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Réouverture du musée Henri Matisse

Le Cateau-Cambrésis : le 23 novembre 2024

Exposition inaugurale Comment j’ai fait mes livres : du 23 novembre 2024 au 2 février 2025

Équipement culturel du Département du Nord, le musée départemental Matisse au Cateau-Cambrésis, créé par le peintre lui-même dans la ville où il est né en 1869, est installé dans un bâtiment remarquable datant du XVIIIème siècle.
Le Département du Nord réalise actuellement des travaux d’extension et de restructuration afin de permettre l’exposition d’une cinquantaine d’oeuvres en plus de celles qui étaient exposées préalablement. de Matisse, Herbin, Claisse, de la donation Tériade et d’autres artistes contemporains ayant travaillé sur l’oeuvre d’Henri Matisse, l’inversement du sens de visite pour finir la collection Matisse au carrefour des trois autres expositions (Herbin, Claisse, Tériade) et de l’exposition temporaire, le réaménagement de l’accueil du musée et de la boutique et la création d’un nouvel accueil pour les groupes ainsi que quatre ateliers.
La réouverture du musée Matisse au Cateau-Cambrésis est prévue le samedi 23 novembre
2024.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Museum Connections 2025

Paris Expo Porte de Versailles : les 14 et 15 janvier 2025

Après une année record en 2024 avec 5414 visiteurs et 383 exposants, Museum Connections revient pour une 29e édition. Salon professionnel international, résolument tourné vers les enjeux économiques et durables des musées, lieux culturels et touristiques, Museum Connections décode les tendances et innovations pour imaginer les nouvelles expériences de visite.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Belladone

Tatiana Wolska, lauréate du Prix Drawing Now 2024
Commissaire d’exposition : Marianne Derrien
Drawing Lab, Paris : du 24 janvier au 20 avril 2025

L’exposition Belladone de Tatiana Wolska (née 1977 en Pologne, vit et travaille à Bruxelles) se niche entre le politique et l’intime en proposant une expérience physique et cognitive où le dessin fusionne avec la sculpture.

Plante des sorcières, bonne ou mauvaise herbe magique connue depuis l’Antiquité, la Belladone, est à la fois le remède et le poison nous rappelant que son utilisation requiert un maniement subtil ainsi qu’une grande connaissance. À travers l’histoire de cette plante, l’exposition favorise la prolifération et le dialogue afin d’unir le familier et l’étrange, la légèreté et l’ardeur, la suggestion et la revendication. Les œuvres graphiques et en volume de Tatiana Wolska mutent en autant d’enveloppes organiques probables ou indéfinies. En donnant de la valeur à ce qui ne perdure pas, l’artiste affirme une posture expérimentale et engagée avec cette nouvelle œuvre-construction en papier (déchirés, découpés et agrafés) aux côtés d’autres œuvres déjà produites. Du dehors au dedans, d’un corps à un autre, du végétal à l’humain, c’est notre relation aux cycles vitaux, au déracinement ainsi qu’aux formes d’émancipation et d’affranchissement qui est sondé. Tout au long de ce projet, récits et échanges se mêlent et se croisent pour créer l’archive d’une présence, celle de l’artiste elle-même avec celles d’autres artistes, activistes, écrivaines…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trésors du Petit Palais de Genève

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : du 24 janvier au 1er juin 2025

Au printemps 2025, la Fondation de l’Hermitage accueille les chefs-d’œuvre du Petit Palais de Genève, une collection impressionniste et postimpressionniste particulièrement originale. Réuni à partir des années 1950 par Oscar Ghez, cet ensemble témoigne d’un esprit de collectionneur remarquablement libre. L’industriel s’intéressa avec une grande curiosité à la peinture de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle, sans limiter ses choix aux grands maîtres (Renoir, Manet…) mais également de toiles somptueuses d’artistes moins connus alors (Caillebotte, Valadon, Angrand…).
Depuis la fermeture au public du Petit Palais de Genève en 1998, les œuvres ne sont plus visibles que par des prêts à des expositions temporaires ou des tournées de la collection hors de Suisse. Articulée autour des grands courants artistiques qui structurent l’ensemble, la présentation à la Fondation de l’Hermitage constituera donc un événement : une occasion unique de (re)découvrir ses chefs-d’œuvre et de percevoir la richesse et l’audace de cette collection suisse de premier plan.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Geneviève Asse. Le bleu prend tout ce qui passe

Musée Soulages, Rodez : du 25 janvier au 18 mai 2025

Depuis les années 1970, Geneviève Asse peint en bleu. Sa palette va du bleu clair au bleu profond, c’est sa marque poétique et sa technique. Ce bleu n’est pas monochrome au sens strict, mais exprime la passion, l’empathie avec la mer et le ciel, avec l’infini. Le bleu sans cesse gagnera du terrain : « Le bleu prend tout ce qui passe » affirmera-t-elle. La lumière, fractionnée, diffusée, naissante… est la grande affaire de Geneviève Asse. C’est une lumière immanente, une sorte de paysage grand ouvert, horizontal. Le souvenir des toiles intitulées Fenêtres le rend vertical. Asse a fait des vitraux à Lamballe ; elle a conçu des pièces de porcelaine pour la Manufacture de Sèvres. Cela la rapproche de Soulages aimant varier les techniques et les expériences.
L’exposition du musée Soulages rassemblera environ 70 oeuvres, essentiellement des peintures sur toile et des oeuvres sur papier, des dessins et des estampes. Le commissariat en est assuré par Benoît Decron et Malika Noui, avec le soutien décisif du Fonds de dotation Geneviève Asse. Les prêts émanant de ce fonds seront complétés par le Centre Pompidou-musée national d’art moderne, la Fondation Gandur, le musée de Vannes, le musée des beaux-arts de Lyon, le musée des beaux-arts de Rennes, le musée Picasso d’Antibes, le MACVAL, par des galeries, celle d’Antoine Laurentin son dernier marchand notamment, par des collectionneurs (des pièces rares).

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Écran total, par Corinne Vionnet

Musée de Pont-Aven : du 1er février au 4 mai 2025

L’exposition de l’artiste franco-suisse Corinne Vionnet intitulée « Écran Total » présente une centaine d’oeuvres issues de plusieurs séries, notamment Photo Opportunities, Me Here Now, Scenic Views, Total Palm Tree… Cette exposition monographique représente une étape importante dans la reconnaissance de son oeuvre.
Son travail est une réflexion sur le partage et la répétition des images, à l’heure du numérique, des réseaux sociaux et du tourisme de masse. Elle interroge le risque de l’épuisement du regard. Sa démarche artistique s’appuie sur le collage après un travail considérable de repérages et de recherches d’archives. Elle est l’une des premières artistes à avoir exploré et réutilisé les images partagées sur internet.
Pour cette exposition, Corinne Vionnet a créé deux oeuvres exclusives à partir de paysages bretons : la pointe de Pen hir (les fameux tas de pois) et la ville close de Concarneau.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Trop forts !

Musée des Confluences, Lyon : du 19 février au 31 décembre 2025

Dans le désert, sous un froid glacial, ou encore en haute montagne, certaines espèces animales sont capables de vivre dans des milieux extrêmes. L’exposition, imaginée pour les enfants de 8 à 12 ans, emmène tous les grands curieux sur les traces de ces animaux aux capacités étonnantes. Vivre sans jamais boire, respirer à 10 000 m d’altitude ou pouvoir être entièrement pris dans la glace : si ces aptitudes semblent défier notre compréhension, elles inspirent les scientifiques et pourraient permettre de grandes innovations.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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À corps

MusVerre, Sars-Poteries : du 21 février 2025 au 4 janvier 2026

La nouvelle exposition du MusVerre explore les facettes du corps humain revisité par les artistes verriers et plasticiens : en mouvement ou au repos, du détail à l’ensemble, du trivial au sublime. La visite propose de se pencher sur les subtiles mécaniques du vaisseau charnel. C’est une occasion d’en admirer les rouages, d’en reconnaître les limites aussi bien que les mérites, et, peut-être, d’apprivoiser davantage cet organisme à la fois complexe et merveilleux.
Par une diversité de points de vue, l’exposition nous invite à un examen minutieux, presque radioscopique, de l’organisme humain ; son parcours propose un cheminement allant du corps trivial vers le sublime.
La première partie nous plonge dans l’intimité du genre humain et s’intéresse à sa représentation quotidienne, banale et prosaïque. Les corps sont dénudés, rendus visibles et dévoilés aux spectateurs dans toute leur vérité physique et leur vulnérabilité. Le parcours se poursuit par l’étude mathématique du corps, sa fragmentation et sa mise en mouvement pour aboutir à sa représentation dans l’espace public. Passant de l’ombre à la lumière, le second temps de l’exposition nous amène à découvrir des êtres sublimés, glorifiés, voire métaphoriques. Échappant à la tyrannie du corps physique, les artistes nous offrent un tableau plus sensible et poétique de l’enveloppe charnelle. Magnifié, voire rêvé, il devient le support d’un message, d’un symbole et d’un idéal. C’est dans une approche quasi introspective que les artistes nous invitent à un examen de soi.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rodin/Bourdelle. Corps à corps

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 1er juin 2025

Bourdelle admira Rodin. Rodin soutint Bourdelle qui fut son praticien, et perçut en lui son héritier. Deux artistes liés par une amitié et une admiration réciproques dont les carrières, mais aussi les vies, furent entremêlées.
Rassemblant plus de 170 oeuvres (sculptures, dessins, mais aussi photographies et archives), ce face-à-face entre deux grands maîtres de la sculpture donne à voir, avec une ambition et une ampleur inédite, près de 50 ans de création commune ou croisée.
Cette exposition a été initiée et conçue par le musée Bourdelle/Paris Musées et le musée Rodin. Elle est organisée en collaboration entre le musée Bourdelle/Paris Musées, le musée La Piscine de Roubaix et le musée Ingres Bourdelle de Montauban.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Elsa Sahal : Pool Dance

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 1er juin 2025

Initiée au modelage de la terre, qui permet métamorphoses et expressions du corps, Elsa Sahal incarne le renouveau de la sculpture en céramique. Sa série des « Pole Dance », rebaptisée pour La Piscine, s’inspire des poses lascives et tournoyantes de cette discipline aérienne, mais aussi de l’observation des esquisses de Rodin. La sculpture décomplexée d’Elsa Sahal, dont l’art mêle liberté d’expression et humour, entre ainsi en parfaite résonance avec l’exposition Rodin/ Bourdelle. Corps à corps.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Sans dessus-dessous

La Piscine, Roubaix : du 1er mars au 8 juin 2025

Vêtements de dessous, vêtements de dessus, habits de l’intimité se révélant au grand public : la confusion règne au fil des époques. Les cabines Mode de La Piscine décryptent l’art du déshabillé à travers des tenues issues des collections du musée.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Marc Riboud, Vietnam (1967-1976)

Musée national des arts asiatiques-Guimet : du 5 mars au 12 mai 2025

A l’occasion des 50 ans de la fin de la guerre du Vietnam, l’association Les amis de Marc Riboud et le musée Guimet, qui conserve le fonds Riboud, s’associent pour présenter photographies et documents d’archives retraçant le travail de Marc Riboud au Vietnam (1967-1976).
Regardant aujourd’hui ses reportages qui documentent le Vietnam pendant près de dix ans, on reconnaît la « méthode » de Marc Riboud et son regard singulier. Il aimait revenir dans les pays qu’il avait visités. Il repérait les lieux et les habitudes, s’attachait aux gens, aimait les retrouver, comprendre leur pensée, voir comment évoluait leur vie. Il restait sur place autant qu’il le pouvait, interrogeant toutes sortes de personnes. Jamais il n’a été un photographe de guerre : quand l’on regarde ses reportages au Vietnam, ce ne sont pas les combats que l’on voit, mais la vie qui continue dans les ruines, les corps qui tentent de se reposer dans les refuges de fortune, les amoureux qui se retrouvent près des abris anti-bombes, la vivacité des enfants, la grâce des femmes. On découvre aussi le désespoir des veuves dans les temples ou dans les églises, le courage de ceux qui rebâtissent à mains nues, les digues ou des quartiers entiers en morceaux… C’est une vie bouleversée, blessée, mais une vie qui continue, tenace, envers et contre tout.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Les Orchidées

Abbaye de Vaucelles : du 13 au 16 mars 2025

L’exposition d’orchidées & Bons plants de Vaucelles aura cette année pour thème « les couleurs des orchidées ». L’abbaye de Vaucelles organisera cet évènement du 13 au 16 mars 2025. Cette 34ème édition associera :
– le Mont Noir qui proposera une exposition de photographie d’orchidées sauvages et un atelier de réalisation de marque-pages fleuris
– le Musée Matisse qui animera sur les 4 jours une oeuvre collective sur papiers découpés et des ateliers individuels.
Ce rendez-vous annuel est l’évènement incontournable des orchidophiles et passionnés d’art floral. Des exposants et producteurs du monde entier sont présents chaque année pour conseiller et accompagner les visiteurs dans la culture d’orchidées.
La Société Nationale d’Horticulture de France décernera plusieurs prix, et de nombreuses animations, adaptées aux petits comme aux grands, ponctueront cette nouvelle édition.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Le printemps du dessin, 8ème édition

Partout en France : du 20 mars au 21 juin 2025

Créé en 2017, par l’équipe de Drawing Now Art Fair, la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.
Du 20 mars au 21 juin, en réunissant des lieux aussi différents que des Monuments nationaux, des artothèques, des FRAC ou des centres d’art, le Printemps du dessin inscrit la culture au sein même des territoires et répond déjà au souhait du Ministère de la Culture d’un « Printemps de la ruralité ». À travers des expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et publics, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique.
En 2024, 75 structures ont œuvré pour faire du printemps une grande fête du dessin en mettant le sport au cœur de la pratique dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques. Pour cette nouvelle édition, le Printemps du dessin propose à ses participants d’imaginer une programmation autour du thème du langage et de l’écriture. Ces formes d’expression se rejoignent, en utilisant le dessin pour illustrer des idées, des récits et des émotions qui pourraient aussi être capturés par les mots. La 8e édition aura pour but de souligner le trait et la ligne comme outils narratifs, comme écriture universelle.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Drawing Now Art Fair, 18e édition

Le salon du dessin contemporain

Le Carreau du Temple, Paris : du 27 au 30 mars 2025

La 18e édition de Drawing Now Art Fair — la première foire d’art contemporain dédiée au dessin en Europe — aura lieu du jeudi 27 au dimanche 30 mars 2025 au Carreau du Temple. Environ 70 galeries seront sélectionnées dans les 3 secteurs de la foire et sur les 2 niveaux du Carreau du Temple.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny

du 1er avril au 1er novembre 2025

Après leur traditionnelle trêve hivernale, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes le 1er avril 2025. Un cycle immuable qui n’empêche pas le renouveau, tant horticole qu’artistique ! En ce mois d’avril, les jardins accueillent le public quand les cerisiers et pommiers rivalisent de floraisons nuageuses en un camaïeu rose, comme une évocation nippone. Tels des rehauts colorés, les narcisses blancs parfumés et les jonquilles éclaboussent le pied des arbres.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Des chevaux et des hommes (titre provisoire)

Musée de la Grande Guerre, Meaux : d’avril à décembre 2025

Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés –chevaux, ânes, mulets. Au coeur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 millions.
Pour cette nouvelle exposition temporaire, le musée de la Grande Guerre aborde le sujet du sort des chevaux dans le conflit, de leurs emplois dans les différentes armes des armées, des hommes qui les emploient, les utilisent et des relations homme- animal qui dépassent le strict usage militaire.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Amazonies

Musée des Confluences, Lyon : du 18 avril 2025 au 8 février 2026

Longtemps réduite à l’image d’une « forêt vierge », inhospitalière et impénétrable à l’influence humaine, la forêt amazonienne est en réalité peuplée depuis 9 000 ans avant notre ère, par des habitants en grande interaction avec leur environnement. L’exposition présente des facettes d’une Amazonie contemporaine au travers des collections matérielles et immatérielles constituées par le musée entre 2018 et 2022 lors de trois missions de terrain chez nos partenaires Ashaninka, Kayapo Mebenkogre, Wayana et Apalaï. Leur parole guide le visiteur dans la découverte de leurs récits fondateurs, dans leurs connaissances de la forêt et dans leurs savoir-faire, comme dans leurs luttes pour la défense de leurs territoires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Rendre visible

Musée de Lodève : du 19 avril au 31 août 2025

« L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible. » Paul Klee

Rendre visible est une exposition à quatre voix, quatre artistes qui dévoilent la nature dans ce qu’elle révèle… ou cache. D’un côté, un dialogue intime entre les œuvres de deux amis, Paul Klee et Hans Reichel. De l’autre, les vidéos, sculptures et installations d’Anne-Charlotte Finel et de Julien Discrit.
L’exposition, empreinte de délicatesse, prend une dimension vertigineuse grâce à la présence de fossiles, témoins d’une nature disparue depuis des millions d’années et qui entrent en résonance avec les œuvres.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Fêtes et célébrations flamandes. Brueghel, Rubens, Jordaens…

Palais des Beaux-arts de Lille : du 26 avril au 31 août 2025

Cérémonies urbaines, noces et kermesses villageoises, fêtes de cour et des rois : c’est à travers le prisme du divertissement collectif dans l’espace public, que cette exposition se propose d’explorer les fêtes flamandes aux XVIe et XVIIe siècles.
Illustrant tantôt la fête comme rituel social et comme exutoire en période d’épidémie ou de guerre, tantôt comme vecteur moral et politique, le parcours, d’une richesse exceptionnelle, rassemblera près de 100 peintures, gravures, dessins et realia provenant majoritairement d’institutions belges et françaises, et d’autres musées internationaux.
Première à répertorier et traiter tous les types de fêtes, l’exposition emmènera le visiteur dans un univers dont les traditions et les valeurs propres à cette région résonnent encore aujourd’hui.
Cette exposition est co-produite par le Palais des Beaux-Arts de Lille et le Grand Palais RMN, dans le cadre de la saison Fiesta de lille3000. Elle bénéficie d’un partenariat exceptionnel avec les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, et le musée du Louvre, Paris.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Angkor, Bronzes royaux d’Angkor

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 30 avril au 8 septembre 2025

L’exposition-événement Bronzes royaux d’Angkor, présentée au musée national des arts asiatiques – Guimet du 30 avril au 8 septembre 2025, offre un voyage exceptionnel à la découverte de la technique ancienne et sacrée du bronze, au coeur d’une capitale inscrite au Patrimoine de l’Humanité, dont la simple évocation fait rêver.
Parmi les 240 oeuvres qui composent cette exposition, 126 prêts exceptionnels proviennent du Musée national du Cambodge. Autour du Grand Vishnu du Mébon, ils réunissent des chefs-d’oeuvre de la statuaire de pierre et de bronze, des objets rituels et de mobilier, des éléments de décor architectural, auxquels sont associés photographies d’archive, moulages, documents graphiques et reconstitutions numériques 3D, pour une exposition exceptionnelle qui fera date.
6 institutions s’associent pour cette exposition internationale : le musée Guimet, le ministère de la Culture et des Beaux-Arts du Cambodge, le musée national du Cambodge, le C2RMF et l’EFEO ; avec le soutien exceptionnel d’ALIPH.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Afrosonica. Paysages sonores

MEG, Musée d’Ethnographie de Genève : du 16 mai 2025 au 4 janvier 2026

L’exposition du MEG « Afrosonica. Paysages sonores » invite à découvrir l’importance de la musique et du son en Afrique et dans le monde.
Cette exposition immersive explore les sons, les gestes et l’impact culturel de la musique africaine, offrant un voyage multisensoriel à travers les traditions sonores évolutives du continent. Afrosonica. Paysages sonores invite le public à découvrir la signification spirituelle, sociale et politique de la musique africaine, passée et présente, en retraçant son influence mondiale à travers la diaspora. À partir du 16 mai 2025, l’exposition présente une vingtaine d’artistes, principalement originaires d’Afrique et de la diaspora.
Cette exposition est co-organisée par Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), conservateur, artiste, compositeur et DJ.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Nouvelles salles : Auguste Rodin, sculpteur des Bourgeois de Calais

Musée des Beaux-Arts, Calais : à partir du 17 mai 2025

Le musée des Beaux-Arts de Calais a entrepris depuis quelques années le renouvellement de ses espaces d’accueil et d’expositions. Après la transformation du hall, de la salle d’exposition temporaire en parcours permanent des collections Beaux-Arts en 2023, le musée prépare pour 2025 la refonte complète de la galerie consacrée au sculpteur Auguste Rodin.
Le réaménagement de cette galerie revêt une importance particulière pour le musée, historiquement très lié à la figure de Rodin. Celui-ci a en effet répondu à la commande de la Ville de Calais en 1885 pour la réalisation du célèbre Monument aux Bourgeois de Calais, encore visible aujourd’hui sur la place de l’hôtel de Ville. Par ailleurs, le musée entretient depuis plusieurs décennies un partenariat privilégié avec le musée Rodin, à Paris, et est dépositaire de plusieurs de ses oeuvres. Enfin, Rodin est considéré comme le père de la sculpture moderne, or les collections du musée de Calais sont particulièrement riches de cette thématique.
La galerie Rodin réinventée complète le nouveau parcours des collections et introduit les salles dédiées à l’histoire du territoire calaisien. Pensée comme un espace autonome, elle permet en outre d’accueillir des groupes touristiques qui souhaitent une introduction à la découverte de la ville.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Brueghel & Van Balen, artistes & complices

Musée de Flandre, Cassel : du 17 mai au 28 septembre 2025

En 2025, à l’occasion du 400ème anniversaire de sa mort, le musée de Flandre rend hommage à l’un des plus importants peintres flamand du XVIIe siècle : Jan Brueghel l’Ancien. Dernier fils du grand Pieter Bruegel l’Ancien, il marque son temps par son sens de la couleur et sa touche miniaturiste hors du commun. Son extraordinaire virtuosité lui valut d’ailleurs le surnom de Brueghel « de Velours ». De la peinture d’histoire, en passant par les bouquets de fleurs et les scènes de chasse, la diversité est le maître-mot qui guide sa production. Spécialiste des paysages, des fleurs, des fruits et des animaux, Brueghel s’adjoint souvent les compétences d’autres peintres, chargés de représenter les figures humaines. Et notamment celles de Hendrick van Balen, un artiste aujourd’hui méconnu mais qui, pourtant, a eu une carrière brillante. À la tête d’un grand atelier, ses œuvres étaient parfois mieux rémunérées que celles de Rubens.
Van Balen est reconnu pour ses impressionnants retables d’églises ainsi que pour ses tableaux plus intimes, inspirés de la mythologie greco-romaine et de la Bible.
Une amitié profonde liait Van Balen, Rubens et Brueghel, si bien qu’à la mort de ce dernier, Van Balen et Rubens furent nommés co-tuteurs de ses enfants.
Grâce à des prêts exceptionnels de grands musées internationaux et de collections privées, le Musée de Flandre honore sa mission de mettre en lumière des artistes oubliés, en soulignant notamment la relation entre Brueghel et Van Balen, artistes et complices.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Cezanne 2025

Aix-en-Provence
Une exposition internationale, sa demeure, son atelier, ses paysages…

La Ville d’Aix-en-Provence propose à partir du mois de juin 2025 un grand évènement dédié au peintre Paul Cezanne, né et mort dans cette ville qui a été, avec ses paysages alentours et sa montagne devenue mythique grâce à sa peinture, le théâtre de toute une vie. Ainsi, la ville d’Aix-en-Provence, en vue de cette année exceptionnelle a décidé de restaurer progressivement et d’ouvrir définitivement au public la bastide du Jas de Bouffan, acquise par le père de l’artiste en 1859.
Cette bastide située en bordure Ouest du centre ville a été pour Cezanne plus qu’une demeure familiale dont il devra pourtant se départir à contre-coeur en 1899. C’est là qu’il a peint ses premières oeuvres à l’âge de 20 ans et dont il reste encore aujourd’hui des fragments récemment découverts dans le « Grand Salon » ; c’est là aussi que son père lui installe un atelier au deuxième étage, éclairé par une grande verrière fendant la toiture d’où sortiront ses plus grands chefs-d’oeuvre.
De ces 40 ans passés dans la demeure familiale entourée de 15 hectares de vignes et de vergers, vont naître natures mortes, joueurs de cartes, baigneurs et baigneuses, portraits et autoportraits que le musée Granet va proposer dans une grande exposition du 28 juin au 12 octobre 2025. Plus de 100 oeuvres, huiles sur toile, dessins et aquarelles feront ainsi le lien avec sa bastide familiale restaurée ainsi que son parc, dont il reste aujourd’hui près de 5 hectares quasi intacts. Ces oeuvres inestimables viennent du monde entier, à la fois des grands musées français notamment du musée d’Orsay mais aussi de Bâle, Chicago, Harvard, Londres, Los Angeles, New York, Ottawa, Tokyo, Zurich…
Le visiteur pourra ainsi passer de la visite de sa demeure familiale et des jardins restaurés où seront visibles certains points de vue de l’artiste, aux salles d’exposition du musée Granet où, au fil des sections apparaîtront les oeuvres de Cezanne peintes au Jas de Bouffan. Celle-ci figureront les « habitants » de la bastide, les terres du domaine, l’allée de marronniers, le bassin, ou encore la bastide et la ferme attenante, immortalisées dans une toile exceptionnelle provenant de la National Gallery de Prague, donnant au projet toute sa cohérence scientifique et artistique. De surcroît, la ferme qui jouxte la bastide abritera la gestion du Catalogue Raisonné de l’artiste au sein du Centre de Recherche Cezannien, seul au monde à pouvoir authentifier une oeuvre du Maître d’Aix.
En 1899, le peintre est obligé de vendre le domaine du Jas de Bouffan. Cezanne s’installe alors dans le quartier de l’hôtel de ville -rue Boulegon précisément -, et achète un terrain sur la colline des Lauves, au dessus de la cathédrale d’Aix, pour s’y construire un atelier qui deviendra son dernier espace de création à partir de 1902. C’est là entre autres qu’il terminera ses Grandes Baigneuses visibles aujourd’hui à la Barnes Foundation de Philadelphie, qu’il avait commencées au Jas de Bouffan.
La ville d’Aix-en-Provence y a fait l’acquisition en 2016 d’un terrain jouxtant l’atelier, afin d’en fluidifier l’accès. C’est donc dans un espace désormais entièrement dédié à l’artiste, à l’atelier laissé intact et aux objets restaurés, que se poursuivra l’année Cezanne 2025.
Cette année exceptionnelle prendra également tout son sens grâce à la création d’un nouveau parcours pour le public menant aux carrières de Bibémus. Ce lieu hautement cezannien situé à l’Est de la ville en direction de la mythique montagne Sainte-Victoire, complétera ces propositions et permettra ainsi au public de mieux comprendre in situ les sources d’inspiration de l’artiste. En effet, c’est à partir des années 1890 que l’on voit s’affirmer dans son oeuvre la géométrisation du paysage qui fera de Cezanne le « père de l’art Moderne », « Notre père à tous » comme le disait Picasso, dont la sépulture se trouve à quelques kilomètres de là.
Tout au long de cette célébration, une programmation ambitieuse des musées d’art et d’histoire de la ville d’Aix viendront resituer Cezanne dans son époque et apporter un autre éclairage sur une postérité qui n’est pas allée de soi aussi bien dans sa ville natale qu’en France.
Pour les plus petits, un parcours pédagogique sera proposé dès février 2025, avant, pendant, et après l’exposition au musée Granet, dans les espaces de La Manufacture afin que le jeune public appréhende de façon ludique et didactique ce qui fait la singularité de l’artiste.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Sorcières (1862-1914)

Musée de Pont-Aven : du 7 juin au 16 novembre 2025

Au coeur de notre imaginaire collectif, les sorcières ont longtemps incarné l’allégorie de la vieillesse, de la mort, du vice et du mal. Elle sont associées au spirituel, à la nature, à ce qui fait peur et que l’on ne maîtrise pas. Mais 1862 marque une rupture avec la publication de La Sorcière de l’historien Jules Michelet : la sorcière devient alors à la fois un emblème de révolte, de connaissance et d’harmonie avec les éléments naturels, posant les bases de l’éco-féminisme. Réenchantée, elle devient le symbole de la lutte des opprimés contre l’arbitraire. Ambivalente, la sorcière cristallise les fantasmes masculins sous forme d’icône érotisée dotée d’une éternelle jeunesse s’opposant ainsi à la vieille femme laide des contes et illustrations. Pour des artistes majoritairement masculins, la sorcière évoque l’autre et l’inconnu, avec sa part d’attraction et de menace. Dans une société patriarcale où la femme est considérée comme mineure, la sorcière personnifie la femme forte, qui menace l’ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Elle incarne la résistance face aux pouvoirs dominants.
L’exposition fait dialoguer les arts au sein d’un parcours qui fait la part belle aux arts graphiques, à la peinture, sculpture, photographie, cinéma ainsi qu’à la musique, la danse et la littérature.

Exposition en partenariat avec la musée d’Orsay.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Yiqing Yin. D’air et de songes

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : du 14 juin 2025 au 4 janvier 2026


Yiqing Yin, première créatrice d’origine chinoise à recevoir l’appellation haute couture, est une artiste pluridisciplinaire. À la croisée des arts, ses œuvres sculpturales et évanescentes tissent un dialogue entre la fragilité de l’humain et la force transformatrice de la nature. Grand couturier, directrice artistique, créatrice de costumes et muse, Yiqing Yin incarne tour à tour des rôles multiples dans l’univers de la création.
Sous la curation de Sylvie Marot, cette exposition consacrée à Yiqing Yin met en lumière l’hybridation de ses disciplines artistiques, entre rêve et exploration des sens.
Le parcours invite à pénétrer au cœur du processus créatif, à saisir l’idée avant même la robe. Le hasard, l’inattendu et l’indéterminé sont les forces motrices du voyage sensoriel où l’œuvre se révèle… L’artiste puise son inspiration dans le minéral, le végétal et l’animal, élaborant ainsi une poétique du vivant qui tisse le fil rouge de l’exposition. Chaque création se révèle comme un paysage onirique, où rêve et éveil des sens s’entrelacent en une esthétique de la métamorphose.
Robes haute couture, images (photographies, films, dessins), textures sonores (murmures littéraires, bruissement d’air), sillages olfactifs rythment ce parcours immersif, invitant le visiteur à une exploration intime de son imaginaire.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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La Pologne rêvée. 100 Chefs-d’oeuvre du Musée national de Varsovie

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : du 27 juin au 9 novembre 2025

En été 2025, la Fondation de l’Hermitage mettra en lumière la remarquable vitalité artistique de la Pologne des années 1840 jusqu’à 1914, grâce à un partenariat exceptionnel avec le Musée National de Varsovie.
Siècle crucial dans la longue histoire du pays, le 19e siècle polonais est celui de la lutte des artistes, des écrivains et des musiciens pour garder vivants les particularismes, les traditions et la langue d’un peuple. À travers la mise en image de l’histoire médiévale et celle des grands monarques, mais également de la célébration de ses paysages, du monde rural, du folklore et des récits mythologiques, les peintres, privés d’académie nationale, créent une iconographie unique célébrant la Pologne indépendante dont ils préparent le retour.
Avec plus de 100 œuvres emblématiques des plus grands peintres, l’exposition proposera une histoire de l’art polonais à travers ses principaux courants : romantisme, réalisme, impressionnisme, symbolisme, modernisme.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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agnès b. On aime le graff !!

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 7 septembre 2025

Styliste, galeriste, collectionneuse, mécène et photographe, agnès b., pour qui la mode s’inspire de la rue, nous fait partager son goût pionnier et éclairé pour le graff. Au fil de ses collections, agnès b. dédie plusieurs thèmes à cet art qui renouvelle la pratique de la peinture et collabore avec des graffeurs de renom. agnès b. on aime le graff !! présente ainsi des confrontations inédites mêlant vêtements et oeuvres originales.
Cette exposition s’inscrit dans la programmation de la quatrième édition du festival URBX, organisé du 19 au 29 juin 2025 à Roubaix et dans la métropole lilloise.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Mahjoub Ben Bella, céramiste

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 28 septembre 2025

La céramique de l’artiste franco-algérien Mahjoub Ben Bella (1946-2020) développe un langage plastique abstrait et coloré autour de motifs et d’une calligraphie très libre aux réminiscences orientales. Ces oeuvres entrent en parfaite résonance avec l’exposition agnès b. On aime le graff !! Grâce au soutien des Amis du musée, et aux dons de sa famille, La Piscine présente ainsi à l’été 2025 un ensemble exceptionnel de céramiques de cet artiste polyvalent et curieux.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Vêtements bavards

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 28 septembre 2025

Artiste aux multiples terrains de jeux, Mahjoub Ben Bella collabore avec La Redoute au début des années 2000, faisant voyager son écriture de la toile de ses peintures à celle des robes et chemises de la créatrice belge Souâd Feriani. Ce motif-signature est le point de départ de ce nouvel accrochage des cabines Mode de La Piscine, où le vêtement se pare de mots qui décorent, définissent, suggèrent et clament.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Anatomie comparée des espèces imaginaires

Musée de Lodève : du 18 octobre 2025 au 15 mars 2026

Films, BD, comics… les univers fictionnels passionnent et regorgent d’êtres imaginaires qui empruntent leurs caractéristiques fantastiques à des espèces bien réelles. Des dragons de la mythologie à notre voisin Totoro, du monstre d’Alien à la Vouivre, l’exposition Anatomie comparée des espèces imaginaires est l’opportunité de découvrir l’anatomie comparée et les sciences de l’évolution (paléontologie, biologie, …) à travers l’analyse rigoureuse mais amusante d’espèces fantastiques.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Elika Hedayat, Haroum

Commissaire d’exposition : Valentina Ulisse
Lauréates de la bourse de production Drawing Lab Project 2025
Drawing Lab, Paris : d’octobre 2025 à janvier 2026

La bourse de production Drawing Lab Project 2025, d’un montant de 20 000 euros, a été attribuée à l’artiste Elika Hedayat et à la commissaire d’exposition Valentina Ulisse. Elles exposeront au Drawing Lab leur projet intitulé « Haroum » en octobre 2025 et bénéficieront de l’édition d’un catalogue dédié.
Drawing Lab Project est la bourse de production destinée à une exposition de dessin contemporain et proposée par le Drawing Lab, l’espace d’expositions fondé par Christine Phal et mécéné par la Drawing Society. L’appel à projets, destiné aux duos artiste/commissaire d’exposition, âgés minimum de 25 ans et de nationalité française ou vivant en France, s’intitulait cette année « Le dessin en mouvement(s) » et avait pour ambition de questionner le dessin contemporain sous toutes ses formes, en mettant particulièrement en lumière le concept de mouvement qu’il soit dansé, écrit, ou encore performé. Le dessin n’est pas uniquement une forme d’expression artistique, il devient un langage, moyen d’engagement de la pensée, du corps et un outil de communication.
Rendez-vous en octobre 2025 pour découvrir le projet complet du duo.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17