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Angkor, Bronzes royaux d’Angkor

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 30 avril au 8 septembre 2025

L’exposition-événement Bronzes royaux d’Angkor, présentée au musée national des arts asiatiques – Guimet du 30 avril au 8 septembre 2025, offre un voyage exceptionnel à la découverte de la technique ancienne et sacrée du bronze, au coeur d’une capitale inscrite au Patrimoine de l’Humanité, dont la simple évocation fait rêver.
Parmi les 240 oeuvres qui composent cette exposition, 126 prêts exceptionnels proviennent du Musée national du Cambodge. Autour du Grand Vishnu du Mébon, ils réunissent des chefs-d’oeuvre de la statuaire de pierre et de bronze, des objets rituels et de mobilier, des éléments de décor architectural, auxquels sont associés photographies d’archive, moulages, documents graphiques et reconstitutions numériques 3D, pour une exposition exceptionnelle qui fera date.
6 institutions s’associent pour cette exposition internationale : le musée Guimet, le ministère de la Culture et des Beaux-Arts du Cambodge, le musée national du Cambodge, le C2RMF et l’EFEO ; avec le soutien exceptionnel d’ALIPH.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Écran total, par Corinne Vionnet

Musée de Pont-Aven : jusqu’au 4 mai 2025

L’exposition de l’artiste franco-suisse Corinne Vionnet intitulée « Écran Total » présente une centaine d’oeuvres issues de plusieurs séries, notamment Photo Opportunities, Me Here Now, Scenic Views, Total Palm Tree… Cette exposition monographique représente une étape importante dans la reconnaissance de son oeuvre.
Son travail est une réflexion sur le partage et la répétition des images, à l’heure du numérique, des réseaux sociaux et du tourisme de masse. Elle interroge le risque de l’épuisement du regard. Sa démarche artistique s’appuie sur le collage après un travail considérable de repérages et de recherches d’archives. Elle est l’une des premières artistes à avoir exploré et réutilisé les images partagées sur internet.
Pour cette exposition, Corinne Vionnet a créé deux oeuvres exclusives à partir de paysages bretons : la pointe de Pen hir (les fameux tas de pois) et la ville close de Concarneau.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Marc Riboud, Vietnam (1967-1976)

Musée national des arts asiatiques-Guimet : jusqu’au 12 mai 2025

A l’occasion des 50 ans de la fin de la guerre du Vietnam, l’association Les amis de Marc Riboud et le musée Guimet, qui conserve le fonds Riboud, s’associent pour présenter photographies et documents d’archives retraçant le travail de Marc Riboud au Vietnam (1967-1976).
Regardant aujourd’hui ses reportages qui documentent le Vietnam pendant près de dix ans, on reconnaît la « méthode » de Marc Riboud et son regard singulier. Il aimait revenir dans les pays qu’il avait visités. Il repérait les lieux et les habitudes, s’attachait aux gens, aimait les retrouver, comprendre leur pensée, voir comment évoluait leur vie. Il restait sur place autant qu’il le pouvait, interrogeant toutes sortes de personnes. Jamais il n’a été un photographe de guerre : quand l’on regarde ses reportages au Vietnam, ce ne sont pas les combats que l’on voit, mais la vie qui continue dans les ruines, les corps qui tentent de se reposer dans les refuges de fortune, les amoureux qui se retrouvent près des abris anti-bombes, la vivacité des enfants, la grâce des femmes. On découvre aussi le désespoir des veuves dans les temples ou dans les églises, le courage de ceux qui rebâtissent à mains nues, les digues ou des quartiers entiers en morceaux… C’est une vie bouleversée, blessée, mais une vie qui continue, tenace, envers et contre tout.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Geneviève Asse. Le bleu prend tout ce qui passe

Musée Soulages, Rodez : jusqu’au 18 mai 2025

Depuis les années 1970, Geneviève Asse peint en bleu. Sa palette va du bleu clair au bleu profond, c’est sa marque poétique et sa technique. Ce bleu n’est pas monochrome au sens strict, mais exprime la passion, l’empathie avec la mer et le ciel, avec l’infini. Le bleu sans cesse gagnera du terrain : « Le bleu prend tout ce qui passe » affirmera-t-elle. La lumière, fractionnée, diffusée, naissante… est la grande affaire de Geneviève Asse. C’est une lumière immanente, une sorte de paysage grand ouvert, horizontal. Le souvenir des toiles intitulées Fenêtres le rend vertical. Asse a fait des vitraux à Lamballe ; elle a conçu des pièces de porcelaine pour la Manufacture de Sèvres. Cela la rapproche de Soulages aimant varier les techniques et les expériences.
L’exposition du musée Soulages rassemblera environ 70 oeuvres, essentiellement des peintures sur toile et des oeuvres sur papier, des dessins et des estampes. Le commissariat en est assuré par Benoît Decron et Malika Noui, avec le soutien décisif du Fonds de dotation Geneviève Asse. Les prêts émanant de ce fonds seront complétés par le Centre Pompidou-musée national d’art moderne, la Fondation Gandur, le musée de Vannes, le musée des beaux-arts de Lyon, le musée des beaux-arts de Rennes, le musée de Grenoble, le MACVAL, par des galeries, celle d’Antoine Laurentin son dernier marchand notamment, la galerie Claude Bernard, par des collectionneurs (des pièces rares). Les carnets de la peintre, riches et variés, bénéficieront d’une présentation spécifique, une consultation numérique accessible au public. Ils sont des marqueurs chronologiques de son parcours pictural, un itinéraire précieux.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Monet – Debré : Entre Fog et Brume

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’au 18 mai 2025

Dans le cadre de l’évènement « 100 œuvres qui racontent le climat » organisé par le musée d’Orsay.

Une oeuvre majeure de l’exposition, Le Parlement de Londres de Claude Monet, généreusement prêtée par le musée d’Orsay, sera mise en dialogue avec Ocre rouge de Touraine d’Olivier Debré, une toile conservée dans les collections du musée Ingres Bourdelle.
Cette exposition est l’occasion pour le musée de mettre en lumière les liens entre art et environnement.

La toile de Monet, silhouette irréelle et fantomatique, dépeint le Parlement de Londres comme une apparition éthérée. L’architecture de pierre semble se dissoudre dans une brume dense où ciel et eau se confondent, dominés par des tons de mauve et d’orangé, appliqués en touches fragmentées pour rendre la densité de l’atmosphère brumeuse. En face, l’oeuvre d’Olivier Debré présente une peinture fluide et transparente, ponctuée de touches audacieuses et épaisses qui évoquent l’air, l’eau, la lumière et de vastes espaces, ceux de la Touraine et des bords de Loire, régions qui ont marqué l’oeuvre de ce grand nom de l’abstraction contemporaine.
Ces deux tableaux, l’un représentant un fleuve urbain et l’autre un fleuve sauvage, nous offrent deux atmosphères contrastées : l’une citadine et vaporeuse, l’autre poétique et lumineuse. Ensemble, ils interrogent la beauté fragile de la nature, aujourd’hui menacée par le changement climatique.
L’exposition invite ainsi à réfléchir à l’avenir des fleuves européens, confrontés aux défis du tourisme et de la pollution. Cette évocation résonne particulièrement à Montauban, où le Tarn serpente au pied du musée Ingres Bourdelle, symbolisant la réalité locale face aux enjeux environnementaux globaux.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Jacqueline et Paul Duchein, la Passion de collectionner

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’au 18 mai 2025

A l’occasion de la vente par Christie’s de la collection de Paul et Jacqueline Duchein en septembre dernier, la ville de Montauban a acquis pour le musée Ingres Bourdelle quelques œuvres représentatives des goûts de ce couple de collectionneurs passionnés. Celles-ci seront réunies sur un mur dans le plus pur esprit surréaliste cher au cœur de Paul Duchein. Ainsi se côtoieront un dessin de Braque dédicacé au tout jeune Lieutenant Paul Duchein, une paperolle évoquant la passion du couple pour les objets d’art populaire et un collage de Jacques Villeglé « Bob à Montauban, rue Gambetta – Montauban » ainsi qu’un album acquis par la Société des Amis du musée Ingres Bourdelle, dans lequel Paul Duchein avait rassemblé ses échanges épistolaires avec les artistes qu’il admirait.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Le Vœu de Louis XIII, Naissance d’une œuvre

Musée Ingres Bourdelle, Montauban : jusqu’au 18 mai 2025

Le musée Ingres Bourdelle qui a eu l’opportunité d’acquérir récemment, en juin dernier, une esquisse ayant servi à l’élaboration du Voeu de Louis XIII peint en 1824 pour la cathédrale de Montauban, propose de contextualiser cette ravissante étude pour l’enfant Jésus par une exposition réunissant une cinquantaine des plus belles études dessinées du fonds du musée pour ce chef d’oeuvre d’Ingres. Ce dernier fera en parallèle l’objet d’un dépôt exceptionnel consenti au musée par l’Etat et
la DRAC Occitanie durant les travaux de la cathédrale fermée depuis plus de 5 ans.
En collaboration avec le CNAP, la Direction régionale des affaires culturelles Occitanie.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trésors du Petit Palais de Genève

Fondation de l’Hermitage, Lausanne : jusqu’au 1er juin 2025

Au printemps 2025, la Fondation de l’Hermitage accueille les chefs-d’œuvre du Petit Palais de Genève, une collection impressionniste et postimpressionniste particulièrement originale. Réuni à partir des années 1950 par Oscar Ghez, cet ensemble témoigne d’un esprit de collectionneur remarquablement libre. L’industriel s’intéressa avec une grande curiosité à la peinture de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle, sans limiter ses choix aux grands maîtres (Renoir, Manet…) mais également de toiles somptueuses d’artistes moins connus alors (Caillebotte, Valadon, Angrand…).
Depuis la fermeture au public du Petit Palais de Genève en 1998, les œuvres ne sont plus visibles que par des prêts à des expositions temporaires ou des tournées de la collection hors de Suisse. Articulée autour des grands courants artistiques qui structurent l’ensemble, la présentation à la Fondation de l’Hermitage constituera donc un événement : une occasion unique de (re)découvrir ses chefs-d’œuvre et de percevoir la richesse et l’audace de cette collection suisse de premier plan.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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L’Odyssée Intérieure

Une installation collective et évolutive conçue par le collectif Mister Freeze
Musée Ingres Bourdelle, Montauban : du 7 mai au 18 octobre 2025

Depuis sa réouverture en 2019, le musée Ingres Bourdelle propose à des artistes contemporains d’investir le second sous-sol de l’ancien palais épiscopal. Cette année les lieux seront confiés au collectif d’art urbain Mister Freeze.
L’odyssée Intérieure est un projet collectif qui fédère un large réseau d’artistes et d’acteurs culturels de la scène du street art. Tour à tour et au fil des mois, les artistes se succèderont et chacun réalisera une double page d’un livre monumental installé dans la salle du Prince Noir. Protéiformes, (peintures, papiers découpés, dessins) ces interventions constitueront chacune une partie d’une histoire commune dont le récit est celui d’un enfant, adulte en devenir, figure symbolique incarnant la quête et la transformation.
Six temps forts conçus comme des étapes évolutives animeront ce projet. Chaque page tournée sera l’occasion d’un rendez-vous avec le public qui pourra être accompagné d’un événement : rencontres, ateliers, performances, invitant ainsi les visiteurs à suivre l’évolution de l’a narration’histoire racontée.
Avec : Cédric Reso, Julia Forma, Marie et Clément, Tank et Popek

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Elsa Sahal : Pool Dance

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 1er juin 2025

Initiée au modelage de la terre, qui permet métamorphoses et expressions du corps, Elsa Sahal incarne le renouveau de la sculpture en céramique. Sa série des « Pole Dance », rebaptisée pour La Piscine, s’inspire des poses lascives et tournoyantes de cette discipline aérienne, mais aussi de l’observation des esquisses de Rodin. La sculpture décomplexée d’Elsa Sahal, dont l’art mêle liberté d’expression et humour, entre ainsi en parfaite résonance avec l’exposition Rodin/ Bourdelle. Corps à corps.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rodin/Bourdelle. Corps à corps

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 1er juin 2025

Bourdelle admira Rodin. Rodin soutint Bourdelle qui fut son praticien, et perçut en lui son héritier. Deux artistes liés par une amitié et une admiration réciproques dont les carrières, mais aussi les vies, furent entremêlées.
Rassemblant plus de 170 oeuvres (sculptures, dessins, mais aussi photographies et archives), ce face-à-face entre deux grands maîtres de la sculpture donne à voir, avec une ambition et une ampleur inédite, près de 50 ans de création commune ou croisée.
Cette exposition a été initiée et conçue par le musée Bourdelle/Paris Musées et le musée Rodin. Elle est organisée en collaboration entre le musée Bourdelle/Paris Musées, le musée La Piscine de Roubaix et le musée Ingres Bourdelle de Montauban.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Sens dessus/dessous

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 8 juin 2025

Vêtements de dessous, vêtements de dessus, habits de l’intimité se révélant au grand public : la confusion règne au fil des époques. Les cabines Mode de La Piscine décryptent l’art du déshabillé à travers des tenues issues des collections du musée.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Afrosonica. Paysages sonores

MEG, Musée d’Ethnographie de Genève : du 16 mai 2025 au 4 janvier 2026

L’exposition du MEG « Afrosonica. Paysages sonores » invite à découvrir l’importance de la musique et du son en Afrique et dans le monde.
Cette exposition immersive explore les sons, les gestes et l’impact culturel de la musique africaine, offrant un voyage multisensoriel à travers les traditions sonores évolutives du continent. Afrosonica. Paysages sonores invite le public à découvrir la signification spirituelle, sociale et politique de la musique africaine, passée et présente, en retraçant son influence mondiale à travers la diaspora. À partir du 16 mai 2025, l’exposition présente une vingtaine d’artistes, principalement originaires d’Afrique et de la diaspora.
Cette exposition est co-organisée par Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), conservateur, artiste, compositeur et DJ.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Nouvelles salles : Auguste Rodin, sculpteur des Bourgeois de Calais

Musée des Beaux-Arts, Calais : à partir du 17 mai 2025

Le musée des Beaux-Arts de Calais a entrepris depuis quelques années le renouvellement de ses espaces d’accueil et d’expositions. Après la transformation du hall, de la salle d’exposition temporaire en parcours permanent des collections Beaux-Arts en 2023, le musée prépare pour 2025 la refonte complète de la galerie consacrée au sculpteur Auguste Rodin.
Le réaménagement de cette galerie revêt une importance particulière pour le musée, historiquement très lié à la figure de Rodin. Celui-ci a en effet répondu à la commande de la Ville de Calais en 1885 pour la réalisation du célèbre Monument aux Bourgeois de Calais, encore visible aujourd’hui sur la place de l’hôtel de Ville. Par ailleurs, le musée entretient depuis plusieurs décennies un partenariat privilégié avec le musée Rodin, à Paris, et est dépositaire de plusieurs de ses oeuvres. Enfin, Rodin est considéré comme le père de la sculpture moderne, or les collections du musée de Calais sont particulièrement riches de cette thématique.
La galerie Rodin réinventée complète le nouveau parcours des collections et introduit les salles dédiées à l’histoire du territoire calaisien. Pensée comme un espace autonome, elle permet en outre d’accueillir des groupes touristiques qui souhaitent une introduction à la découverte de la ville.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Brueghel & Van Balen, artistes & complices

Musée de Flandre, Cassel : du 17 mai au 28 septembre 2025

En 2025, à l’occasion du 400ème anniversaire de sa mort, le musée de Flandre rend hommage à l’un des plus importants peintres flamand du XVIIe siècle : Jan Brueghel l’Ancien. Dernier fils du grand Pieter Bruegel l’Ancien, il marque son temps par son sens de la couleur et sa touche miniaturiste hors du commun. Son extraordinaire virtuosité lui valut d’ailleurs le surnom de Brueghel « de Velours ». De la peinture d’histoire, en passant par les bouquets de fleurs et les scènes de chasse, la diversité est le maître-mot qui guide sa production. Spécialiste des paysages, des fleurs, des fruits et des animaux, Brueghel s’adjoint souvent les compétences d’autres peintres, chargés de représenter les figures humaines. Et notamment celles de Hendrick van Balen, un artiste aujourd’hui méconnu mais qui, pourtant, a eu une carrière brillante. À la tête d’un grand atelier, ses œuvres étaient parfois mieux rémunérées que celles de Rubens.
Van Balen est reconnu pour ses impressionnants retables d’églises ainsi que pour ses tableaux plus intimes, inspirés de la mythologie greco-romaine et de la Bible.
Une amitié profonde liait Van Balen, Rubens et Brueghel, si bien qu’à la mort de ce dernier, Van Balen et Rubens furent nommés co-tuteurs de ses enfants.
Grâce à des prêts exceptionnels de grands musées internationaux et de collections privées, le Musée de Flandre honore sa mission de mettre en lumière des artistes oubliés, en soulignant notamment la relation entre Brueghel et Van Balen, artistes et complices.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19

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Rencontres

MEG, Musée d’ethnographie de Genève : jusqu’au 18 août 2025

La nouvelle exposition temporaire du MEG intitulée « Rencontres » donne la parole à des membres de diverses communautés, leur permettant de se connecter à des objets de leur propre culture issus des collections du MEG, et de partager leurs histoires. Cette exposition a pour but de mettre en avant des récits personnels et communautaires, souvent non racontés, tout en célébrant les liens émotionnels qui unissent les individus à leurs racines culturelles.

Attachée de presse : Claire-Marine Galletti
claire-marine@observatoire.fr
+33 7 66 47 35 36

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Le temps creuse même le marbre

Image et mémoire dans la création artistique tunisienne
Abbaye de Jumièges : du 17 mai au 21 septembre 2025

En dialogue avec les ruines de l’abbaye de Jumièges, cette exposition collective réunit onze artistes de la scène contemporaine tunisienne qui expérimentent l’image sous toutes ses formes, autour du thème de l’histoire et de la mémoire.
La révolution tunisienne de 2011, accompagnée d’une démocratisation sociale, politique et culturelle, a fortement dynamisé et influencé la scène artistique nord-africaine, en particulier dans le domaine des arts visuels. Une nouvelle génération d’artistes, engagée dans des questionnements citoyens, émerge, mais l’instabilité économique et la crise migratoire menacent cet écosystème fragile. Face à ces défis, les artistes explorent un passé souvent méconnu pour éclairer le présent et envisager l’avenir.
L’exposition mobilise archives historiques, photos retrouvées, albums de famille et pratiques vernaculaires, mêlant souvenirs intimes et mémoire collective, pour déconstruire les regards hérités du roman national o!ciel et établir avec délicatesse un dialogue entre oeuvres contemporaines et vestiges du passé.
Avec les oeuvres des artistes tunisiens : Héla Ammar, Ismail Bahri, Asma Ben Aïssa, Younes Ben Slimane, Meriem Bouderbala, Rafram Chaddad, Chiraz Chouchane, Férielle Doulain-Zouari, Farah Khelil, Amira Lamti, Fredj Moussa.
Commissaire d’exposition : Victoria Jonathan

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Cezanne 2025

Aix-en-Provence
Une exposition internationale, sa demeure, son atelier, ses paysages…

La Ville d’Aix-en-Provence propose à partir du mois de juin 2025 un grand évènement dédié au peintre Paul Cezanne, né et mort dans cette ville, qui a été, avec ses paysages alentours et sa montagne devenue mythique grâce à sa peinture, le théâtre de toute une vie.

La présence de Paul Cezanne dans sa ville natale s’exprime avec force à travers le réseau de sites cezanniens que sont la bastide du Jas de Bouffan, l’atelier des Lauves et les carrières de Bibémus. Ces lieux d’exception, où le maître d’Aix a vécu et donné cours à sa création artistique, forment un parcours unique offrant aux visiteurs une perspective totale sur sa vie et son oeuvre.

À l’occasion de l’ouverture au public de la bastide du Jas de Bouffan, demeure familiale de la famille Cezanne, une grande exposition sera organisée au musée Granet. Plus de 100 oeuvres, huiles sur toile, dessins et aquarelles feront ainsi le lien avec sa bastide familiale restaurée ainsi que son parc, dont il reste aujourd’hui près de 5 hectares quasi intacts. Ces oeuvres inestimables viennent du monde entier, à la fois des grands musées français notamment du musée d’Orsay mais aussi de Bâle, Chicago, Harvard, Londres, Los Angeles, New York, Ottawa, Tokyo, Zurich…

Tout au long de cette célébration, une programmation ambitieuse des musées d’art et d’histoire de la ville d’Aix viendront resituer Cezanne dans son époque et apporter un autre éclairage sur une postérité qui n’est pas allée de soi aussi bien dans sa ville natale qu’en France.
Pour les plus petits, un parcours pédagogique sera proposé dès février 2025, avant, pendant, et après l’exposition au musée Granet, dans les espaces de La Manufacture afin que le jeune public appréhende de façon ludique et didactique ce qui fait la singularité de l’artiste.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Vivre ou survivre. Travail et pauvreté aux 19e et 20e siècles

Archives nationales du monde du travail à Roubaix : de juin 2025 à mai 2026

Des décennies après les créations successives de la Sécurité sociale, de l’assurance chômage et du Revenu d’insertion minimum, ce sont encore près de 14% des Français qui vivent sous le seuil de pauvreté. Comment expliquer que ces inégalités et la précarité demeurent ? Comment s’est construit le modèle de protection sociale des Français, depuis les prémices de l’assistance au 19e siècle jusqu’à l’instauration de l’ « État-providence » au 20e siècle ?

L’année 2025 marquera l’anniversaire de plusieurs associations représentatives de la lutte contre la précarité comme le Secours populaire et les Restos du cœur. Les ANMT, qui conservent leurs archives, ont choisi de s’intéresser aux liens entre travail et pauvreté pour leur prochaine exposition. À travers un riche corpus documentaire et iconographique, l’exposition tente de comprendre comment et pourquoi la pauvreté en France touche les travailleurs, en particulier depuis la révolution industrielle. Elle met en évidence les conséquences sur les individus concernés, avec des focus sur le nord de la France. Divisée en plusieurs parties thématiques (les revenus, le chômage, le logement, la santé, la consommation, la culture…) l’exposition revient sur les politiques publiques et les actions d’initiative privée mises en œuvre pour tenter de prévenir la précarité, d’assister ceux qui en ont besoin ou de pallier les situations de misère qui impactent villes et campagnes, enfants et adultes, hommes et femmes, français et immigrés, pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et des chômeurs.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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Le temps d’un rêve

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 24 août 2025

Afin de tenter de définir le phénomène onirique, l’exposition propose une série d’escales dans les lieux où le rêve s’exprime, dans différentes cultures, depuis l’Antiquité.
Un être humain passe un tiers de sa vie à dormir et une bonne partie de ce temps à rêver. Exceptions faites de son rôle central dans la création artistique et dans le domaine de la psychanalyse, le rêve est pourtant un sujet souvent absent de nos sociétés occidentales contemporaines. Sans doute car sa nature semble sans cesse se dérober.
Des temples d’incubation grecs au laboratoire de neurosciences, du divan du psychanalyste à l’imaginaire de l’artiste, d’un continent à l’autre, Le temps d’un rêve offre autant d’étapes pour approcher le miracle de « ce voyage aventureux de tous les soirs » comme le qualifiait Charles Baudelaire. Inspirée par ces différents lieux, la scénographie fait s’estomper les frontières entre réalité et visions oniriques. Près de 150 objets et de nombreuses oeuvres audiovisuelles tissent des liens parfois inattendus entre l’histoire, la psychologie, l’ethnologie, l’art ou la recherche en neurosciences. Ces multiples regards réveilleront peut-être le rêveur en chaque visiteur.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94

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Rendez-vous aux jardins, 22e édition

Jardins de pierres – pierres de jardins
du vendredi 6 juin au dimanche 8 juin 2025

Le ministère de la Culture organise la prochaine édition des Rendez-vous aux jardins, qui se déroulera du vendredi 6 juin au dimanche 8 juin, avec une journée dédidée aux scolaires le vendredi. Placée sour le thème « Jardins de pierres – pierres de jardins », cette manifestation met en lumière la diversité et la richesse des parcs et jardins, favorise les échanges entre visiteurs et professionnels du secteur, et valorise les initiatives menées pour leur étude, leur restauration, leur préservation et leur création. Nouveauté cette année, des ateliers participatifs « Cultivons notre avenir », proposés avec l’association 2tonnes, inviteront le public à réfléchir aux enjeux de la transition écologique à travers une approche immersive et collaborative.
En 2025, le public sera invité à explorer le rôle essentiel de la pierre dans la création paysagère. Ce thème mettra à l’honneur la pierre, le rocaillage (ciment et béton imitant des éléments naturels de pierre ou de bois), la mosaïque, le gravier et le sable, autant d’éléments qui, depuis toujours, accompagnent les paysagistes et les jardiniers dans l’aménagement des jardins.
Comme chaque année, la première journée des Rendez-vous aux jardins sera consacrée au public scolaire : le vendredi 6 juin, des visites seront organisées dans certains jardins, sur inscription préalable. Une occasion privilégiée pour les jeunes générations de découvrir les bienfaits des jardins, tout en éveillant leur sensibilité à la nature et à sa préservation.
Porté par le ministère de la Culture et déployé en régions par les directions régionales des affaires culturelles (DRAC), cet événement culturel et festif bénéficie du soutien essentiel de nombreux partenaires institutionnels et médias qui mettent en lumière un élan collectif au service de la célébration de l’art des jardins et du patrimoine.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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VISAGES. L’art du portrait grec et romain dans les collections du musée du Louvre

Musée Fenaille, Rodez : du 7 juin au 2 novembre 2025

Cette exposition organisée avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre plongera le visiteur dans une exploration de l’art du portrait qui s’est épanoui dans les mondes grec et romain. Servie par une sélection exceptionnelle, elle interrogera sa place dans les sociétés antiques.
Le portrait est un art majeur de l’Antiquité gréco-romaine. Il a concentré l’attention d’artistes et d’artisans maîtrisant des techniques très diverses et jouait dans les sociétés des rôles tout aussi variés. Images du pouvoir, supports de mémoire, offrandes aux divinités, ces portraits donnent aujourd’hui un visage, ou plutôt une multitude de visages, aux civilisations de l’Antiquité classique. Mais quels visages ? Le portrait est une élaboration artistique, pas une photographie du réel, malgré l’importance pour les artistes des recherches de la mimésis, l’imitation concrète des choses du monde.
L’exposition proposera une vision renouvelée de l’art du portrait dans l’Antiquité en s’intéressant à trois grandes questions issues des recherches actuelles sur la question : comment le genre du portrait se définit-il en termes de moyens artistiques ? Quelles fonctions remplit-il dans l’Antiquité classique ? Comment devient-il un moyen privilégié d’expression du pouvoir à partir de l’époque hellénistique ?

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Sorcières (1862-1914)

Musée de Pont-Aven : du 7 juin au 16 novembre 2025

Au coeur de notre imaginaire collectif, les sorcières ont longtemps incarné l’allégorie de la vieillesse, de la mort, du vice et du mal. Elle sont associées au spirituel, à la nature, à ce qui fait peur et que l’on ne maîtrise pas. Mais 1862 marque une rupture avec la publication de La Sorcière de l’historien Jules Michelet : la sorcière devient alors à la fois un emblème de révolte, de connaissance et d’harmonie avec les éléments naturels, posant les bases de l’éco-féminisme. Réenchantée, elle devient le symbole de la lutte des opprimés contre l’arbitraire. Ambivalente, la sorcière cristallise les fantasmes masculins sous forme d’icône érotisée dotée d’une éternelle jeunesse s’opposant ainsi à la vieille femme laide des contes et illustrations. Pour des artistes majoritairement masculins, la sorcière évoque l’autre et l’inconnu, avec sa part d’attraction et de menace. Dans une société patriarcale où la femme est considérée comme mineure, la sorcière personnifie la femme forte, qui menace l’ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Elle incarne la résistance face aux pouvoirs dominants.
L’exposition fait dialoguer les arts au sein d’un parcours qui fait la part belle aux arts graphiques, à la peinture, sculpture, photographie, cinéma ainsi qu’à la musique, la danse et la littérature.

Exposition en partenariat avec la musée d’Orsay.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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L’Asie photographiée par Michael Kenna

Musée national des arts asiatiques – Guimet : du 11 juin au 30 septembre 2025

Le photographe Michael Kenna (né en 1953) nourrit un attachement profond pour l’Asie. Depuis son premier séjour au Japon en 1987, ce représentant majeur de la photographie minimaliste contemporaine n’a eu de cesse d’y retourner pour passer les paysages de l’archipel au prisme de son esthétique, avant d’élargir son horizon à la Chine, la Corée du Sud, l’Inde et l’Asie du Sud-Est dans les années 2000.

Forgé à partir des années 1970, le vocabulaire formel de Michael Kenna fait la synthèse de plusieurs avant-gardes photographiques du XXe siècle mais il entretient également des affinités avec les arts classiques de l’Asie orientale. La monochromie, l’économie de moyens, un usage audacieux du vide et le désir de transcender le sujet rappellent volontiers la peinture à l’encre (shuimohua, sumi-e). De même, certaines compositions évoquent le travail japonais de la laque (maki-e) tandis que des jeux d’échelle peuvent transformer un paysage enneigé en calligraphie. Dépassant l’esthétique, ces liens incluent également l’acceptation de la lenteur, la quête de la perfection, le retour cyclique au motif, une éthique artisanale et même une dimension spirituelle. Chez Michael Kenna comme dans les arts chinois, coréen et japonais, ces procédés et ces principes convergent bien souvent vers une poésie subtile, qui peut résider dans la dignité d’un rocher ou dans une conversation entre un détail et son environnement. Cette capacité à distiller une émotion à partir d’un paysage a fait dire à certains commentateurs que Michael Kenna était l’auteur de haïkus visuels.

Forte de ces réflexions, l’exposition proposera une expérience sensible des paysages asiatiques de Michael Kenna. Les ponts entre photographies et traditions artistiques locales seront explorées au gré de neuf sections thématiques, introduites chacune par un dialogue entre une épreuve et une œuvre issue des collections du Musée Guimet. L’exposition emmènera également les visiteurs dans les coulisses de la création avec des sections transversales sur la fabrique des images (de la prise de vue au livre en passant par la chambre noire) et le travail du motif.

Célébrant la donation par Michael Kenna de son œuvre à la France en novembre 2022, l’exposition sera la première rétrospective d’envergure sur son travail en Asie. Elle présentera de nombreux tirages issus de la donation et conservés à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie.

Commissariat : Édouard de Saint-Ours, conservateur des collections photographiques (Musée Guimet)

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30

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Quels beaux visages !

Nouvelles oeuvres

Musée des beaux-arts, Calais : prolongation jusqu’au 31 août 2025

Le Musée des beaux-arts de Calais remercie ses donateurs en mettant en valeur les œuvres récemment entrées dans ses collections, soit près d’un tiers des pièces exposées. Le thème du portrait semble naturellement les relier, ici étendu aux portraits d’artistes, aux portraits de groupes et à ceux en mémoire des oubliés. Ces créations modernes appartiennent à l’art contemporain, aux nouvelles formes de figurations, à la photographie et au street art.
La prolongation de cette exposition inaugurée en avril 2024 s’accompagne cet automne d’un renouvellement d’une partie des œuvres exposées.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Nuage des petits

Nouvel espace permanent
Musée des Confluences, Lyon : à partir du 14 juin 2025

Au musée des Confluences, les très jeunes visiteurs sont considérés comme un public à part entière. Leur proposer une nouvelle offre culturelle adaptée, le Nuage des petits, est une orientation majeure d’un musée tourné vers la jeunesse.
Espace ludique et culturel, le Nuage des petits est destiné aux enfants de 2 à 6 ans. Avec cette nouvelle forme d’expérimentation, ils pourront explorer, questionner, partager, jouer, rêver, danser, bouger, découvrir et nourrir l’imaginaire.
Le Nuage des petits accueillera pendant un an Fragile !, réalisée par la Cité des sciences et de l’industrie. Faisant le pari muséographique de la narration, Fragile ! se découvre de manière autonome et se vit comme une histoire. D’îlot en îlot, les tout petits suivent les aventures de Roky le caillou et de ses camarades. Les enfants manipulent, testent
et font l’expérience de la fragilité et de l’entraide. Au bout de leur quête, vont-ils réussir à réparer Roky ?

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Le mystère des anneaux par Laurent Ballesta

Musée des Confluences, Lyon : du 14 juin 2025 au 12 avril 2026

Au large du Cap Corse, à 120 mètres de profondeur, plus de 1 400 anneaux d’une vingtaine de mètres de diamètre constituent un ensemble unique au monde. Formés par des algues calcaires âgées de 8 000 ans, ils abritent une biodiversité remarquable.
En 40 photographies et un film d’une dizaine de minutes, l’exposition relate les missions menées par le photographe Laurent Ballesta et une équipe de scientifiques, Gombessa 6, entre 2021 et 2024. Le parcours s’accompagne d’une composition sonore favorisant l’immersion des visiteurs dans cet univers marin.
Les images illustrent la vaste plaine où se dessinent les anneaux à perte de vue, leur géométrie parfaite, la vie qui s’épanouit en leur coeur, mais également les menaces qui pèsent sur ces écosystèmes. Le bleu des profondeurs vertigineuses alterne avec les couleurs et la délicatesse des habitants qui peuplent ces anneaux, en offrant une représentation poétique et naturaliste.
Au-delà de la beauté des fonds marins, l’exposition raconte les techniques novatrices de plongée mises en oeuvre par ces expéditions et partage les anecdotes de Laurent Ballesta et de son équipe.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73

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Yiqing Yin. D’air et de songes

Cité de la dentelle et de la mode, Calais : du 14 juin 2025 au 4 janvier 2026


Yiqing Yin, première créatrice d’origine chinoise à recevoir l’appellation haute couture, est une artiste pluridisciplinaire. À la croisée des arts, ses œuvres sculpturales et évanescentes tissent un dialogue entre la fragilité de l’humain et la force transformatrice de la nature. Grand couturier, directrice artistique, créatrice de costumes et muse, Yiqing Yin incarne tour à tour des rôles multiples dans l’univers de la création.
Sous la curation de Sylvie Marot, cette exposition consacrée à Yiqing Yin met en lumière l’hybridation de ses disciplines artistiques, entre rêve et exploration des sens.
Le parcours invite à pénétrer au cœur du processus créatif, à saisir l’idée avant même la robe. Le hasard, l’inattendu et l’indéterminé sont les forces motrices du voyage sensoriel où l’œuvre se révèle… L’artiste puise son inspiration dans le minéral, le végétal et l’animal, élaborant ainsi une poétique du vivant qui tisse le fil rouge de l’exposition. Chaque création se révèle comme un paysage onirique, où rêve et éveil des sens s’entrelacent en une esthétique de la métamorphose.
Robes haute couture, images (photographies, films, dessins), textures sonores (murmures littéraires, bruissement d’air), sillages olfactifs rythment ce parcours immersif, invitant le visiteur à une exploration intime de son imaginaire.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17

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Trois siècles à l’Isle Adam

Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq, L’Isle-Adam : jusqu’au 21 septembre 2025

À vingt-cinq kilomètres à vol d’oiseau de Paris, L’Isle-Adam se trouve aux portes du parc naturel régional du Vexin français, du Pays de France et du département de l’Oise. Qualifiée de « paradis terrestre » par Honoré de Balzac dans une lettre qu’il écrit à sa sœur en 1819, la ville bénéficie d’un environnement exceptionnel situé entre rivière et forêt domaniale.
Avec cette nouvelle exposition intitulée Trois siècles à L’Isle-Adam, le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq invite ses visiteurs à un voyage à travers l’histoire et le patrimoine de la cité adamoise et de son territoire. Organisé de manière chronologique et couvrant une période allant du XVIIIe au milieu du XXe siècle, le parcours s’articule autour des grandes thématiques représentées dans les collections du musée. L’histoire et l’évolution urbaine de L’Isle-Adam y sont évoquées, le passé industrieux de la ville est également mis en avant,…
L’exposition rassemble peintures, sculptures, aquarelles, gravures, affiches publicitaires, cartes postales et photographies anciennes, toutes issues du fonds du musée.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30