationale, sa demeure, son atelier, ses paysages…

La Ville d’Aix-en-Provence propose à partir du mois de juin 2025 un grand évènement dédié au peintre Paul Cezanne, né et mort dans cette ville, qui a été, avec ses paysages alentours et sa montagne devenue mythique grâce à sa peinture, le théâtre de toute une vie.

La présence de Paul Cezanne dans sa ville natale s’exprime avec force à travers le réseau de sites cezanniens que sont la bastide du Jas de Bouffan, l’atelier des Lauves et les carrières de Bibémus. Ces lieux d’exception, où le maître d’Aix a vécu et donné cours à sa création artistique, forment un parcours unique offrant aux visiteurs une perspective totale sur sa vie et son oeuvre.

À l’occasion de l’ouverture au public de la bastide du Jas de Bouffan, demeure familiale de la famille Cezanne, une grande exposition sera organisée au musée Granet. Plus de 100 oeuvres, huiles sur toile, dessins et aquarelles feront ainsi le lien avec sa bastide familiale restaurée ainsi que son parc, dont il reste aujourd’hui près de 5 hectares quasi intacts. Ces oeuvres inestimables viennent du monde entier, à la fois des grands musées français notamment du musée d’Orsay mais aussi de Bâle, Chicago, Harvard, Londres, Los Angeles, New York, Ottawa, Tokyo, Zurich…

Tout au long de cette célébration, une programmation ambitieuse des musées d’art et d’histoire de la ville d’Aix viendront resituer Cezanne dans son époque et apporter un autre éclairage sur une postérité qui n’est pas allée de soi aussi bien dans sa ville natale qu’en France.
Pour les plus petits, un parcours pédagogique sera proposé dès février 2025, avant, pendant, et après l’exposition au musée Granet, dans les espaces de La Manufacture afin que le jeune public appréhende de façon ludique et didactique ce qui fait la singularité de l’artiste.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Le temps d’un rêve

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 24 août 2025

Afin de tenter de définir le phénomène onirique, l’exposition propose une série d’escales dans les lieux où le rêve s’exprime, dans différentes cultures, depuis l’Antiquité.
Un être humain passe un tiers de sa vie à dormir et une bonne partie de ce temps à rêver. Exceptions faites de son rôle central dans la création artistique et dans le domaine de la psychanalyse, le rêve est pourtant un sujet souvent absent de nos sociétés occidentales contemporaines. Sans doute car sa nature semble sans cesse se dérober.
Des temples d’incubation grecs au laboratoire de neurosciences, du divan du psychanalyste à l’imaginaire de l’artiste, d’un continent à l’autre, Le temps d’un rêve offre autant d’étapes pour approcher le miracle de « ce voyage aventureux de tous les soirs » comme le qualifiait Charles Baudelaire. Inspirée par ces différents lieux, la scénographie fait s’estomper les frontières entre réalité et visions oniriques. Près de 150 objets et de nombreuses oeuvres audiovisuelles tissent des liens parfois inattendus entre l’histoire, la psychologie, l’ethnologie, l’art ou la recherche en neurosciences. Ces multiples regards réveilleront peut-être le rêveur en chaque visiteur.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Sorcières (1862-1914)

Musée de Pont-Aven : du 7 juin au 16 novembre 2025

Au coeur de notre imaginaire collectif, les sorcières ont longtemps incarné l’allégorie de la vieillesse, de la mort, du vice et du mal. Elle sont associées au spirituel, à la nature, à ce qui fait peur et que l’on ne maîtrise pas. Mais 1862 marque une rupture avec la publication de La Sorcière de l’historien Jules Michelet : la sorcière devient alors à la fois un emblème de révolte, de connaissance et d’harmonie avec les éléments naturels, posant les bases de l’éco-féminisme. Réenchantée, elle devient le symbole de la lutte des opprimés contre l’arbitraire. Ambivalente, la sorcière cristallise les fantasmes masculins sous forme d’icône érotisée dotée d’une éternelle jeunesse s’opposant ainsi à la vieille femme laide des contes et illustrations. Pour des artistes majoritairement masculins, la sorcière évoque l’autre et l’inconnu, avec sa part d’attraction et de menace. Dans une société patriarcale où la femme est considérée comme mineure, la sorcière personnifie la femme forte, qui menace l’ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Elle incarne la résistance face aux pouvoirs dominants.
L’exposition fait dialoguer les arts au sein d’un parcours qui fait la part belle aux arts graphiques, à la peinture, sculpture, photographie, cinéma ainsi qu’à la musique, la danse et la littérature.

Exposition en partenariat avec la musée d’Orsay.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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L’Asie photographiée par Michael Kenna

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 11 juin au 30 septembre 2025

Le photographe Michael Kenna (né en 1953) nourrit un attachement profond pour l’Asie. Depuis son premier séjour au Japon en 1987, ce représentant majeur de la photographie minimaliste contemporaine n’a eu de cesse d’y retourner pour passer les paysages de l’archipel au prisme de son esthétique, avant d’élargir son horizon à la Chine, la Corée du Sud, l’Inde et l’Asie du Sud-Est dans les années 2000.

Forgé à partir des années 1970, le vocabulaire formel de Michael Kenna fait la synthèse de plusieurs avant-gardes photographiques du XXe siècle mais il entretient également des affinités avec les arts classiques de l’Asie orientale. La monochromie, l’économie de moyens, un usage audacieux du vide et le désir de transcender le sujet rappellent volontiers la peinture à l’encre (shuimohua, sumi-e). De même, certaines compositions évoquent le travail japonais de la laque (maki-e) tandis que des jeux d’échelle peuvent transformer un paysage enneigé en calligraphie. Dépassant l’esthétique, ces liens incluent également l’acceptation de la lenteur, la quête de la perfection, le retour cyclique au motif, une éthique artisanale et même une dimension spirituelle. Chez Michael Kenna comme dans les arts chinois, coréen et japonais, ces procédés et ces principes convergent bien souvent vers une poésie subtile, qui peut résider dans la dignité d’un rocher ou dans une conversation entre un détail et son environnement. Cette capacité à distiller une émotion à partir d’un paysage a fait dire à certains commentateurs que Michael Kenna était l’auteur de haïkus visuels.

Forte de ces réflexions, l’exposition proposera une expérience sensible des paysages asiatiques de Michael Kenna. Les ponts entre photographies et traditions artistiques locales seront explorées au gré de neuf sections thématiques, introduites chacune par un dialogue entre une épreuve et une œuvre issue des collections du Musée Guimet. L’exposition emmènera également les visiteurs dans les coulisses de la création avec des sections transversales sur la fabrique des images (de la prise de vue au livre en passant par la chambre noire) et le travail du motif.

Célébrant la donation par Michael Kenna de son œuvre à la France en novembre 2022, l’exposition sera la première rétrospective d’envergure sur son travail en Asie. Elle présentera de nombreux tirages issus de la donation et conservés à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie.

Commissariat : Édouard de Saint-Ours, conservateur des collections photographiques (Musée Guimet)

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Quels beaux visages !

Nouvelles oeuvres

Musée des beaux-arts, Calais : prolongation jusqu’au 31 août 2025

Le Musée des beaux-arts de Calais remercie ses donateurs en mettant en valeur les œuvres récemment entrées dans ses collections, soit près d’un tiers des pièces exposées. Le thème du portrait semble naturellement les relier, ici étendu aux portraits d’artistes, aux portraits de groupes et à ceux en mémoire des oubliés. Ces créations modernes appartiennent à l’art contemporain, aux nouvelles formes de figurations, à la photographie et au street art.
La prolongation de cette exposition inaugurée en avril 2024 s’accompagne cet automne d’un renouvellement d’une partie des œuvres exposées.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Yiqing Yin. D’air et de songes

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : du 14 juin 2025 au 4 janvier 2026


Yiqing Yin, première créatrice d’origine chinoise à recevoir l’appellation haute couture, est une artiste pluridisciplinaire. À la croisée des arts, ses œuvres sculpturales et évanescentes tissent un dialogue entre la fragilité de l’humain et la force transformatrice de la nature. Grand couturier, directrice artistique, créatrice de costumes et muse, Yiqing Yin incarne tour à tour des rôles multiples dans l’univers de la création.
Sous la curation de Sylvie Marot, cette exposition consacrée à Yiqing Yin met en lumière l’hybridation de ses disciplines artistiques, entre rêve et exploration des sens.
Le parcours invite à pénétrer au cœur du processus créatif, à saisir l’idée avant même la robe. Le hasard, l’inattendu et l’indéterminé sont les forces motrices du voyage sensoriel où l’œuvre se révèle… L’artiste puise son inspiration dans le minéral, le végétal et l’animal, élaborant ainsi une poétique du vivant qui tisse le fil rouge de l’exposition. Chaque création se révèle comme un paysage onirique, où rêve et éveil des sens s’entrelacent en une esthétique de la métamorphose.
Robes haute couture, images (photographies, films, dessins), textures sonores (murmures littéraires, bruissement d’air), sillages olfactifs rythment ce parcours immersif, invitant le visiteur à une exploration intime de son imaginaire.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trois siècles à l’Isle Adam

Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq, L’Isle-Adam : jusqu’au 21 septembre 2025

À vingt-cinq kilomètres à vol d’oiseau de Paris, L’Isle-Adam se trouve aux portes du parc naturel régional du Vexin français, du Pays de France et du département de l’Oise. Qualifiée de « paradis terrestre » par Honoré de Balzac dans une lettre qu’il écrit à sa sœur en 1819, la ville bénéficie d’un environnement exceptionnel situé entre rivière et forêt domaniale.
Avec cette nouvelle exposition intitulée Trois siècles à L’Isle-Adam, le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq invite ses visiteurs à un voyage à travers l’histoire et le patrimoine de la cité adamoise et de son territoire. Organisé de manière chronologique et couvrant une période allant du XVIIIe au milieu du XXe siècle, le parcours s’articule autour des grandes thématiques représentées dans les collections du musée. L’histoire et l’évolution urbaine de L’Isle-Adam y sont évoquées, le passé industrieux de la ville est également mis en avant,…
L’exposition rassemble peintures, sculptures, aquarelles, gravures, affiches publicitaires, cartes postales et photographies anciennes, toutes issues du fonds du musée.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Vas-y Champion ! Le sport dans les années de Gaulle (1958-1969)

Maison natale Charles de Gaulle : jusqu’au 22 septembre 2025

UNE EXPOSITION AU COEUR D’UNE DÉCENNIE DÉTERMINANTE POUR LE SPORT EN FRANCE
À l’occasion des Jeux olympiques de Paris en 2024, la Maison natale Charles de Gaulle présente une exposition sur le sport sous la présidence du général de Gaulle. Quel a été l’impact des années 1960 sur le sport en France ? Comment ce dernier est-il devenu une passion partagée par un nombre croissant de Français ? L’exposition Vas-y champion ! Le sport dans les années de Gaulle (1958-1969) propose une rétrospective captivante, visant à saisir l’esprit du sport de cette époque.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Atala, 1801. Voyage illustré au coeur d’un roman

Maison de Chateaubriand : jusqu’au 28 septembre 2025

Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert, le premier roman de François René de Chateaubriand, est un chef-d’oeuvre de la littérature française. Publié en 1801, accueilli par un succès immédiat et durable, maintes fois réédité et traduit dans la plupart des langues européennes, l’ouvrage lance la carrière de l’écrivain.
La maison de Chateaubriand, au sein du domaine départemental de la Vallée-aux-Loups, présente l’exposition Atala, 1801. Voyage illustré au coeur d’un roman. Cette exposition propose un voyage inédit au coeur de l’intrigue, rythmé par douze épisodes, associant des extraits du récit et une grande diversité d’oeuvres. Elle aborde également la postérité du roman et son succès littéraire et éditorial jusqu’au 20ème siècle.
Une centaine d’oeuvres créées aux 19ème et 20ème siècles, seront présentées : peintures, gravures, dessins, sculptures, objets d’art, objets décoratifs, produits dérivés, éditions (originales, parodiques, illustrées, traductions).

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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La Pologne rêvée. 100 Chefs-d’oeuvre du Musée national de Varsovie

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : du 27 juin au 9 novembre 2025

En été 2025, la Fondation de l’Hermitage mettra en lumière la remarquable vitalité artistique de la Pologne des années 1840 jusqu’à 1914, grâce à un partenariat exceptionnel avec le Musée National de Varsovie.
Siècle crucial dans la longue histoire du pays, le 19e siècle polonais est celui de la lutte des artistes, des écrivains et des musiciens pour garder vivants les particularismes, les traditions et la langue d’un peuple. À travers la mise en image de l’histoire médiévale et celle des grands monarques, mais également de la célébration de ses paysages, du monde rural, du folklore et des récits mythologiques, les peintres, privés d’académie nationale, créent une iconographie unique célébrant la Pologne indépendante dont ils préparent le retour.
Avec plus de 100 œuvres emblématiques des plus grands peintres, l’exposition proposera une histoire de l’art polonais à travers ses principaux courants : romantisme, réalisme, impressionnisme, symbolisme, modernisme.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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agnès b. On aime le graff !!

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 7 septembre 2025

Styliste, galeriste, collectionneuse, mécène et photographe, agnès b., pour qui la mode s’inspire de la rue, nous fait partager son goût pionnier et éclairé pour le graff. Au fil de ses collections, agnès b. dédie plusieurs thèmes à cet art qui renouvelle la pratique de la peinture et collabore avec des graffeurs de renom. agnès b. on aime le graff !! présente ainsi des confrontations inédites mêlant vêtements et oeuvres originales.
Cette exposition s’inscrit dans la programmation de la quatrième édition du festival URBX, organisé du 19 au 29 juin 2025 à Roubaix et dans la métropole lilloise.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Mahjoub Ben Bella, céramiste

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 28 septembre 2025

La céramique de l’artiste franco-algérien Mahjoub Ben Bella (1946-2020) développe un langage plastique abstrait et coloré autour de motifs et d’une calligraphie très libre aux réminiscences orientales. Ces oeuvres entrent en parfaite résonance avec l’exposition agnès b. On aime le graff !! Grâce au soutien des Amis du musée, et aux dons de sa famille, La Piscine présente ainsi à l’été 2025 un ensemble exceptionnel de céramiques de cet artiste polyvalent et curieux.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Vêtements bavards

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 28 septembre 2025

Artiste aux multiples terrains de jeux, Mahjoub Ben Bella collabore avec La Redoute au début des années 2000, faisant voyager son écriture de la toile de ses peintures à celle des robes et chemises de la créatrice belge Souâd Feriani. Ce motif-signature est le point de départ de ce nouvel accrochage des cabines Mode de La Piscine, où le vêtement se pare de mots qui décorent, définissent, suggèrent et clament.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Cezanne au Jas de Bouffan

Cezanne 2025
Musée Granet, Aix-en-Provence : du 28 juin au 12 octobre 2025

La Ville d’Aix-en-Provence propose, à partir du mois de juin 2025, un grand évènement dédié au peintre Paul Cezanne, avec notamment, l’ouverture au public de la bastide du Jas de Bouffan, acquise par le père de l’artiste en 1859. Cette bastide située en bordure Ouest du centre ville a été pour Cezanne plus qu’une demeure familiale dont il devra pourtant se départir à contre-coeur en 1899. C’est là qu’il a peint ses premières oeuvres à l’âge de 20 ans et dont il reste encore aujourd’hui des fragments récemment découverts dans le « Grand Salon » ; c’est là aussi que son père lui installe un atelier au deuxième étage, éclairé par une grande verrière fendant la toiture d’où sortiront ses plus grands chefs d’oeuvre.
De ces 40 ans passés dans la demeure familiale entourée de 15 ha de vignes et de vergers, vont naître natures mortes, joueurs de cartes, baigneurs et baigneuses, portraits et autoportraits que le musée Granet va proposer dans une grande exposition du 28 juin au 12 octobre 2025.
Plus de 100 oeuvres, huiles sur toile, dessins et aquarelles feront ainsi le lien avec sa bastide familiale restaurée ainsi que son parc, dont il reste aujourd’hui près de 5 ha quasi intacts. Ces oeuvres inestimables viennent du monde entier, à la fois des grands musées français notamment du musée d’Orsay mais aussi de Bâle, Chicago, Harvard, Londres, Los Angeles, New York, Ottawa, Tokyo, Zurich…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Agnès Varda. Je suis curieuse. Point. (titre provisoire)

Musée Soulages, Rodez : du 28 juin 2025 au 4 janvier 2026

En 2025, la mer Méditerranée arrive à Rodez avec son horizon, bleu et calme, ses plages, son petit peuple de pêcheurs, ses jouets en plastique, ses cabanons, ses manifestations, – en somme sa vie mouvante et le portrait qu’Agnès Varda en a fait pendant toutes ces années et le tendre souvenir qu’elle laisse en chacun de nous.

Agnès Varda (1928-2019) est une figure majeure du cinéma et de la photographie, s’illustrant sur le tard dans le domaine des arts plastiques. Le musée Soulages a décidé de lui rendre un hommage en été 2025.
Le projet d’exposition du musée Soulages joue sur le lien amical entre Pierre et Colette Soulages et Agnès Varda à Sète, lien qu’elle immortalisa dans Les Plages d’Agnès : le musée Soulages possède en effet un certain nombre de photographies du peintre réalisées par la cinéaste et son équipe de tournage. Un entretien de Soulages au sujet de ses peintures Outrenoir est diffusé dans les salles permanentes du musée. Leur rencontre amicale et instructive, offre un bel accompagnement à nos visiteurs.
D’une certaine manière, nous voulions poursuivre l’échange, l’ouvrir en grand à Rodez avec la présentation de l’oeuvre de Varda. Nous voulons mettre en valeur Agnès Varda dans sa grande curiosité : associer librement son fonds photographique autour du tournage de La Pointe Courte (compostions sur le monde du port, des pêcheurs, de la Méditerranée) aux constructions de cabanes, et nombreuses évocations de la mer et des plages dans son oeuvre d’artiste visuelle : Bord de mer (2009), La petite mer immense (2003), Ping-Pong Tong (2005-2006), Le dépôt de la Cabane de Plage (2011), La Cabane du Bonheur (2018), et autres photographies couleur inédites de Noirmoutier et de ses cabanes de pêcheurs. Cette association de photographies en noir et blanc, en couleur, d’objets et d’installations filmiques, composent un itinéraire inédit, une scénographie déroulée en histoire.
La photographie singulièrement muette des premiers temps, se prolongera avec de l’écriture visuelle ou non, des objets… Elle représente une part de Varda, un trait majeur de son modus operandi.
L’exposition incarnera ses recherches et ses passions d’artiste. Nous associerons à l’ensemble de l’exposition un environnement familier c’est-à-dire des oeuvres du peintre et ami Pierre Soulages, du sculpteur Alexander Calder, des oeuvres de Valentine Schlegel, de l’artiste-voyageur JR. Un clin d’oeil sera fait au photographe primitif de la mer et du ciel, Gustave le Gray (1820- 1884)…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Elika Hedayat, Haroum

Commissaire d’exposition : Valentina Ulisse
Lauréates de la bourse de production Drawing Lab Project 2025
Drawing Lab, Paris : du 17 octobre 2025 au 4 janvier 2026

La bourse de production Drawing Lab Project 2025, d’un montant de 20 000 euros, a été attribuée à l’artiste Elika Hedayat et à la commissaire d’exposition Valentina Ulisse. Elles exposeront au Drawing Lab leur projet intitulé « Haroum » en octobre 2025 et bénéficieront de l’édition d’un catalogue dédié.
Drawing Lab Project est la bourse de production destinée à une exposition de dessin contemporain et proposée par le Drawing Lab, l’espace d’expositions fondé par Christine Phal et mécéné par la Drawing Society. L’appel à projets, destiné aux duos artiste/commissaire d’exposition, âgés minimum de 25 ans et de nationalité française ou vivant en France, s’intitulait cette année « Le dessin en mouvement(s) » et avait pour ambition de questionner le dessin contemporain sous toutes ses formes, en mettant particulièrement en lumière le concept de mouvement qu’il soit dansé, écrit, ou encore performé. Le dessin n’est pas uniquement une forme d’expression artistique, il devient un langage, moyen d’engagement de la pensée, du corps et un outil de communication.
Rendez-vous en octobre 2025 pour découvrir le projet complet du duo.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Anatomie comparée des espèces imaginaires

Musée de Lodève : du 18 octobre 2025 au 15 mars 2026

Films, BD, comics… les univers fictionnels passionnent et regorgent d’êtres imaginaires qui empruntent leurs caractéristiques fantastiques à des espèces bien réelles. Des dragons de la mythologie à notre voisin Totoro, du monstre d’Alien à la Vouivre, l’exposition Anatomie comparée des espèces imaginaires est l’opportunité de découvrir l’anatomie comparée et les sciences de l’évolution (paléontologie, biologie, …) à travers l’analyse rigoureuse mais amusante d’espèces fantastiques.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Manga

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 19 novembre 2025 au 6 mars 2026

L’exposition Manga au musée Guimet présentera l’un des phénomènes culturels les plus marquants des XXe et XXIe siècles : le manga. Abordant tant la période antérieure à la naissance des mangas proprement dits, que la période d’après-guerre, l’approche mêlera dimensions historiques et thématiques et permettra de comprendre les grandes étapes de leurs transformations. Cette exposition exceptionnelle organisée en deux grands volets occupera les principaux espaces d’expositions temporaires du musée.

Les espaces du rez-de-jardin, les plus vastes, seront consacrés à l’évolution des mangas selon une approche chronologique et thématique. On commencera par sa « préhistoire », avec l’apparition de la presse satirique et de la caricature politique au contact de l’Occident, à la fin du XIXe siècle. Viendront ensuite les premiers « comics strips » au tournant du XXe siècle, les premiers pas du dessin animé ou encore le kamishibai, une forme de théâtre de rue pour enfants. Une section sera consacrée au célèbre Osamu Tezuka, considéré comme le « dieu des mangas » et de l’animation japonaise. Après une plongée dans la contre-culture et les revues qu’elle a suscitées, les nouvelles narrations et jeux entre les genres seront explorés. Les titres bien connus de la pop culture japonaise seront revisités grâce à un dialogue entre leurs personnages et des objets tirés des réserves du musée Guimet, ce qui permettra d’éclairer d’un jour nouveau œuvres anciennes et mangas contemporains. Enfin, l’émergence de figures emblématiques comme Godzilla permettra d’expliquer la présence de monstres comme symboles de la peur et de l’espoir dans un monde postapocalyptique, marqué par la Seconde Guerre mondiale. Le parcours associera planches originales, exemplaires de revue et films d’animation à des œuvres et objets anciens, issus des collections du musée et de prêts de collections publiques et privées. Il se terminera avec des robes de haute-couture inspirées par la culture manga.

Au deuxième étage, le second volet de l’exposition présentera peintures, rouleaux peints et livres illustrés des XVIIIe et XIXe siècles choisis pour leurs qualités esthétiques et narratives. Ils permettront de comprendre comment le Japon, avant même la naissance des mangas, a créé des œuvres d’une grande inventivité pour mettre en scène des personnages avec humour ou grandiloquence. Bulles de rêve, rayons de lumières et flatuosités explosives montreront l’étendu des registres, de l’humour le plus désopilant aux récits les plus édifiants.

Enfin, une salle sera consacrée à la fameuse estampe de Hokusai, Sous la grande vague au large de Kanagawa, et à ses reprises dans les mangas et la BD franco-belge.

Commissariat : Estelle Bauer (conservatrice Japon au musée Guimet) et Didier Pasamonik (éditeur et journaliste, commissaire invité)

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30