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Belladone

Tatiana Wolska, lauréate du Prix Drawing Now 2024
Commissaire d’exposition : Marianne Derrien
Drawing Lab, Paris : jusqu’au 20 avril 2025

L’exposition Belladone de Tatiana Wolska (née 1977 en Pologne, vit et travaille à Bruxelles) se niche entre le politique et l’intime en proposant une expérience physique et cognitive où le dessin fusionne avec la sculpture.

Plante des sorcières, bonne ou mauvaise herbe magique connue depuis l’Antiquité, la Belladone, est à la fois le remède et le poison nous rappelant que son utilisation requiert un maniement subtil ainsi qu’une grande connaissance. À travers l’histoire de cette plante, l’exposition favorise la prolifération et le dialogue afin d’unir le familier et l’étrange, la légèreté et l’ardeur, la suggestion et la revendication. Les œuvres graphiques et en volume de Tatiana Wolska mutent en autant d’enveloppes organiques probables ou indéfinies. En donnant de la valeur à ce qui ne perdure pas, l’artiste affirme une posture expérimentale et engagée avec cette nouvelle œuvre-construction en papier (déchirés, découpés et agrafés) aux côtés d’autres œuvres déjà produites. Du dehors au dedans, d’un corps à un autre, du végétal à l’humain, c’est notre relation aux cycles vitaux, au déracinement ainsi qu’aux formes d’émancipation et d’affranchissement qui est sondé. Tout au long de ce projet, récits et échanges se mêlent et se croisent pour créer l’archive d’une présence, celle de l’artiste elle-même avec celles d’autres artistes, activistes, écrivaines…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Écran total, par Corinne Vionnet

Musée de Pont-Aven : jusqu’au 4 mai 2025

L’exposition de l’artiste franco-suisse Corinne Vionnet intitulée « Écran Total » présente une centaine d’oeuvres issues de plusieurs séries, notamment Photo Opportunities, Me Here Now, Scenic Views, Total Palm Tree… Cette exposition monographique représente une étape importante dans la reconnaissance de son oeuvre.
Son travail est une réflexion sur le partage et la répétition des images, à l’heure du numérique, des réseaux sociaux et du tourisme de masse. Elle interroge le risque de l’épuisement du regard. Sa démarche artistique s’appuie sur le collage après un travail considérable de repérages et de recherches d’archives. Elle est l’une des premières artistes à avoir exploré et réutilisé les images partagées sur internet.
Pour cette exposition, Corinne Vionnet a créé deux oeuvres exclusives à partir de paysages bretons : la pointe de Pen hir (les fameux tas de pois) et la ville close de Concarneau.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Marc Riboud, Vietnam (1967-1976)

Musée national des arts asiatiques-Guimet : jusqu’au 12 mai 2025

A l’occasion des 50 ans de la fin de la guerre du Vietnam, l’association Les amis de Marc Riboud et le musée Guimet, qui conserve le fonds Riboud, s’associent pour présenter photographies et documents d’archives retraçant le travail de Marc Riboud au Vietnam (1967-1976).
Regardant aujourd’hui ses reportages qui documentent le Vietnam pendant près de dix ans, on reconnaît la « méthode » de Marc Riboud et son regard singulier. Il aimait revenir dans les pays qu’il avait visités. Il repérait les lieux et les habitudes, s’attachait aux gens, aimait les retrouver, comprendre leur pensée, voir comment évoluait leur vie. Il restait sur place autant qu’il le pouvait, interrogeant toutes sortes de personnes. Jamais il n’a été un photographe de guerre : quand l’on regarde ses reportages au Vietnam, ce ne sont pas les combats que l’on voit, mais la vie qui continue dans les ruines, les corps qui tentent de se reposer dans les refuges de fortune, les amoureux qui se retrouvent près des abris anti-bombes, la vivacité des enfants, la grâce des femmes. On découvre aussi le désespoir des veuves dans les temples ou dans les églises, le courage de ceux qui rebâtissent à mains nues, les digues ou des quartiers entiers en morceaux… C’est une vie bouleversée, blessée, mais une vie qui continue, tenace, envers et contre tout.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Geneviève Asse. Le bleu prend tout ce qui passe

Musée Soulages, Rodez : jusqu’au 18 mai 2025

Depuis les années 1970, Geneviève Asse peint en bleu. Sa palette va du bleu clair au bleu profond, c’est sa marque poétique et sa technique. Ce bleu n’est pas monochrome au sens strict, mais exprime la passion, l’empathie avec la mer et le ciel, avec l’infini. Le bleu sans cesse gagnera du terrain : « Le bleu prend tout ce qui passe » affirmera-t-elle. La lumière, fractionnée, diffusée, naissante… est la grande affaire de Geneviève Asse. C’est une lumière immanente, une sorte de paysage grand ouvert, horizontal. Le souvenir des toiles intitulées Fenêtres le rend vertical. Asse a fait des vitraux à Lamballe ; elle a conçu des pièces de porcelaine pour la Manufacture de Sèvres. Cela la rapproche de Soulages aimant varier les techniques et les expériences.
L’exposition du musée Soulages rassemblera environ 70 oeuvres, essentiellement des peintures sur toile et des oeuvres sur papier, des dessins et des estampes. Le commissariat en est assuré par Benoît Decron et Malika Noui, avec le soutien décisif du Fonds de dotation Geneviève Asse. Les prêts émanant de ce fonds seront complétés par le Centre Pompidou-musée national d’art moderne, la Fondation Gandur, le musée de Vannes, le musée des beaux-arts de Lyon, le musée des beaux-arts de Rennes, le musée de Grenoble, le MACVAL, par des galeries, celle d’Antoine Laurentin son dernier marchand notamment, la galerie Claude Bernard, par des collectionneurs (des pièces rares). Les carnets de la peintre, riches et variés, bénéficieront d’une présentation spécifique, une consultation numérique accessible au public. Ils sont des marqueurs chronologiques de son parcours pictural, un itinéraire précieux.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Monet – Debré : Entre Fog et Brume

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’au 18 mai 2025

Dans le cadre de l’évènement « 100 œuvres qui racontent le climat » organisé par le musée d’Orsay.

Une oeuvre majeure de l’exposition, Le Parlement de Londres de Claude Monet, généreusement prêtée par le musée d’Orsay, sera mise en dialogue avec Ocre rouge de Touraine d’Olivier Debré, une toile conservée dans les collections du musée Ingres Bourdelle.
Cette exposition est l’occasion pour le musée de mettre en lumière les liens entre art et environnement.

La toile de Monet, silhouette irréelle et fantomatique, dépeint le Parlement de Londres comme une apparition éthérée. L’architecture de pierre semble se dissoudre dans une brume dense où ciel et eau se confondent, dominés par des tons de mauve et d’orangé, appliqués en touches fragmentées pour rendre la densité de l’atmosphère brumeuse. En face, l’oeuvre d’Olivier Debré présente une peinture fluide et transparente, ponctuée de touches audacieuses et épaisses qui évoquent l’air, l’eau, la lumière et de vastes espaces, ceux de la Touraine et des bords de Loire, régions qui ont marqué l’oeuvre de ce grand nom de l’abstraction contemporaine.
Ces deux tableaux, l’un représentant un fleuve urbain et l’autre un fleuve sauvage, nous offrent deux atmosphères contrastées : l’une citadine et vaporeuse, l’autre poétique et lumineuse. Ensemble, ils interrogent la beauté fragile de la nature, aujourd’hui menacée par le changement climatique.
L’exposition invite ainsi à réfléchir à l’avenir des fleuves européens, confrontés aux défis du tourisme et de la pollution. Cette évocation résonne particulièrement à Montauban, où le Tarn serpente au pied du musée Ingres Bourdelle, symbolisant la réalité locale face aux enjeux environnementaux globaux.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Jacqueline et Paul Duchein, la Passion de collectionner

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’au 18 mai 2025

A l’occasion de la vente par Christie’s de la collection de Paul et Jacqueline Duchein en septembre dernier, la ville de Montauban a acquis pour le musée Ingres Bourdelle quelques œuvres représentatives des goûts de ce couple de collectionneurs passionnés. Celles-ci seront réunies sur un mur dans le plus pur esprit surréaliste cher au cœur de Paul Duchein. Ainsi se côtoieront un dessin de Braque dédicacé au tout jeune Lieutenant Paul Duchein, une paperolle évoquant la passion du couple pour les objets d’art populaire et un collage de Jacques Villeglé « Bob à Montauban, rue Gambetta – Montauban » ainsi qu’un album acquis par la Société des Amis du musée Ingres Bourdelle, dans lequel Paul Duchein avait rassemblé ses échanges épistolaires avec les artistes qu’il admirait.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Le Vœu de Louis XIII, Naissance d’une œuvre

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’au 18 mai 2025

Le musée Ingres Bourdelle qui a eu l’opportunité d’acquérir récemment, en juin dernier, une esquisse ayant servi à l’élaboration du Voeu de Louis XIII peint en 1824 pour la cathédrale de Montauban, propose de contextualiser cette ravissante étude pour l’enfant Jésus par une exposition réunissant une cinquantaine des plus belles études dessinées du fonds du musée pour ce chef d’oeuvre d’Ingres. Ce dernier fera en parallèle l’objet d’un dépôt exceptionnel consenti au musée par l’Etat et
la DRAC Occitanie durant les travaux de la cathédrale fermée depuis plus de 5 ans.
En collaboration avec le CNAP, la Direction régionale des affaires culturelles Occitanie.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trésors du Petit Palais de Genève

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : jusqu’au 1er juin 2025

Au printemps 2025, la Fondation de l’Hermitage accueille les chefs-d’œuvre du Petit Palais de Genève, une collection impressionniste et postimpressionniste particulièrement originale. Réuni à partir des années 1950 par Oscar Ghez, cet ensemble témoigne d’un esprit de collectionneur remarquablement libre. L’industriel s’intéressa avec une grande curiosité à la peinture de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle, sans limiter ses choix aux grands maîtres (Renoir, Manet…) mais également de toiles somptueuses d’artistes moins connus alors (Caillebotte, Valadon, Angrand…).
Depuis la fermeture au public du Petit Palais de Genève en 1998, les œuvres ne sont plus visibles que par des prêts à des expositions temporaires ou des tournées de la collection hors de Suisse. Articulée autour des grands courants artistiques qui structurent l’ensemble, la présentation à la Fondation de l’Hermitage constituera donc un événement : une occasion unique de (re)découvrir ses chefs-d’œuvre et de percevoir la richesse et l’audace de cette collection suisse de premier plan.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Elsa Sahal : Pool Dance

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 1er juin 2025

Initiée au modelage de la terre, qui permet métamorphoses et expressions du corps, Elsa Sahal incarne le renouveau de la sculpture en céramique. Sa série des « Pole Dance », rebaptisée pour La Piscine, s’inspire des poses lascives et tournoyantes de cette discipline aérienne, mais aussi de l’observation des esquisses de Rodin. La sculpture décomplexée d’Elsa Sahal, dont l’art mêle liberté d’expression et humour, entre ainsi en parfaite résonance avec l’exposition Rodin/ Bourdelle. Corps à corps.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rodin/Bourdelle. Corps à corps

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 1er juin 2025

Bourdelle admira Rodin. Rodin soutint Bourdelle qui fut son praticien, et perçut en lui son héritier. Deux artistes liés par une amitié et une admiration réciproques dont les carrières, mais aussi les vies, furent entremêlées.
Rassemblant plus de 170 oeuvres (sculptures, dessins, mais aussi photographies et archives), ce face-à-face entre deux grands maîtres de la sculpture donne à voir, avec une ambition et une ampleur inédite, près de 50 ans de création commune ou croisée.
Cette exposition a été initiée et conçue par le musée Bourdelle/Paris Musées et le musée Rodin. Elle est organisée en collaboration entre le musée Bourdelle/Paris Musées, le musée La Piscine de Roubaix et le musée Ingres Bourdelle de Montauban.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Sens dessus/dessous

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 8 juin 2025

Vêtements de dessous, vêtements de dessus, habits de l’intimité se révélant au grand public : la confusion règne au fil des époques. Les cabines Mode de La Piscine décryptent l’art du déshabillé à travers des tenues issues des collections du musée.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Le printemps du dessin, 8ème édition

Partout en France : jusqu’au 21 juin 2025

Créé en 2017, par l’équipe de Drawing Now Paris, la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.
Du 20 mars au 21 juin, en réunissant des lieux aussi différents que des Monuments nationaux, des artothèques, des FRAC ou des centres d’art, le Printemps du dessin inscrit la culture au sein même des territoires et répond déjà au souhait du Ministère de la Culture d’un « Printemps de la ruralité ».
À travers des expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et publics, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique.
Ces rencontres réparties au niveau national permettent à des publics différents une proximité avec les artistes et leur travail lors des expositions et rencontres. Le dessin facilite ces rencontres car ce medium paraît plus direct et accessible.
En 2024, 76 structures ont oeuvré partout en France pour faire du printemps une grande fête du dessin en mettant le sport au coeur de la pratique dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques.
Pour cette nouvelle édition, le Printemps du dessin propose à ses participants d’imaginer une programmation autour du thème du langage et de l’écriture. Ces formes d’expression se rejoignent, en utilisant le dessin pour illustrer des idées, des récits et des émotions qui pourraient aussi être capturés par les mots. La 8e édition aura pour but de souligner le trait et la ligne comme outils narratifs, comme écriture universelle.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Musique et République, de la Révolution au Front populaire 

Archives nationales, Paris : jusqu’au 14 juillet 2025

L’exposition Musique et République, de la Révolution au Front populaire — organisée de mars à juillet 2025, par les Archives nationales avec le concours du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris — souhaite mettre en lumière les liens entre la musique et la construction de la République.

De la Révolution, qui organise de nouvelles institutions et utilise la musique pour fonder un sentiment patriotique, au Front populaire de 1936, qui fait le pari de l’émancipation sociale du citoyen par l’accès aux loisirs et à la culture, la formation et la pratique musicale permettent à la fois le partage d’un patrimoine sonore commun et l’expression personnelle, parfois subversive.

Les Archives nationales retracent l’histoire de cette rencontre entre le citoyen et la musique. Des partitions inédites retrouvées dans les fonds des Archives nationales, des instruments de musique étonnants ou oubliés, des correspondances politiques, des commandes passées à des compositeurs prestigieux et de nombreux autres documents, racontent une histoire mouvementée : celle d’un siècle et demi de production, d’éducation et de pratique musicales, envisagées en regard de l’idée républicaine.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Rencontres

MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 18 août 2025

La nouvelle exposition temporaire du MEG intitulée « Rencontres » donne la parole à des membres de diverses communautés, leur permettant de se connecter à des objets de leur propre culture issus des collections du MEG, et de partager leurs histoires. Cette exposition a pour but de mettre en avant des récits personnels et communautaires, souvent non racontés, tout en célébrant les liens émotionnels qui unissent les individus à leurs racines culturelles.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Le temps d’un rêve

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 24 août 2025

Afin de tenter de définir le phénomène onirique, l’exposition propose une série d’escales dans les lieux où le rêve s’exprime, dans différentes cultures, depuis l’Antiquité.
Un être humain passe un tiers de sa vie à dormir et une bonne partie de ce temps à rêver. Exceptions faites de son rôle central dans la création artistique et dans le domaine de la psychanalyse, le rêve est pourtant un sujet souvent absent de nos sociétés occidentales contemporaines. Sans doute car sa nature semble sans cesse se dérober.
Des temples d’incubation grecs au laboratoire de neurosciences, du divan du psychanalyste à l’imaginaire de l’artiste, d’un continent à l’autre, Le temps d’un rêve offre autant d’étapes pour approcher le miracle de « ce voyage aventureux de tous les soirs » comme le qualifiait Charles Baudelaire. Inspirée par ces différents lieux, la scénographie fait s’estomper les frontières entre réalité et visions oniriques. Près de 150 objets et de nombreuses oeuvres audiovisuelles tissent des liens parfois inattendus entre l’histoire, la psychologie, l’ethnologie, l’art ou la recherche en neurosciences. Ces multiples regards réveilleront peut-être le rêveur en chaque visiteur.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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L’Atelier Rodin. Jouez, créez, bougez !

Musée Rodin, Paris : jusqu’au 31 août 2025

Dédié à la découverte de la sculpture par la pratique, l’Atelier Rodin rouvre ses portes du 5 avril au 31 août 2025, rempli de nouveautés pour s’amuser et apprendre au musée. Cette quatrième édition s’adresse à tous les âges en proposant, notamment, un tout nouvel espace sensoriel dédié aux tout-petits.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Quels beaux visages !

Nouvelles oeuvres

Musée des beaux-arts, Calais : prolongation jusqu’au 31 août 2025

Le Musée des beaux-arts de Calais remercie ses donateurs en mettant en valeur les œuvres récemment entrées dans ses collections, soit près d’un tiers des pièces exposées. Le thème du portrait semble naturellement les relier, ici étendu aux portraits d’artistes, aux portraits de groupes et à ceux en mémoire des oubliés. Ces créations modernes appartiennent à l’art contemporain, aux nouvelles formes de figurations, à la photographie et au street art.
La prolongation de cette exposition inaugurée en avril 2024 s’accompagne cet automne d’un renouvellement d’une partie des œuvres exposées.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trois siècles à l’Isle Adam

Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq, L’Isle-Adam : jusqu’au 21 septembre 2025

À vingt-cinq kilomètres à vol d’oiseau de Paris, L’Isle-Adam se trouve aux portes du parc naturel régional du Vexin français, du Pays de France et du département de l’Oise. Qualifiée de « paradis terrestre » par Honoré de Balzac dans une lettre qu’il écrit à sa sœur en 1819, la ville bénéficie d’un environnement exceptionnel situé entre rivière et forêt domaniale.
Avec cette nouvelle exposition intitulée Trois siècles à L’Isle-Adam, le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq invite ses visiteurs à un voyage à travers l’histoire et le patrimoine de la cité adamoise et de son territoire. Organisé de manière chronologique et couvrant une période allant du XVIIIe au milieu du XXe siècle, le parcours s’articule autour des grandes thématiques représentées dans les collections du musée. L’histoire et l’évolution urbaine de L’Isle-Adam y sont évoquées, le passé industrieux de la ville est également mis en avant,…
L’exposition rassemble peintures, sculptures, aquarelles, gravures, affiches publicitaires, cartes postales et photographies anciennes, toutes issues du fonds du musée.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Vas-y Champion ! Le sport dans les années de Gaulle (1958-1969)

Maison natale Charles de Gaulle : jusqu’au 22 septembre 2025

UNE EXPOSITION AU COEUR D’UNE DÉCENNIE DÉTERMINANTE POUR LE SPORT EN FRANCE
À l’occasion des Jeux olympiques de Paris en 2024, la Maison natale Charles de Gaulle présente une exposition sur le sport sous la présidence du général de Gaulle. Quel a été l’impact des années 1960 sur le sport en France ? Comment ce dernier est-il devenu une passion partagée par un nombre croissant de Français ? L’exposition Vas-y champion ! Le sport dans les années de Gaulle (1958-1969) propose une rétrospective captivante, visant à saisir l’esprit du sport de cette époque.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Atala, 1801. Voyage illustré au coeur d’un roman

Maison de Chateaubriand : jusqu’au 28 septembre 2025

Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert, le premier roman de François René de Chateaubriand, est un chef-d’oeuvre de la littérature française. Publié en 1801, accueilli par un succès immédiat et durable, maintes fois réédité et traduit dans la plupart des langues européennes, l’ouvrage lance la carrière de l’écrivain.
La maison de Chateaubriand, au sein du domaine départemental de la Vallée-aux-Loups, présente l’exposition Atala, 1801. Voyage illustré au coeur d’un roman. Cette exposition propose un voyage inédit au coeur de l’intrigue, rythmé par douze épisodes, associant des extraits du récit et une grande diversité d’oeuvres. Elle aborde également la postérité du roman et son succès littéraire et éditorial jusqu’au 20ème siècle.
Une centaine d’oeuvres créées aux 19ème et 20ème siècles, seront présentées : peintures, gravures, dessins, sculptures, objets d’art, objets décoratifs, produits dérivés, éditions (originales, parodiques, illustrées, traductions).

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Paradeisos, Caroline Desnoëttes

Parc de Clères : jusqu’au 28 septembre 2025

Avec Paradeisos, l’artiste Caroline Desnoëttes rend un hommage vibrant et inédit à l’oeuvre de Jean Delacour, ornithologue fondateur du parc de Clères.
Depuis son plus jeune âge, Jean Delacour a souhaité vivre dans un paradis où les animaux ne se mangeraient pas entre eux et ne mangeraient pas la végétation environnante. Il passera sa vie entière à rendre son rêve possible. Visionnaire et précurseur, il était conscient de la fragilité des écosystèmes et de l’appauvrissement de la biodiversité. Paradeisos se termine par « SOS » comme pour signifier l’urgence à protéger nos paradis que sont les écosystèmes et la biodiversité.
Présentées dans le château et dans le parc, les oeuvres, pour la plupart monumentales, de Caroline Desnoëttes, ont été conçues en écho avec les collections du parc et réalisées à partir de ressources naturelles issues du site et du territoire.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny

jusqu’au 31 octobre 2025

« L’autre oeuvre de lumière de Claude Monet »

Après leur traditionnelle trêve hivernale, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes le 1er avril 2025.
Propriété de l’Académie des Beaux-Arts, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny offrent une immersion unique dans le cadre de vie et de création de Claude Monet qui s’y installe en 1883. Peintre du plein air et virtuose de la couleur, Claude Monet, le charismatique chef de file du courant impressionniste était aussi un inventif jardinier qui composa son jardin comme une oeuvre d’art…
Restaurés avec minutie par une équipe de jardinier qui oeuvrent toute l’année, la maison et ses jardins conservent leur éclat d’origine, plongeant les visiteurs dans l’intimité du peintre. Aujourd’hui, ce site emblématique attire des passionnés du monde entier, faisant rayonner l’héritage de Monet bien au-delà de Giverny.
Après le décès de Monsieur Hugues R. Gall qui a dirigé l’institution depuis 2008, Monsieur Alain Charles Perrot, membre de la section d’architecture de l’Académie des Beaux-Arts, a été élu par ses consoeurs et confrères aux fonctions de directeur de la Maison et des jardins de Claude Monet – Giverny le 19 juin 2024.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
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Sur la piste des intelligences animales 

Parc zoologique de Paris : jusqu’au 2 novembre 2025

Du 5 avril au 2 novembre 2025, le Parc zoologique de Paris révèle aux visiteurs les capacités cognitives extraordinaires des animaux. Prenez date pour explorer un parcours thématique inédit ! Insoupçonnées, variées, étonnantes, amusantes, les capacités cognitives des insectes, céphalopodes, batraciens, oiseaux ou encore mammifères, ont de quoi surprendre. Le Parc propose une panoplie d’activités pour s’interroger et s’éveiller davantage à l’ingéniosité du vivant. La redécouverte de nombreux pensionnaires du zoo par ce prisme pourrait bien bouleverser le rapport de chacun et chacune à la faune.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
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Trop forts !

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 31 décembre 2025

Dans le désert, sous un froid glacial, ou encore en haute montagne, certaines espèces animales sont capables de vivre dans des milieux extrêmes. L’exposition, imaginée pour les enfants de 8 à 12 ans, emmène tous les grands curieux sur les traces de ces animaux aux capacités étonnantes. Vivre sans jamais boire, respirer à 10 000 m d’altitude ou pouvoir être entièrement pris dans la glace : si ces aptitudes semblent défier notre compréhension, elles inspirent les scientifiques et pourraient permettre de grandes innovations.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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À corps

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’ au 4 janvier 2026

La nouvelle exposition du MusVerre explore les facettes du corps humain revisité par les artistes verriers et plasticiens : en mouvement ou au repos, du détail à l’ensemble, du trivial au sublime. La visite propose de se pencher sur les subtiles mécaniques du vaisseau charnel. C’est une occasion d’en admirer les rouages, d’en reconnaître les limites aussi bien que les mérites, et, peut-être, d’apprivoiser davantage cet organisme à la fois complexe et merveilleux.
Par une diversité de points de vue, l’exposition nous invite à un examen minutieux, presque radioscopique, de l’organisme humain ; son parcours propose un cheminement allant du corps trivial vers le sublime.
La première partie nous plonge dans l’intimité du genre humain et s’intéresse à sa représentation quotidienne, banale et prosaïque. Les corps sont dénudés, rendus visibles et dévoilés aux spectateurs dans toute leur vérité physique et leur vulnérabilité. Le parcours se poursuit par l’étude mathématique du corps, sa fragmentation et sa mise en mouvement pour aboutir à sa représentation dans l’espace public. Passant de l’ombre à la lumière, le second temps de l’exposition nous amène à découvrir des êtres sublimés, glorifiés, voire métaphoriques. Échappant à la tyrannie du corps physique, les artistes nous offrent un tableau plus sensible et poétique de l’enveloppe charnelle. Magnifié, voire rêvé, il devient le support d’un message, d’un symbole et d’un idéal. C’est dans une approche quasi introspective que les artistes nous invitent à un examen de soi.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Des chevaux et des hommes

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 5 janvier 2026

À partir du 12 avril 2025, l’exposition « Des Chevaux et des Hommes » au musée de la Grande Guerre, abordera le sujet du sort de ces animaux dans le conflit, ainsi que les relations avec les hommes qui dépassent le strict usage militaire. Cette exposition donnera à voir la fraternité dans l’horreur entre les hommes et bêtes condamnés à vivre ensemble, confrontés à un même destin.

Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés – chevaux, ânes, mulets. Au cœur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 million.

L’histoire commune des hommes et des chevaux dans la Grande Guerre n’a jamais été présentée dans une exposition : il revenait au musée de la Grande Guerre de le faire.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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