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Le patrimoine vert des sites du Centre des monuments nationaux

Un patrimoine vivant

Avec plus de 3 100 hectares d’espaces verts répartis sur 83 monuments, le Centre des monuments nationaux (CMN) s’engage activement dans la préservation de la biodiversité et la gestion durable de ses jardins historiques. Illustrant l’évolution des styles paysagers à travers les siècles, et l’élégance classique des jardins à la française à la poésie des jardins romantiques, en passant par des espaces nourriciers comme les potagers historiques, ces lieux offrent une immersion unique dans l’histoire et l’art du jardin. Outre son intérêt historique, artistique et paysager, il représente une grande richesse écologique par sa diversité botanique, agronomique et naturelle. Pour l’entretenir, 80 experts de l’art des jardins et de la conservation du patrimoine végétal oeuvrent au quotidien.
Classés pour leur valeur patrimoniale et écologique, certains jardins sont labellisés « Jardins Remarquables » et abritent une biodiversité exceptionnelle.
Le CMN mène une politique de gestion durable, intégrant des pratiques respectueuses de l’environnement comme l’éco-pâturage, l’agriculture biologique et l’entretien sans produits phytosanitaires.
Ces jardins sont également des lieux d’éveil et de découverte, proposant des visites, des ateliers et des animations pour sensibiliser le public à l’histoire des paysages et aux enjeux environnementaux. À travers ces espaces verts, le CMN perpétue une tradition botanique et paysagère tout en s’adaptant aux défis contemporains de la préservation du patrimoine naturel.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Le parc de la Fondation de l’Hermitage

Un écrin de verdure au coeur de Lausanne

Nichés sur les hauteurs de Lausanne, les jardins de la Fondation de l’Hermitage offrent un véritable havre où Nature et Histoires se mêlent harmonieusement entre paysages bucoliques et patrimoine architectural. Ce parc exceptionnel, conçu à l’origine par la famille Bugnion au XIXe siècle, demeure aujourd’hui un lieu préservé, propice à la contemplation et à la flânerie.
D’inspiration anglaise, le jardin épouse la topographie du site avec ses allées sinueuses, ses vastes pelouses et sa couronne d’arbres remarquables. Il accueille une diversité d’essences nobles telles que le majestueux séquoia toujours vert, le cèdre de l’Atlas, le tulipier de Virginie, ou encore le pin noir d’Autriche, témoins vivants d’un siècle et demi d’histoire paysagère. Aux beaux jours, la ville disparaît derrière un écran de verdure, ne laissant place à un panorama saisissant sur les Alpes en toile de fond.
Lieu de découverte et de transmission, la « campagne » de l’Hermitage abrite également le plus grand verger public de Lausanne, où cerisiers, pommiers et cognassiers perpétuent une tradition fruitière ancestrale. Engagée dans une gestion respectueuse de l’environnement, la Ville de Lausanne y applique un entretien différencié, favorisant la biodiversité à travers des prairies fleuries et des pâturages où évoluent des moutons en été.
Ouvert à toutes et tous, le parc de la Fondation de l’Hermitage invitent à une promenade hors du temps, où nature et culture dialoguent en parfaite harmonie.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Le Musée des Beaux-Arts de Valenciennes prépare sa métamorphose

Réouverture prévue en septembre 2026

Le Musée des Beaux-Arts de Valenciennes entame une importante mue qui repose sur un nouveau Projet Scientifique et Culturel. Musée de France de par son intérêt patrimonial et l’importance de ses collections, il est abrité dans un bâtiment inscrit aux Monuments Historiques et se distingue par la pluralité de ses collections artistiques et archéologiques.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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« CONTES ET HISTOIRES » ÉDITION 2025

La magie des fêtes s’invite dans les monuments du CMN !
du 20 décembre 2025 au 4 janvier 2026

Depuis plus de vingt ans, « Contes et Histoires » est le rendez-vous incontournable des vacances d’hiver, invitant petits et grands à vivre la magie des fêtes au cœur du patrimoine. Chaque fin d’année, les monuments nationaux s’animent et s’illuminent pour offrir au public une expérience culturelle et féérique.

Du 20 décembre 2025 au 4 janvier 2026, une cinquantaine de monuments à travers la France proposent un programme festif et culturel mêlant contes, spectacles, ateliers et visites participatives.

Entre patrimoine et imaginaire, cette manifestation portée par le Centre des monuments nationaux (CMN) offre à chacun la possibilité de redécouvrir autrement les trésors de notre histoire, dans une atmosphère chaleur conviviale.

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150e anniversaire du jardin botanique Val Rahmeh à Menton

En 2025, le jardin botanique Val Rahmeh-Menton célèbre son anniversaire, avec la création du domaine en 1875 : 150 ans d’une histoire marquée par les aménagements et les plantations initiés par ses occupants successifs. Le domaine est finalement cédé à l’État en 1966 qui confie la gestion du domaine au Muséum national d’Histoire naturelle. Il est ouvert au public depuis 1967.
Dans un environnement méditerranéen avec vue sur la mer depuis la terrasse de la villa, le jardin Val-Rahmeh abrite une exceptionnelle palette végétale : 1 800 espèces, des variétés méditerranéennes, mais aussi tropicales et subtropicales.
Labelisé EcoJardin, Val Rahmeh a mis en place des pratiques de culture respectueuses de l’environnement, économes en eau, en énergie et favorable à la biodiversité. Un suivi de la faune est aussi assuré, notamment des insectes ravageurs qui menacent certaines espèces végétales. Une gestion et une veille qui se révèlent essentiels en raison des effets du réchauffement climatique.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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MUSEUM CONNECTIONS 2026

Le rendez-vous de référence pour les acteurs du secteur culturel et touristique

13 & 14 janvier 2026, à Paris Expo

Museum Connections, l’événement leader dédié aux enjeux économiques et durables des musées, lieux culturels et touristiques, revient les 13 et 14 janvier à Paris Expo.
Avec 6 208 professionnels du secteur culturel et touristique présents en 2025 (+15% vs 2024), des cycles de conférences et de talks (61 en 2025), des exposants (380 en 2025), et de nombreuses opportunités de networking, le salon confirme son rôle d’animateur incontournable d’une communauté en perpétuelle quête d’inspiration.

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Entre ciel et terre…

Du 16 janvier au 3 avril 2026, à la Galerie G. Sarti, Paris

12 chefs-d’oeuvre retracent le chemin d’une révolution du regard, du XIIIe au XVIIe siècle, de l’éclat du sacré aux visions baroques, dans un monde où l’homme, sans renier le divin, découvre sa propre grandeur.

Cette exposition est aussi un hommage à Giovanni Sarti qui, mieux que tout autre, a su nous donner à voir ses passions et ses merveilles. Elle raconte son exceptionnelle aventure.

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Le musée des enfants #1. Grandeur nature

Palais des Beaux-Arts de Lille : ouverture début 2026

Le Musée des Enfants est un nouvel espace d’exposition d’œuvres conçu pour accompagner les enfants dans leur découverte de l’art du Palais des Beaux-Arts de Lille. Gratuit et en accès libre, il propose une approche ludique et polysensorielle grâce à une scénographie adaptée et une médiation sensible et engageante, à partager entre petits et grands.
Conçu pour les 6-10 ans, ouvert à tous. Entrée gratuite.

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Nouvelles salles : Auguste Rodin, sculpteur des Bourgeois de Calais

Musée des Beaux-Arts, Calais : depuis le 17 mai 2025

Le musée des Beaux-Arts de Calais a entrepris depuis quelques années le renouvellement de ses espaces d’accueil et d’expositions. Après la transformation du hall, de la salle d’exposition temporaire en parcours permanent des collections Beaux-Arts en 2023, le musée prépare pour 2025 la refonte complète de la galerie consacrée au sculpteur Auguste Rodin.
Le réaménagement de cette galerie revêt une importance particulière pour le musée, historiquement très lié à la figure de Rodin. Celui-ci a en effet répondu à la commande de la Ville de Calais en 1885 pour la réalisation du célèbre Monument aux Bourgeois de Calais, encore visible aujourd’hui sur la place de l’hôtel de Ville. Par ailleurs, le musée entretient depuis plusieurs décennies un partenariat privilégié avec le musée Rodin, à Paris, et est dépositaire de plusieurs de ses oeuvres. Enfin, Rodin est considéré comme le père de la sculpture moderne, or les collections du musée de Calais sont particulièrement riches de cette thématique.
La galerie Rodin réinventée complète le nouveau parcours des collections et introduit les salles dédiées à l’histoire du territoire calaisien. Pensée comme un espace autonome, elle permet en outre d’accueillir des groupes touristiques qui souhaitent une introduction à la découverte de la ville.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Jean Painlevé, les pieds dans l’eau

du 7 février au 31 mai 2026, au musée de Pont-Aven

Spécialiste du documentaire scientifique et des techniques cinématographiques de réputation internationale, Jean Painlevé (1902-1989) utilise le cinéma pour explorer des aspects inconnus et mystérieux d’organismes vivants. Alternant vision du réel et zoom microscopique, il embarque le public dans un récit descriptif et informatif tout autant qu’esthétique. Abolissant les frontières entre art et science, son œuvre est diffusé dans les cinémas indépendants et d’avant-garde dans l’entre deux-guerres. Son univers, empreint de liberté et proche du surréalisme, s’enrichit de nombreuses amitiés artistiques, de Jean Vigo à Fernand Léger, en passant par Alexander Calder. À partir des années 1950, Painlevé et Geneviève Hamon, sa compagne et collaboratrice, réalisent un nombre important de films de recherche alors que leur création se poursuit, nourrie par les études des zoologistes et biologistes pour lesquels ils travaillent.

L’exposition invite à comprendre le contexte historique et scientifique de sa réalisation tout autant qu’à saisir la résonance artistique qu’il a eu auprès de nombreux artistes. Notre sens de la réalité s’en trouve déstabilisé par la dimension immersive de ses créations. Une découverte à vivre entre expériences familières et dérive onirique.

Exposition conçue et organisée par le Jeu de Paume à Paris, en collaboration avec le Musée de Pont-Aven.

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All Parts Of Us

Susanna Inglada, lauréate du Prix Drawing Now 2025 – Commissaire d’exposition : Giulianna Benassi

Drawing Lab, Paris : du 13 février au 10 mai 2026

L’exposition All Parts Of Us de Susanna Inglada (Banyeres del Penedès, 1983) rassemble les œuvres les plus récentes de l’artiste et propose un parcours immersif où le dessin s’étend dans l’espace tridimensionnel, transformant celui-ci en une scène expressive de la contemporanéité. La fragmentation, déjà soulignée par le titre, n’est pas seulement une technique de composition par le collage, mais aussi une clé pour révéler une vision de l’existence où chaque fragment prend sa place dans un tout collectif et partagé.

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Roger-Edgar Gillet. La grande dérision

du 14 février au 7 juin 2026, au musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence

En 2026, le musée Estrine célèbre la matière peinture, fil conducteur de toutes ses expositions toujours dans le dialogue entre générations et sensibilités artistiques. L’année s’ouvre avec une grande rétrospective consacrée à Roger Edgar Gillet (1924-2004), en coproduction avec le musée des Beaux-Arts de Rennes, retraçant soixante ans d’une œuvre puissamment expressive (14 février au 7 juin).

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50 ANS DE LA COLLECTION DE L’ART BRUT

Exposition anniversaire : ART BRUT SUISSE. Des origines de la collection à aujourd’hui. Autrices et auteurs suisses de la collection

du 28 Février au 27 septembre 2026

Cette exposition anniversaire présentera un large éventail d’œuvres d’une grande variété, dessins, peintures, sculptures, broderies, écrits, assemblages issues exclusivement des collections du musée lausannois. Certaines émanent du noyau historique dont on doit l’existence à l’artiste français Jean Dubuffet ; d’autres sont contemporaines et ont intégré le fonds de la Collection de l’Art Brut entre 1976, année de son ouverture, et 2026. Cependant, elles ont toutes été réalisées par des autrices et auteurs d’Art Brut suisses ou ayant créé en Suisse.

Avec le thème de la Suisse comme fil rouge, cette exposition et la publication qui l’accompagne, contenant notamment un tapuscrit inédit de Dubuffet sur son voyage en 1945, ont pour objet de rappeller les liens étroits et durables entre l’artiste français et ce pays, qui l’ont conduit à offrir sa collection d’Art Brut à la Ville de Lausanne afin d’en assurer la pérennité et sa présentation au public.

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La Redoute, un temps d’avance. Mode, design, publicité

du 7 mars au 5 juillet 2026, à La Piscine, Roubaix

Née de la révolution industrielle au XIXe siècle, la Ville de Roubaix s’est façonnée une identité forte autour du textile. La Redoute, créée en 1837 par Joseph Pollet, est avant tout une histoire d’entrepreneurs audacieux installés à Roubaix. Le musée La Piscine propose de raconter cette success-story, née d’une filature familiale réputée pour ses tissus et tricots d’une rare finesse.

L’exposition se propose de retracer, au-delà de la révolution commerciale, le rôle de La Redoute dans l’évolution de la société et des modes de consommation. S’appuyant sur ses archives, publicités, catalogues de ventes, témoignages, cartes postales, photographies, vêtements, sont présentés au fil d’un parcours riche en découvertes. Cette rétrospective met aussi en lumière les collaborations avec les couturiers et créateurs de prêt-à-porter renommés (Yves Saint Laurent, Issey Miyake, Azzedine Alaïa, Sonia Rykiel, Jacquemus, Kevin Germanier…), les designers phares (Sam Baron, Constance Guisset, Philippe Starck, Jean-Michel Wilmotte, Christian Lacroix) et les mises en scène de célébrités photographiées par Dominique Issermann et Kate Barry entre autres.

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L’art du motif. Invitation à Minakani

du 7 mars au 20 septembre 2026, à La Piscine, Roubaix

Au cœur de nos penderies grouille un petit monde illustré. Personnages, animaux, fleurs et formes abstraites s’y côtoient harmonieusement. Ces motifs qui recouvrent nos vêtements ont un point commun : ils sont esquissés de la main de dessinateurs dont le nom est bien souvent méconnu du grand public.

Frédéric Bonnin en est l’un des représentants et fait naître depuis 2005 des bouquets de dessins qui fleurissent chaque saison sur les étoffes des créateurs de mode. Minakani – mot d’origine perse se traduisant par « femme » et « jardin » – est le nom de son atelier, véritable fabrique poétique d’images. Maître de la composition, il explore la tension existant entre le trait, la couleur et l’espace à travers une œuvre dynamique et joyeuse. S’échappant de ses dessins préparatoires, l’imaginaire de Minakani se dépose sur tissus, vêtements et accessoires au cœur des cabines du musée dédiées au textile et à la mode.

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Des dinosaures aux oiseaux

Département de la Seine-Maritime

du 22 mars au 15 novembre 2026, au Parc de Clères

En partenariat avec La Fabrique des Savoirs (Elbeuf), une plongée dans l’évolution aviaire, alliant science, art et conservation.

Inspirée des voyages de Jean Delacour, fondateur du parc, plongez dans une jungle luxuriante d’Asie du Sud-Est ! Partie intégrante de la grande exposition « Des dinosaures aux oiseaux » présentée à la Fabrique des savoirs, l’exposition présentée au parc de Clères accueillera dans la grande salle voûtée du château, une scénographie spectaculaire, mêlant végétation, temple en ruines et pagode, pour explorer le rôle clé du parc dans l’étude et la conservation des oiseaux.

Près de 50 spécimens naturalisés, prêtés par la Fabrique des savoirs, et des panneaux pédagogiques révèlent l’adaptation, les menaces et les enjeux de préservation des espèces. Une ode à la biodiversité, un hommage aux naturalistes et à l’héritage scientifique de Jean Delacour, pour mieux comprendre et protéger le monde ailé.

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Le printemps du dessin, 9ème édition

Partout en France : du 20 mars au 21 juin 2026

Créé en 2017, par l’équipe de Drawing Now Paris, la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.

Du 20 mars au 21 juin, en réunissant des lieux aussi différents que des Monuments nationaux, des artothèques, des FRAC ou des centres d’art, le Printemps du dessin inscrit la culture au sein même des territoires et répond déjà au souhait du Ministère de la Culture d’un « Printemps de la ruralité ».

À travers des expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et publics, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique.

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Drawing Now Paris, le salon du dessin contemporain

du 26 au 29 mars 2026, au Carreau du Temple

La 19e édition de Drawing Now Paris, première foire d’art contemporain dédiée au dessin en Europe, aura lieu du 26 au 29 mars 2026 au Carreau du Temple à Paris.

Pendant 4 jours, sur les deux niveaux du Carreau du Temple, plus de 70 galeries internationales vous feront découvrir toute la diversité du dessin contemporain d’aujourd’hui et des 50 dernières années.

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Maison et jardins de Claude Monet

L’héritage d’une œuvre vivante

Réouverture le 1er avril 2026

2026 marque le centenaire de la disparition de Claude Monet. En cette année anniversaire, la Maison et les Jardins, propriété de l’Académie des Beaux-Arts, invitent à une lecture « au fil des saisons » de l’autre grande œuvre du Maître. Du jaillissement printanier à l’automne rougeoyant, le travail de l’équipe de jardiniers permet de saisir la beauté éphémère et changeante qui a inspiré Les Nymphéas.

Une invitation à renouer avec l’intimité du peintre et à suivre la vie de ce lieu magique.

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Au Mali, quand les animaux dansent

Donation Sonia et Albert Loeb

du 3 avril 2026 à février 2027, au musée des Confluences, Lyon

Sur les rives du fleuve Niger, au Mali, les fêtes nommées sogobò (littéralement « l’animal sort ») offrent un spectacle total entre théâtre, danse, musique et chants. Elles ont donné naissance à une riche culture matérielle, de masques et de marionnettes. Ces objets, figuratifs et colorés, représentent des animaux, réels ou mythiques, des êtres mythologiques ou illustrent des scènes de la vie quotidienne. Partagée par les Bamana, les Marka, les Bozo et les Somono, la pratique du sogobò est aujourd’hui inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO. Essentiel à la communauté dont il exprime l’identité culturelle, cet héritage est aussi vivant que fragile dans le contexte de tensions que connaît le Mali.

À travers une centaine d’objets collectés par Sonia et Albert Loeb au début des années 2000, masques animaux et grandes figures de bois liés au sogobò, par le biais d’audiovisuels laissant une large place aux chants et aux tambours, l’exposition donne à voir et ressentir ce théâtre ancestral et participatif, où chacun des membres de la communauté, des aînés aux plus jeunes enfants, a sa place. Au sein du parcours, la fête se découvre sur une place de village, de jour comme de nuit, mais aussi sur le fleuve.

La collection de Sonia et Albert Loeb a fait l’objet d’une donation au musée des Confluences en 2024.

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H.G. Ibels, un nabi engagé

du 4 avril au 26 juillet 2026, au musée Toulouse-Lautrec, Albi

Le musée Toulouse-Lautrec d’Albi consacre une exposition inédite à Henri-Gabriel Ibels (1867-1936), figure singulière de la scène artistique de la fin du XIXe siècle, membre fondateur du groupe des Nabis.
Cette première rétrospective, fruit de plusieurs années de recherches et d’un travail scientifique de grande envergure, invite à redécouvrir, à travers plus de 230 œuvres, un artiste aux multiples facettes : peintre, affichiste, illustrateur et chroniqueur de son temps, considéré à la fin du XIXe siècle comme une figure de premier plan et aujourd’hui injustement méconnu du grand public.
L’exposition, labellisée d’intérêt national, présente des œuvres spécifiquement restaurées pour l’occasion et de nombreuses pièces dévoilées pour la première fois au public.
Co-produite avec le musée départemental Maurice Denis de Saint-Germain-en-Laye, l’exposition d’Albi se distingue par un parcours spécifiquement pensé pour cette étape et des prêts supplémentaires.

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Hiroshi Sugimoto

du 11 avril au 13 septembre 2026, au musée Soulages, Rodez

Figure incontournable de la photographie contemporaine, l’artiste Japonais Hiroshi Sugimoto, né en 1948, présentera, au musée Soulages, un ensemble de séries parmi les plus emblématiques de sa carrière. De ses hypnotiques Theaters des années 1970 jusqu’à ses réalisations plus récentes, les Optiks, recherches menées au plus près de la couleur, mais également les Brush Impression, réinterprétation de l’art de la calligraphie japonaise, l’exposition interrogera les grands thèmes qui jalonnent sa production, consacrée à l’abstraction du paysage, au temps, à la lumière, dans un dialogue fécond avec l’œuvre de Pierre Soulages.

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Bartholdi, Champollion et le sphinx

Monuments publics en débat (titre provisoire)

du 11 avril au 19 juillet 2026, au musée Camille Claudel, Nogent-sur-Seine

Les collections du musée Camille Claudel de Nogent-sur-Seine renferment à la fois un fonds monographique d’œuvres de Camille Claudel et un vaste ensemble de sculptures françaises de la Troisième République, dans lequel la thématique du monument public est largement représentée. Aussi, le musée Camille Claudel organise au printemps 2026 une exposition consacrée à la statuophilie de la fin du XIXe siècle.

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Art aborigène

du 18 avril au 30 août 2026, au musée de Lodève

L’exposition présentée au printemps/été 2026 au musée de Lodève mettra à l’honneur l’art contemporain des Aborigènes australiens à travers une sélection d’oeuvres issues de la collection Klein du KUNSTWERK.

Issues de différentes régions d’Australie, les oeuvres sélectionnées révèleront la richesse et la diversité de cette culture millénaire et témoigneront du lien spirituel profond qui unit les artistes à leur terre et à leurs ancêtres.

Les visiteurs découvriront des créations emblématiques de centres artistiques majeurs tels que Papunya et Maningrida, ainsi que des œuvres d’artistes renommés comme Yukultji Napangati et Doreen Reid Nakamarra.

L’exposition mettra en lumière la variété des techniques, des matériaux et des styles, tout en soulignant l’importance des traditions et des récits mythologiques dans l’expression artistique aborigène.

À travers cette exposition, le public est ainsi invité à explorer une identité culturelle forte, façonnée par l’histoire, la spiritualité et la résilience des peuples premiers d’Australie.

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Trésors de laine et de soie

Guillaume Werniers & Catherine Ghuys, manufacturiers de tapisseries à Lille au 18e siècle

du 29 avril au 11 octobre 2026, au musée de l’Hospice Comtesse, Lille

L’exposition « Trésors de laine et de soie – Guillaume Werniers & Catherine Ghuys, manufacturiers de tapisseries à Lille au 18e siècle », organisée au Musée de l’Hospice Comtesse du 29 avril au 11 octobre 2026, se propose de faire découvrir un fonds exceptionnel de tapisseries aujourd’hui méconnues.

En s’appuyant sur les collections historiques de l’Hospice Comtesse et du Palais des Beaux-Arts de Lille, complétées par des prêts de la Manufacture royale De Wit à Malines (Belgique), le musée souhaite offrir au plus grand nombre la réunion inédite d’un ensemble textile, encore jamais montré, ayant bénéficié d’un programme inédit de restauration entre 2023 et 2025.

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En 2026, zoom sur les zones humides

du printemps à l’automne 2026 (date à venir), au Parc zoologique de Paris

En 2026, le Parc Zoologique de Paris met à l’honneur les zones humides à travers une saison thématique, en écho à la campagne de conservation lancée par l’Association Européenne des Zoos et Aquariums (EAZA) «Wetlands for Life». Tout au long de l’année, conférences, animations, ateliers pédagogiques inviteront les visiteurs à découvrir la richesse de ces milieux naturels essentiels (marais, mangroves, tourbières, rivières…) et des espèces qui y vivent.

Certaines espèces emblématiques du parc seront les ambassadrices de cette saison : les majestueux lamantins, véritables symboles des milieux aquatiques mais aussi les ibis chauves, flamants roses ou encore les tortues cistudes témoigneront de l’extraordinaire adaptation des animaux aux environnements humides. La faune locale sera également mise en lumière, révélant la vie discrète mais essentielle des zones humides d’Île-de-France. Les temps forts habituels du parc rythmeront cette programmation : la traditionnelle chasse aux œufs de Pâques au Zoo, les Nocturnes estivales ou encore la Journée Frissons à l’automne. Ces événements viendront enrichir l’expérience des visiteurs tout en portant les messages de sensibilisation liés aux zones humides.

Enfin, les visiteurs pourront découvrir les actions de recherche et de conservation menées par le Muséum national d’Histoire naturelle : études scientifiques, préservation des habitats, projets de réintroduction ou encore suivi des espèces aquatiques.

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Nuage des petits

Nouvel espace permanent
Musée des Confluences, Lyon : depuis le 14 juin 2025

Au musée des Confluences, les très jeunes visiteurs sont considérés comme un public à part entière. Leur proposer une nouvelle offre culturelle adaptée, le Nuage des petits, est une orientation majeure d’un musée tourné vers la jeunesse.
Espace ludique et culturel, le Nuage des petits est destiné aux enfants de 2 à 6 ans. Avec cette nouvelle forme d’expérimentation, ils pourront explorer, questionner, partager, jouer, rêver, danser, bouger, découvrir et nourrir l’imaginaire.
Le Nuage des petits accueillera pendant un an Fragile !, réalisée par la Cité des sciences et de l’industrie. Faisant le pari muséographique de la narration, Fragile ! se découvre de manière autonome et se vit comme une histoire. D’îlot en îlot, les tout petits suivent les aventures de Roky le caillou et de ses camarades. Les enfants manipulent, testent
et font l’expérience de la fragilité et de l’entraide. Au bout de leur quête, vont-ils réussir à réparer Roky ?

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Le futur, c’est quoi ?

du 7 mai 2026 au 10 janvier 2027, au MEG, Musée d’Ethnographie de Genève

L’exposition « Le futur, c’est quoi ? » invite à réfléchir sur la notion de « futur » et sa signification dans nos sociétés actuelles. Optimiste, elle propose des clés pour imaginer l’avenir que nous souhaitons. Collaborative et conçue avec des adolescent-e-s, elle cible principalement un jeune public. À travers des objets, des œuvres d’art et des installations, elle explore les futurs possibles de manière anthropologique, engageant le corps, l’esprit et les sens.

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« (D’) Après Monet » d’Ange Leccia

Département de la Seine-Maritime

du 30 mai au 30 septembre 2026, dans les Jardins de l’abbaye Saint-Georges, Saint-Martin-de-Boscherville

Considéré comme le pionnier de l’art vidéo en France, Ange Leccia, artiste plasticien connu principalement pour ses oeuvres contemplatives montées en boucles, réalise ici un hommage contemporain aux célèbres Nymphéas du peintre Claude Monnet dans son oeuvre (D’)Après Monnet. Présentée pour la première fois en 2022 au musée d’Orsay, Ange LECCIA filme les reflets de l’eau, les mouvements de nénuphars et la végétation environnante, créant ainsi une expérience visuelle proche de la peinture impressionniste et cherchant ainsi à reproduire l’expérience sensorielle que Monet offrait à travers ses toiles monumentales.

L’édition spéciale du Festival Normandie Impressionniste en 2026, sera l’occasion de se plonger à nouveau dans cette oeuvre envoutante et magnétique à l’intérieur du cadre exceptionnel de l’Abbaye Saint-Georges.

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Roubaix photo

Plus d’un siècle d’images, d’usages et de regards à travers les collections de La Piscine

du 6 juin au 6 septembre 2026, à La Piscine, Roubaix

L’exposition propose de retracer l’histoire de la photographie à Roubaix à travers les collections du musée La Piscine, en s’intéressant autant à ses usages sociaux qu’à ses formes artistiques.

Du tirage argentique aux expérimentations numériques, de la photographie humaniste à la mise en scène conceptuelle, du cliché vernaculaire à la création plasticienne, elle offre un panorama pluriel et sensible du médium.

À travers des œuvres historiques et contemporaines, des fonds documentaires et des séries d’artistes, cet accrochage révèle la richesse du fonds roubaisien et la diversité des regards photographiques qu’il conserve – portraits d’artistes, scènes de vie ouvrière, patrimoine textile. Dans une approche transversale fidèle à l’esprit du musée, où les disciplines se rencontrent et se répondent, l’exposition fait dialoguer la photographie avec d’autres formes d’expression (peinture, sculpture, arts graphiques, céramique, haute couture) et interroge les enjeux culturels, sociaux et esthétiques de notre rapport au réel et à la mémoire collective.

Cette exposition préfigure les célébrations du bicentenaire de la photographie, organisées de septembre 2026 à septembre 2027 par le ministère de la Culture.

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Naime Merabet

La vie au seuil, une traversée intime de Roubaix

du 6 juin au 6 septembre 2026, à La Piscine, Roubaix

À travers une série de photographies sensibles, Naime Merabet explore Roubaix, la ville de son enfance, en captant la poésie du quotidien depuis les seuils: portes, fenêtres, croisements. Entre mémoire algérienne et enracinement local, il poursuit une quête identitaire mêlant errance urbaine, rencontres imprévues et dialogues silencieux. Construite autour d’un triptyque, la série aborde la convivialité discrète, la présence touchante des personnes âgées et les marques persistantes de l’exclusion sociale. L’artiste révèle une ville fière, pudique, trop souvent stigmatisée, mais profondément habitée. Inspiré par les études sociologiques, les miroirs de Pistoletto et une citation de Cartier-Bresson – « un œil froid avec un cœur chaud » – il propose un regard humble, attentif, guidé par l’instinct et l’écoute.

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Corée du Nord par Stéphan Gladieu

du 12 juin 2026 à avril 2027, au musée des Confluences, Lyon

C’est un pays que l’on connaît peu… et pour cause : la Corée du Nord est une des dictatures les plus fermées au monde. Le photographe Stéphan Gladieu s’y est rendu cinq fois pour réaliser une série de portraits entre 2017 et 2020. Dûment autorisé à entrer dans ce pays de contrôle absolu, accompagné en permanence, il recrée, avec son studio photographique mobile, un cadre de liberté en jouant avec les arrière-plans et les codes de la propagande. Du salon de coiffure à la patinoire, de l’usine à la rizière, une quarantaine de portraits ouvrent autant de fenêtres sur la vie quotidienne en Corée du Nord, documentant un moment charnière de l’histoire contemporaine. Soigneusement étudiée, la mise en scène frontale des modèles offre une approche humaniste d’individus habituellement fondus dans le collectif. Le travail sur les couleurs et la répétition des poses agissent comme le fil conducteur de l’exposition, entre réalité et représentation, entre identités propres et apparences codifiées. En partageant le récit de ses séances de prises de vue, Stéphan Gladieu interroge également notre rapport aux images. Devant l’appareil photographique, les NordCoréens nous regardent, autant que nous les observons. Mais que voient-ils en nous et que percevons-nous vraiment d’eux ?

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Maurizio Galante & Tal Lancman

Haute Couture, design, art

du 13 juin 2026 au 3 janvier 2027, dans les musées de Calais : Cité de la dentelle et de la mode & musée des beaux-arts

L’exposition « Maurizio Galante & Tal Lancman / Haute Couture, design, art », sous la curation de Lydia Kamitsis, commissaire indépendant, fait dialoguer l’œuvre vestimentaire de Maurizio Galante avec les créations de design conçues à quatre mains par les deux artistes. Cette double exposition dévoile une œuvre multiforme, issue des conversations créatives entre différentes disciplines. Vêtements de Haute Couture, mobilier, objets de design et d’art sont donnés à voir, tous liés par la diversité des techniques employées, de la dentelle à l’ébénisterie en passant par la broderie et la photographie. L’œuvre multiforme du duo marie création plastique, artisanat et industrie, savoir-faire d’ici et d’ailleurs, dans des réalisations d’une grande délicatesse pourvues d’une touche d’espièglerie.

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Marine Wallon

du 13 juin au 4 octobre 2026, au musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence

En 2026, le musée Estrine célèbre la matière peinture, fil conducteur de toutes ses expositions toujours dans le dialogue entre générations et sensibilités artistiques. Après la rétrospective consacrée à Roger Edgar Gillet,  suivra la première exposition monographique de Marine Wallon (née en 1985), figure montante de la peinture contemporaine, révélant la subtilité de ses paysages aux textures précieuses (13 juin au 20 septembre).

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L’Ange de la Révolte. Satan dans les arts au XIXe siècle

du 26 juin au 8 novembre 2026, au musée Thomas Henry, Cherbourg-en-Cotentin

Après Prédictions. Les artistes face à l’avenir, labellisée Exposition d’intérêt national en 2024, le musée Thomas Henry prolonge ses recherches sur les thématiques surnaturelles dans l’art du XIXᵉ siècle en proposant une exposition inédite consacrée à la figure de Satan, envisagée comme un véritable anti-héros romantique.

À travers une centaine d’œuvres, l’exposition retrace la naissance et l’évolution de ce personnage dans la littérature et les arts, depuis les années 1780 jusqu’au début du XXᵉ siècle. Elle met en évidence la manière dont le diable, loin d’être uniquement une incarnation du mal, devient le symbole des désirs de révolte et d’émancipation face aux contraintes sociales, morales et religieuses de son temps. Ce parcours réunira des œuvres majeures d’artistes emblématiques tels que William Blake, Eugène Delacroix, Odilon Redon ou encore Félicien Rops, issues de collections françaises, britanniques et belges.

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Ingres et la mode (titre provisoire)

du 2 juillet au 1er novembre 2026, au musée Ingres Bourdelle, Montauban

À l’été 2026, le musée Ingres Bourdelle de Montauban consacre une exposition inédite au rapport de Jean-Auguste-Dominique Ingres à la mode.

À travers une sélection exceptionnelle de peintures, dessins, textiles, accessoires et documents d’époque, le parcours met en lumière l’attention singulière du maître pour la représentation des étoffes, des drapés et des vêtements, révélant comment la mode façonne le regard et la composition artistique. L’exposition explore la manière dont Ingres sublime la matière textile, joue avec les transparences, s’inspire des tendances de son temps et dialogue avec l’histoire de l’art pour conférer à ses portraits une modernité intemporelle.

Cette exposition montrera également l’influence de la peinture d’Ingres sur les créateurs de mode du XXe et XXIe siècles (Castelbajac, Saint Laurent, Issey Miyake…).

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Françoise Pétrovitch

du 2 juillet 2026 à mai 2027, au musée Ingres Bourdelle, Montauban

Depuis sa réouverture en 2019, le musée Ingres Bourdelle propose à des artistes contemporains d’investir le second sous-sol de l’ancien palais épiscopal où se loge la salle du Prince Noir.

À l’été 2026, cet espace sera confié à Françoise Pétrovitch, artiste reconnue sur la scène internationale, dont le travail explore plusieurs médiums : le dessin, la peinture, l’estampe ainsi que la céramique et la vidéo.

La plasticienne déploiera une installation constituée de sculptures en céramique représentant des créatures hybrides et anthropomorphiques. Ce bestiaire qui ponctue l’oeuvre de la plasticienne sera mis en dialogue avec le répertoire médiéval animant de nombreuses pièces, chapiteaux, clés de voûtes, présentés depuis le XIXe siècle dans la salle du Prince Noir.

Quelques belles feuilles de l’artiste seront aussi présentées au second étage. Elles rejoindront les tiroirs de dessins réservés habituellement à Jean-Auguste-Dominique Ingres, donnant ainsi à voir le lien puissant qui existe entre la plasticienne, le dessin et le maître de Montauban.

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Camille Claudel et Bernhard Hoetger (titre provisoire)

du 12 septembre 2026 au 10 janvier 2027, au musée Camille Claudel, Nogent-sur-Seine

Cette exposition rassemble les œuvres de deux artistes dont les chemins se sont croisés à plusieurs reprises à Paris au tournant du XXᵉ siècle : Camille Claudel et Bernhard Hoetger. Tous deux se rejoignent dans leur quête de reconnaissance et dans leur volonté de s’émanciper de l’influence du maître de la sculpture, Auguste Rodin. En 1905, les œuvres de la sculptrice française sont exposées dans la galerie du marchand Eugène Blot, aux côtés de celles de l’artiste allemand, de dix ans son cadet. Au milieu de l’avant-garde, chacun développe une vivacité artistique singulière, dont le rayonnement dépasse les frontières. Plus de 120 ans plus tard, ces deux figures majeures de la sculpture sont à nouveau réunies.

En coproduction avec le musée Paula Moderson-Becker de Brême et l’Alte National galerie de Berlin.

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Auguste fait des chefs-d’œuvre. Vacquerie et la photographie

Département de la Seine-Maritime

du 18 septembre 2026 au 2 mai 2027, au Musée Victor Hugo – Maison Vacquerie, Villequier, Rives-en-Seine

À l’occasion du bicentenaire de la photographie, le ministère de la Culture et la Maison Vacquerie – Musée Victor-Hugo s’associent pour proposer une exposition consacrée à un proche de Victor Hugo, Auguste Vacquerie, figure majeure mais souvent méconnue de l’histoire photographique.

L’exposition mettra en lumière des fonds exceptionnels, jamais présentés au public : photographies originales, correspondances familiales inédites écrites pendant l’exil, ainsi que des pièces issues de la collection personnelle de Vacquerie, redécouvertes en 1953 lors de l’acquisition de la maison par le musée. Ces archives, aujourd’hui entièrement répertoriées, offrent un éclairage nouveau sur la pratique photographique du portrait au XIXe siècle et sur les liens entre les familles Hugo et Vacquerie.

En célébrant Auguste Vacquerie, cette exposition invite le public à redécouvrir un patrimoine photographique d’exception et à plonger dans l’intimité créative d’un artiste trop longtemps resté dans l’ombre de Victor Hugo.

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Animaux humains (titre provisoire)

du 16 octobre 2026 à août 2027, au musée des Confluences, Lyon

Animaux de compagnie ou animaux totems, objets d’amour ou de désintérêt, offrandes sacrifiées aux divinités ou nouveaux fétiches, les animaux habitent nos vies et occupent nos imaginaires.

L’exposition explore les relations pratiques comme symboliques que nous entretenons avec les autres animaux à l’heure de la mondialisation : des rapports culturels à l’ambivalence de l’élevage, de la conservation de la faune sauvage aux préoccupations sociales et politiques envers les animaux.

Objets ethnographiques et spécimens d’histoire naturelle en provenance des cinq continents dialoguent avec des œuvres d’art, pour tenter d’éclairer ces paradoxes contemporains et de dessiner quelques perspectives de cohabitations heureuses avec les autres espèces animales.

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Sheila Hicks

d’octobre 2026 à mars 2027, au Palais des Beaux-Arts de Lille

À l’automne 2026, le Palais des Beaux-Arts donne carte blanche à Sheila Hicks, artiste américaine contemporaine de renommée internationale qui vit et travaille à Paris depuis 1964. Connue pour son utilisation pionnière de la fibre textile, qui défie toutes les catégories classiques, elle présentera un ensemble d’œuvres, dont certaines seront créées exclusivement pour le Palais des Beaux-Arts. Sheila Hicks sera la première femme artiste à exposer dans l’atrium du musée, situé dans une région historiquement dynamique en matière d’art et de textile.

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BIENNALE DES IMAGINAIRES NUMÉRIQUES

du 23 octobre 2026 à janvier 2027, à Aix-en-Provence, Marseille, Avignon, Arles, Istres

Créée en 2018 et organisée par CHRONIQUES – la Biennale des Imaginaires Numériques est le temps fort des arts et cultures numériques de la région Sud.

En explorant les arts visuels, les arts sonores et le spectacle vivant, la Biennale s’intéresse à la présence et l’usage des technologies dans l’art, investit l’espace public et donne la parole aux artistes nationaux·ales et internationaux·ales d’horizons différents.

Après une 4ème édition ponctuée de succès et ayant rassemblé plus de 102 500 visiteur·euses, la Biennale des Imaginaires Numériques revient en octobre 2026 à Aix-en-Provence, Marseille, Avignon, Arles, Istres sous la thématique des Résistances.

Trois mois de programmation pluridisciplinaire dédiée à tous·tes les curieux·ses.

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Salon International du Patrimoine Culturel, 31ᵉ édition

Ateliers d’Art de France

du 29 octobre au 1er novembre 2026, au Carrousel du Louvre

Le Salon International du Patrimoine Culturel célébrera sa 31ᵉ édition du 29 octobre au 1er novembre 2026, autour du thème « Patrimoine en lumières ». Organisé par Ateliers d’Art de France, cet événement de référence rassemblera plus de 330 exposants représentant plus de 40 métiers d’art. En 2025, il a accueilli plus de 21 500 visiteurs, tous animés par une même ambition : préserver et transmettre le patrimoine qu’il soit bâti, matériel ou immatériel. Véritable plateforme de business au niveau européen, le salon réunit professionnels et particuliers dans une ambiance d’excellence et de rencontres ciblées.

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Météorites

de l’automne 2026 à 2027, au musée de Lodève

Pierres tombées du ciel, les météorites fascinent et intriguent depuis la nuit des temps. Témoins des origines du système solaire, elles recèlent des informations précieuses sur la formation de notre univers, tout en nourrissant l’imaginaire collectif.

L’exposition « Météorites » au musée de Lodève reprend l’exposition présentée en 2018 au muséum national d’histoire naturelle et invite le public à un voyage immersif, de la chute spectaculaire de ces pierres sur Terre à leur analyse scientifique la plus pointue.

Une expérience unique pour s’émerveiller devant ces messagères de l’espace et mieux comprendre notre place dans l’univers.

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Trop forts !

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 31 décembre 2025

Dans le désert, sous un froid glacial, ou encore en haute montagne, certaines espèces animales sont capables de vivre dans des milieux extrêmes. L’exposition, imaginée pour les enfants de 8 à 12 ans, emmène tous les grands curieux sur les traces de ces animaux aux capacités étonnantes. Vivre sans jamais boire, respirer à 10 000 m d’altitude ou pouvoir être entièrement pris dans la glace : si ces aptitudes semblent défier notre compréhension, elles inspirent les scientifiques et pourraient permettre de grandes innovations.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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50 ANS DE LA COLLECTION DE L’ART BRUT, LAUSANNE

L’Univers d’Armand Schulthess. Exposition anniversaire pour les 50 ans de l’Art Brut

de novembre 2026 à fin avril 2027

La seconde exposition de l’année des 50 ans sera consacrée à l’auteur d’Art Brut suisse alémanique Armand Schulthess (1901-1972).

Cet auteur, ancien employé de la Confédération suisse, à Berne, a créé un vaste environnement situé au Tessin, aujourd’hui totalement disparu. Cette oeuvre in situ était constituée d’une multitude d’objets et d’installations faites de pièces et plaques de métal récupérées, gravées d’inscriptions réunissant des connaissances encyclopédiques liées notamment aux sciences et à la philosophie. Cet environnement sera évoqué à travers plus de 300 pièces qui ont pu être sauvegardées, avant d’être acquises en 2024 par le musée, permettant à l’institution d’enrichir de manière significative un corpus déjà existant. Ces éléments dialogueront avec des photographies de grands formats de Hans-Ulrich Schlumpf, qui a pu documenter et immortaliser cette oeuvre monumentale telle qu’elle était avant sa destruction.

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Voyage à l’anglaise

William Turner (1775 – 1851) et les artistes du « Grand Tour »

du 19 novembre 2026 au 22 mars 2027, au Palais des Beaux-Arts de Lille

Construite autour d’œuvres de William Turner (1775-1851) et de ses contemporains anglais (John Robert Cozens, Francis Towne, Thomas Jones…), cette exposition explore comment le voyage – notamment en France et en Italie – a transformé la peinture de paysage britannique. En près de 80 œuvres issues des collections de la Tate Britain, dont de nombreuses aquarelles, elle est l’occasion de redécouvrir ces artistes sous l’angle du Grand Tour, et du renouvellement artistique initié par Tuner, « peintre de la lumière ».

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Agnès Varda. Je suis curieuse. Point

Musée Soulages, Rodez : jusqu’au 4 janvier 2026

En 2025, la mer Méditerranée arrive à Rodez avec son horizon, bleu et calme, ses plages, son petit peuple de pêcheurs, ses jouets en plastique, ses cabanons, ses manifestations, – en somme sa vie mouvante et le portrait qu’Agnès Varda en a fait pendant toutes ces années et le tendre souvenir qu’elle laisse en chacun de nous.

Agnès Varda (1928-2019) est une figure majeure du cinéma et de la photographie, s’illustrant sur le tard dans le domaine des arts plastiques. Le musée Soulages a décidé de lui rendre un hommage en été 2025.
Le projet d’exposition du musée Soulages joue sur le lien amical entre Pierre et Colette Soulages et Agnès Varda à Sète, lien qu’elle immortalisa dans Les Plages d’Agnès : le musée Soulages possède en effet un certain nombre de photographies du peintre réalisées par la cinéaste et son équipe de tournage. Un entretien de Soulages au sujet de ses peintures Outrenoir est diffusé dans les salles permanentes du musée. Leur rencontre amicale et instructive, offre un bel accompagnement à nos visiteurs.
D’une certaine manière, nous voulions poursuivre l’échange, l’ouvrir en grand à Rodez avec la présentation de l’oeuvre de Varda. Nous voulons mettre en valeur Agnès Varda dans sa grande curiosité : associer librement son fonds photographique autour du tournage de La Pointe Courte (compostions sur le monde du port, des pêcheurs, de la Méditerranée) aux constructions de cabanes, et nombreuses évocations de la mer et des plages dans son oeuvre d’artiste visuelle : Bord de mer (2009), La petite mer immense (2003), Ping-Pong Tong (2005-2006), Le dépôt de la Cabane de Plage (2011), La Cabane du Bonheur (2018), et autres photographies couleur inédites de Noirmoutier et de ses cabanes de pêcheurs. Cette association de photographies en noir et blanc, en couleur, d’objets et d’installations filmiques, composent un itinéraire inédit, une scénographie déroulée en histoire.
La photographie singulièrement muette des premiers temps, se prolongera avec de l’écriture visuelle ou non, des objets… Elle représente une part de Varda, un trait majeur de son modus operandi.
L’exposition incarnera ses recherches et ses passions d’artiste. Nous associerons à l’ensemble de l’exposition un environnement familier c’est-à-dire des oeuvres du peintre et ami Pierre Soulages, du sculpteur Alexander Calder, des oeuvres de Valentine Schlegel, de l’artiste-voyageur JR. Un clin d’oeil sera fait au photographe primitif de la mer et du ciel, Gustave le Gray (1820- 1884)…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Elika Hedayat, Haroum

Commissariat : Valentina Ulisse
Drawing Lab, Paris : jusqu’au 4 janvier 2026

La bourse de production Drawing Lab Project 2025, d’un montant de 20 000 euros, a été attribuée à l’artiste Elika Hedayat et à la commissaire d’exposition Valentina Ulisse.
Elles exposent du 17 octobre 2025 au 4 janvier 2026 au Drawing Lab leur projet intitulé « Haroum ».

Dans plusieurs ouvrages de la littérature perse écrits entre le Xe et le XIIe siècle, Haroum est décrite comme une ville gouvernée par des femmes savantes, qui vivent en égalité et en paix avec l’environnement. Libres et indépendantes, elles semblent faire écho aux Amazones, femmes guerrières de la mythologie gréco-romaine, devenues un symbole de l’émancipation des femmes et de l’égalité des sexes.
Pour donner forme à sa propre vision de Haroum, l’artiste Elika Hedayat a souhaité mêler les références. Elle s’est nourrie autant de la littérature mythique de l’Iran, son pays natal, que de la littérature de science-fiction féministe et écologique contemporaine, tout en prenant comme fondement des théories scientifiques transdisciplinaires autour d’une idée de symbiose qui s’étend du vivant au technologique. Aux tonalités fantastiques, son récit n’oublie pourtant pas l’actualité et les luttes des femmes iraniennes aujourd’hui.
L’exposition pensée pour le Drawing Lab se veut une découverte de ce monde encore en construction. Dans les oeuvres de l’artiste, Haroum apparaît comme une villelaboratoire, en état embryonnaire ou au stade de maquette.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Afrosonica. Paysages sonores

MEG, Musée d’Ethnographie de Genève : jusqu’au 4 janvier 2026

L’exposition du MEG « Afrosonica. Paysages sonores » invite à découvrir l’importance de la musique et du son en Afrique et dans le monde.
Cette exposition immersive explore les sons, les gestes et l’impact culturel de la musique africaine, offrant un voyage multisensoriel à travers les traditions sonores évolutives du continent. Afrosonica. Paysages sonores invite le public à découvrir la signification spirituelle, sociale et politique de la musique africaine, passée et présente, en retraçant son influence mondiale à travers la diaspora. À partir du 16 mai 2025, l’exposition présente une vingtaine d’artistes, principalement originaires d’Afrique et de la diaspora.
Cette exposition est co-organisée par Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), conservateur, artiste, compositeur et DJ.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Yiqing Yin. D’air et de songes

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 4 janvier 2026


Yiqing Yin, première créatrice d’origine chinoise à recevoir l’appellation haute couture, est une artiste pluridisciplinaire. À la croisée des arts, ses œuvres sculpturales et évanescentes tissent un dialogue entre la fragilité de l’humain et la force transformatrice de la nature. Grand couturier, directrice artistique, créatrice de costumes et muse, Yiqing Yin incarne tour à tour des rôles multiples dans l’univers de la création.
Sous la curation de Sylvie Marot, cette exposition consacrée à Yiqing Yin met en lumière l’hybridation de ses disciplines artistiques, entre rêve et exploration des sens.
Le parcours invite à pénétrer au cœur du processus créatif, à saisir l’idée avant même la robe. Le hasard, l’inattendu et l’indéterminé sont les forces motrices du voyage sensoriel où l’œuvre se révèle… L’artiste puise son inspiration dans le minéral, le végétal et l’animal, élaborant ainsi une poétique du vivant qui tisse le fil rouge de l’exposition. Chaque création se révèle comme un paysage onirique, où rêve et éveil des sens s’entrelacent en une esthétique de la métamorphose.
Robes haute couture, images (photographies, films, dessins), textures sonores (murmures littéraires, bruissement d’air), sillages olfactifs rythment ce parcours immersif, invitant le visiteur à une exploration intime de son imaginaire.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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À corps

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’ au 4 janvier 2026

La nouvelle exposition du MusVerre explore les facettes du corps humain revisité par les artistes verriers et plasticiens : en mouvement ou au repos, du détail à l’ensemble, du trivial au sublime. La visite propose de se pencher sur les subtiles mécaniques du vaisseau charnel. C’est une occasion d’en admirer les rouages, d’en reconnaître les limites aussi bien que les mérites, et, peut-être, d’apprivoiser davantage cet organisme à la fois complexe et merveilleux.
Par une diversité de points de vue, l’exposition nous invite à un examen minutieux, presque radioscopique, de l’organisme humain ; son parcours propose un cheminement allant du corps trivial vers le sublime.
La première partie nous plonge dans l’intimité du genre humain et s’intéresse à sa représentation quotidienne, banale et prosaïque. Les corps sont dénudés, rendus visibles et dévoilés aux spectateurs dans toute leur vérité physique et leur vulnérabilité. Le parcours se poursuit par l’étude mathématique du corps, sa fragmentation et sa mise en mouvement pour aboutir à sa représentation dans l’espace public. Passant de l’ombre à la lumière, le second temps de l’exposition nous amène à découvrir des êtres sublimés, glorifiés, voire métaphoriques. Échappant à la tyrannie du corps physique, les artistes nous offrent un tableau plus sensible et poétique de l’enveloppe charnelle. Magnifié, voire rêvé, il devient le support d’un message, d’un symbole et d’un idéal. C’est dans une approche quasi introspective que les artistes nous invitent à un examen de soi.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Une petite histoire de géants

La légende de Lydéric et Phinaert
Palais des Beaux-Arts de Lille : jusqu’au 5 janvier 2026

Emblématiques du Nord de la France et de Belgique, les Géants s’invitent aujourd’hui encore aux carnavals et fêtes de rue ! Pour les 20 ans de leur reconnaissance comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO, le Palais des Beaux-Arts de Lille leur consacre une exposition.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Des chevaux et des hommes

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 5 janvier 2026

À partir du 12 avril 2025, l’exposition « Des Chevaux et des Hommes » au musée de la Grande Guerre, abordera le sujet du sort de ces animaux dans le conflit, ainsi que les relations avec les hommes qui dépassent le strict usage militaire. Cette exposition donnera à voir la fraternité dans l’horreur entre les hommes et bêtes condamnés à vivre ensemble, confrontés à un même destin.

Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés – chevaux, ânes, mulets. Au cœur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 million.

L’histoire commune des hommes et des chevaux dans la Grande Guerre n’a jamais été présentée dans une exposition : il revenait au musée de la Grande Guerre de le faire.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Scènes de front, une série photos de Youry Bilak

Mémorial 14-18, Notre-Dame-de-Lorette : jusqu’au 5 janvier 2026

Cette exposition questionne les codes de représentation de la guerre : une photographie mise en scène, prise sur le front avec de vrais soldats, peut-elle être considérée comme une image fidèle de la guerre, ou relève-t-elle d’une construction entièrement fictive ? Youry Bilak est allé sur le front ukrainien avec, en poche, une sélection des plus célèbres icônes de l’Histoire de l’art. Son but ? Mettre en scène ces oeuvres avec les soldats ukrainiens. Le parti pris esthétisant du photographe offre une nouvelle approche de l’éducation aux images de guerre, un enjeu que le Mémorial 14-18 Notre-Dame-de-Lorette a mis au coeur de sa démarche depuis plusieurs années.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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agnès b. On aime le graff !!

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 11 janvier 2026

Styliste, galeriste, collectionneuse, mécène et photographe, agnès b., pour qui la mode s’inspire de la rue, nous fait partager son goût pionnier et éclairé pour le graff. Au fil de ses collections, agnès b. dédie plusieurs thèmes à cet art qui renouvelle la pratique de la peinture et collabore avec des graffeurs de renom. agnès b. on aime le graff !! présente ainsi des confrontations inédites mêlant vêtements et oeuvres originales.
Cette exposition s’inscrit dans la programmation de la quatrième édition du festival URBX, organisé du 19 au 29 juin 2025 à Roubaix et dans la métropole lilloise.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Odette Pauvert. La peinture pour ambition au temps de l’Art déco

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 11 janvier 2026

Injustement oubliée, Odette Pauvert (1903-1966) connaît dans les Années folles une ascension fulgurante. Elle est en 1925 la première femme à obtenir le Grand Prix de Rome en peinture, consécration suprême pour tout artiste se destinant à une carrière officielle. Cette exposition suit l’itinéraire singulier d’une artiste qui, de Paris à Rome en passant par l’Espagne ou la Grèce, poursuit pendant toute sa carrière une ambition résolument classique et décorative.
Organisée avec des prêts exceptionnels des Beaux-Arts de Paris, de la Villa Médicis à Rome et en relation avec la famille de l’artiste, cette rétrospective est pour La Piscine la marque d’un engagement fort de célébrer les artistes femmes. Elle est organisée dans le cadre de Fiesta, 7ème édition de lille3000.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Amazonies

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 8 février 2026

Longtemps réduite à l’image d’une « forêt vierge », inhospitalière et impénétrable à l’influence humaine, la forêt amazonienne est en réalité peuplée depuis 9 000 ans avant notre ère, par des habitants en grande interaction avec leur environnement. L’exposition présente des facettes d’une Amazonie contemporaine au travers des collections matérielles et immatérielles constituées par le musée entre 2018 et 2022 lors de trois missions de terrain chez nos partenaires Ashaninka, Kayapo Mebenkogre, Wayana et Apalaï. Leur parole guide le visiteur dans la découverte de leurs récits fondateurs, dans leurs connaissances de la forêt et dans leurs savoir-faire, comme dans leurs luttes pour la défense de leurs territoires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Folles Années. Un vestiaire années 20

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 15 février 2026

À l’occasion du centenaire de l’exposition Internationale des Arts Décoratifs et Industriels Modernes de Paris qui marque le tournant esthétique des Années folles, La Piscine met en lumière un florilège des « perles » de ses collections Textile et Mode. Etoffes de jacquard savamment tissées, tissus damassés aux motifs chatoyants, toilettes de jour et tenues de soirée pareront les cabines de l’étage du musée.
En parallèle, découvrez le mobilier moderniste de l’architecte décorateur Robert Mallet-Stevens (1886-1945) nouvellement restauré dans les espaces permanents.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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À cœurs ouverts

Musée Dobrée, Nantes : jusqu’au 1er mars 2026

Après sa réouverture très attendue en mai 2024, le musée départemental Dobrée lance sa première grande exposition temporaire : « À cœurs ouverts », un événement fort et symbolique qui marque une nouvelle ère pour l’institution départementale. Pensée comme un écho au parcours permanent du musée et à ses 2 400 œuvres, cette exposition s’inscrit dans l’esprit de curiosité et d’ouverture qui anime le lieu. Elle propose une exploration inédite du cœur, à la fois organe vital et symbole universel, à travers plus de 200 œuvres issues des collections du musée et de prêts prestigieux.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Trois siècles à l’Isle Adam

Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq, L’Isle-Adam : jusqu’au 8 mars 2026

À vingt-cinq kilomètres à vol d’oiseau de Paris, L’Isle-Adam se trouve aux portes du parc naturel régional du Vexin français, du Pays de France et du département de l’Oise. Qualifiée de « paradis terrestre » par Honoré de Balzac dans une lettre qu’il écrit à sa sœur en 1819, la ville bénéficie d’un environnement exceptionnel situé entre rivière et forêt domaniale.
Avec cette nouvelle exposition intitulée Trois siècles à L’Isle-Adam, le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq invite ses visiteurs à un voyage à travers l’histoire et le patrimoine de la cité adamoise et de son territoire. Organisé de manière chronologique et couvrant une période allant du XVIIIe au milieu du XXe siècle, le parcours s’articule autour des grandes thématiques représentées dans les collections du musée. L’histoire et l’évolution urbaine de L’Isle-Adam y sont évoquées, le passé industrieux de la ville est également mis en avant,…
L’exposition rassemble peintures, sculptures, aquarelles, gravures, affiches publicitaires, cartes postales et photographies anciennes, toutes issues du fonds du musée.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Un fossile exceptionnel de crocodile exposé pour la première fois

À découvrir au musée de Lodève jusqu’au 15 mars 2026

Quatre saisons de fouilles. Six mois de restauration.
Le Musée de Lodève révélera au public en octobre prochain un fossile exceptionnel du Jurassique (180 millions d’années) : le squelette quasi complet et en connexion anatomique d’un crocodile de près 5 mètres de long. A ce jour, c’est le premier spécimen datant du Toarcien découvert en France.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Anatomie comparée des espèces imaginaires

Musée de Lodève : jusqu’au 15 mars 2026

Films, BD, comics… les univers fictionnels regorgent d’êtres imaginaires qui empruntent leurs caractéristiques fantastiques à des espèces bien réelles. Des dragons de la mythologie à notre voisin Totoro, du monstre d’Alien à la sirène, l’exposition Anatomie comparée des espèces imaginaires est l’opportunité de découvrir l’anatomie comparée et les sciences de l’évolution (paléontologie, biologie…) à travers l’analyse rigoureuse mais amusante d’espèces fantastiques.

Le Musée de Lodève profite de cette exposition pour dévoiler une pièce unique de sa collection : le squelette fossile d’un crocodile vieux de 180 millions d’années.
Mesurant près de 5 mètres de long, quasi-complet, ce crocodile est une découverte archéologique majeure dans l’Hérault (voir le communiqué page suivante). Il vient d’être restauré et n’a jamais été présenté au public.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Eugène Leroy. Peintures & dessins. 1980-2000

MUba Eugène Leroy, Tourcoing : jusqu’au 5 avril 2026

« À l’automne de ma vie »
« J’ose employer le mot «harmonie» car harmonie, c’est aussi cette solidité, cette saturation, et la possibilité d’être touché. Tout ce que je fais, c’est pour qu’à un moment donné ce que je réalise touche les autres, les rendent tranquilles et heureux, comme moi-même j’éprouve une petite satisfaction après avoir été longtemps insatisfait » (Eugène Leroy à Alain Buisine, 1991).
« Eugène Leroy, 1980-2000 » explore la création des vingt dernières années de la vie de l’artiste (1910-2000). À travers une soixantaine de peintures et de dessins exécutés entre 1980 et 2000 provenant de la collection du MUba et de prêts extérieurs, cette exposition inédite exalte la liberté de Leroy – alors âgé de 70 à 90 ans – et sa profusion créatrice, « loin des courants et des modes » selon ses propres termes.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Le mystère des anneaux par Laurent Ballesta

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 12 avril 2026

Au large du Cap Corse, à 120 mètres de profondeur, plus de 1 400 anneaux d’une vingtaine de mètres de diamètre constituent un ensemble unique au monde. Formés par des algues calcaires âgées de 8 000 ans, ils abritent une biodiversité remarquable.
En 40 photographies et un film d’une dizaine de minutes, l’exposition relate les missions menées par le photographe Laurent Ballesta et une équipe de scientifiques, Gombessa 6, entre 2021 et 2024. Le parcours s’accompagne d’une composition sonore favorisant l’immersion des visiteurs dans cet univers marin.
Les images illustrent la vaste plaine où se dessinent les anneaux à perte de vue, leur géométrie parfaite, la vie qui s’épanouit en leur coeur, mais également les menaces qui pèsent sur ces écosystèmes. Le bleu des profondeurs vertigineuses alterne avec les couleurs et la délicatesse des habitants qui peuplent ces anneaux, en offrant une représentation poétique et naturaliste.
Au-delà de la beauté des fonds marins, l’exposition raconte les techniques novatrices de plongée mises en oeuvre par ces expéditions et partage les anecdotes de Laurent Ballesta et de son équipe.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Vivre ou survivre. Travail et pauvreté aux 19e et 20e siècles

Archives nationales du monde du travail à Roubaix : jusqu’au 31 mai 2026

Des décennies après les créations successives de la Sécurité sociale, de l’assurance chômage et du Revenu d’insertion minimum, ce sont encore près de 14% des Français qui vivent sous le seuil de pauvreté. Comment expliquer que ces inégalités et la précarité demeurent ? Comment s’est construit le modèle de protection sociale des Français, depuis les prémices de l’assistance au 19e siècle jusqu’à l’instauration de l’ « État-providence » au 20e siècle ?

L’année 2025 marquera l’anniversaire de plusieurs associations représentatives de la lutte contre la précarité comme le Secours populaire et les Restos du cœur. Les ANMT, qui conservent leurs archives, ont choisi de s’intéresser aux liens entre travail et pauvreté pour leur prochaine exposition. À travers un riche corpus documentaire et iconographique, l’exposition tente de comprendre comment et pourquoi la pauvreté en France touche les travailleurs, en particulier depuis la révolution industrielle. Elle met en évidence les conséquences sur les individus concernés, avec des focus sur le nord de la France. Divisée en plusieurs parties thématiques (les revenus, le chômage, le logement, la santé, la consommation, la culture…) l’exposition revient sur les politiques publiques et les actions d’initiative privée mises en œuvre pour tenter de prévenir la précarité, d’assister ceux qui en ont besoin ou de pallier les situations de misère qui impactent villes et campagnes, enfants et adultes, hommes et femmes, français et immigrés, pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et des chômeurs.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Zombis, aux origines

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 16 août 2026

À la croisée du royaume des morts et de celui des vivants, la figure du zombi a fortement imprégné la culture populaire et le cinéma dans le monde entier. Mais son origine demeure largement méconnue du grand public. Le zombi est apparu en Haïti aux alentours du 17e siècle, dans le contexte de la traite négrière transatlantique. Il est issu de la rencontre de pratiques magico-religieuses de l’Afrique subsaharienne, d’éléments du catholicisme romain et de la maitrise des poisons par les peuples autochtones de la Caraïbe. Jugés par des sociétés secrètes du vaudou haïtien, les condamnés à la zombification sont drogués et enterrés vivants avant d’être exhumés et ranimés sous la forme de zombis par leur futur maître. Cette peine ultime est aujourd’hui encore la source de croyances vivaces.
L’exposition présente différents objets liés à ce rituel en Haïti ainsi qu’à ses racines africaines et précolombiennes. Elle explore également sa transposition dans le domaine de la fiction (cinéma, littérature, comics) interrogeant ainsi la réalité anthropologique de cette figure complexe.
L’exposition Zombis, aux origines est conçue et réalisée par le musée du quai Branly – Jacques Chirac et adaptée par le musée des Confluences.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73