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Le printemps du dessin, 8ème édition

Partout en France : du 20 mars au 21 juin 2025

Créé en 2017, par l’équipe de Drawing Now Paris, la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.
Du 20 mars au 21 juin, en réunissant des lieux aussi différents que des Monuments nationaux, des artothèques, des FRAC ou des centres d’art, le Printemps du dessin inscrit la culture au sein même des territoires et répond déjà au souhait du Ministère de la Culture d’un « Printemps de la ruralité ».
À travers des expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et publics, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique.
Ces rencontres réparties au niveau national permettent à des publics différents une proximité avec les artistes et leur travail lors des expositions et rencontres. Le dessin facilite ces rencontres car ce medium paraît plus direct et accessible.
En 2024, 76 structures ont oeuvré partout en France pour faire du printemps une grande fête du dessin en mettant le sport au coeur de la pratique dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques.
Pour cette nouvelle édition, le Printemps du dessin propose à ses participants d’imaginer une programmation autour du thème du langage et de l’écriture. Ces formes d’expression se rejoignent, en utilisant le dessin pour illustrer des idées, des récits et des émotions qui pourraient aussi être capturés par les mots. La 8e édition aura pour but de souligner le trait et la ligne comme outils narratifs, comme écriture universelle.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Drawing Now Paris, 18e édition

Le salon du dessin contemporain

Le Carreau du Temple, Paris : du 27 au 30 mars 2025

La 18e édition de Drawing Now Paris, première foire d’art contemporain dédiée au dessin en Europe, aura lieu du 27 au 30 mars 2025 au Carreau du Temple à Paris. Pendant 4 jours, sur les deux niveaux du Carreau du Temple, plus de 70 galeries internationales vous feront découvrir toute la diversité du dessin
contemporain d’aujourd’hui et des 50 dernières années.
Afin d’approfondir la découverte du dessin contemporain, Drawing Now Paris multiplie les événements et propose une programmation associée autour d’une exposition en partenariat avec le Frac Picardie – Hauts de France et le Cnap.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Musique et République, de la Révolution au Front populaire 

Archives nationales, Paris : du 26 mars au 14 juillet 2025

L’exposition Musique et République, de la Révolution au Front populaire — organisée de mars à juillet 2025, par les Archives nationales avec le concours du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris — souhaite mettre en lumière les liens entre la musique et la construction de la République.

De la Révolution, qui organise de nouvelles institutions et utilise la musique pour fonder un sentiment patriotique, au Front populaire de 1936, qui fait le pari de l’émancipation sociale du citoyen par l’accès aux loisirs et à la culture, la formation et la pratique musicale permettent à la fois le partage d’un patrimoine sonore commun et l’expression personnelle, parfois subversive.

Les Archives nationales retracent l’histoire de cette rencontre entre le citoyen et la musique. Des partitions inédites retrouvées dans les fonds des Archives nationales, des instruments de musique étonnants ou oubliés, des correspondances politiques, des commandes passées à des compositeurs prestigieux et de nombreux autres documents, racontent une histoire mouvementée : celle d’un siècle et demi de production, d’éducation et de pratique musicales, envisagées en regard de l’idée républicaine.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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150e anniversaire du jardin botanique Val Rahmeh à Menton

En 2025, le jardin botanique Val Rahmeh-Menton célèbre son anniversaire, avec la création du domaine en 1875 : 150 ans d’une histoire marquée par les aménagements et les plantations initiés par ses occupants successifs. Le domaine est finalement cédé à l’État en 1966 qui confie la gestion du domaine au Muséum national d’Histoire naturelle. Il est ouvert au public depuis 1967.
Dans un environnement méditerranéen avec vue sur la mer depuis la terrasse de la villa, le jardin Val-Rahmeh abrite une exceptionnelle palette végétale : 1 800 espèces, des variétés méditerranéennes, mais aussi tropicales et subtropicales.
Labelisé EcoJardin, Val Rahmeh a mis en place des pratiques de culture respectueuses de l’environnement, économes en eau, en énergie et favorable à la biodiversité. Un suivi de la faune est aussi assuré, notamment des insectes ravageurs qui menacent certaines espèces végétales. Une gestion et une veille qui se révèlent essentiels en raison des effets du réchauffement climatique.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny

du 1er avril au 31 octobre 2025

« L’autre oeuvre de lumière de Claude Monet »

Après leur traditionnelle trêve hivernale, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes le 1er avril 2025.
Propriété de l’Académie des Beaux-Arts, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny offrent une immersion unique dans le cadre de vie et de création de Claude Monet qui s’y installe en 1883. Peintre du plein air et virtuose de la couleur, Claude Monet, le charismatique chef de file du courant impressionniste était aussi un inventif jardinier qui composa son jardin comme une oeuvre d’art…
Restaurés avec minutie par une équipe de jardinier qui oeuvrent toute l’année, la maison et ses jardins conservent leur éclat d’origine, plongeant les visiteurs dans l’intimité du peintre. Aujourd’hui, ce site emblématique attire des passionnés du monde entier, faisant rayonner l’héritage de Monet bien au-delà de Giverny.
Après le décès de Monsieur Hugues R. Gall qui a dirigé l’institution depuis 2008, Monsieur Alain Charles Perrot, membre de la section d’architecture de l’Académie des Beaux-Arts, a été élu par ses consoeurs et confrères aux fonctions de directeur de la Maison et des jardins de Claude Monet – Giverny le 19 juin 2024.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Sur la piste des intelligences animales 

Parc zoologique de Paris : du 5 avril au 2 novembre 2025

Du 5 avril au 2 novembre 2025, le Parc zoologique de Paris révèle aux visiteurs les capacités cognitives extraordinaires des animaux. Prenez date pour explorer un parcours thématique inédit ! Insoupçonnées, variées, étonnantes, amusantes, les capacités cognitives des insectes, céphalopodes, batraciens, oiseaux ou encore mammifères, ont de quoi surprendre. Le Parc propose une panoplie d’activités pour s’interroger et s’éveiller davantage à l’ingéniosité du vivant. La redécouverte de nombreux pensionnaires du zoo par ce prisme pourrait bien bouleverser le rapport de chacun et chacune à la faune.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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L’Atelier Rodin. Jouez, créez, bougez !

Musée Rodin, Paris : du 5 avril au 31 août 2025

Dédié à la découverte de la sculpture par la pratique, l’Atelier Rodin rouvre ses portes du 5 avril au 31 août 2025, rempli de nouveautés pour s’amuser et apprendre au musée. Cette quatrième édition s’adresse à tous les âges en proposant, notamment, un tout nouvel espace sensoriel dédié aux tout-petits.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Jardins en éveil, 4ème édition

Grande fête des plantes
Jardins de l’abbaye Saint-Georges, Saint-Martin-de-Boscherville : les 5 et 6 avril 2025

La manifestation Jardins en éveil est l’évènement de réouverture annuelle des jardins de l’abbaye Saint-Georges, située à Saint-Martin-de-Boscherville, près de Rouen.
Ces jardins ont été reconstitués au cours des années 1990, d’après des plans du XVIIe siècle. Ils témoignent de l’influence des jardins à la française, notamment par leurs axes et leurs parterres géométriques qui organisent potagers, plantes aromatiques et médicinales, vergers…
Pour sa 4e édition, près de 80 exposants – dont 35 pépiniéristes, des vendeurs d’accessoires et décorations de jardin, des producteurs et artisans locaux… -, partageront leurs productions et savoir-faire. Avec pour thématique Les fruits défendus, cette grande fête des plantes montrera l’importance des fruits dans ces jardins, explicité également dans l’exposition C’est pas Versailles ici ! La culture des fruits au 17e siècle dans les jardins d’abbaye présentée d’avril à novembre.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Paradeisos, Caroline Desnoëttes

Parc de Clères : du 12 avril au 28 septembre 2025

Avec Paradeisos, l’artiste Caroline Desnoëttes rend un hommage vibrant et inédit à l’oeuvre de Jean Delacour, ornithologue fondateur du parc de Clères.
Depuis son plus jeune âge, Jean Delacour a souhaité vivre dans un paradis où les animaux ne se mangeraient pas entre eux et ne mangeraient pas la végétation environnante. Il passera sa vie entière à rendre son rêve possible. Visionnaire et précurseur, il était conscient de la fragilité des écosystèmes et de l’appauvrissement de la biodiversité. Paradeisos se termine par « SOS » comme pour signifier l’urgence à protéger nos paradis que sont les écosystèmes et la biodiversité.
Présentées dans le château et dans le parc, les oeuvres, pour la plupart monumentales, de Caroline Desnoëttes, ont été conçues en écho avec les collections du parc et réalisées à partir de ressources naturelles issues du site et du territoire.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Des chevaux et des hommes

Musée de la Grande Guerre, Meaux : du 12 avril 2025 au 5 janvier 2026

À partir du 12 avril 2025, l’exposition « Des Chevaux et des Hommes » au musée de la Grande Guerre, abordera le sujet du sort de ces animaux dans le conflit, ainsi que les relations avec les hommes qui dépassent le strict usage militaire. Cette exposition donnera à voir la fraternité dans l’horreur entre les hommes et bêtes condamnés à vivre ensemble, confrontés à un même destin.

Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés – chevaux, ânes, mulets. Au cœur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 million.

L’histoire commune des hommes et des chevaux dans la Grande Guerre n’a jamais été présentée dans une exposition : il revenait au musée de la Grande Guerre de le faire.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Amazonies

Musée des Confluences, Lyon : du 18 avril 2025 au 8 février 2026

Longtemps réduite à l’image d’une « forêt vierge », inhospitalière et impénétrable à l’influence humaine, la forêt amazonienne est en réalité peuplée depuis 9 000 ans avant notre ère, par des habitants en grande interaction avec leur environnement. L’exposition présente des facettes d’une Amazonie contemporaine au travers des collections matérielles et immatérielles constituées par le musée entre 2018 et 2022 lors de trois missions de terrain chez nos partenaires Ashaninka, Kayapo Mebenkogre, Wayana et Apalaï. Leur parole guide le visiteur dans la découverte de leurs récits fondateurs, dans leurs connaissances de la forêt et dans leurs savoir-faire, comme dans leurs luttes pour la défense de leurs territoires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Rendre visible

Reichel | Klee | Discrit | Finel
Musée de Lodève : du 19 avril au 31 août 2025

« L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible. » Paul Klee

Rendre visible est une exposition à quatre voix, quatre artistes qui dévoilent la nature dans ce qu’elle révèle… ou cache. D’un côté, un dialogue intime entre les œuvres de deux amis, Paul Klee et Hans Reichel. De l’autre, les vidéos, sculptures et installations d’Anne-Charlotte Finel et de Julien Discrit.
L’exposition, empreinte de délicatesse, prend une dimension vertigineuse grâce à la présence de fossiles, témoins d’une nature disparue depuis des millions d’années et qui entrent en résonance avec les œuvres.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Fêtes et célébrations flamandes. Brueghel, Rubens, Jordaens…

Palais des Beaux-arts de Lille : du 26 avril au 1er septembre 2025

Cérémonies urbaines, noces et kermesses villageoises, fêtes de cour et des rois : c’est à travers le prisme du divertissement collectif dans l’espace public, que cette exposition se propose d’explorer les fêtes flamandes aux XVIe et XVIIe siècles.
Illustrant tantôt la fête comme rituel social et comme exutoire en période d’épidémie ou de guerre, tantôt comme vecteur moral et politique, le parcours, d’une richesse exceptionnelle, rassemblera près de 100 peintures, gravures, dessins et realia provenant majoritairement d’institutions belges et françaises, et d’autres musées internationaux.
Première à répertorier et traiter tous les types de fêtes, l’exposition emmènera le visiteur dans un univers dont les traditions et les valeurs propres à cette région résonnent encore aujourd’hui.
Cette exposition est co-produite par le Palais des Beaux-Arts de Lille et le Grand Palais RMN, dans le cadre de la saison Fiesta de lille3000. Elle bénéficie d’un partenariat exceptionnel avec les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, et le musée du Louvre, Paris.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Toulouse-Lautrec et l’art de l’affiche

Musée Toulouse-Lautrec, Albi : du 29 avril au 31 août 2025

Le musée Toulouse-Lautrec, installé au coeur de la cité épiscopale d’Albi, présente une exposition inédite sur Toulouse-Lautrec et l’art de l’affiche.
Loué de son vivant pour ses affiches novatrices et percutantes, Henri de Toulouse-Lautrec s’est révélé être un excellent lithographe et un précurseur de l’affiche moderne publicitaire.
L’exposition Toulouse-Lautrec et l’art de l’affiche, présentée du 29 avril au 31 août 2025, montre la diversité et la modernité de l’œuvre d’affichiste de Toulouse-Lautrec, tout en le replaçant dans un contexte spécifique, celui de l’essor de l’affiche illustrée et du développement de la publicité moderne.
Au sein d’un parcours thématique riche, organisé en 4 sections, le musée Toulouse-Lautrec met en valeur son fonds d’affiches de Toulouse-Lautrec entièrement restaurées pour cet événement et le confronte à des réalisations d’autres affichistes renommés (Jules Chéret, Alfons Mucha, etc.). Les affiches sont présentées en regard des esquisses et études préparatoires, permettant ainsi de retracer la démarche de l’artiste.
Cet ensemble exceptionnel est enrichi par une sélection d’œuvres empruntées au musée d’Orsay, au musée des arts décoratifs de Paris, à la Bibliothèque nationale de France et au musée Carnavalet de Paris.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Angkor, Bronzes royaux d’Angkor

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 30 avril au 8 septembre 2025

L’exposition-événement Bronzes royaux d’Angkor, présentée au musée national des arts asiatiques – Guimet du 30 avril au 8 septembre 2025, offre un voyage exceptionnel à la découverte de la technique ancienne et sacrée du bronze, au coeur d’une capitale inscrite au Patrimoine de l’Humanité, dont la simple évocation fait rêver.
Parmi les 240 oeuvres qui composent cette exposition, 126 prêts exceptionnels proviennent du Musée national du Cambodge. Autour du Grand Vishnu du Mébon, ils réunissent des chefs-d’oeuvre de la statuaire de pierre et de bronze, des objets rituels et de mobilier, des éléments de décor architectural, auxquels sont associés photographies d’archive, moulages, documents graphiques et reconstitutions numériques 3D, pour une exposition exceptionnelle qui fera date.
6 institutions s’associent pour cette exposition internationale : le musée Guimet, le ministère de la Culture et des Beaux-Arts du Cambodge, le musée national du Cambodge, le C2RMF et l’EFEO ; avec le soutien exceptionnel d’ALIPH.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
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L’Odyssée Intérieure

Une installation collective et évolutive conçue par le collectif Mister Freeze
Musée Ingres Bourdelle, Montauban : du 7 mai au 18 octobre 2025

Depuis sa réouverture en 2019, le musée Ingres Bourdelle propose à des artistes contemporains d’investir le second sous-sol de l’ancien palais épiscopal. Cette année les lieux seront confiés au collectif d’art urbain Mister Freeze.
L’odyssée Intérieure est un projet collectif qui fédère un large réseau d’artistes et d’acteurs culturels de la scène du street art. Tour à tour et au fil des mois, les artistes se succèderont et chacun réalisera une double page d’un livre monumental installé dans la salle du Prince Noir. Protéiformes, (peintures, papiers découpés, dessins) ces interventions constitueront chacune une partie d’une histoire commune dont le récit est celui d’un enfant, adulte en devenir, figure symbolique incarnant la quête et la transformation.
Six temps forts conçus comme des étapes évolutives animeront ce projet. Chaque page tournée sera l’occasion d’un rendez-vous avec le public qui pourra être accompagné d’un événement : rencontres, ateliers, performances, invitant ainsi les visiteurs à suivre l’évolution de l’a narration’histoire racontée.
Avec : Cédric Reso, Julia Forma, Marie et Clément, Tank et Popek

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Afrosonica. Paysages sonores

MEG, Musée d’Ethnographie de Genève : du 16 mai 2025 au 4 janvier 2026

L’exposition du MEG « Afrosonica. Paysages sonores » invite à découvrir l’importance de la musique et du son en Afrique et dans le monde.
Cette exposition immersive explore les sons, les gestes et l’impact culturel de la musique africaine, offrant un voyage multisensoriel à travers les traditions sonores évolutives du continent. Afrosonica. Paysages sonores invite le public à découvrir la signification spirituelle, sociale et politique de la musique africaine, passée et présente, en retraçant son influence mondiale à travers la diaspora. À partir du 16 mai 2025, l’exposition présente une vingtaine d’artistes, principalement originaires d’Afrique et de la diaspora.
Cette exposition est co-organisée par Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), conservateur, artiste, compositeur et DJ.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Nouvelles salles : Auguste Rodin, sculpteur des Bourgeois de Calais

Musée des Beaux-Arts, Calais : à partir du 17 mai 2025

Le musée des Beaux-Arts de Calais a entrepris depuis quelques années le renouvellement de ses espaces d’accueil et d’expositions. Après la transformation du hall, de la salle d’exposition temporaire en parcours permanent des collections Beaux-Arts en 2023, le musée prépare pour 2025 la refonte complète de la galerie consacrée au sculpteur Auguste Rodin.
Le réaménagement de cette galerie revêt une importance particulière pour le musée, historiquement très lié à la figure de Rodin. Celui-ci a en effet répondu à la commande de la Ville de Calais en 1885 pour la réalisation du célèbre Monument aux Bourgeois de Calais, encore visible aujourd’hui sur la place de l’hôtel de Ville. Par ailleurs, le musée entretient depuis plusieurs décennies un partenariat privilégié avec le musée Rodin, à Paris, et est dépositaire de plusieurs de ses oeuvres. Enfin, Rodin est considéré comme le père de la sculpture moderne, or les collections du musée de Calais sont particulièrement riches de cette thématique.
La galerie Rodin réinventée complète le nouveau parcours des collections et introduit les salles dédiées à l’histoire du territoire calaisien. Pensée comme un espace autonome, elle permet en outre d’accueillir des groupes touristiques qui souhaitent une introduction à la découverte de la ville.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Brueghel & Van Balen, artistes & complices

Musée de Flandre, Cassel : du 17 mai au 28 septembre 2025

En 2025, à l’occasion du 400ème anniversaire de sa mort, le musée de Flandre rend hommage à l’un des plus importants peintres flamand du XVIIe siècle : Jan Brueghel l’Ancien. Dernier fils du grand Pieter Bruegel l’Ancien, il marque son temps par son sens de la couleur et sa touche miniaturiste hors du commun. Son extraordinaire virtuosité lui valut d’ailleurs le surnom de Brueghel « de Velours ». De la peinture d’histoire, en passant par les bouquets de fleurs et les scènes de chasse, la diversité est le maître-mot qui guide sa production. Spécialiste des paysages, des fleurs, des fruits et des animaux, Brueghel s’adjoint souvent les compétences d’autres peintres, chargés de représenter les figures humaines. Et notamment celles de Hendrick van Balen, un artiste aujourd’hui méconnu mais qui, pourtant, a eu une carrière brillante. À la tête d’un grand atelier, ses œuvres étaient parfois mieux rémunérées que celles de Rubens.
Van Balen est reconnu pour ses impressionnants retables d’églises ainsi que pour ses tableaux plus intimes, inspirés de la mythologie greco-romaine et de la Bible.
Une amitié profonde liait Van Balen, Rubens et Brueghel, si bien qu’à la mort de ce dernier, Van Balen et Rubens furent nommés co-tuteurs de ses enfants.
Grâce à des prêts exceptionnels de grands musées internationaux et de collections privées, le Musée de Flandre honore sa mission de mettre en lumière des artistes oubliés, en soulignant notamment la relation entre Brueghel et Van Balen, artistes et complices.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Le temps creuse même le marbre

Image et mémoire dans la création artistique tunisienne
Abbaye de Jumièges : du 17 mai au 21 septembre 2025

En dialogue avec les ruines de l’abbaye de Jumièges, cette exposition collective réunit onze artistes de la scène contemporaine tunisienne qui expérimentent l’image sous toutes ses formes, autour du thème de l’histoire et de la mémoire.
La révolution tunisienne de 2011, accompagnée d’une démocratisation sociale, politique et culturelle, a fortement dynamisé et influencé la scène artistique nord-africaine, en particulier dans le domaine des arts visuels. Une nouvelle génération d’artistes, engagée dans des questionnements citoyens, émerge, mais l’instabilité économique et la crise migratoire menacent cet écosystème fragile. Face à ces défis, les artistes explorent un passé souvent méconnu pour éclairer le présent et envisager l’avenir.
L’exposition mobilise archives historiques, photos retrouvées, albums de famille et pratiques vernaculaires, mêlant souvenirs intimes et mémoire collective, pour déconstruire les regards hérités du roman national o!ciel et établir avec délicatesse un dialogue entre oeuvres contemporaines et vestiges du passé.
Avec les oeuvres des artistes tunisiens : Héla Ammar, Ismail Bahri, Asma Ben Aïssa, Younes Ben Slimane, Meriem Bouderbala, Rafram Chaddad, Chiraz Chouchane, Férielle Doulain-Zouari, Farah Khelil, Amira Lamti, Fredj Moussa.
Commissaire d’exposition : Victoria Jonathan

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Cezanne 2025

Aix-en-Provence
Une exposition internationale, sa demeure, son atelier, ses paysages…

La Ville d’Aix-en-Provence propose à partir du mois de juin 2025 un grand évènement dédié au peintre Paul Cezanne, né et mort dans cette ville, qui a été, avec ses paysages alentours et sa montagne devenue mythique grâce à sa peinture, le théâtre de toute une vie.

La présence de Paul Cezanne dans sa ville natale s’exprime avec force à travers le réseau de sites cezanniens que sont la bastide du Jas de Bouffan, l’atelier des Lauves et les carrières de Bibémus. Ces lieux d’exception, où le maître d’Aix a vécu et donné cours à sa création artistique, forment un parcours unique offrant aux visiteurs une perspective totale sur sa vie et son oeuvre.

À l’occasion de l’ouverture au public de la bastide du Jas de Bouffan, demeure familiale de la famille Cezanne, une grande exposition sera organisée au musée Granet. Plus de 100 oeuvres, huiles sur toile, dessins et aquarelles feront ainsi le lien avec sa bastide familiale restaurée ainsi que son parc, dont il reste aujourd’hui près de 5 hectares quasi intacts. Ces oeuvres inestimables viennent du monde entier, à la fois des grands musées français notamment du musée d’Orsay mais aussi de Bâle, Chicago, Harvard, Londres, Los Angeles, New York, Ottawa, Tokyo, Zurich…

Tout au long de cette célébration, une programmation ambitieuse des musées d’art et d’histoire de la ville d’Aix viendront resituer Cezanne dans son époque et apporter un autre éclairage sur une postérité qui n’est pas allée de soi aussi bien dans sa ville natale qu’en France.
Pour les plus petits, un parcours pédagogique sera proposé dès février 2025, avant, pendant, et après l’exposition au musée Granet, dans les espaces de La Manufacture afin que le jeune public appréhende de façon ludique et didactique ce qui fait la singularité de l’artiste.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Vivre ou survivre. Travail et pauvreté aux 19e et 20e siècles

Archives nationales du monde du travail à Roubaix : de juin 2025 à mai 2026

Des décennies après les créations successives de la Sécurité sociale, de l’assurance chômage et du Revenu d’insertion minimum, ce sont encore près de 14% des Français qui vivent sous le seuil de pauvreté. Comment expliquer que ces inégalités et la précarité demeurent ? Comment s’est construit le modèle de protection sociale des Français, depuis les prémices de l’assistance au 19e siècle jusqu’à l’instauration de l’ « État-providence » au 20e siècle ?

L’année 2025 marquera l’anniversaire de plusieurs associations représentatives de la lutte contre la précarité comme le Secours populaire et les Restos du cœur. Les ANMT, qui conservent leurs archives, ont choisi de s’intéresser aux liens entre travail et pauvreté pour leur prochaine exposition. À travers un riche corpus documentaire et iconographique, l’exposition tente de comprendre comment et pourquoi la pauvreté en France touche les travailleurs, en particulier depuis la révolution industrielle. Elle met en évidence les conséquences sur les individus concernés, avec des focus sur le nord de la France. Divisée en plusieurs parties thématiques (les revenus, le chômage, le logement, la santé, la consommation, la culture…) l’exposition revient sur les politiques publiques et les actions d’initiative privée mises en œuvre pour tenter de prévenir la précarité, d’assister ceux qui en ont besoin ou de pallier les situations de misère qui impactent villes et campagnes, enfants et adultes, hommes et femmes, français et immigrés, pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et des chômeurs.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rendez-vous aux jardins, 22e édition

Jardins de pierres – pierres de jardins
du vendredi 6 juin au dimanche 8 juin 2025

Le ministère de la Culture organise la prochaine édition des Rendez-vous aux jardins, qui se déroulera du vendredi 6 juin au dimanche 8 juin, avec une journée dédidée aux scolaires le vendredi. Placée sour le thème « Jardins de pierres – pierres de jardins », cette manifestation met en lumière la diversité et la richesse des parcs et jardins, favorise les échanges entre visiteurs et professionnels du secteur, et valorise les initiatives menées pour leur étude, leur restauration, leur préservation et leur création. Nouveauté cette année, des ateliers participatifs « Cultivons notre avenir », proposés avec l’association 2tonnes, inviteront le public à réfléchir aux enjeux de la transition écologique à travers une approche immersive et collaborative.
En 2025, le public sera invité à explorer le rôle essentiel de la pierre dans la création paysagère. Ce thème mettra à l’honneur la pierre, le rocaillage (ciment et béton imitant des éléments naturels de pierre ou de bois), la mosaïque, le gravier et le sable, autant d’éléments qui, depuis toujours, accompagnent les paysagistes et les jardiniers dans l’aménagement des jardins.
Comme chaque année, la première journée des Rendez-vous aux jardins sera consacrée au public scolaire : le vendredi 6 juin, des visites seront organisées dans certains jardins, sur inscription préalable. Une occasion privilégiée pour les jeunes générations de découvrir les bienfaits des jardins, tout en éveillant leur sensibilité à la nature et à sa préservation.
Porté par le ministère de la Culture et déployé en régions par les directions régionales des affaires culturelles (DRAC), cet événement culturel et festif bénéficie du soutien essentiel de nombreux partenaires institutionnels et médias qui mettent en lumière un élan collectif au service de la célébration de l’art des jardins et du patrimoine.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
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VISAGES. L’art du portrait grec et romain dans les collections du musée du Louvre

Musée Fenaille, Rodez : du 7 juin au 2 novembre 2025

Cette exposition organisée avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre plongera le visiteur dans une exploration de l’art du portrait qui s’est épanoui dans les mondes grec et romain. Servie par une sélection exceptionnelle, elle interrogera sa place dans les sociétés antiques.
Le portrait est un art majeur de l’Antiquité gréco-romaine. Il a concentré l’attention d’artistes et d’artisans maîtrisant des techniques très diverses et jouait dans les sociétés des rôles tout aussi variés. Images du pouvoir, supports de mémoire, offrandes aux divinités, ces portraits donnent aujourd’hui un visage, ou plutôt une multitude de visages, aux civilisations de l’Antiquité classique. Mais quels visages ? Le portrait est une élaboration artistique, pas une photographie du réel, malgré l’importance pour les artistes des recherches de la mimésis, l’imitation concrète des choses du monde.
L’exposition proposera une vision renouvelée de l’art du portrait dans l’Antiquité en s’intéressant à trois grandes questions issues des recherches actuelles sur la question : comment le genre du portrait se définit-il en termes de moyens artistiques ? Quelles fonctions remplit-il dans l’Antiquité classique ? Comment devient-il un moyen privilégié d’expression du pouvoir à partir de l’époque hellénistique ?

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Sorcières (1862-1914)

Musée de Pont-Aven : du 7 juin au 16 novembre 2025

Au coeur de notre imaginaire collectif, les sorcières ont longtemps incarné l’allégorie de la vieillesse, de la mort, du vice et du mal. Elle sont associées au spirituel, à la nature, à ce qui fait peur et que l’on ne maîtrise pas. Mais 1862 marque une rupture avec la publication de La Sorcière de l’historien Jules Michelet : la sorcière devient alors à la fois un emblème de révolte, de connaissance et d’harmonie avec les éléments naturels, posant les bases de l’éco-féminisme. Réenchantée, elle devient le symbole de la lutte des opprimés contre l’arbitraire. Ambivalente, la sorcière cristallise les fantasmes masculins sous forme d’icône érotisée dotée d’une éternelle jeunesse s’opposant ainsi à la vieille femme laide des contes et illustrations. Pour des artistes majoritairement masculins, la sorcière évoque l’autre et l’inconnu, avec sa part d’attraction et de menace. Dans une société patriarcale où la femme est considérée comme mineure, la sorcière personnifie la femme forte, qui menace l’ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Elle incarne la résistance face aux pouvoirs dominants.
L’exposition fait dialoguer les arts au sein d’un parcours qui fait la part belle aux arts graphiques, à la peinture, sculpture, photographie, cinéma ainsi qu’à la musique, la danse et la littérature.

Exposition en partenariat avec la musée d’Orsay.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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L’Asie photographiée par Michael Kenna

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 11 juin au 30 septembre 2025

Le photographe Michael Kenna (né en 1953) nourrit un attachement profond pour l’Asie. Depuis son premier séjour au Japon en 1987, ce représentant majeur de la photographie minimaliste contemporaine n’a eu de cesse d’y retourner pour passer les paysages de l’archipel au prisme de son esthétique, avant d’élargir son horizon à la Chine, la Corée du Sud, l’Inde et l’Asie du Sud-Est dans les années 2000.

Forgé à partir des années 1970, le vocabulaire formel de Michael Kenna fait la synthèse de plusieurs avant-gardes photographiques du XXe siècle mais il entretient également des affinités avec les arts classiques de l’Asie orientale. La monochromie, l’économie de moyens, un usage audacieux du vide et le désir de transcender le sujet rappellent volontiers la peinture à l’encre (shuimohua, sumi-e). De même, certaines compositions évoquent le travail japonais de la laque (maki-e) tandis que des jeux d’échelle peuvent transformer un paysage enneigé en calligraphie. Dépassant l’esthétique, ces liens incluent également l’acceptation de la lenteur, la quête de la perfection, le retour cyclique au motif, une éthique artisanale et même une dimension spirituelle. Chez Michael Kenna comme dans les arts chinois, coréen et japonais, ces procédés et ces principes convergent bien souvent vers une poésie subtile, qui peut résider dans la dignité d’un rocher ou dans une conversation entre un détail et son environnement. Cette capacité à distiller une émotion à partir d’un paysage a fait dire à certains commentateurs que Michael Kenna était l’auteur de haïkus visuels.

Forte de ces réflexions, l’exposition proposera une expérience sensible des paysages asiatiques de Michael Kenna. Les ponts entre photographies et traditions artistiques locales seront explorées au gré de neuf sections thématiques, introduites chacune par un dialogue entre une épreuve et une œuvre issue des collections du Musée Guimet. L’exposition emmènera également les visiteurs dans les coulisses de la création avec des sections transversales sur la fabrique des images (de la prise de vue au livre en passant par la chambre noire) et le travail du motif.

Célébrant la donation par Michael Kenna de son œuvre à la France en novembre 2022, l’exposition sera la première rétrospective d’envergure sur son travail en Asie. Elle présentera de nombreux tirages issus de la donation et conservés à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie.

Commissariat : Édouard de Saint-Ours, conservateur des collections photographiques (Musée Guimet)

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Nuage des petits

Nouvel espace permanent
Musée des Confluences, Lyon : à partir du 14 juin 2025

Au musée des Confluences, les très jeunes visiteurs sont considérés comme un public à part entière. Leur proposer une nouvelle offre culturelle adaptée, le Nuage des petits, est une orientation majeure d’un musée tourné vers la jeunesse.
Espace ludique et culturel, le Nuage des petits est destiné aux enfants de 2 à 6 ans. Avec cette nouvelle forme d’expérimentation, ils pourront explorer, questionner, partager, jouer, rêver, danser, bouger, découvrir et nourrir l’imaginaire.
Le Nuage des petits accueillera pendant un an Fragile !, réalisée par la Cité des sciences et de l’industrie. Faisant le pari muséographique de la narration, Fragile ! se découvre de manière autonome et se vit comme une histoire. D’îlot en îlot, les tout petits suivent les aventures de Roky le caillou et de ses camarades. Les enfants manipulent, testent
et font l’expérience de la fragilité et de l’entraide. Au bout de leur quête, vont-ils réussir à réparer Roky ?

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Le mystère des anneaux par Laurent Ballesta

Musée des Confluences, Lyon : du 14 juin 2025 au 12 avril 2026

Au large du Cap Corse, à 120 mètres de profondeur, plus de 1 400 anneaux d’une vingtaine de mètres de diamètre constituent un ensemble unique au monde. Formés par des algues calcaires âgées de 8 000 ans, ils abritent une biodiversité remarquable.
En 40 photographies et un film d’une dizaine de minutes, l’exposition relate les missions menées par le photographe Laurent Ballesta et une équipe de scientifiques, Gombessa 6, entre 2021 et 2024. Le parcours s’accompagne d’une composition sonore favorisant l’immersion des visiteurs dans cet univers marin.
Les images illustrent la vaste plaine où se dessinent les anneaux à perte de vue, leur géométrie parfaite, la vie qui s’épanouit en leur coeur, mais également les menaces qui pèsent sur ces écosystèmes. Le bleu des profondeurs vertigineuses alterne avec les couleurs et la délicatesse des habitants qui peuplent ces anneaux, en offrant une représentation poétique et naturaliste.
Au-delà de la beauté des fonds marins, l’exposition raconte les techniques novatrices de plongée mises en oeuvre par ces expéditions et partage les anecdotes de Laurent Ballesta et de son équipe.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Yiqing Yin. D’air et de songes

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : du 14 juin 2025 au 4 janvier 2026


Yiqing Yin, première créatrice d’origine chinoise à recevoir l’appellation haute couture, est une artiste pluridisciplinaire. À la croisée des arts, ses œuvres sculpturales et évanescentes tissent un dialogue entre la fragilité de l’humain et la force transformatrice de la nature. Grand couturier, directrice artistique, créatrice de costumes et muse, Yiqing Yin incarne tour à tour des rôles multiples dans l’univers de la création.
Sous la curation de Sylvie Marot, cette exposition consacrée à Yiqing Yin met en lumière l’hybridation de ses disciplines artistiques, entre rêve et exploration des sens.
Le parcours invite à pénétrer au cœur du processus créatif, à saisir l’idée avant même la robe. Le hasard, l’inattendu et l’indéterminé sont les forces motrices du voyage sensoriel où l’œuvre se révèle… L’artiste puise son inspiration dans le minéral, le végétal et l’animal, élaborant ainsi une poétique du vivant qui tisse le fil rouge de l’exposition. Chaque création se révèle comme un paysage onirique, où rêve et éveil des sens s’entrelacent en une esthétique de la métamorphose.
Robes haute couture, images (photographies, films, dessins), textures sonores (murmures littéraires, bruissement d’air), sillages olfactifs rythment ce parcours immersif, invitant le visiteur à une exploration intime de son imaginaire.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Aime celui qui t’aime. Léopoldine Hugo à Villequier

Musée Victor-Hugo, Rives-en-Seine : du 19 juin au 3 novembre 2025

Pour célébrer le bicentenaire de la naissance de Léopoldine Hugo, la maison Vacquerie – musée Victor-Hugo propose une plongée dans l’histoire romantique et tragique de la fille de l’écrivain et de son époux Charles Vacquerie avec une exposition immersive et sensible. Une expérience visuelle et sonore exceptionnelle dans un lieu chargé d’histoire et d’émotion.
À travers une mise en scène spectaculaire et poétique, le scénographe Jean Oddes revisite l’histoire de Léopoldine, depuis ses premières vacances à Villequier jusqu’à l’approbation paternelle symbolisée par le poème «!Aime celui qui t’aime!». Conçue comme un itinéraire à travers les salles du musée et le village de Villequier, l’exposition immerge le visiteur dans des moments suspendus, l’invitant à revivre l’histoire d’amour de Charles et Léopoldine, à ressentir la présence des deux familles et à marcher dans les pas de Victor Hugo trouvant l’inspiration des Contemplations. L’exposition présente des objets originaux exceptionnels, comme la toilette de mariée et la robe portée par Léopoldine lors du drame, et accueille, dans l’église la projection d’une oeuvre d’Ange Leccia, pionnier de l’art vidéo.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Des femmes dans l’arène de Picasso

Entre art populaire et art contemporain
Musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence : du 21 juin au 21 septembre 2025

L’exposition estivale du musée Estrine-Saint Rémy de Provence est organisée autour deux sujets récurrents de l’œuvre de Picasso, en lien avec la collection du musée. Aussi l’exposition propose en parallèle des œuvres d’artistes actuels, issus de ce Sud dont ils portent l’empreinte, de Vincent Bioulès à Pilar Albarracin, de Sophie Calle à Jean-Paul Chambas et Claude Viallat…
L’exposition est organisée avec le soutien exceptionnel du Musée national Picasso-Paris et le concours de la famille Picasso.
Depuis 2007 l’Hôtel Estrine, véritable joyau de l’architecture provençale du XVIIIe siècle, abrite le Musée Estrine, musée de France.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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La Pologne rêvée. 100 Chefs-d’oeuvre du Musée national de Varsovie

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : du 27 juin au 9 novembre 2025

En été 2025, la Fondation de l’Hermitage mettra en lumière la remarquable vitalité artistique de la Pologne des années 1840 jusqu’à 1914, grâce à un partenariat exceptionnel avec le Musée National de Varsovie.
Siècle crucial dans la longue histoire du pays, le 19e siècle polonais est celui de la lutte des artistes, des écrivains et des musiciens pour garder vivants les particularismes, les traditions et la langue d’un peuple. À travers la mise en image de l’histoire médiévale et celle des grands monarques, mais également de la célébration de ses paysages, du monde rural, du folklore et des récits mythologiques, les peintres, privés d’académie nationale, créent une iconographie unique célébrant la Pologne indépendante dont ils préparent le retour.
Avec plus de 100 œuvres emblématiques des plus grands peintres, l’exposition proposera une histoire de l’art polonais à travers ses principaux courants : romantisme, réalisme, impressionnisme, symbolisme, modernisme.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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agnès b. On aime le graff !!

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 7 septembre 2025

Styliste, galeriste, collectionneuse, mécène et photographe, agnès b., pour qui la mode s’inspire de la rue, nous fait partager son goût pionnier et éclairé pour le graff. Au fil de ses collections, agnès b. dédie plusieurs thèmes à cet art qui renouvelle la pratique de la peinture et collabore avec des graffeurs de renom. agnès b. on aime le graff !! présente ainsi des confrontations inédites mêlant vêtements et oeuvres originales.
Cette exposition s’inscrit dans la programmation de la quatrième édition du festival URBX, organisé du 19 au 29 juin 2025 à Roubaix et dans la métropole lilloise.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Mahjoub Ben Bella, céramiste

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 28 septembre 2025

La céramique de l’artiste franco-algérien Mahjoub Ben Bella (1946-2020) développe un langage plastique abstrait et coloré autour de motifs et d’une calligraphie très libre aux réminiscences orientales. Ces oeuvres entrent en parfaite résonance avec l’exposition agnès b. On aime le graff !! Grâce au soutien des Amis du musée, et aux dons de sa famille, La Piscine présente ainsi à l’été 2025 un ensemble exceptionnel de céramiques de cet artiste polyvalent et curieux.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Vêtements bavards

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 28 septembre 2025

Artiste aux multiples terrains de jeux, Mahjoub Ben Bella collabore avec La Redoute au début des années 2000, faisant voyager son écriture de la toile de ses peintures à celle des robes et chemises de la créatrice belge Souâd Feriani. Ce motif-signature est le point de départ de ce nouvel accrochage des cabines Mode de La Piscine, où le vêtement se pare de mots qui décorent, définissent, suggèrent et clament.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rodin et Bourdelle. Corps à corps

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : du 27 juin au 19 octobre 2025

En coproduction avec le musée Bourdelle de Paris (02.10.2024 au 02.02. 2025), le musée de la Piscine de Roubaix (01.03-01.06.2025) et le musée Rodin.


La confrontation de ces deux sculpteurs, chacun tour à tour les plus célèbres de leur temps, n’a encore jamais été organisée. L’exposition retracera les étapes de leur relation faite d’abord de l’admiration du jeune Bourdelle à l’égard de son maître Rodin, puis d’une nécessaire distanciation et enfin de retrouvailles d’égal à égal qui permettront à Rodin de fermer l’histoire de la sculpture du XIXe siècle et à Bourdelle de l’ouvrir vers l’avenir.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Cezanne au Jas de Bouffan

Cezanne 2025
Musée Granet, Aix-en-Provence : du 28 juin au 12 octobre 2025

La Ville d’Aix-en-Provence propose, à partir du mois de juin 2025, un grand évènement dédié au peintre Paul Cezanne, avec notamment, l’ouverture au public de la bastide du Jas de Bouffan, acquise par le père de l’artiste en 1859. Cette bastide située en bordure Ouest du centre ville a été pour Cezanne plus qu’une demeure familiale dont il devra pourtant se départir à contre-coeur en 1899. C’est là qu’il a peint ses premières oeuvres à l’âge de 20 ans et dont il reste encore aujourd’hui des fragments récemment découverts dans le « Grand Salon » ; c’est là aussi que son père lui installe un atelier au deuxième étage, éclairé par une grande verrière fendant la toiture d’où sortiront ses plus grands chefs d’oeuvre.
De ces 40 ans passés dans la demeure familiale entourée de 15 ha de vignes et de vergers, vont naître natures mortes, joueurs de cartes, baigneurs et baigneuses, portraits et autoportraits que le musée Granet va proposer dans une grande exposition du 28 juin au 12 octobre 2025.
Plus de 100 oeuvres, huiles sur toile, dessins et aquarelles feront ainsi le lien avec sa bastide familiale restaurée ainsi que son parc, dont il reste aujourd’hui près de 5 ha quasi intacts. Ces oeuvres inestimables viennent du monde entier, à la fois des grands musées français notamment du musée d’Orsay mais aussi de Bâle, Chicago, Harvard, Londres, Los Angeles, New York, Ottawa, Tokyo, Zurich…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Agnès Varda. Je suis curieuse. Point. (titre provisoire)

Musée Soulages, Rodez : du 28 juin 2025 au 4 janvier 2026

En 2025, la mer Méditerranée arrive à Rodez avec son horizon, bleu et calme, ses plages, son petit peuple de pêcheurs, ses jouets en plastique, ses cabanons, ses manifestations, – en somme sa vie mouvante et le portrait qu’Agnès Varda en a fait pendant toutes ces années et le tendre souvenir qu’elle laisse en chacun de nous.

Agnès Varda (1928-2019) est une figure majeure du cinéma et de la photographie, s’illustrant sur le tard dans le domaine des arts plastiques. Le musée Soulages a décidé de lui rendre un hommage en été 2025.
Le projet d’exposition du musée Soulages joue sur le lien amical entre Pierre et Colette Soulages et Agnès Varda à Sète, lien qu’elle immortalisa dans Les Plages d’Agnès : le musée Soulages possède en effet un certain nombre de photographies du peintre réalisées par la cinéaste et son équipe de tournage. Un entretien de Soulages au sujet de ses peintures Outrenoir est diffusé dans les salles permanentes du musée. Leur rencontre amicale et instructive, offre un bel accompagnement à nos visiteurs.
D’une certaine manière, nous voulions poursuivre l’échange, l’ouvrir en grand à Rodez avec la présentation de l’oeuvre de Varda. Nous voulons mettre en valeur Agnès Varda dans sa grande curiosité : associer librement son fonds photographique autour du tournage de La Pointe Courte (compostions sur le monde du port, des pêcheurs, de la Méditerranée) aux constructions de cabanes, et nombreuses évocations de la mer et des plages dans son oeuvre d’artiste visuelle : Bord de mer (2009), La petite mer immense (2003), Ping-Pong Tong (2005-2006), Le dépôt de la Cabane de Plage (2011), La Cabane du Bonheur (2018), et autres photographies couleur inédites de Noirmoutier et de ses cabanes de pêcheurs. Cette association de photographies en noir et blanc, en couleur, d’objets et d’installations filmiques, composent un itinéraire inédit, une scénographie déroulée en histoire.
La photographie singulièrement muette des premiers temps, se prolongera avec de l’écriture visuelle ou non, des objets… Elle représente une part de Varda, un trait majeur de son modus operandi.
L’exposition incarnera ses recherches et ses passions d’artiste. Nous associerons à l’ensemble de l’exposition un environnement familier c’est-à-dire des oeuvres du peintre et ami Pierre Soulages, du sculpteur Alexander Calder, des oeuvres de Valentine Schlegel, de l’artiste-voyageur JR. Un clin d’oeil sera fait au photographe primitif de la mer et du ciel, Gustave le Gray (1820- 1884)…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Les Nocturnes

Parc zoologique de Paris : tous les jeudis, du 10 juillet au 14 août 2025
Silent zoo : les 17 juillet et 7 août

Les célèbres Nocturnes du Parc zoologique de Paris reviennent pour une nouvelle édition afin de permettre aux visiteurs de découvrir le Parc et ses animaux à la tombée de la nuit, dans une ambiance festive et conviviale.
Sans oublier les Silent Zoo qui reviennent pour deux soirées spéciales le 17 juillet et le 7 août, pour danser et écouter de la musique de manière silencieuse en compagnie des animaux.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Odette Pauvert

La Piscine, Roubaix : du 11 octobre 2025 au 11 janvier 2026

Injustement oubliée, Odette Pauvert (1903-1966) connaît dans les Années folles une ascension fulgurante. Elle est en 1925 la première femme à obtenir le Grand Prix de Rome en peinture, consécration suprême pour tout artiste se destinant à une carrière officielle. Cette exposition suivra l’itinéraire singulier d’une artiste qui, de Paris à Rome en passant par l’Espagne ou la Grèce, poursuit pendant toute sa carrière une ambition résolument classique et décorative.
Organisée en partenariat avec la Villa Médicis à Rome et en relation avec la famille de l’artiste, cette rétrospective est pour La Piscine la marque d’un engagement fort de célébrer les artistes femmes.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Elika Hedayat, Haroum

Commissaire d’exposition : Valentina Ulisse
Lauréates de la bourse de production Drawing Lab Project 2025
Drawing Lab, Paris : du 17 octobre 2025 au 4 janvier 2026

La bourse de production Drawing Lab Project 2025, d’un montant de 20 000 euros, a été attribuée à l’artiste Elika Hedayat et à la commissaire d’exposition Valentina Ulisse. Elles exposeront au Drawing Lab leur projet intitulé « Haroum » en octobre 2025 et bénéficieront de l’édition d’un catalogue dédié.
Drawing Lab Project est la bourse de production destinée à une exposition de dessin contemporain et proposée par le Drawing Lab, l’espace d’expositions fondé par Christine Phal et mécéné par la Drawing Society. L’appel à projets, destiné aux duos artiste/commissaire d’exposition, âgés minimum de 25 ans et de nationalité française ou vivant en France, s’intitulait cette année « Le dessin en mouvement(s) » et avait pour ambition de questionner le dessin contemporain sous toutes ses formes, en mettant particulièrement en lumière le concept de mouvement qu’il soit dansé, écrit, ou encore performé. Le dessin n’est pas uniquement une forme d’expression artistique, il devient un langage, moyen d’engagement de la pensée, du corps et un outil de communication.
Rendez-vous en octobre 2025 pour découvrir le projet complet du duo.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Zombis. La mort n’est pas une fin ?

Musée des Confluences, Lyon : du 17 octobre 2025 au 16 août 2026

À la croisée du royaume des morts et de celui des vivants, la figure du zombi a fortement imprégné la culture populaire et le cinéma dans le monde entier. Mais son origine demeure largement méconnue du grand public. Le zombi est apparu en Haïti aux alentours du 17e siècle, dans le contexte de la traite négrière transatlantique. Il est issu de la rencontre de pratiques magico-religieuses de l’Afrique subsaharienne, d’éléments du catholicisme romain et de la maitrise des poisons par les peuples autochtones de la Caraïbe. Jugés par des sociétés secrètes du vaudou haïtien, les condamnés à la zombification sont drogués et enterrés vivants avant d’être exhumés et ranimés sous la forme de zombis par leur futur maître. Cette peine ultime est aujourd’hui encore la source de croyances vivaces.
L’exposition présente différents objets liés à ce rituel en Haïti ainsi qu’à ses racines africaines et précolombiennes. Elle explore également sa transposition dans le domaine de la fiction (cinéma, littérature, comics). Zombis. La mort n’est pas une fin ? interroge ainsi la réalité anthropologique de cette figure complexe.
L’exposition Zombis. La mort n’est pas une fin ? est conçue et réalisée par le musée du quai Branly – Jacques Chirac et adaptée par le musée des Confluences.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Anatomie comparée des espèces imaginaires

Musée de Lodève : du 18 octobre 2025 au 15 mars 2026

Films, BD, comics… les univers fictionnels passionnent et regorgent d’êtres imaginaires qui empruntent leurs caractéristiques fantastiques à des espèces bien réelles. Des dragons de la mythologie à notre voisin Totoro, du monstre d’Alien à la Vouivre, l’exposition Anatomie comparée des espèces imaginaires est l’opportunité de découvrir l’anatomie comparée et les sciences de l’évolution (paléontologie, biologie, …) à travers l’analyse rigoureuse mais amusante d’espèces fantastiques.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Manga

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 19 novembre 2025 au 6 mars 2026

L’exposition Manga au musée Guimet présentera l’un des phénomènes culturels les plus marquants des XXe et XXIe siècles : le manga. Abordant tant la période antérieure à la naissance des mangas proprement dits, que la période d’après-guerre, l’approche mêlera dimensions historiques et thématiques et permettra de comprendre les grandes étapes de leurs transformations. Cette exposition exceptionnelle organisée en deux grands volets occupera les principaux espaces d’expositions temporaires du musée.

Les espaces du rez-de-jardin, les plus vastes, seront consacrés à l’évolution des mangas selon une approche chronologique et thématique. On commencera par sa « préhistoire », avec l’apparition de la presse satirique et de la caricature politique au contact de l’Occident, à la fin du XIXe siècle. Viendront ensuite les premiers « comics strips » au tournant du XXe siècle, les premiers pas du dessin animé ou encore le kamishibai, une forme de théâtre de rue pour enfants. Une section sera consacrée au célèbre Osamu Tezuka, considéré comme le « dieu des mangas » et de l’animation japonaise. Après une plongée dans la contre-culture et les revues qu’elle a suscitées, les nouvelles narrations et jeux entre les genres seront explorés. Les titres bien connus de la pop culture japonaise seront revisités grâce à un dialogue entre leurs personnages et des objets tirés des réserves du musée Guimet, ce qui permettra d’éclairer d’un jour nouveau œuvres anciennes et mangas contemporains. Enfin, l’émergence de figures emblématiques comme Godzilla permettra d’expliquer la présence de monstres comme symboles de la peur et de l’espoir dans un monde postapocalyptique, marqué par la Seconde Guerre mondiale. Le parcours associera planches originales, exemplaires de revue et films d’animation à des œuvres et objets anciens, issus des collections du musée et de prêts de collections publiques et privées. Il se terminera avec des robes de haute-couture inspirées par la culture manga.

Au deuxième étage, le second volet de l’exposition présentera peintures, rouleaux peints et livres illustrés des XVIIIe et XIXe siècles choisis pour leurs qualités esthétiques et narratives. Ils permettront de comprendre comment le Japon, avant même la naissance des mangas, a créé des œuvres d’une grande inventivité pour mettre en scène des personnages avec humour ou grandiloquence. Bulles de rêve, rayons de lumières et flatuosités explosives montreront l’étendu des registres, de l’humour le plus désopilant aux récits les plus édifiants.

Enfin, une salle sera consacrée à la fameuse estampe de Hokusai, Sous la grande vague au large de Kanagawa, et à ses reprises dans les mangas et la BD franco-belge.

Commissariat : Estelle Bauer (conservatrice Japon au musée Guimet) et Didier Pasamonik (éditeur et journaliste, commissaire invité)

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30