Drawing Now Art Fair et le Salon du Dessin
Carte blanche à Chiharu Shiota – Musée national des arts asiatiques – Guimet
Réouverture du Musée du Parfum Fragonard – Paris

Odette Pauvert. La peinture pour ambition au temps de l’Art déco
La Piscine, Roubaix : du 11 octobre 2025 au 11 janvier 2026
Injustement oubliée, Odette Pauvert (1903-1966) connaît dans les Années folles une ascension fulgurante. Elle est en 1925 la première femme à obtenir le Grand Prix de Rome en peinture, consécration suprême pour tout artiste se destinant à une carrière officielle. Cette exposition suit l’itinéraire singulier d’une artiste qui, de Paris à Rome en passant par l’Espagne ou la Grèce, poursuit pendant toute sa carrière une ambition résolument classique et décorative.
Organisée avec des prêts exceptionnels des Beaux-Arts de Paris, de la Villa Médicis à Rome et en relation avec la famille de l’artiste, cette rétrospective est pour La Piscine la marque d’un engagement fort de célébrer les artistes femmes. Elle est organisée dans le cadre de Fiesta, 7ème édition de lille3000.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Folles années
La Piscine, Roubaix : du 11 octobre 2025 au 15 février 2026
À l’occasion du centenaire de l’exposition Internationale des Arts Décoratifs et Industriels Modernes de Paris qui marque le tournant esthétique des Années folles, La Piscine met en lumière un florilège des « perles » de ses collections Textile et Mode. Etoffes de jacquard savamment tissées, tissus damassés aux motifs chatoyants, toilettes de jour et tenues de soirée pareront les cabines de l’étage du musée.
En parallèle, découvrez le mobilier moderniste de l’architecte décorateur Robert Mallet-Stevens (1886-1945) nouvellement restauré dans les espaces permanents.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Forum antique de Bavay musée archéologique du département du Nord.

Scènes de front, une série photos de Youry Bilak
Mémorial 14-18, Notre-Dame-de-Lorette : du 11 octobre au 5 janvier 2026
L’exposition Scènes de front questionne les codes de représentation de la guerre : une photographie mise en scène, prise sur le front avec de vrais soldats, peut-elle être considérée comme une image fidèle de la guerre, ou relève-t-elle d’une construction entièrement fictive ?
Dans sa série PROJECTIO, le photographe Youry BILAK s’est lancé un défi de taille. Il est allé sur le front ukrainien avec, en poche, une sélection des plus célèbres icônes de l’Histoire de l’art. Son but ? mettre en scène ces oeuvres avec les soldats ukrainiens.
L’espace d’un instant, Youry reprend son costume de metteur en scène et invite les soldats à une brève parenthèse esthétique, pour les capturer dans une image intemporelle qui, il l’espère, vivra une éternité. Car s’il y a bien une quête du photographe dans ce projet, c’est la recherche de l’image intemporelle, celle qui ne finira pas à la poubelle comme un journal que l’on consomme sans y prêter attention.
Ces 22 icônes d’histoire de l’art choisies ont traversé des siècles et sont parmi les plus célèbres des oeuvres picturales du monde occidental. Avec Projectio, Youry s’est donné l’ambition d’offrir aux soldats ukrainien la même postérité.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
Museum Connections – 30 et 31 mars 2022 à Paris, Porte de Versailles.
Jeu d’échecs – Musée des Confluences
Boris TASLITZKY (1911-2005) : L’art en prise avec son temps
Musée du Parfum Fragonard

Elika Hedayat, Haroum
Commissariat : Valentina Ulisse
Drawing Lab, Paris : du 17 octobre 2025 au 4 janvier 2026
La bourse de production Drawing Lab Project 2025, d’un montant de 20 000 euros, a été attribuée à l’artiste Elika Hedayat et à la commissaire d’exposition Valentina Ulisse.
Elles exposent du 17 octobre 2025 au 4 janvier 2026 au Drawing Lab leur projet intitulé « Haroum ».
Dans plusieurs ouvrages de la littérature perse écrits entre le Xe et le XIIe siècle, Haroum est décrite comme une ville gouvernée par des femmes savantes, qui vivent en égalité et en paix avec l’environnement. Libres et indépendantes, elles semblent faire écho aux Amazones, femmes guerrières de la mythologie gréco-romaine, devenues un symbole de l’émancipation des femmes et de l’égalité des sexes.
Pour donner forme à sa propre vision de Haroum, l’artiste Elika Hedayat a souhaité mêler les références. Elle s’est nourrie autant de la littérature mythique de l’Iran, son pays natal, que de la littérature de science-fiction féministe et écologique contemporaine, tout en prenant comme fondement des théories scientifiques transdisciplinaires autour d’une idée de symbiose qui s’étend du vivant au technologique. Aux tonalités fantastiques, son récit n’oublie pourtant pas l’actualité et les luttes des femmes iraniennes aujourd’hui.
L’exposition pensée pour le Drawing Lab se veut une découverte de ce monde encore en construction. Dans les oeuvres de l’artiste, Haroum apparaît comme une villelaboratoire, en état embryonnaire ou au stade de maquette.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

Zombis. La mort n’est pas une fin ?
Musée des Confluences, Lyon : du 17 octobre 2025 au 16 août 2026
À la croisée du royaume des morts et de celui des vivants, la figure du zombi a fortement imprégné la culture populaire et le cinéma dans le monde entier. Mais son origine demeure largement méconnue du grand public. Le zombi est apparu en Haïti aux alentours du 17e siècle, dans le contexte de la traite négrière transatlantique. Il est issu de la rencontre de pratiques magico-religieuses de l’Afrique subsaharienne, d’éléments du catholicisme romain et de la maitrise des poisons par les peuples autochtones de la Caraïbe. Jugés par des sociétés secrètes du vaudou haïtien, les condamnés à la zombification sont drogués et enterrés vivants avant d’être exhumés et ranimés sous la forme de zombis par leur futur maître. Cette peine ultime est aujourd’hui encore la source de croyances vivaces.
L’exposition présente différents objets liés à ce rituel en Haïti ainsi qu’à ses racines africaines et précolombiennes. Elle explore également sa transposition dans le domaine de la fiction (cinéma, littérature, comics). Zombis. La mort n’est pas une fin ? interroge ainsi la réalité anthropologique de cette figure complexe.
L’exposition Zombis. La mort n’est pas une fin ? est conçue et réalisée par le musée du quai Branly – Jacques Chirac et adaptée par le musée des Confluences.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

À cœurs ouverts
Musée Dobrée, Nantes : du 17 octobre 2025 au 1er mars 2026
Après sa réouverture très attendue en mai 2024, le musée départemental Dobrée lance sa première grande exposition temporaire : « À cœurs ouverts », un événement fort et symbolique qui marque une nouvelle ère pour l’institution départementale. Pensée comme un écho au parcours permanent du musée et à ses 2 400 œuvres, cette exposition s’inscrit dans l’esprit de curiosité et d’ouverture qui anime le lieu. Elle propose une exploration inédite du cœur, à la fois organe vital et symbole universel, à travers plus de 200 œuvres issues des collections du musée et de prêts prestigieux.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

Un fossile exceptionnel de crocodile exposé pour la première fois
À découvrir au musée de Lodève du 18 octobre 2025 au 15 mars 2026
Quatre saisons de fouilles. Six mois de restauration.
Le Musée de Lodève révélera au public en octobre prochain un fossile exceptionnel du Jurassique (180 millions d’années) : le squelette quasi complet et en connexion anatomique d’un crocodile de près 5 mètres de long. A ce jour, c’est le premier spécimen datant du Toarcien découvert en France.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

Anatomie comparée des espèces imaginaires
Musée de Lodève : du 18 octobre 2025 au 15 mars 2026
Films, BD, comics… les univers fictionnels regorgent d’êtres imaginaires qui empruntent leurs caractéristiques fantastiques à des espèces bien réelles. Des dragons de la mythologie à notre voisin Totoro, du monstre d’Alien à la sirène, l’exposition Anatomie comparée des espèces imaginaires est l’opportunité de découvrir l’anatomie comparée et les sciences de l’évolution (paléontologie, biologie…) à travers l’analyse rigoureuse mais amusante d’espèces fantastiques.
Le Musée de Lodève profite de cette exposition pour dévoiler une pièce unique de sa collection : le squelette fossile d’un crocodile vieux de 180 millions d’années.
Mesurant près de 5 mètres de long, quasi-complet, ce crocodile est une découverte archéologique majeure dans l’Hérault (voir le communiqué page suivante). Il vient d’être restauré et n’a jamais été présenté au public.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
Carte blanche à Chiharu Shiota – Musée national des arts asiatiques – Guimet
Trop forts !
Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 31 décembre 2025
Dans le désert, sous un froid glacial, ou encore en haute montagne, certaines espèces animales sont capables de vivre dans des milieux extrêmes. L’exposition, imaginée pour les enfants de 8 à 12 ans, emmène tous les grands curieux sur les traces de ces animaux aux capacités étonnantes. Vivre sans jamais boire, respirer à 10 000 m d’altitude ou pouvoir être entièrement pris dans la glace : si ces aptitudes semblent défier notre compréhension, elles inspirent les scientifiques et pourraient permettre de grandes innovations.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
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I See a Bird – Drawing Lab
Séance de dédicaces de Valérie Mettais – Editions Hazan
Jean-Francis Auburtin, Un âge d’or-Musée de Lodève
La Piscine – Musée d’art et d’industrie André Diligent de Roubaix
« Des images et des hommes, Bamiyan 20 ans après » au Musée national des arts asiatiques – Guimet
Anne Horel – Le Lavoir Numérique
« Les tarots enluminés du XVème siècle, chefs-d’oeuvre de la Renaissance italienne » au Musée Français de la Carte à Jouer
Save The Date : « L’arc et le sabre, imaginaire guerrier du Japon » – MNAAG, Musée national des arts asiatiques – Guimet
Regards Croisés – Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq
Ouverture du « cabinet de curiosités » au MusVerre
Vue des cuisines du Château de Vaux-le-Vicomte
Johan Creten, Bestiarium – La Piscine, de Roubaix
Christian Bérard au théâtre de la vie – Palais Lumière, Évian
Des collégiens lodévois et Bboy Khalil ont tourné un clip au Musée de Lodève.
Soirée Love – Musée Rodin

30e édition du Salon International du Patrimoine Culturel
Carrousel du Louvre, Paris : du 23 au 26 octobre 2025
Lieu de référence pour les professionnels de la restauration, de la conservation et de la valorisation du patrimoine, le salon mettra cette année à l’honneur une thématique d’exception : « Patrimoine & Art Déco », à l’occasion du centenaire de l’Exposition internationale des Arts décoratifs de Paris de 1925.
Organisé par Ateliers d’Art de France, le Salon International du Patrimoine Culturel accueille chaque année plus de 300 exposants et 20 000 visiteurs, grand public comme professionnels, pendant 4 jours au Carrousel du Louvre à Paris. Fondé en 1994 et repris par Ateliers d’Art de France en 2009, le Salon International du Patrimoine Culturel s’est imposé comme le principal lieu de réflexion sur le secteur du patrimoine – ses enjeux, son actualité, ses défis. Unique au monde, le salon illustre la force des Métiers d’art et du Patrimoine en France, il est le rendez-vous de référence des acteurs du patrimoine, professionnels et passionnés, et rassemble et fédère l’ensemble acteurs majeurs du secteur : les professionnels de la restauration, de la sauvegarde et de la valorisation du patrimoine bâti et non bâti, matériel ou immatériel.
Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36
« Sous le signe du serpent. Chaissac & CoBrA » au Musée Soulages Rodez
Le Chiffre Noir. Nicolas Daubanes – Drawing Lab Paris
Ouverture de l’exposition d’@Anne Horel
Yoga : Ascètes, yogis, soufis – Musée national des arts asiatiques – Guimet
Arts de l’Islam. Un passé pour un présent » au Musée Paul Dupuy
La Chine des porcelaines du 9è au 18è siècle – musée Guimet
Tranchées

Agnès Varda. Je suis curieuse. Point
Musée Soulages, Rodez : jusqu’au 4 janvier 2026
En 2025, la mer Méditerranée arrive à Rodez avec son horizon, bleu et calme, ses plages, son petit peuple de pêcheurs, ses jouets en plastique, ses cabanons, ses manifestations, – en somme sa vie mouvante et le portrait qu’Agnès Varda en a fait pendant toutes ces années et le tendre souvenir qu’elle laisse en chacun de nous.
Agnès Varda (1928-2019) est une figure majeure du cinéma et de la photographie, s’illustrant sur le tard dans le domaine des arts plastiques. Le musée Soulages a décidé de lui rendre un hommage en été 2025.
Le projet d’exposition du musée Soulages joue sur le lien amical entre Pierre et Colette Soulages et Agnès Varda à Sète, lien qu’elle immortalisa dans Les Plages d’Agnès : le musée Soulages possède en effet un certain nombre de photographies du peintre réalisées par la cinéaste et son équipe de tournage. Un entretien de Soulages au sujet de ses peintures Outrenoir est diffusé dans les salles permanentes du musée. Leur rencontre amicale et instructive, offre un bel accompagnement à nos visiteurs.
D’une certaine manière, nous voulions poursuivre l’échange, l’ouvrir en grand à Rodez avec la présentation de l’oeuvre de Varda. Nous voulons mettre en valeur Agnès Varda dans sa grande curiosité : associer librement son fonds photographique autour du tournage de La Pointe Courte (compostions sur le monde du port, des pêcheurs, de la Méditerranée) aux constructions de cabanes, et nombreuses évocations de la mer et des plages dans son oeuvre d’artiste visuelle : Bord de mer (2009), La petite mer immense (2003), Ping-Pong Tong (2005-2006), Le dépôt de la Cabane de Plage (2011), La Cabane du Bonheur (2018), et autres photographies couleur inédites de Noirmoutier et de ses cabanes de pêcheurs. Cette association de photographies en noir et blanc, en couleur, d’objets et d’installations filmiques, composent un itinéraire inédit, une scénographie déroulée en histoire.
La photographie singulièrement muette des premiers temps, se prolongera avec de l’écriture visuelle ou non, des objets… Elle représente une part de Varda, un trait majeur de son modus operandi.
L’exposition incarnera ses recherches et ses passions d’artiste. Nous associerons à l’ensemble de l’exposition un environnement familier c’est-à-dire des oeuvres du peintre et ami Pierre Soulages, du sculpteur Alexander Calder, des oeuvres de Valentine Schlegel, de l’artiste-voyageur JR. Un clin d’oeil sera fait au photographe primitif de la mer et du ciel, Gustave le Gray (1820- 1884)…
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

Afrosonica. Paysages sonores
MEG, Musée d’Ethnographie de Genève : jusqu’au 4 janvier 2026
L’exposition du MEG « Afrosonica. Paysages sonores » invite à découvrir l’importance de la musique et du son en Afrique et dans le monde.
Cette exposition immersive explore les sons, les gestes et l’impact culturel de la musique africaine, offrant un voyage multisensoriel à travers les traditions sonores évolutives du continent. Afrosonica. Paysages sonores invite le public à découvrir la signification spirituelle, sociale et politique de la musique africaine, passée et présente, en retraçant son influence mondiale à travers la diaspora. À partir du 16 mai 2025, l’exposition présente une vingtaine d’artistes, principalement originaires d’Afrique et de la diaspora.
Cette exposition est co-organisée par Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), conservateur, artiste, compositeur et DJ.
Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

Yiqing Yin. D’air et de songes
Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 4 janvier 2026
Yiqing Yin, première créatrice d’origine chinoise à recevoir l’appellation haute couture, est une artiste pluridisciplinaire. À la croisée des arts, ses œuvres sculpturales et évanescentes tissent un dialogue entre la fragilité de l’humain et la force transformatrice de la nature. Grand couturier, directrice artistique, créatrice de costumes et muse, Yiqing Yin incarne tour à tour des rôles multiples dans l’univers de la création.
Sous la curation de Sylvie Marot, cette exposition consacrée à Yiqing Yin met en lumière l’hybridation de ses disciplines artistiques, entre rêve et exploration des sens.
Le parcours invite à pénétrer au cœur du processus créatif, à saisir l’idée avant même la robe. Le hasard, l’inattendu et l’indéterminé sont les forces motrices du voyage sensoriel où l’œuvre se révèle… L’artiste puise son inspiration dans le minéral, le végétal et l’animal, élaborant ainsi une poétique du vivant qui tisse le fil rouge de l’exposition. Chaque création se révèle comme un paysage onirique, où rêve et éveil des sens s’entrelacent en une esthétique de la métamorphose.
Robes haute couture, images (photographies, films, dessins), textures sonores (murmures littéraires, bruissement d’air), sillages olfactifs rythment ce parcours immersif, invitant le visiteur à une exploration intime de son imaginaire.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

À corps
MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’ au 4 janvier 2026
La nouvelle exposition du MusVerre explore les facettes du corps humain revisité par les artistes verriers et plasticiens : en mouvement ou au repos, du détail à l’ensemble, du trivial au sublime. La visite propose de se pencher sur les subtiles mécaniques du vaisseau charnel. C’est une occasion d’en admirer les rouages, d’en reconnaître les limites aussi bien que les mérites, et, peut-être, d’apprivoiser davantage cet organisme à la fois complexe et merveilleux.
Par une diversité de points de vue, l’exposition nous invite à un examen minutieux, presque radioscopique, de l’organisme humain ; son parcours propose un cheminement allant du corps trivial vers le sublime.
La première partie nous plonge dans l’intimité du genre humain et s’intéresse à sa représentation quotidienne, banale et prosaïque. Les corps sont dénudés, rendus visibles et dévoilés aux spectateurs dans toute leur vérité physique et leur vulnérabilité. Le parcours se poursuit par l’étude mathématique du corps, sa fragmentation et sa mise en mouvement pour aboutir à sa représentation dans l’espace public. Passant de l’ombre à la lumière, le second temps de l’exposition nous amène à découvrir des êtres sublimés, glorifiés, voire métaphoriques. Échappant à la tyrannie du corps physique, les artistes nous offrent un tableau plus sensible et poétique de l’enveloppe charnelle. Magnifié, voire rêvé, il devient le support d’un message, d’un symbole et d’un idéal. C’est dans une approche quasi introspective que les artistes nous invitent à un examen de soi.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Images de guerre, guerre des images, 2ème édition
Mémorial 14-18, Notre-Dame-de-Lorette : du 7 au 11 novembre 2025
De nos jours, les représentations de la guerre sont multiples dans les médias, au cinéma, sur les réseaux sociaux. Films, photographies, reportages, documentaires, fictions, images d’archives ou d’actualité, elles font partie de notre quotidien. Images du front ou clichés des populations civiles, source d’information ou de propagande, l’image de guerre peut devenir une véritable arme au coeur des conflits.
L’intelligence artificielle et les photo montages ont accru les tentatives de manipulation par l’image. Comprendre une image, prendre le recul nécessaire pour analyser ce que l’on voit devient un sujet de société.
A travers des projections, expositions et rencontres avec des réalisateurs, des historiens, des journalistes, ce festival d’éducation à l’image offre un décryptage, et amène à réfléchir sur la place des images de guerre dans la société et leur impact sur notre perception des conflits d’hier et d’aujourd’hui.
Le festival Images de guerre, guerre des images a aussi vocation à accompagner le jeune public sur ces questions, tant en famille que sur un temps scolaire.
Après une première édition qui mettait en lumière l’image des femmes en temps de guerre, cette 2ème édition propose un focus sur les guerres de tranchées, de la Première Guerre mondiale à aujourd’hui.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Des chevaux et des hommes
Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 5 janvier 2026
À partir du 12 avril 2025, l’exposition « Des Chevaux et des Hommes » au musée de la Grande Guerre, abordera le sujet du sort de ces animaux dans le conflit, ainsi que les relations avec les hommes qui dépassent le strict usage militaire. Cette exposition donnera à voir la fraternité dans l’horreur entre les hommes et bêtes condamnés à vivre ensemble, confrontés à un même destin.
Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés – chevaux, ânes, mulets. Au cœur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 million.
L’histoire commune des hommes et des chevaux dans la Grande Guerre n’a jamais été présentée dans une exposition : il revenait au musée de la Grande Guerre de le faire.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

agnès b. On aime le graff !!
La Piscine, Roubaix : jusqu’au 11 janvier 2026
Styliste, galeriste, collectionneuse, mécène et photographe, agnès b., pour qui la mode s’inspire de la rue, nous fait partager son goût pionnier et éclairé pour le graff. Au fil de ses collections, agnès b. dédie plusieurs thèmes à cet art qui renouvelle la pratique de la peinture et collabore avec des graffeurs de renom. agnès b. on aime le graff !! présente ainsi des confrontations inédites mêlant vêtements et oeuvres originales.
Cette exposition s’inscrit dans la programmation de la quatrième édition du festival URBX, organisé du 19 au 29 juin 2025 à Roubaix et dans la métropole lilloise.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

Amazonies
Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 8 février 2026
Longtemps réduite à l’image d’une « forêt vierge », inhospitalière et impénétrable à l’influence humaine, la forêt amazonienne est en réalité peuplée depuis 9 000 ans avant notre ère, par des habitants en grande interaction avec leur environnement. L’exposition présente des facettes d’une Amazonie contemporaine au travers des collections matérielles et immatérielles constituées par le musée entre 2018 et 2022 lors de trois missions de terrain chez nos partenaires Ashaninka, Kayapo Mebenkogre, Wayana et Apalaï. Leur parole guide le visiteur dans la découverte de leurs récits fondateurs, dans leurs connaissances de la forêt et dans leurs savoir-faire, comme dans leurs luttes pour la défense de leurs territoires.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

Trois siècles à l’Isle Adam
Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq, L’Isle-Adam : jusqu’au 8 mars 2026
À vingt-cinq kilomètres à vol d’oiseau de Paris, L’Isle-Adam se trouve aux portes du parc naturel régional du Vexin français, du Pays de France et du département de l’Oise. Qualifiée de « paradis terrestre » par Honoré de Balzac dans une lettre qu’il écrit à sa sœur en 1819, la ville bénéficie d’un environnement exceptionnel situé entre rivière et forêt domaniale.
Avec cette nouvelle exposition intitulée Trois siècles à L’Isle-Adam, le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq invite ses visiteurs à un voyage à travers l’histoire et le patrimoine de la cité adamoise et de son territoire. Organisé de manière chronologique et couvrant une période allant du XVIIIe au milieu du XXe siècle, le parcours s’articule autour des grandes thématiques représentées dans les collections du musée. L’histoire et l’évolution urbaine de L’Isle-Adam y sont évoquées, le passé industrieux de la ville est également mis en avant,…
L’exposition rassemble peintures, sculptures, aquarelles, gravures, affiches publicitaires, cartes postales et photographies anciennes, toutes issues du fonds du musée.
Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

Le mystère des anneaux par Laurent Ballesta
Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 12 avril 2026
Au large du Cap Corse, à 120 mètres de profondeur, plus de 1 400 anneaux d’une vingtaine de mètres de diamètre constituent un ensemble unique au monde. Formés par des algues calcaires âgées de 8 000 ans, ils abritent une biodiversité remarquable.
En 40 photographies et un film d’une dizaine de minutes, l’exposition relate les missions menées par le photographe Laurent Ballesta et une équipe de scientifiques, Gombessa 6, entre 2021 et 2024. Le parcours s’accompagne d’une composition sonore favorisant l’immersion des visiteurs dans cet univers marin.
Les images illustrent la vaste plaine où se dessinent les anneaux à perte de vue, leur géométrie parfaite, la vie qui s’épanouit en leur coeur, mais également les menaces qui pèsent sur ces écosystèmes. Le bleu des profondeurs vertigineuses alterne avec les couleurs et la délicatesse des habitants qui peuplent ces anneaux, en offrant une représentation poétique et naturaliste.
Au-delà de la beauté des fonds marins, l’exposition raconte les techniques novatrices de plongée mises en oeuvre par ces expéditions et partage les anecdotes de Laurent Ballesta et de son équipe.
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

Vivre ou survivre. Travail et pauvreté aux 19e et 20e siècles
Archives nationales du monde du travail à Roubaix : jusqu’au 31 mai 2026
Des décennies après les créations successives de la Sécurité sociale, de l’assurance chômage et du Revenu d’insertion minimum, ce sont encore près de 14% des Français qui vivent sous le seuil de pauvreté. Comment expliquer que ces inégalités et la précarité demeurent ? Comment s’est construit le modèle de protection sociale des Français, depuis les prémices de l’assistance au 19e siècle jusqu’à l’instauration de l’ « État-providence » au 20e siècle ?
L’année 2025 marquera l’anniversaire de plusieurs associations représentatives de la lutte contre la précarité comme le Secours populaire et les Restos du cœur. Les ANMT, qui conservent leurs archives, ont choisi de s’intéresser aux liens entre travail et pauvreté pour leur prochaine exposition. À travers un riche corpus documentaire et iconographique, l’exposition tente de comprendre comment et pourquoi la pauvreté en France touche les travailleurs, en particulier depuis la révolution industrielle. Elle met en évidence les conséquences sur les individus concernés, avec des focus sur le nord de la France. Divisée en plusieurs parties thématiques (les revenus, le chômage, le logement, la santé, la consommation, la culture…) l’exposition revient sur les politiques publiques et les actions d’initiative privée mises en œuvre pour tenter de prévenir la précarité, d’assister ceux qui en ont besoin ou de pallier les situations de misère qui impactent villes et campagnes, enfants et adultes, hommes et femmes, français et immigrés, pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et des chômeurs.
Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19