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Mahjoub Ben Bella, céramiste

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 28 septembre 2025

La céramique de l’artiste franco-algérien Mahjoub Ben Bella (1946-2020) développe un langage plastique abstrait et coloré autour de motifs et d’une calligraphie très libre aux réminiscences orientales. Ces oeuvres entrent en parfaite résonance avec l’exposition agnès b. On aime le graff !! Grâce au soutien des Amis du musée, et aux dons de sa famille, La Piscine présente ainsi à l’été 2025 un ensemble exceptionnel de céramiques de cet artiste polyvalent et curieux.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Vêtements bavards

La Piscine, Roubaix : du 27 juin au 28 septembre 2025

Artiste aux multiples terrains de jeux, Mahjoub Ben Bella collabore avec La Redoute au début des années 2000, faisant voyager son écriture de la toile de ses peintures à celle des robes et chemises de la créatrice belge Souâd Feriani. Ce motif-signature est le point de départ de ce nouvel accrochage des cabines Mode de La Piscine, où le vêtement se pare de mots qui décorent, définissent, suggèrent et clament.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rodin et Bourdelle. Corps à corps

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : du 27 juin au 19 octobre 2025

En coproduction avec le musée Bourdelle de Paris (02.10.2024 au 02.02. 2025), le musée de la Piscine de Roubaix (01.03-01.06.2025) et le musée Rodin.


La confrontation de ces deux sculpteurs, chacun tour à tour les plus célèbres de leur temps, n’a encore jamais été organisée. L’exposition retracera les étapes de leur relation faite d’abord de l’admiration du jeune Bourdelle à l’égard de son maître Rodin, puis d’une nécessaire distanciation et enfin de retrouvailles d’égal à égal qui permettront à Rodin de fermer l’histoire de la sculpture du XIXe siècle et à Bourdelle de l’ouvrir vers l’avenir.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Cezanne au Jas de Bouffan

Cezanne 2025
Musée Granet, Aix-en-Provence : du 28 juin au 12 octobre 2025

La Ville d’Aix-en-Provence propose, à partir du mois de juin 2025, un grand évènement dédié au peintre Paul Cezanne, avec notamment, l’ouverture au public de la bastide du Jas de Bouffan, acquise par le père de l’artiste en 1859. Cette bastide située en bordure Ouest du centre ville a été pour Cezanne plus qu’une demeure familiale dont il devra pourtant se départir à contre-coeur en 1899. C’est là qu’il a peint ses premières oeuvres à l’âge de 20 ans et dont il reste encore aujourd’hui des fragments récemment découverts dans le « Grand Salon » ; c’est là aussi que son père lui installe un atelier au deuxième étage, éclairé par une grande verrière fendant la toiture d’où sortiront ses plus grands chefs d’oeuvre.
De ces 40 ans passés dans la demeure familiale entourée de 15 ha de vignes et de vergers, vont naître natures mortes, joueurs de cartes, baigneurs et baigneuses, portraits et autoportraits que le musée Granet va proposer dans une grande exposition du 28 juin au 12 octobre 2025.
Plus de 100 oeuvres, huiles sur toile, dessins et aquarelles feront ainsi le lien avec sa bastide familiale restaurée ainsi que son parc, dont il reste aujourd’hui près de 5 ha quasi intacts. Ces oeuvres inestimables viennent du monde entier, à la fois des grands musées français notamment du musée d’Orsay mais aussi de Bâle, Chicago, Harvard, Londres, Los Angeles, New York, Ottawa, Tokyo, Zurich…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Agnès Varda. Je suis curieuse. Point

Musée Soulages, Rodez : du 28 juin 2025 au 4 janvier 2026

En 2025, la mer Méditerranée arrive à Rodez avec son horizon, bleu et calme, ses plages, son petit peuple de pêcheurs, ses jouets en plastique, ses cabanons, ses manifestations, – en somme sa vie mouvante et le portrait qu’Agnès Varda en a fait pendant toutes ces années et le tendre souvenir qu’elle laisse en chacun de nous.

Agnès Varda (1928-2019) est une figure majeure du cinéma et de la photographie, s’illustrant sur le tard dans le domaine des arts plastiques. Le musée Soulages a décidé de lui rendre un hommage en été 2025.
Le projet d’exposition du musée Soulages joue sur le lien amical entre Pierre et Colette Soulages et Agnès Varda à Sète, lien qu’elle immortalisa dans Les Plages d’Agnès : le musée Soulages possède en effet un certain nombre de photographies du peintre réalisées par la cinéaste et son équipe de tournage. Un entretien de Soulages au sujet de ses peintures Outrenoir est diffusé dans les salles permanentes du musée. Leur rencontre amicale et instructive, offre un bel accompagnement à nos visiteurs.
D’une certaine manière, nous voulions poursuivre l’échange, l’ouvrir en grand à Rodez avec la présentation de l’oeuvre de Varda. Nous voulons mettre en valeur Agnès Varda dans sa grande curiosité : associer librement son fonds photographique autour du tournage de La Pointe Courte (compostions sur le monde du port, des pêcheurs, de la Méditerranée) aux constructions de cabanes, et nombreuses évocations de la mer et des plages dans son oeuvre d’artiste visuelle : Bord de mer (2009), La petite mer immense (2003), Ping-Pong Tong (2005-2006), Le dépôt de la Cabane de Plage (2011), La Cabane du Bonheur (2018), et autres photographies couleur inédites de Noirmoutier et de ses cabanes de pêcheurs. Cette association de photographies en noir et blanc, en couleur, d’objets et d’installations filmiques, composent un itinéraire inédit, une scénographie déroulée en histoire.
La photographie singulièrement muette des premiers temps, se prolongera avec de l’écriture visuelle ou non, des objets… Elle représente une part de Varda, un trait majeur de son modus operandi.
L’exposition incarnera ses recherches et ses passions d’artiste. Nous associerons à l’ensemble de l’exposition un environnement familier c’est-à-dire des oeuvres du peintre et ami Pierre Soulages, du sculpteur Alexander Calder, des oeuvres de Valentine Schlegel, de l’artiste-voyageur JR. Un clin d’oeil sera fait au photographe primitif de la mer et du ciel, Gustave le Gray (1820- 1884)…

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Les Nocturnes

Parc zoologique de Paris : tous les jeudis, du 10 juillet au 14 août 2025
Silent zoo : les 17 juillet et 7 août

Les célèbres Nocturnes du Parc zoologique de Paris reviennent pour une nouvelle édition afin de permettre aux visiteurs de découvrir le Parc et ses animaux à la tombée de la nuit, dans une ambiance festive et conviviale.
Sans oublier les Silent Zoo qui reviennent pour deux soirées spéciales le 17 juillet et le 7 août, pour danser et écouter de la musique de manière silencieuse en compagnie des animaux.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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L’Odyssée Intérieure

Une installation collective et évolutive conçue par le collectif Mister Freeze
Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’au 19 octobre 2025

Depuis sa réouverture en 2019, le musée Ingres Bourdelle propose à des artistes contemporains d’investir le second sous-sol de l’ancien palais épiscopal. Cette année les lieux seront confiés au collectif d’art urbain Mister Freeze.
L’odyssée Intérieure est un projet collectif qui fédère un large réseau d’artistes et d’acteurs culturels de la scène du street art. Tour à tour et au fil des mois, les artistes se succèderont et chacun réalisera une double page d’un livre monumental installé dans la salle du Prince Noir. Protéiformes, (peintures, papiers découpés, dessins) ces interventions constitueront chacune une partie d’une histoire commune dont le récit est celui d’un enfant, adulte en devenir, figure symbolique incarnant la quête et la transformation.
Six temps forts conçus comme des étapes évolutives animeront ce projet. Chaque page tournée sera l’occasion d’un rendez-vous avec le public qui pourra être accompagné d’un événement : rencontres, ateliers, performances, invitant ainsi les visiteurs à suivre l’évolution de l’a narration’histoire racontée.
Avec : Cédric Reso, Julia Forma, Marie et Clément, Tank et Popek

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Monaco & les Napoléon(s) – Destins croisés

Grimaldi Forum, Monaco : du 11 juillet au 31 août 2025

Pour raconter le siècle de deux destinées croisées, celle de la dynastie napoléonienne et celle des princes de Monaco, près de deux cents objets, dont un grand nombre présentés pour la première fois, sont réunis, le temps d’un été, au Grimaldi Forum de Monaco.
Grâce à des pièces exceptionnelles, l’exposition met en scène les moments clefs de la vie de personnages emblématiques de l’histoire, de l’amour passion entre Napoléon et Joséphine aux immenses chagrins de l’impératrice Eugénie. La scénographie de cette exposition s’attache tout particulièrement à suggérer l’ambiance des palais impériaux, fastueuse mais aussi intime, puisque on y voit des bijoux de Joséphine, des tabatières, des objets personnels, veillés par des portraits inédits
de la famille princière, prêtés par une branche collatérale des Grimaldi, aujourd’hui allemande.
Commissaires de l’exposition: Pierre Branda – Directeur scientifique de la Fondation Napoléon et Thomas Fouilleron – Directeur des Archives et de la Bibliothèque, Palais princier de Monaco

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny

jusqu’au 1er novembre 2025

« L’autre oeuvre de lumière de Claude Monet »

Après leur traditionnelle trêve hivernale, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes le 1er avril 2025.
Propriété de l’Académie des Beaux-Arts, la Maison et les Jardins de Claude Monet à Giverny offrent une immersion unique dans le cadre de vie et de création de Claude Monet qui s’y installe en 1883. Peintre du plein air et virtuose de la couleur, Claude Monet, le charismatique chef de file du courant impressionniste était aussi un inventif jardinier qui composa son jardin comme une oeuvre d’art…
Restaurés avec minutie par une équipe de jardinier qui oeuvrent toute l’année, la maison et ses jardins conservent leur éclat d’origine, plongeant les visiteurs dans l’intimité du peintre. Aujourd’hui, ce site emblématique attire des passionnés du monde entier, faisant rayonner l’héritage de Monet bien au-delà de Giverny.
Après le décès de Monsieur Hugues R. Gall qui a dirigé l’institution depuis 2008, Monsieur Alain Charles Perrot, membre de la section d’architecture de l’Académie des Beaux-Arts, a été élu par ses consoeurs et confrères aux fonctions de directeur de la Maison et des jardins de Claude Monet – Giverny le 19 juin 2024.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Sur la piste des intelligences animales 

Parc zoologique de Paris : jusqu’au 2 novembre 2025

Du 5 avril au 2 novembre 2025, le Parc zoologique de Paris révèle aux visiteurs les capacités cognitives extraordinaires des animaux. Prenez date pour explorer un parcours thématique inédit ! Insoupçonnées, variées, étonnantes, amusantes, les capacités cognitives des insectes, céphalopodes, batraciens, oiseaux ou encore mammifères, ont de quoi surprendre. Le Parc propose une panoplie d’activités pour s’interroger et s’éveiller davantage à l’ingéniosité du vivant. La redécouverte de nombreux pensionnaires du zoo par ce prisme pourrait bien bouleverser le rapport de chacun et chacune à la faune.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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VISAGES. L’art du portrait grec et romain dans les collections du musée du Louvre

Musée Fenaille, Rodez : jusqu’au 2 novembre 2025

Cette exposition organisée avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre plongera le visiteur dans une exploration de l’art du portrait qui s’est épanoui dans les mondes grec et romain. Servie par une sélection exceptionnelle, elle interrogera sa place dans les sociétés antiques.
Le portrait est un art majeur de l’Antiquité gréco-romaine. Il a concentré l’attention d’artistes et d’artisans maîtrisant des techniques très diverses et jouait dans les sociétés des rôles tout aussi variés. Images du pouvoir, supports de mémoire, offrandes aux divinités, ces portraits donnent aujourd’hui un visage, ou plutôt une multitude de visages, aux civilisations de l’Antiquité classique. Mais quels visages ? Le portrait est une élaboration artistique, pas une photographie du réel, malgré l’importance pour les artistes des recherches de la mimésis, l’imitation concrète des choses du monde.
L’exposition proposera une vision renouvelée de l’art du portrait dans l’Antiquité en s’intéressant à trois grandes questions issues des recherches actuelles sur la question : comment le genre du portrait se définit-il en termes de moyens artistiques ? Quelles fonctions remplit-il dans l’Antiquité classique ? Comment devient-il un moyen privilégié d’expression du pouvoir à partir de l’époque hellénistique ?

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Eugène Leroy, 1980-2000

MUba Eugène Leroy, Tourcoing : du 2 octobre 2025 au 5 avril 2026

« À l’automne de ma vie »
« J’ose employer le mot «harmonie» car harmonie, c’est aussi cette solidité, cette saturation, et la possibilité d’être touché. Tout ce que je fais, c’est pour qu’à un moment donné ce que je réalise touche les autres, les rendent tranquilles et heureux, comme moi-même j’éprouve une petite satisfaction après avoir été longtemps insatisfait » (Eugène Leroy à Alain Buisine, 1991).
« Eugène Leroy, 1980-2000 » explore la création des vingt dernières années de la vie de l’artiste (1910-2000). À travers une soixantaine de peintures et de dessins exécutés entre 1980 et 2000 provenant de la collection du MUba et de prêts extérieurs, cette exposition inédite exalte la liberté de Leroy – alors âgé de 70 à 90 ans – et sa profusion créatrice, « loin des courants et des modes » selon ses propres termes.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Sorcières (1862-1914)

Musée de Pont-Aven : jusqu’au 16 novembre 2025

Au coeur de notre imaginaire collectif, les sorcières ont longtemps incarné l’allégorie de la vieillesse, de la mort, du vice et du mal. Elle sont associées au spirituel, à la nature, à ce qui fait peur et que l’on ne maîtrise pas. Mais 1862 marque une rupture avec la publication de La Sorcière de l’historien Jules Michelet : la sorcière devient alors à la fois un emblème de révolte, de connaissance et d’harmonie avec les éléments naturels, posant les bases de l’éco-féminisme. Réenchantée, elle devient le symbole de la lutte des opprimés contre l’arbitraire. Ambivalente, la sorcière cristallise les fantasmes masculins sous forme d’icône érotisée dotée d’une éternelle jeunesse s’opposant ainsi à la vieille femme laide des contes et illustrations. Pour des artistes majoritairement masculins, la sorcière évoque l’autre et l’inconnu, avec sa part d’attraction et de menace. Dans une société patriarcale où la femme est considérée comme mineure, la sorcière personnifie la femme forte, qui menace l’ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Elle incarne la résistance face aux pouvoirs dominants.
L’exposition fait dialoguer les arts au sein d’un parcours qui fait la part belle aux arts graphiques, à la peinture, sculpture, photographie, cinéma ainsi qu’à la musique, la danse et la littérature.

Exposition en partenariat avec la musée d’Orsay.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
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Odette Pauvert

La Piscine, Roubaix : du 11 octobre 2025 au 11 janvier 2026

Injustement oubliée, Odette Pauvert (1903-1966) connaît dans les Années folles une ascension fulgurante. Elle est en 1925 la première femme à obtenir le Grand Prix de Rome en peinture, consécration suprême pour tout artiste se destinant à une carrière officielle. Cette exposition suivra l’itinéraire singulier d’une artiste qui, de Paris à Rome en passant par l’Espagne ou la Grèce, poursuit pendant toute sa carrière une ambition résolument classique et décorative.
Organisée en partenariat avec la Villa Médicis à Rome et en relation avec la famille de l’artiste, cette rétrospective est pour La Piscine la marque d’un engagement fort de célébrer les artistes femmes.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Zombis. La mort n’est pas une fin ?

Musée des Confluences, Lyon : du 17 octobre 2025 au 16 août 2026

À la croisée du royaume des morts et de celui des vivants, la figure du zombi a fortement imprégné la culture populaire et le cinéma dans le monde entier. Mais son origine demeure largement méconnue du grand public. Le zombi est apparu en Haïti aux alentours du 17e siècle, dans le contexte de la traite négrière transatlantique. Il est issu de la rencontre de pratiques magico-religieuses de l’Afrique subsaharienne, d’éléments du catholicisme romain et de la maitrise des poisons par les peuples autochtones de la Caraïbe. Jugés par des sociétés secrètes du vaudou haïtien, les condamnés à la zombification sont drogués et enterrés vivants avant d’être exhumés et ranimés sous la forme de zombis par leur futur maître. Cette peine ultime est aujourd’hui encore la source de croyances vivaces.
L’exposition présente différents objets liés à ce rituel en Haïti ainsi qu’à ses racines africaines et précolombiennes. Elle explore également sa transposition dans le domaine de la fiction (cinéma, littérature, comics). Zombis. La mort n’est pas une fin ? interroge ainsi la réalité anthropologique de cette figure complexe.
L’exposition Zombis. La mort n’est pas une fin ? est conçue et réalisée par le musée du quai Branly – Jacques Chirac et adaptée par le musée des Confluences.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Un fossile exceptionnel de crocodile exposé pour la première fois

À découvrir au musée de Lodève du 18 octobre 2025 au 15 mars 2026

Quatre saisons de fouilles. Six mois de restauration.
Le Musée de Lodève révélera au public en octobre prochain un fossile exceptionnel du Jurassique (180 millions d’années) : le squelette quasi complet et en connexion anatomique d’un crocodile de près 5 mètres de long. A ce jour, c’est le premier spécimen datant du Toarcien découvert en France.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Anatomie comparée des espèces imaginaires

Musée de Lodève : du 18 octobre 2025 au 15 mars 2026

Films, BD, comics… les univers fictionnels regorgent d’êtres imaginaires qui empruntent leurs caractéristiques fantastiques à des espèces bien réelles. Des dragons de la mythologie à notre voisin Totoro, du monstre d’Alien à la sirène, l’exposition Anatomie comparée des espèces imaginaires est l’opportunité de découvrir l’anatomie comparée et les sciences de l’évolution (paléontologie, biologie…) à travers l’analyse rigoureuse mais amusante d’espèces fantastiques.

Le Musée de Lodève profite de cette exposition pour dévoiler une pièce unique de sa collection : le squelette fossile d’un crocodile vieux de 180 millions d’années.
Mesurant près de 5 mètres de long, quasi-complet, ce crocodile est une découverte archéologique majeure dans l’Hérault (voir le communiqué page suivante). Il vient d’être restauré et n’a jamais été présenté au public.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trop forts !

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 31 décembre 2025

Dans le désert, sous un froid glacial, ou encore en haute montagne, certaines espèces animales sont capables de vivre dans des milieux extrêmes. L’exposition, imaginée pour les enfants de 8 à 12 ans, emmène tous les grands curieux sur les traces de ces animaux aux capacités étonnantes. Vivre sans jamais boire, respirer à 10 000 m d’altitude ou pouvoir être entièrement pris dans la glace : si ces aptitudes semblent défier notre compréhension, elles inspirent les scientifiques et pourraient permettre de grandes innovations.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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Afrosonica. Paysages sonores

MEG, Musée d’Ethnographie de Genève : jusqu’au 4 janvier 2026

L’exposition du MEG « Afrosonica. Paysages sonores » invite à découvrir l’importance de la musique et du son en Afrique et dans le monde.
Cette exposition immersive explore les sons, les gestes et l’impact culturel de la musique africaine, offrant un voyage multisensoriel à travers les traditions sonores évolutives du continent. Afrosonica. Paysages sonores invite le public à découvrir la signification spirituelle, sociale et politique de la musique africaine, passée et présente, en retraçant son influence mondiale à travers la diaspora. À partir du 16 mai 2025, l’exposition présente une vingtaine d’artistes, principalement originaires d’Afrique et de la diaspora.
Cette exposition est co-organisée par Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), conservateur, artiste, compositeur et DJ.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
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Yiqing Yin. D’air et de songes

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : jusqu’au 4 janvier 2026


Yiqing Yin, première créatrice d’origine chinoise à recevoir l’appellation haute couture, est une artiste pluridisciplinaire. À la croisée des arts, ses œuvres sculpturales et évanescentes tissent un dialogue entre la fragilité de l’humain et la force transformatrice de la nature. Grand couturier, directrice artistique, créatrice de costumes et muse, Yiqing Yin incarne tour à tour des rôles multiples dans l’univers de la création.
Sous la curation de Sylvie Marot, cette exposition consacrée à Yiqing Yin met en lumière l’hybridation de ses disciplines artistiques, entre rêve et exploration des sens.
Le parcours invite à pénétrer au cœur du processus créatif, à saisir l’idée avant même la robe. Le hasard, l’inattendu et l’indéterminé sont les forces motrices du voyage sensoriel où l’œuvre se révèle… L’artiste puise son inspiration dans le minéral, le végétal et l’animal, élaborant ainsi une poétique du vivant qui tisse le fil rouge de l’exposition. Chaque création se révèle comme un paysage onirique, où rêve et éveil des sens s’entrelacent en une esthétique de la métamorphose.
Robes haute couture, images (photographies, films, dessins), textures sonores (murmures littéraires, bruissement d’air), sillages olfactifs rythment ce parcours immersif, invitant le visiteur à une exploration intime de son imaginaire.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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À corps

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’ au 4 janvier 2026

La nouvelle exposition du MusVerre explore les facettes du corps humain revisité par les artistes verriers et plasticiens : en mouvement ou au repos, du détail à l’ensemble, du trivial au sublime. La visite propose de se pencher sur les subtiles mécaniques du vaisseau charnel. C’est une occasion d’en admirer les rouages, d’en reconnaître les limites aussi bien que les mérites, et, peut-être, d’apprivoiser davantage cet organisme à la fois complexe et merveilleux.
Par une diversité de points de vue, l’exposition nous invite à un examen minutieux, presque radioscopique, de l’organisme humain ; son parcours propose un cheminement allant du corps trivial vers le sublime.
La première partie nous plonge dans l’intimité du genre humain et s’intéresse à sa représentation quotidienne, banale et prosaïque. Les corps sont dénudés, rendus visibles et dévoilés aux spectateurs dans toute leur vérité physique et leur vulnérabilité. Le parcours se poursuit par l’étude mathématique du corps, sa fragmentation et sa mise en mouvement pour aboutir à sa représentation dans l’espace public. Passant de l’ombre à la lumière, le second temps de l’exposition nous amène à découvrir des êtres sublimés, glorifiés, voire métaphoriques. Échappant à la tyrannie du corps physique, les artistes nous offrent un tableau plus sensible et poétique de l’enveloppe charnelle. Magnifié, voire rêvé, il devient le support d’un message, d’un symbole et d’un idéal. C’est dans une approche quasi introspective que les artistes nous invitent à un examen de soi.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Des chevaux et des hommes

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 5 janvier 2026

À partir du 12 avril 2025, l’exposition « Des Chevaux et des Hommes » au musée de la Grande Guerre, abordera le sujet du sort de ces animaux dans le conflit, ainsi que les relations avec les hommes qui dépassent le strict usage militaire. Cette exposition donnera à voir la fraternité dans l’horreur entre les hommes et bêtes condamnés à vivre ensemble, confrontés à un même destin.

Si la Grande Guerre mobilise des millions d’hommes, elle engage également des millions d’animaux, particulièrement des équidés – chevaux, ânes, mulets. Au cœur de cette guerre où l’artillerie et les techniques nouvelles dominent, les combattants ont recours aux chevaux pour transporter troupes et matériels, pour la cavalerie et l’artillerie. La présence des chevaux, leur engagement, leur souffrance accompagnent celles des hommes dans une communauté de sort. Au total, les armées françaises incorporent près de 1,9 millions de chevaux et mulets (11 millions pour l’ensemble des belligérants) et le total des pertes de ces effectifs équins atteint 1,14 million.

L’histoire commune des hommes et des chevaux dans la Grande Guerre n’a jamais été présentée dans une exposition : il revenait au musée de la Grande Guerre de le faire.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Amazonies

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 8 février 2026

Longtemps réduite à l’image d’une « forêt vierge », inhospitalière et impénétrable à l’influence humaine, la forêt amazonienne est en réalité peuplée depuis 9 000 ans avant notre ère, par des habitants en grande interaction avec leur environnement. L’exposition présente des facettes d’une Amazonie contemporaine au travers des collections matérielles et immatérielles constituées par le musée entre 2018 et 2022 lors de trois missions de terrain chez nos partenaires Ashaninka, Kayapo Mebenkogre, Wayana et Apalaï. Leur parole guide le visiteur dans la découverte de leurs récits fondateurs, dans leurs connaissances de la forêt et dans leurs savoir-faire, comme dans leurs luttes pour la défense de leurs territoires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Le mystère des anneaux par Laurent Ballesta

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 12 avril 2026

Au large du Cap Corse, à 120 mètres de profondeur, plus de 1 400 anneaux d’une vingtaine de mètres de diamètre constituent un ensemble unique au monde. Formés par des algues calcaires âgées de 8 000 ans, ils abritent une biodiversité remarquable.
En 40 photographies et un film d’une dizaine de minutes, l’exposition relate les missions menées par le photographe Laurent Ballesta et une équipe de scientifiques, Gombessa 6, entre 2021 et 2024. Le parcours s’accompagne d’une composition sonore favorisant l’immersion des visiteurs dans cet univers marin.
Les images illustrent la vaste plaine où se dessinent les anneaux à perte de vue, leur géométrie parfaite, la vie qui s’épanouit en leur coeur, mais également les menaces qui pèsent sur ces écosystèmes. Le bleu des profondeurs vertigineuses alterne avec les couleurs et la délicatesse des habitants qui peuplent ces anneaux, en offrant une représentation poétique et naturaliste.
Au-delà de la beauté des fonds marins, l’exposition raconte les techniques novatrices de plongée mises en oeuvre par ces expéditions et partage les anecdotes de Laurent Ballesta et de son équipe.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
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Vivre ou survivre. Travail et pauvreté aux 19e et 20e siècles

Archives nationales du monde du travail à Roubaix : jusqu’au 31 mai 2026

Des décennies après les créations successives de la Sécurité sociale, de l’assurance chômage et du Revenu d’insertion minimum, ce sont encore près de 14% des Français qui vivent sous le seuil de pauvreté. Comment expliquer que ces inégalités et la précarité demeurent ? Comment s’est construit le modèle de protection sociale des Français, depuis les prémices de l’assistance au 19e siècle jusqu’à l’instauration de l’ « État-providence » au 20e siècle ?

L’année 2025 marquera l’anniversaire de plusieurs associations représentatives de la lutte contre la précarité comme le Secours populaire et les Restos du cœur. Les ANMT, qui conservent leurs archives, ont choisi de s’intéresser aux liens entre travail et pauvreté pour leur prochaine exposition. À travers un riche corpus documentaire et iconographique, l’exposition tente de comprendre comment et pourquoi la pauvreté en France touche les travailleurs, en particulier depuis la révolution industrielle. Elle met en évidence les conséquences sur les individus concernés, avec des focus sur le nord de la France. Divisée en plusieurs parties thématiques (les revenus, le chômage, le logement, la santé, la consommation, la culture…) l’exposition revient sur les politiques publiques et les actions d’initiative privée mises en œuvre pour tenter de prévenir la précarité, d’assister ceux qui en ont besoin ou de pallier les situations de misère qui impactent villes et campagnes, enfants et adultes, hommes et femmes, français et immigrés, pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et des chômeurs.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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