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Eros dans l’arène de Picasso

Entre art populaire et art contemporain
Musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence : jusqu’au 21 septembre 2025

L’exposition estivale du musée Estrine-Saint Rémy de Provence est organisée autour deux sujets récurrents de l’œuvre de Picasso, en lien avec la collection du musée. Aussi l’exposition propose en parallèle des œuvres d’artistes actuels, issus de ce Sud dont ils portent l’empreinte, de Vincent Bioulès à Pilar Albarracin, de Sophie Calle à Jean-Paul Chambas et Claude Viallat…
L’exposition est organisée avec le soutien exceptionnel du Musée national Picasso-Paris et le concours de la famille Picasso.
Depuis 2007 l’Hôtel Estrine, véritable joyau de l’architecture provençale du XVIIIe siècle, abrite le Musée Estrine, musée de France.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Le temps creuse même le marbre

Image et mémoire dans la création artistique tunisienne
Abbaye de Jumièges : jusqu’au 21 septembre 2025

En dialogue avec les ruines de l’abbaye de Jumièges, cette exposition collective réunit onze artistes de la scène contemporaine tunisienne qui expérimentent l’image sous toutes ses formes, autour du thème de l’histoire et de la mémoire.
La révolution tunisienne de 2011, accompagnée d’une démocratisation sociale, politique et culturelle, a fortement dynamisé et influencé la scène artistique nord-africaine, en particulier dans le domaine des arts visuels. Une nouvelle génération d’artistes, engagée dans des questionnements citoyens, émerge, mais l’instabilité économique et la crise migratoire menacent cet écosystème fragile. Face à ces défis, les artistes explorent un passé souvent méconnu pour éclairer le présent et envisager l’avenir.
L’exposition mobilise archives historiques, photos retrouvées, albums de famille et pratiques vernaculaires, mêlant souvenirs intimes et mémoire collective, pour déconstruire les regards hérités du roman national o!ciel et établir avec délicatesse un dialogue entre oeuvres contemporaines et vestiges du passé.
Avec les oeuvres des artistes tunisiens : Héla Ammar, Ismail Bahri, Asma Ben Aïssa, Younes Ben Slimane, Meriem Bouderbala, Rafram Chaddad, Chiraz Chouchane, Férielle Doulain-Zouari, Farah Khelil, Amira Lamti, Fredj Moussa.
Commissaire d’exposition : Victoria Jonathan

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Vas-y Champion ! Le sport dans les années de Gaulle (1958-1969)

Maison natale Charles de Gaulle : jusqu’au 22 septembre 2025

UNE EXPOSITION AU COEUR D’UNE DÉCENNIE DÉTERMINANTE POUR LE SPORT EN FRANCE
À l’occasion des Jeux olympiques de Paris en 2024, la Maison natale Charles de Gaulle présente une exposition sur le sport sous la présidence du général de Gaulle. Quel a été l’impact des années 1960 sur le sport en France ? Comment ce dernier est-il devenu une passion partagée par un nombre croissant de Français ? L’exposition Vas-y champion ! Le sport dans les années de Gaulle (1958-1969) propose une rétrospective captivante, visant à saisir l’esprit du sport de cette époque.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Atala, 1801. Voyage illustré au coeur d’un roman

Maison de Chateaubriand : jusqu’au 28 septembre 2025

Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert, le premier roman de François René de Chateaubriand, est un chef-d’oeuvre de la littérature française. Publié en 1801, accueilli par un succès immédiat et durable, maintes fois réédité et traduit dans la plupart des langues européennes, l’ouvrage lance la carrière de l’écrivain.
La maison de Chateaubriand, au sein du domaine départemental de la Vallée-aux-Loups, présente l’exposition Atala, 1801. Voyage illustré au coeur d’un roman. Cette exposition propose un voyage inédit au coeur de l’intrigue, rythmé par douze épisodes, associant des extraits du récit et une grande diversité d’oeuvres. Elle aborde également la postérité du roman et son succès littéraire et éditorial jusqu’au 20ème siècle.
Une centaine d’oeuvres créées aux 19ème et 20ème siècles, seront présentées : peintures, gravures, dessins, sculptures, objets d’art, objets décoratifs, produits dérivés, éditions (originales, parodiques, illustrées, traductions).

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Mahjoub Ben Bella, céramiste

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 28 septembre 2025

La céramique de l’artiste franco-algérien Mahjoub Ben Bella (1946-2020) développe un langage plastique abstrait et coloré autour de motifs et d’une calligraphie très libre aux réminiscences orientales. Ces oeuvres entrent en parfaite résonance avec l’exposition agnès b. On aime le graff !! Grâce au soutien des Amis du musée, et aux dons de sa famille, La Piscine présente ainsi à l’été 2025 un ensemble exceptionnel de céramiques de cet artiste polyvalent et curieux.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Vêtements bavards

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 28 septembre 2025

Artiste aux multiples terrains de jeux, Mahjoub Ben Bella collabore avec La Redoute au début des années 2000, faisant voyager son écriture de la toile de ses peintures à celle des robes et chemises de la créatrice belge Souâd Feriani. Ce motif-signature est le point de départ de ce nouvel accrochage des cabines Mode de La Piscine, où le vêtement se pare de mots qui décorent, définissent, suggèrent et clament.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Paradeisos, Caroline Desnoëttes

Parc de Clères : jusqu’au 28 septembre 2025

Avec Paradeisos, l’artiste Caroline Desnoëttes rend un hommage vibrant et inédit à l’oeuvre de Jean Delacour, ornithologue fondateur du parc de Clères.
Depuis son plus jeune âge, Jean Delacour a souhaité vivre dans un paradis où les animaux ne se mangeraient pas entre eux et ne mangeraient pas la végétation environnante. Il passera sa vie entière à rendre son rêve possible. Visionnaire et précurseur, il était conscient de la fragilité des écosystèmes et de l’appauvrissement de la biodiversité. Paradeisos se termine par « SOS » comme pour signifier l’urgence à protéger nos paradis que sont les écosystèmes et la biodiversité.
Présentées dans le château et dans le parc, les oeuvres, pour la plupart monumentales, de Caroline Desnoëttes, ont été conçues en écho avec les collections du parc et réalisées à partir de ressources naturelles issues du site et du territoire.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Brueghel & Van Balen, artistes & complices

Musée de Flandre, Cassel : jusqu’au 28 septembre 2025

En 2025, à l’occasion du 400ème anniversaire de sa mort, le musée de Flandre rend hommage à l’un des plus importants peintres flamand du XVIIe siècle : Jan Brueghel l’Ancien. Dernier fils du grand Pieter Bruegel l’Ancien, il marque son temps par son sens de la couleur et sa touche miniaturiste hors du commun. Son extraordinaire virtuosité lui valut d’ailleurs le surnom de Brueghel « de Velours ». De la peinture d’histoire, en passant par les bouquets de fleurs et les scènes de chasse, la diversité est le maître-mot qui guide sa production. Spécialiste des paysages, des fleurs, des fruits et des animaux, Brueghel s’adjoint souvent les compétences d’autres peintres, chargés de représenter les figures humaines. Et notamment celles de Hendrick van Balen, un artiste aujourd’hui méconnu mais qui, pourtant, a eu une carrière brillante. À la tête d’un grand atelier, ses œuvres étaient parfois mieux rémunérées que celles de Rubens.
Van Balen est reconnu pour ses impressionnants retables d’églises ainsi que pour ses tableaux plus intimes, inspirés de la mythologie greco-romaine et de la Bible.
Une amitié profonde liait Van Balen, Rubens et Brueghel, si bien qu’à la mort de ce dernier, Van Balen et Rubens furent nommés co-tuteurs de ses enfants.
Grâce à des prêts exceptionnels de grands musées internationaux et de collections privées, le Musée de Flandre honore sa mission de mettre en lumière des artistes oubliés, en soulignant notamment la relation entre Brueghel et Van Balen, artistes et complices.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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L’Asie photographiée par Michael Kenna

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 30 septembre 2025

Le photographe Michael Kenna (né en 1953) nourrit un attachement profond pour l’Asie. Depuis son premier séjour au Japon en 1987, ce représentant majeur de la photographie minimaliste contemporaine n’a eu de cesse d’y retourner pour passer les paysages de l’archipel au prisme de son esthétique, avant d’élargir son horizon à la Chine, la Corée du Sud, l’Inde et l’Asie du Sud-Est dans les années 2000.

Forgé à partir des années 1970, le vocabulaire formel de Michael Kenna fait la synthèse de plusieurs avant-gardes photographiques du XXe siècle mais il entretient également des affinités avec les arts classiques de l’Asie orientale. La monochromie, l’économie de moyens, un usage audacieux du vide et le désir de transcender le sujet rappellent volontiers la peinture à l’encre (shuimohua, sumi-e). De même, certaines compositions évoquent le travail japonais de la laque (maki-e) tandis que des jeux d’échelle peuvent transformer un paysage enneigé en calligraphie. Dépassant l’esthétique, ces liens incluent également l’acceptation de la lenteur, la quête de la perfection, le retour cyclique au motif, une éthique artisanale et même une dimension spirituelle. Chez Michael Kenna comme dans les arts chinois, coréen et japonais, ces procédés et ces principes convergent bien souvent vers une poésie subtile, qui peut résider dans la dignité d’un rocher ou dans une conversation entre un détail et son environnement. Cette capacité à distiller une émotion à partir d’un paysage a fait dire à certains commentateurs que Michael Kenna était l’auteur de haïkus visuels.

Forte de ces réflexions, l’exposition proposera une expérience sensible des paysages asiatiques de Michael Kenna. Les ponts entre photographies et traditions artistiques locales seront explorées au gré de neuf sections thématiques, introduites chacune par un dialogue entre une épreuve et une œuvre issue des collections du Musée Guimet. L’exposition emmènera également les visiteurs dans les coulisses de la création avec des sections transversales sur la fabrique des images (de la prise de vue au livre en passant par la chambre noire) et le travail du motif.

Célébrant la donation par Michael Kenna de son œuvre à la France en novembre 2022, l’exposition sera la première rétrospective d’envergure sur son travail en Asie. Elle présentera de nombreux tirages issus de la donation et conservés à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie.

Commissariat : Édouard de Saint-Ours, conservateur des collections photographiques (Musée Guimet)

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Cezanne au Jas de Bouffan

Cezanne 2025
Musée Granet, Aix-en-Provence : jusqu’au 12 octobre 2025

La Ville d’Aix-en-Provence propose, à partir du mois de juin 2025, un grand évènement dédié au peintre Paul Cezanne, avec notamment, l’ouverture au public de la bastide du Jas de Bouffan, acquise par le père de l’artiste en 1859. Cette bastide située en bordure Ouest du centre ville a été pour Cezanne plus qu’une demeure familiale dont il devra pourtant se départir à contre-coeur en 1899. C’est là qu’il a peint ses premières oeuvres à l’âge de 20 ans et dont il reste encore aujourd’hui des fragments récemment découverts dans le « Grand Salon » ; c’est là aussi que son père lui installe un atelier au deuxième étage, éclairé par une grande verrière fendant la toiture d’où sortiront ses plus grands chefs d’oeuvre.
De ces 40 ans passés dans la demeure familiale entourée de 15 ha de vignes et de vergers, vont naître natures mortes, joueurs de cartes, baigneurs et baigneuses, portraits et autoportraits que le musée Granet va proposer dans une grande exposition du 28 juin au 12 octobre 2025.
Plus de 100 oeuvres, huiles sur toile, dessins et aquarelles feront ainsi le lien avec sa bastide familiale restaurée ainsi que son parc, dont il reste aujourd’hui près de 5 ha quasi intacts. Ces oeuvres inestimables viennent du monde entier, à la fois des grands musées français notamment du musée d’Orsay mais aussi de Bâle, Chicago, Harvard, Londres, Los Angeles, New York, Ottawa, Tokyo, Zurich…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Rodin et Bourdelle. Corps à corps

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’ au 19 octobre 2025

En coproduction avec le musée Bourdelle de Paris (02.10.2024 au 02.02. 2025), le musée de la Piscine de Roubaix (01.03-01.06.2025) et le musée Rodin.


La confrontation de ces deux sculpteurs, chacun tour à tour les plus célèbres de leur temps, n’a encore jamais été organisée. L’exposition retracera les étapes de leur relation faite d’abord de l’admiration du jeune Bourdelle à l’égard de son maître Rodin, puis d’une nécessaire distanciation et enfin de retrouvailles d’égal à égal qui permettront à Rodin de fermer l’histoire de la sculpture du XIXe siècle et à Bourdelle de l’ouvrir vers l’avenir.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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L’Odyssée Intérieure

Une installation collective et évolutive conçue par le collectif Mister Freeze
Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’au 19 octobre 2025

Depuis sa réouverture en 2019, le musée Ingres Bourdelle propose à des artistes contemporains d’investir le second sous-sol de l’ancien palais épiscopal. Cette année les lieux seront confiés au collectif d’art urbain Mister Freeze.
L’odyssée Intérieure est un projet collectif qui fédère un large réseau d’artistes et d’acteurs culturels de la scène du street art. Tour à tour et au fil des mois, les artistes se succèderont et chacun réalisera une double page d’un livre monumental installé dans la salle du Prince Noir. Protéiformes, (peintures, papiers découpés, dessins) ces interventions constitueront chacune une partie d’une histoire commune dont le récit est celui d’un enfant, adulte en devenir, figure symbolique incarnant la quête et la transformation.
Six temps forts conçus comme des étapes évolutives animeront ce projet. Chaque page tournée sera l’occasion d’un rendez-vous avec le public qui pourra être accompagné d’un événement : rencontres, ateliers, performances, invitant ainsi les visiteurs à suivre l’évolution de l’a narration’histoire racontée.
Avec : Cédric Reso, Julia Forma, Marie et Clément, Tank et Popek

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Sur la piste des intelligences animales 

Parc zoologique de Paris : jusqu’au 2 novembre 2025

Du 5 avril au 2 novembre 2025, le Parc zoologique de Paris révèle aux visiteurs les capacités cognitives extraordinaires des animaux. Prenez date pour explorer un parcours thématique inédit ! Insoupçonnées, variées, étonnantes, amusantes, les capacités cognitives des insectes, céphalopodes, batraciens, oiseaux ou encore mammifères, ont de quoi surprendre. Le Parc propose une panoplie d’activités pour s’interroger et s’éveiller davantage à l’ingéniosité du vivant. La redécouverte de nombreux pensionnaires du zoo par ce prisme pourrait bien bouleverser le rapport de chacun et chacune à la faune.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
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VISAGES. L’art du portrait grec et romain dans les collections du musée du Louvre

Musée Fenaille, Rodez : jusqu’au 2 novembre 2025

Cette exposition organisée avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre plongera le visiteur dans une exploration de l’art du portrait qui s’est épanoui dans les mondes grec et romain. Servie par une sélection exceptionnelle, elle interrogera sa place dans les sociétés antiques.
Le portrait est un art majeur de l’Antiquité gréco-romaine. Il a concentré l’attention d’artistes et d’artisans maîtrisant des techniques très diverses et jouait dans les sociétés des rôles tout aussi variés. Images du pouvoir, supports de mémoire, offrandes aux divinités, ces portraits donnent aujourd’hui un visage, ou plutôt une multitude de visages, aux civilisations de l’Antiquité classique. Mais quels visages ? Le portrait est une élaboration artistique, pas une photographie du réel, malgré l’importance pour les artistes des recherches de la mimésis, l’imitation concrète des choses du monde.
L’exposition proposera une vision renouvelée de l’art du portrait dans l’Antiquité en s’intéressant à trois grandes questions issues des recherches actuelles sur la question : comment le genre du portrait se définit-il en termes de moyens artistiques ? Quelles fonctions remplit-il dans l’Antiquité classique ? Comment devient-il un moyen privilégié d’expression du pouvoir à partir de l’époque hellénistique ?

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
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Aime celui qui t’aime. Léopoldine Hugo à Villequier

Musée Victor-Hugo, Rives-en-Seine : jusqu’au 3 novembre 2025

Pour célébrer le bicentenaire de la naissance de Léopoldine Hugo, la maison Vacquerie – musée Victor-Hugo propose une plongée dans l’histoire romantique et tragique de la fille de l’écrivain et de son époux Charles Vacquerie avec une exposition immersive et sensible. Une expérience visuelle et sonore exceptionnelle dans un lieu chargé d’histoire et d’émotion.
À travers une mise en scène spectaculaire et poétique, le scénographe Jean Oddes revisite l’histoire de Léopoldine, depuis ses premières vacances à Villequier jusqu’à l’approbation paternelle symbolisée par le poème «!Aime celui qui t’aime!». Conçue comme un itinéraire à travers les salles du musée et le village de Villequier, l’exposition immerge le visiteur dans des moments suspendus, l’invitant à revivre l’histoire d’amour de Charles et Léopoldine, à ressentir la présence des deux familles et à marcher dans les pas de Victor Hugo trouvant l’inspiration des Contemplations. L’exposition présente des objets originaux exceptionnels, comme la toilette de mariée et la robe portée par Léopoldine lors du drame, et accueille, dans l’église la projection d’une oeuvre d’Ange Leccia, pionnier de l’art vidéo.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
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La Pologne rêvée. 100 Chefs-d’oeuvre du Musée national de Varsovie

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : jusqu’au 9 novembre 2025

En été 2025, la Fondation de l’Hermitage met en lumière la remarquable vitalité artistique de la Pologne des années 1840 jusqu’à 1914, grâce à un partenariat exceptionnel avec le Musée National de Varsovie.
Siècle crucial dans la longue histoire du pays, le 19e siècle polonais est celui de la lutte des artistes, des écrivains et des musiciens pour garder vivants les particularismes, les traditions et la langue d’un peuple. À travers la mise en image de l’histoire médiévale et celle des grands monarques, mais également de la célébration de ses paysages, du monde rural, du folklore et des récits mythologiques, les peintres, privés d’académie nationale, créent une iconographie unique célébrant la Pologne indépendante dont ils préparent le retour.
Avec plus de 100 œuvres emblématiques des plus grands peintres, l’exposition propose une histoire de l’art polonais à travers ses principaux courants : romantisme, réalisme, impressionnisme, symbolisme, modernisme.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Sorcières (1862-1914)

Musée de Pont-Aven : jusqu’au 16 novembre 2025

Au coeur de notre imaginaire collectif, les sorcières ont longtemps incarné l’allégorie de la vieillesse, de la mort, du vice et du mal. Elle sont associées au spirituel, à la nature, à ce qui fait peur et que l’on ne maîtrise pas. Mais 1862 marque une rupture avec la publication de La Sorcière de l’historien Jules Michelet : la sorcière devient alors à la fois un emblème de révolte, de connaissance et d’harmonie avec les éléments naturels, posant les bases de l’éco-féminisme. Réenchantée, elle devient le symbole de la lutte des opprimés contre l’arbitraire. Ambivalente, la sorcière cristallise les fantasmes masculins sous forme d’icône érotisée dotée d’une éternelle jeunesse s’opposant ainsi à la vieille femme laide des contes et illustrations. Pour des artistes majoritairement masculins, la sorcière évoque l’autre et l’inconnu, avec sa part d’attraction et de menace. Dans une société patriarcale où la femme est considérée comme mineure, la sorcière personnifie la femme forte, qui menace l’ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Elle incarne la résistance face aux pouvoirs dominants.
L’exposition fait dialoguer les arts au sein d’un parcours qui fait la part belle aux arts graphiques, à la peinture, sculpture, photographie, cinéma ainsi qu’à la musique, la danse et la littérature.

Exposition en partenariat avec la musée d’Orsay.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Trop forts !

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 31 décembre 2025

Dans le désert, sous un froid glacial, ou encore en haute montagne, certaines espèces animales sont capables de vivre dans des milieux extrêmes. L’exposition, imaginée pour les enfants de 8 à 12 ans, emmène tous les grands curieux sur les traces de ces animaux aux capacités étonnantes. Vivre sans jamais boire, respirer à 10 000 m d’altitude ou pouvoir être entièrement pris dans la glace : si ces aptitudes semblent défier notre compréhension, elles inspirent les scientifiques et pourraient permettre de grandes innovations.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Agnès Varda. Je suis curieuse. Point

Musée Soulages, Rodez : jusqu’au 4 janvier 2026

En 2025, la mer Méditerranée arrive à Rodez avec son horizon, bleu et calme, ses plages, son petit peuple de pêcheurs, ses jouets en plastique, ses cabanons, ses manifestations, – en somme sa vie mouvante et le portrait qu’Agnès Varda en a fait pendant toutes ces années et le tendre souvenir qu’elle laisse en chacun de nous.

Agnès Varda (1928-2019) est une figure majeure du cinéma et de la photographie, s’illustrant sur le tard dans le domaine des arts plastiques. Le musée Soulages a décidé de lui rendre un hommage en été 2025.
Le projet d’exposition du musée Soulages joue sur le lien amical entre Pierre et Colette Soulages et Agnès Varda à Sète, lien qu’elle immortalisa dans Les Plages d’Agnès : le musée Soulages possède en effet un certain nombre de photographies du peintre réalisées par la cinéaste et son équipe de tournage. Un entretien de Soulages au sujet de ses peintures Outrenoir est diffusé dans les salles permanentes du musée. Leur rencontre amicale et instructive, offre un bel accompagnement à nos visiteurs.
D’une certaine manière, nous voulions poursuivre l’échange, l’ouvrir en grand à Rodez avec la présentation de l’oeuvre de Varda. Nous voulons mettre en valeur Agnès Varda dans sa grande curiosité : associer librement son fonds photographique autour du tournage de La Pointe Courte (compostions sur le monde du port, des pêcheurs, de la Méditerranée) aux constructions de cabanes, et nombreuses évocations de la mer et des plages dans son oeuvre d’artiste visuelle : Bord de mer (2009), La petite mer immense (2003), Ping-Pong Tong (2005-2006), Le dépôt de la Cabane de Plage (2011), La Cabane du Bonheur (2018), et autres photographies couleur inédites de Noirmoutier et de ses cabanes de pêcheurs. Cette association de photographies en noir et blanc, en couleur, d’objets et d’installations filmiques, composent un itinéraire inédit, une scénographie déroulée en histoire.
La photographie singulièrement muette des premiers temps, se prolongera avec de l’écriture visuelle ou non, des objets… Elle représente une part de Varda, un trait majeur de son modus operandi.
L’exposition incarnera ses recherches et ses passions d’artiste. Nous associerons à l’ensemble de l’exposition un environnement familier c’est-à-dire des oeuvres du peintre et ami Pierre Soulages, du sculpteur Alexander Calder, des oeuvres de Valentine Schlegel, de l’artiste-voyageur JR. Un clin d’oeil sera fait au photographe primitif de la mer et du ciel, Gustave le Gray (1820- 1884)…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Afrosonica. Paysages sonores

MEG, Musée d’Ethnographie de Genève : jusqu’au 4 janvier 2026

L’exposition du MEG « Afrosonica. Paysages sonores » invite à découvrir l’importance de la musique et du son en Afrique et dans le monde.
Cette exposition immersive explore les sons, les gestes et l’impact culturel de la musique africaine, offrant un voyage multisensoriel à travers les traditions sonores évolutives du continent. Afrosonica. Paysages sonores invite le public à découvrir la signification spirituelle, sociale et politique de la musique africaine, passée et présente, en retraçant son influence mondiale à travers la diaspora. À partir du 16 mai 2025, l’exposition présente une vingtaine d’artistes, principalement originaires d’Afrique et de la diaspora.
Cette exposition est co-organisée par Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), conservateur, artiste, compositeur et DJ.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Yiqing Yin. D’air et de songes

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 4 janvier 2026


Yiqing Yin, première créatrice d’origine chinoise à recevoir l’appellation haute couture, est une artiste pluridisciplinaire. À la croisée des arts, ses œuvres sculpturales et évanescentes tissent un dialogue entre la fragilité de l’humain et la force transformatrice de la nature. Grand couturier, directrice artistique, créatrice de costumes et muse, Yiqing Yin incarne tour à tour des rôles multiples dans l’univers de la création.
Sous la curation de Sylvie Marot, cette exposition consacrée à Yiqing Yin met en lumière l’hybridation de ses disciplines artistiques, entre rêve et exploration des sens.
Le parcours invite à pénétrer au cœur du processus créatif, à saisir l’idée avant même la robe. Le hasard, l’inattendu et l’indéterminé sont les forces motrices du voyage sensoriel où l’œuvre se révèle… L’artiste puise son inspiration dans le minéral, le végétal et l’animal, élaborant ainsi une poétique du vivant qui tisse le fil rouge de l’exposition. Chaque création se révèle comme un paysage onirique, où rêve et éveil des sens s’entrelacent en une esthétique de la métamorphose.
Robes haute couture, images (photographies, films, dessins), textures sonores (murmures littéraires, bruissement d’air), sillages olfactifs rythment ce parcours immersif, invitant le visiteur à une exploration intime de son imaginaire.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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À corps

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’ au 4 janvier 2026

La nouvelle exposition du MusVerre explore les facettes du corps humain revisité par les artistes verriers et plasticiens : en mouvement ou au repos, du détail à l’ensemble, du trivial au sublime. La visite propose de se pencher sur les subtiles mécaniques du vaisseau charnel. C’est une occasion d’en admirer les rouages, d’en reconnaître les limites aussi bien que les mérites, et, peut-être, d’apprivoiser davantage cet organisme à la fois complexe et merveilleux.
Par une diversité de points de vue, l’exposition nous invite à un examen minutieux, presque radioscopique, de l’organisme humain ; son parcours propose un cheminement allant du corps trivial vers le sublime.
La première partie nous plonge dans l’intimité du genre humain et s’intéresse à sa représentation quotidienne, banale et prosaïque. Les corps sont dénudés, rendus visibles et dévoilés aux spectateurs dans toute leur vérité physique et leur vulnérabilité. Le parcours se poursuit par l’étude mathématique du corps, sa fragmentation et sa mise en mouvement pour aboutir à sa représentation dans l’espace public. Passant de l’ombre à la lumière, le second temps de l’exposition nous amène à découvrir des êtres sublimés, glorifiés, voire métaphoriques. Échappant à la tyrannie du corps physique, les artistes nous offrent un tableau plus sensible et poétique de l’enveloppe charnelle. Magnifié, voire rêvé, il devient le support d’un message, d’un symbole et d’un idéal. C’est dans une approche quasi introspective que les artistes nous invitent à un examen de soi.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Des chevaux et des hommes

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 5 janvier 2026

À partir du 12 avril 2025, l’exposition « Des Chevaux et des Hommes » au musée de la Grande Guerre, abordera le sujet du sort de ces animaux dans le conflit, ainsi que les relations avec les hommes qui dépassent le strict usage militaire. Cette exposition donnera à voir la fraternité dans l’horreur entre les hommes et bêtes condamnés à vivre ensemble, confrontés à un même destin.

Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés – chevaux, ânes, mulets. Au cœur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 million.

L’histoire commune des hommes et des chevaux dans la Grande Guerre n’a jamais été présentée dans une exposition : il revenait au musée de la Grande Guerre de le faire.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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agnès b. On aime le graff !!

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 11 janvier 2026

Styliste, galeriste, collectionneuse, mécène et photographe, agnès b., pour qui la mode s’inspire de la rue, nous fait partager son goût pionnier et éclairé pour le graff. Au fil de ses collections, agnès b. dédie plusieurs thèmes à cet art qui renouvelle la pratique de la peinture et collabore avec des graffeurs de renom. agnès b. on aime le graff !! présente ainsi des confrontations inédites mêlant vêtements et oeuvres originales.
Cette exposition s’inscrit dans la programmation de la quatrième édition du festival URBX, organisé du 19 au 29 juin 2025 à Roubaix et dans la métropole lilloise.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Amazonies

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 8 février 2026

Longtemps réduite à l’image d’une « forêt vierge », inhospitalière et impénétrable à l’influence humaine, la forêt amazonienne est en réalité peuplée depuis 9 000 ans avant notre ère, par des habitants en grande interaction avec leur environnement. L’exposition présente des facettes d’une Amazonie contemporaine au travers des collections matérielles et immatérielles constituées par le musée entre 2018 et 2022 lors de trois missions de terrain chez nos partenaires Ashaninka, Kayapo Mebenkogre, Wayana et Apalaï. Leur parole guide le visiteur dans la découverte de leurs récits fondateurs, dans leurs connaissances de la forêt et dans leurs savoir-faire, comme dans leurs luttes pour la défense de leurs territoires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Trois siècles à l’Isle Adam

Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq, L’Isle-Adam : jusqu’au 8 mars 2026

À vingt-cinq kilomètres à vol d’oiseau de Paris, L’Isle-Adam se trouve aux portes du parc naturel régional du Vexin français, du Pays de France et du département de l’Oise. Qualifiée de « paradis terrestre » par Honoré de Balzac dans une lettre qu’il écrit à sa sœur en 1819, la ville bénéficie d’un environnement exceptionnel situé entre rivière et forêt domaniale.
Avec cette nouvelle exposition intitulée Trois siècles à L’Isle-Adam, le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq invite ses visiteurs à un voyage à travers l’histoire et le patrimoine de la cité adamoise et de son territoire. Organisé de manière chronologique et couvrant une période allant du XVIIIe au milieu du XXe siècle, le parcours s’articule autour des grandes thématiques représentées dans les collections du musée. L’histoire et l’évolution urbaine de L’Isle-Adam y sont évoquées, le passé industrieux de la ville est également mis en avant,…
L’exposition rassemble peintures, sculptures, aquarelles, gravures, affiches publicitaires, cartes postales et photographies anciennes, toutes issues du fonds du musée.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Le mystère des anneaux par Laurent Ballesta

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 12 avril 2026

Au large du Cap Corse, à 120 mètres de profondeur, plus de 1 400 anneaux d’une vingtaine de mètres de diamètre constituent un ensemble unique au monde. Formés par des algues calcaires âgées de 8 000 ans, ils abritent une biodiversité remarquable.
En 40 photographies et un film d’une dizaine de minutes, l’exposition relate les missions menées par le photographe Laurent Ballesta et une équipe de scientifiques, Gombessa 6, entre 2021 et 2024. Le parcours s’accompagne d’une composition sonore favorisant l’immersion des visiteurs dans cet univers marin.
Les images illustrent la vaste plaine où se dessinent les anneaux à perte de vue, leur géométrie parfaite, la vie qui s’épanouit en leur coeur, mais également les menaces qui pèsent sur ces écosystèmes. Le bleu des profondeurs vertigineuses alterne avec les couleurs et la délicatesse des habitants qui peuplent ces anneaux, en offrant une représentation poétique et naturaliste.
Au-delà de la beauté des fonds marins, l’exposition raconte les techniques novatrices de plongée mises en oeuvre par ces expéditions et partage les anecdotes de Laurent Ballesta et de son équipe.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Vivre ou survivre. Travail et pauvreté aux 19e et 20e siècles

Archives nationales du monde du travail à Roubaix : jusqu’au 31 mai 2026

Des décennies après les créations successives de la Sécurité sociale, de l’assurance chômage et du Revenu d’insertion minimum, ce sont encore près de 14% des Français qui vivent sous le seuil de pauvreté. Comment expliquer que ces inégalités et la précarité demeurent ? Comment s’est construit le modèle de protection sociale des Français, depuis les prémices de l’assistance au 19e siècle jusqu’à l’instauration de l’ « État-providence » au 20e siècle ?

L’année 2025 marquera l’anniversaire de plusieurs associations représentatives de la lutte contre la précarité comme le Secours populaire et les Restos du cœur. Les ANMT, qui conservent leurs archives, ont choisi de s’intéresser aux liens entre travail et pauvreté pour leur prochaine exposition. À travers un riche corpus documentaire et iconographique, l’exposition tente de comprendre comment et pourquoi la pauvreté en France touche les travailleurs, en particulier depuis la révolution industrielle. Elle met en évidence les conséquences sur les individus concernés, avec des focus sur le nord de la France. Divisée en plusieurs parties thématiques (les revenus, le chômage, le logement, la santé, la consommation, la culture…) l’exposition revient sur les politiques publiques et les actions d’initiative privée mises en œuvre pour tenter de prévenir la précarité, d’assister ceux qui en ont besoin ou de pallier les situations de misère qui impactent villes et campagnes, enfants et adultes, hommes et femmes, français et immigrés, pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et des chômeurs.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19