Nous, les fleuves – Musée des ConfluencesNous, les fleuves –
Drawing Hotels Collection
« Prière de toucher. L’Art et la matière » – Palais des Beaux-Arts de Lille
Chapitre 2 : Terminal – MusVerre
« Du Temps sois la mesure » par Francois RÉAU – Drawing Lab
Palais princier de Monaco
En route vers l’impressionnisme – Musée de Lodève
Nouvelles salles : Auguste Rodin, sculpteur des Bourgeois de Calais
Musée des Beaux-Arts, Calais : depuis le 17 mai 2025
Le musée des Beaux-Arts de Calais a entrepris depuis quelques années le renouvellement de ses espaces d’accueil et d’expositions. Après la transformation du hall, de la salle d’exposition temporaire en parcours permanent des collections Beaux-Arts en 2023, le musée prépare pour 2025 la refonte complète de la galerie consacrée au sculpteur Auguste Rodin.
Le réaménagement de cette galerie revêt une importance particulière pour le musée, historiquement très lié à la figure de Rodin. Celui-ci a en effet répondu à la commande de la Ville de Calais en 1885 pour la réalisation du célèbre Monument aux Bourgeois de Calais, encore visible aujourd’hui sur la place de l’hôtel de Ville. Par ailleurs, le musée entretient depuis plusieurs décennies un partenariat privilégié avec le musée Rodin, à Paris, et est dépositaire de plusieurs de ses oeuvres. Enfin, Rodin est considéré comme le père de la sculpture moderne, or les collections du musée de Calais sont particulièrement riches de cette thématique.
La galerie Rodin réinventée complète le nouveau parcours des collections et introduit les salles dédiées à l’histoire du territoire calaisien. Pensée comme un espace autonome, elle permet en outre d’accueillir des groupes touristiques qui souhaitent une introduction à la découverte de la ville.
Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
Jean Painlevé, les pieds dans l’eau
du 7 février au 31 mai 2026, au musée de Pont-Aven
Spécialiste du documentaire scientifique et des techniques cinématographiques de réputation internationale, Jean Painlevé (1902-1989) utilise le cinéma pour explorer des aspects inconnus et mystérieux d’organismes vivants. Alternant vision du réel et zoom microscopique, il embarque le public dans un récit descriptif et informatif tout autant qu’esthétique. Abolissant les frontières entre art et science, son œuvre est diffusé dans les cinémas indépendants et d’avant-garde dans l’entre deux-guerres. Son univers, empreint de liberté et proche du surréalisme, s’enrichit de nombreuses amitiés artistiques, de Jean Vigo à Fernand Léger, en passant par Alexander Calder. À partir des années 1950, Painlevé et Geneviève Hamon, sa compagne et collaboratrice, réalisent un nombre important de films de recherche alors que leur création se poursuit, nourrie par les études des zoologistes et biologistes pour lesquels ils travaillent.
L’exposition invite à comprendre le contexte historique et scientifique de sa réalisation tout autant qu’à saisir la résonance artistique qu’il a eu auprès de nombreux artistes. Notre sens de la réalité s’en trouve déstabilisé par la dimension immersive de ses créations. Une découverte à vivre entre expériences familières et dérive onirique.
Exposition conçue et organisée par le Jeu de Paume à Paris, en collaboration avec le Musée de Pont-Aven.
All Parts Of Us
Susanna Inglada, lauréate du Prix Drawing Now 2025 – Commissaire d’exposition : Giulianna Benassi
Drawing Lab, Paris : du 13 février au 10 mai 2026
L’exposition All Parts Of Us de Susanna Inglada (Banyeres del Penedès, 1983) rassemble les œuvres les plus récentes de l’artiste et propose un parcours immersif où le dessin s’étend dans l’espace tridimensionnel, transformant celui-ci en une scène expressive de la contemporanéité. La fragmentation, déjà soulignée par le titre, n’est pas seulement une technique de composition par le collage, mais aussi une clé pour révéler une vision de l’existence où chaque fragment prend sa place dans un tout collectif et partagé.
Roger-Edgar Gillet. La grande dérision
du 14 février au 7 juin 2026, au musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence
En 2026, le musée Estrine célèbre la matière peinture, fil conducteur de toutes ses expositions toujours dans le dialogue entre générations et sensibilités artistiques. L’année s’ouvre avec une grande rétrospective consacrée à Roger Edgar Gillet (1924-2004), en coproduction avec le musée des Beaux-Arts de Rennes, retraçant soixante ans d’une œuvre puissamment expressive (14 février au 7 juin).
50 ANS DE LA COLLECTION DE L’ART BRUT
Exposition anniversaire : ART BRUT SUISSE. Des origines de la collection à aujourd’hui. Autrices et auteurs suisses de la collection
du 28 Février au 27 septembre 2026
Cette exposition anniversaire présentera un large éventail d’œuvres d’une grande variété, dessins, peintures, sculptures, broderies, écrits, assemblages issues exclusivement des collections du musée lausannois. Certaines émanent du noyau historique dont on doit l’existence à l’artiste français Jean Dubuffet ; d’autres sont contemporaines et ont intégré le fonds de la Collection de l’Art Brut entre 1976, année de son ouverture, et 2026. Cependant, elles ont toutes été réalisées par des autrices et auteurs d’Art Brut suisses ou ayant créé en Suisse.
Avec le thème de la Suisse comme fil rouge, cette exposition et la publication qui l’accompagne, contenant notamment un tapuscrit inédit de Dubuffet sur son voyage en 1945, ont pour objet de rappeller les liens étroits et durables entre l’artiste français et ce pays, qui l’ont conduit à offrir sa collection d’Art Brut à la Ville de Lausanne afin d’en assurer la pérennité et sa présentation au public.
La Redoute, un temps d’avance. Mode, design, publicité
du 7 mars au 5 juillet 2026, à La Piscine, Roubaix
Née de la révolution industrielle au XIXe siècle, la Ville de Roubaix s’est façonnée une identité forte autour du textile. La Redoute, créée en 1837 par Joseph Pollet, est avant tout une histoire d’entrepreneurs audacieux installés à Roubaix. Le musée La Piscine propose de raconter cette success-story, née d’une filature familiale réputée pour ses tissus et tricots d’une rare finesse.
L’exposition se propose de retracer, au-delà de la révolution commerciale, le rôle de La Redoute dans l’évolution de la société et des modes de consommation. S’appuyant sur ses archives, publicités, catalogues de ventes, témoignages, cartes postales, photographies, vêtements, sont présentés au fil d’un parcours riche en découvertes. Cette rétrospective met aussi en lumière les collaborations avec les couturiers et créateurs de prêt-à-porter renommés (Yves Saint Laurent, Issey Miyake, Azzedine Alaïa, Sonia Rykiel, Jacquemus, Kevin Germanier…), les designers phares (Sam Baron, Constance Guisset, Philippe Starck, Jean-Michel Wilmotte, Christian Lacroix) et les mises en scène de célébrités photographiées par Dominique Issermann et Kate Barry entre autres.
L’art du motif. Invitation à Minakani
du 7 mars au 20 septembre 2026, à La Piscine, Roubaix
Au cœur de nos penderies grouille un petit monde illustré. Personnages, animaux, fleurs et formes abstraites s’y côtoient harmonieusement. Ces motifs qui recouvrent nos vêtements ont un point commun : ils sont esquissés de la main de dessinateurs dont le nom est bien souvent méconnu du grand public.
Frédéric Bonnin en est l’un des représentants et fait naître depuis 2005 des bouquets de dessins qui fleurissent chaque saison sur les étoffes des créateurs de mode. Minakani – mot d’origine perse se traduisant par « femme » et « jardin » – est le nom de son atelier, véritable fabrique poétique d’images. Maître de la composition, il explore la tension existant entre le trait, la couleur et l’espace à travers une œuvre dynamique et joyeuse. S’échappant de ses dessins préparatoires, l’imaginaire de Minakani se dépose sur tissus, vêtements et accessoires au cœur des cabines du musée dédiées au textile et à la mode.
Des dinosaures aux oiseaux
Département de la Seine-Maritime
du 22 mars au 15 novembre 2026, au Parc de Clères
En partenariat avec La Fabrique des Savoirs (Elbeuf), une plongée dans l’évolution aviaire, alliant science, art et conservation.
Inspirée des voyages de Jean Delacour, fondateur du parc, plongez dans une jungle luxuriante d’Asie du Sud-Est ! Partie intégrante de la grande exposition « Des dinosaures aux oiseaux » présentée à la Fabrique des savoirs, l’exposition présentée au parc de Clères accueillera dans la grande salle voûtée du château, une scénographie spectaculaire, mêlant végétation, temple en ruines et pagode, pour explorer le rôle clé du parc dans l’étude et la conservation des oiseaux.
Près de 50 spécimens naturalisés, prêtés par la Fabrique des savoirs, et des panneaux pédagogiques révèlent l’adaptation, les menaces et les enjeux de préservation des espèces. Une ode à la biodiversité, un hommage aux naturalistes et à l’héritage scientifique de Jean Delacour, pour mieux comprendre et protéger le monde ailé.
Le printemps du dessin, 9ème édition
Partout en France : du 20 mars au 21 juin 2026
Créé en 2017, par l’équipe de Drawing Now Paris, la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.
Du 20 mars au 21 juin, en réunissant des lieux aussi différents que des Monuments nationaux, des artothèques, des FRAC ou des centres d’art, le Printemps du dessin inscrit la culture au sein même des territoires et répond déjà au souhait du Ministère de la Culture d’un « Printemps de la ruralité ».
À travers des expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et publics, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique.
Drawing Now Paris, le salon du dessin contemporain
du 26 au 29 mars 2026, au Carreau du Temple
La 19e édition de Drawing Now Paris, première foire d’art contemporain dédiée au dessin en Europe, aura lieu du 26 au 29 mars 2026 au Carreau du Temple à Paris.
Pendant 4 jours, sur les deux niveaux du Carreau du Temple, plus de 70 galeries internationales vous feront découvrir toute la diversité du dessin contemporain d’aujourd’hui et des 50 dernières années.
Maison et jardins de Claude Monet
L’héritage d’une œuvre vivante
Réouverture le 1er avril 2026
2026 marque le centenaire de la disparition de Claude Monet. En cette année anniversaire, la Maison et les Jardins, propriété de l’Académie des Beaux-Arts, invitent à une lecture « au fil des saisons » de l’autre grande œuvre du Maître. Du jaillissement printanier à l’automne rougeoyant, le travail de l’équipe de jardiniers permet de saisir la beauté éphémère et changeante qui a inspiré Les Nymphéas.
Une invitation à renouer avec l’intimité du peintre et à suivre la vie de ce lieu magique.
Au Mali, quand les animaux dansent
Donation Sonia et Albert Loeb
du 3 avril 2026 à février 2027, au musée des Confluences, Lyon
Sur les rives du fleuve Niger, au Mali, les fêtes nommées sogobò (littéralement « l’animal sort ») offrent un spectacle total entre théâtre, danse, musique et chants. Elles ont donné naissance à une riche culture matérielle, de masques et de marionnettes. Ces objets, figuratifs et colorés, représentent des animaux, réels ou mythiques, des êtres mythologiques ou illustrent des scènes de la vie quotidienne. Partagée par les Bamana, les Marka, les Bozo et les Somono, la pratique du sogobò est aujourd’hui inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO. Essentiel à la communauté dont il exprime l’identité culturelle, cet héritage est aussi vivant que fragile dans le contexte de tensions que connaît le Mali.
À travers une centaine d’objets collectés par Sonia et Albert Loeb au début des années 2000, masques animaux et grandes figures de bois liés au sogobò, par le biais d’audiovisuels laissant une large place aux chants et aux tambours, l’exposition donne à voir et ressentir ce théâtre ancestral et participatif, où chacun des membres de la communauté, des aînés aux plus jeunes enfants, a sa place. Au sein du parcours, la fête se découvre sur une place de village, de jour comme de nuit, mais aussi sur le fleuve.
La collection de Sonia et Albert Loeb a fait l’objet d’une donation au musée des Confluences en 2024.
H.G. Ibels, un nabi engagé
du 4 avril au 26 juillet 2026, au musée Toulouse-Lautrec, Albi
Le musée Toulouse-Lautrec d’Albi consacre une exposition inédite à Henri-Gabriel Ibels (1867-1936), figure singulière de la scène artistique de la fin du XIXe siècle, membre fondateur du groupe des Nabis.
Cette première rétrospective, fruit de plusieurs années de recherches et d’un travail scientifique de grande envergure, invite à redécouvrir, à travers plus de 230 œuvres, un artiste aux multiples facettes : peintre, affichiste, illustrateur et chroniqueur de son temps, considéré à la fin du XIXe siècle comme une figure de premier plan et aujourd’hui injustement méconnu du grand public.
L’exposition, labellisée d’intérêt national, présente des œuvres spécifiquement restaurées pour l’occasion et de nombreuses pièces dévoilées pour la première fois au public.
Co-produite avec le musée départemental Maurice Denis de Saint-Germain-en-Laye, l’exposition d’Albi se distingue par un parcours spécifiquement pensé pour cette étape et des prêts supplémentaires.
Hiroshi Sugimoto
du 11 avril au 13 septembre 2026, au musée Soulages, Rodez
Figure incontournable de la photographie contemporaine, l’artiste Japonais Hiroshi Sugimoto, né en 1948, présentera, au musée Soulages, un ensemble de séries parmi les plus emblématiques de sa carrière. De ses hypnotiques Theaters des années 1970 jusqu’à ses réalisations plus récentes, les Optiks, recherches menées au plus près de la couleur, mais également les Brush Impression, réinterprétation de l’art de la calligraphie japonaise, l’exposition interrogera les grands thèmes qui jalonnent sa production, consacrée à l’abstraction du paysage, au temps, à la lumière, dans un dialogue fécond avec l’œuvre de Pierre Soulages.
Bartholdi, Champollion et le sphinx
Monuments publics en débat (titre provisoire)
du 11 avril au 19 juillet 2026, au musée Camille Claudel, Nogent-sur-Seine
Les collections du musée Camille Claudel de Nogent-sur-Seine renferment à la fois un fonds monographique d’œuvres de Camille Claudel et un vaste ensemble de sculptures françaises de la Troisième République, dans lequel la thématique du monument public est largement représentée. Aussi, le musée Camille Claudel organise au printemps 2026 une exposition consacrée à la statuophilie de la fin du XIXe siècle.
Art aborigène
du 18 avril au 30 août 2026, au musée de Lodève
L’exposition présentée au printemps/été 2026 au musée de Lodève mettra à l’honneur l’art contemporain des Aborigènes australiens à travers une sélection d’oeuvres issues de la collection Klein du KUNSTWERK.
Issues de différentes régions d’Australie, les oeuvres sélectionnées révèleront la richesse et la diversité de cette culture millénaire et témoigneront du lien spirituel profond qui unit les artistes à leur terre et à leurs ancêtres.
Les visiteurs découvriront des créations emblématiques de centres artistiques majeurs tels que Papunya et Maningrida, ainsi que des œuvres d’artistes renommés comme Yukultji Napangati et Doreen Reid Nakamarra.
L’exposition mettra en lumière la variété des techniques, des matériaux et des styles, tout en soulignant l’importance des traditions et des récits mythologiques dans l’expression artistique aborigène.
À travers cette exposition, le public est ainsi invité à explorer une identité culturelle forte, façonnée par l’histoire, la spiritualité et la résilience des peuples premiers d’Australie.
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Le Jubilé Impérial au cœur de la Ville de Rueil-Malmaison !
Œuvre de Charlotte Coquen – Salon C14-Paris
La Galerie d’Hercule – Palais princier de Monaco
Trésors de laine et de soie
Guillaume Werniers & Catherine Ghuys, manufacturiers de tapisseries à Lille au 18e siècle
du 29 avril au 11 octobre 2026, au musée de l’Hospice Comtesse, Lille
L’exposition « Trésors de laine et de soie – Guillaume Werniers & Catherine Ghuys, manufacturiers de tapisseries à Lille au 18e siècle », organisée au Musée de l’Hospice Comtesse du 29 avril au 11 octobre 2026, se propose de faire découvrir un fonds exceptionnel de tapisseries aujourd’hui méconnues.
En s’appuyant sur les collections historiques de l’Hospice Comtesse et du Palais des Beaux-Arts de Lille, complétées par des prêts de la Manufacture royale De Wit à Malines (Belgique), le musée souhaite offrir au plus grand nombre la réunion inédite d’un ensemble textile, encore jamais montré, ayant bénéficié d’un programme inédit de restauration entre 2023 et 2025.
Un week-end consacré à l’égyptologie – Figeac
Le Salon International du Patrimoine Culturel
Jeremy Maxwell Wintrebert – MusVerre
La Salle du Trône du Palais princier de Monaco
« Sur la piste des Sioux » au Musée des Confluences de Lyon
« Les Arpenteurs de rêves – Dessins du musée d’Orsay » au Palais Lumière d’Evian
Teaser « Mathurin Méheut, l’arpenteur de la Bretagne » – Musée de Pont-Aven
En 2026, zoom sur les zones humides
du printemps à l’automne 2026 (date à venir), au Parc zoologique de Paris
En 2026, le Parc Zoologique de Paris met à l’honneur les zones humides à travers une saison thématique, en écho à la campagne de conservation lancée par l’Association Européenne des Zoos et Aquariums (EAZA) «Wetlands for Life». Tout au long de l’année, conférences, animations, ateliers pédagogiques inviteront les visiteurs à découvrir la richesse de ces milieux naturels essentiels (marais, mangroves, tourbières, rivières…) et des espèces qui y vivent.
Certaines espèces emblématiques du parc seront les ambassadrices de cette saison : les majestueux lamantins, véritables symboles des milieux aquatiques mais aussi les ibis chauves, flamants roses ou encore les tortues cistudes témoigneront de l’extraordinaire adaptation des animaux aux environnements humides. La faune locale sera également mise en lumière, révélant la vie discrète mais essentielle des zones humides d’Île-de-France. Les temps forts habituels du parc rythmeront cette programmation : la traditionnelle chasse aux œufs de Pâques au Zoo, les Nocturnes estivales ou encore la Journée Frissons à l’automne. Ces événements viendront enrichir l’expérience des visiteurs tout en portant les messages de sensibilisation liés aux zones humides.
Enfin, les visiteurs pourront découvrir les actions de recherche et de conservation menées par le Muséum national d’Histoire naturelle : études scientifiques, préservation des habitats, projets de réintroduction ou encore suivi des espèces aquatiques.
Regard d’artiste : Raija Jokinen au Domaine de Trévarez
« Polyphone, Polyphonies visuelles et sonores » au Musée d’art et d’histoire Paul Eluard
Fresque de la Renaissance – Palais princier de Monaco
Derniers jours pour découvrir le « cabinet de curiosités » au MusVerre – Jusqu’au 21 août 2022
Ouverture de La Friche de l’Escalette située à l’orée du Parc national des Calanques de Marseille
Museum Connections
Save The Date – Le salon de la céramique contemporaine C-14 Paris – Du 6 au 9 octobre 2022
Non à la déliquescence des formations aux métiers d’art
Lancement du projet « A roof for silence » conçu par Hala Wardé à l’abbaye de Jumièges
Le prix d’Académie 2022 est attribué à Stéphane Guéguan !
Ouverture de l’exposition « Apulia : mystères des Pouilles – Entre terre, pierres et mer » à l’Institut Culturel Italien de Paris
Save the date – Le Jubilé Impérial, les 24 et 25 septembre 2022 au cœur de la Ville de Rueil-Malmaison
Palais princier de Monaco
Visite presse – Réouverture des salles Moyen-Age / Renaissance au Palais des Beaux-Arts de Lille
Visite presse de l’exposition « Les Arpenteurs de rêves – Dessins du musée d’Orsay » au Palais Lumière d’Evian
Visite presse de l’exposition « Robert Lotiron (1886-1966). La poésie du quotidien » à La Piscine de Roubaix
Visite presse de l’exposition « Mathurin Méheut, l’arpenteur de la Bretagne » au Musée de Pont-Aven
Réouverture des salles Moyen-Age / Renaissance au Palais des Beaux-Arts de Lille
L’Autoportrait au chevalet de Boris Taslitzky intègre les collections de La Piscine de Roubaix
« Apulia : mystères des Pouilles – Entre terre, pierres et mer »- L’Institut Culturel Italien de Paris
Nuage des petits
Nouvel espace permanent
Musée des Confluences, Lyon : depuis le 14 juin 2025
Au musée des Confluences, les très jeunes visiteurs sont considérés comme un public à part entière. Leur proposer une nouvelle offre culturelle adaptée, le Nuage des petits, est une orientation majeure d’un musée tourné vers la jeunesse.
Espace ludique et culturel, le Nuage des petits est destiné aux enfants de 2 à 6 ans. Avec cette nouvelle forme d’expérimentation, ils pourront explorer, questionner, partager, jouer, rêver, danser, bouger, découvrir et nourrir l’imaginaire.
Le Nuage des petits accueillera pendant un an Fragile !, réalisée par la Cité des sciences et de l’industrie. Faisant le pari muséographique de la narration, Fragile ! se découvre de manière autonome et se vit comme une histoire. D’îlot en îlot, les tout petits suivent les aventures de Roky le caillou et de ses camarades. Les enfants manipulent, testent
et font l’expérience de la fragilité et de l’entraide. Au bout de leur quête, vont-ils réussir à réparer Roky ?
Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
Le futur, c’est quoi ?
du 7 mai 2026 au 10 janvier 2027, au MEG, Musée d’Ethnographie de Genève
L’exposition « Le futur, c’est quoi ? » invite à réfléchir sur la notion de « futur » et sa signification dans nos sociétés actuelles. Optimiste, elle propose des clés pour imaginer l’avenir que nous souhaitons. Collaborative et conçue avec des adolescent-e-s, elle cible principalement un jeune public. À travers des objets, des œuvres d’art et des installations, elle explore les futurs possibles de manière anthropologique, engageant le corps, l’esprit et les sens.
« (D’) Après Monet » d’Ange Leccia
Département de la Seine-Maritime
du 30 mai au 30 septembre 2026, dans les Jardins de l’abbaye Saint-Georges, Saint-Martin-de-Boscherville
Considéré comme le pionnier de l’art vidéo en France, Ange Leccia, artiste plasticien connu principalement pour ses oeuvres contemplatives montées en boucles, réalise ici un hommage contemporain aux célèbres Nymphéas du peintre Claude Monnet dans son oeuvre (D’)Après Monnet. Présentée pour la première fois en 2022 au musée d’Orsay, Ange LECCIA filme les reflets de l’eau, les mouvements de nénuphars et la végétation environnante, créant ainsi une expérience visuelle proche de la peinture impressionniste et cherchant ainsi à reproduire l’expérience sensorielle que Monet offrait à travers ses toiles monumentales.
L’édition spéciale du Festival Normandie Impressionniste en 2026, sera l’occasion de se plonger à nouveau dans cette oeuvre envoutante et magnétique à l’intérieur du cadre exceptionnel de l’Abbaye Saint-Georges.
Lecoanet Hemant. Les orientalistes de la Haute Coutures – Cité Internationale de la dentelle et de la mode de Calais
Harmonie des sphères – Musée Matisse du Cateau-Cambrésis
Figure phytomorphe-Palais des Princes de Monaco 
Fernand Léger, la vie à bras-le-corps au Musée Soulages Rodez
Conservation-Restauration des Fresques – Palais princier de Monaco !
L’Atelier Rodin au Musée Rodin
Boteh. Beautés Cachemire – Musée Provençal du Costume et du Bijou, Grasse
Afrique. Les religions de l’extase – L’Abbaye de Daoulas
Lecoanet Hemant. Les Orientalistes de la Haute Couture – Cité Internationale de la dentelle et de la mode de Calais
Des mystères iconographiques du Palais princier de Monaco !
Roubaix photo
Plus d’un siècle d’images, d’usages et de regards à travers les collections de La Piscine
du 6 juin au 6 septembre 2026, à La Piscine, Roubaix
L’exposition propose de retracer l’histoire de la photographie à Roubaix à travers les collections du musée La Piscine, en s’intéressant autant à ses usages sociaux qu’à ses formes artistiques.
Du tirage argentique aux expérimentations numériques, de la photographie humaniste à la mise en scène conceptuelle, du cliché vernaculaire à la création plasticienne, elle offre un panorama pluriel et sensible du médium.
À travers des œuvres historiques et contemporaines, des fonds documentaires et des séries d’artistes, cet accrochage révèle la richesse du fonds roubaisien et la diversité des regards photographiques qu’il conserve – portraits d’artistes, scènes de vie ouvrière, patrimoine textile. Dans une approche transversale fidèle à l’esprit du musée, où les disciplines se rencontrent et se répondent, l’exposition fait dialoguer la photographie avec d’autres formes d’expression (peinture, sculpture, arts graphiques, céramique, haute couture) et interroge les enjeux culturels, sociaux et esthétiques de notre rapport au réel et à la mémoire collective.
Cette exposition préfigure les célébrations du bicentenaire de la photographie, organisées de septembre 2026 à septembre 2027 par le ministère de la Culture.
« A roof for silence » – Par Hala Wardé – à L’Abbaye de Jumièges
Naime Merabet
La vie au seuil, une traversée intime de Roubaix
du 6 juin au 6 septembre 2026, à La Piscine, Roubaix
À travers une série de photographies sensibles, Naime Merabet explore Roubaix, la ville de son enfance, en captant la poésie du quotidien depuis les seuils: portes, fenêtres, croisements. Entre mémoire algérienne et enracinement local, il poursuit une quête identitaire mêlant errance urbaine, rencontres imprévues et dialogues silencieux. Construite autour d’un triptyque, la série aborde la convivialité discrète, la présence touchante des personnes âgées et les marques persistantes de l’exclusion sociale. L’artiste révèle une ville fière, pudique, trop souvent stigmatisée, mais profondément habitée. Inspiré par les études sociologiques, les miroirs de Pistoletto et une citation de Cartier-Bresson – « un œil froid avec un cœur chaud » – il propose un regard humble, attentif, guidé par l’instinct et l’écoute.
« Polyphone, Polyphonies visuelles et sonores »- musée d’art et d’histoire Paul Eluard, Saint-Denis
Projet de réhabilitation – Parc Zoologique de Paris
Jean-Baptiste Mallet : La route du bonheur – Musée Jean-Honoré Fragonard de Grasse
Corée du Nord par Stéphan Gladieu
du 12 juin 2026 à avril 2027, au musée des Confluences, Lyon
C’est un pays que l’on connaît peu… et pour cause : la Corée du Nord est une des dictatures les plus fermées au monde. Le photographe Stéphan Gladieu s’y est rendu cinq fois pour réaliser une série de portraits entre 2017 et 2020. Dûment autorisé à entrer dans ce pays de contrôle absolu, accompagné en permanence, il recrée, avec son studio photographique mobile, un cadre de liberté en jouant avec les arrière-plans et les codes de la propagande. Du salon de coiffure à la patinoire, de l’usine à la rizière, une quarantaine de portraits ouvrent autant de fenêtres sur la vie quotidienne en Corée du Nord, documentant un moment charnière de l’histoire contemporaine. Soigneusement étudiée, la mise en scène frontale des modèles offre une approche humaniste d’individus habituellement fondus dans le collectif. Le travail sur les couleurs et la répétition des poses agissent comme le fil conducteur de l’exposition, entre réalité et représentation, entre identités propres et apparences codifiées. En partageant le récit de ses séances de prises de vue, Stéphan Gladieu interroge également notre rapport aux images. Devant l’appareil photographique, les NordCoréens nous regardent, autant que nous les observons. Mais que voient-ils en nous et que percevons-nous vraiment d’eux ?
Lauréate du Prix Drawing Now 2022
La Chambre Louis XIII du Palais princier de Monaco
Le Forum antique de Bavay musée archéologique du département du Nord
La Cour d’Honneur du Palais princier de Monaco…
Victor Prouvé, le maître de l’Art nouveau – Musée Français de la Carte à Jouer
Vatel, dans les coulisses de la fête – Château de Vaux-le-Vicomte
Drawing Now Art Fair I Le Salon du dessin contemporain
Maurizio Galante & Tal Lancman
Haute Couture, design, art
du 13 juin 2026 au 3 janvier 2027, dans les musées de Calais : Cité de la dentelle et de la mode & musée des beaux-arts
L’exposition « Maurizio Galante & Tal Lancman / Haute Couture, design, art », sous la curation de Lydia Kamitsis, commissaire indépendant, fait dialoguer l’œuvre vestimentaire de Maurizio Galante avec les créations de design conçues à quatre mains par les deux artistes. Cette double exposition dévoile une œuvre multiforme, issue des conversations créatives entre différentes disciplines. Vêtements de Haute Couture, mobilier, objets de design et d’art sont donnés à voir, tous liés par la diversité des techniques employées, de la dentelle à l’ébénisterie en passant par la broderie et la photographie. L’œuvre multiforme du duo marie création plastique, artisanat et industrie, savoir-faire d’ici et d’ailleurs, dans des réalisations d’une grande délicatesse pourvues d’une touche d’espièglerie.
Marine Wallon
du 13 juin au 4 octobre 2026, au musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence
En 2026, le musée Estrine célèbre la matière peinture, fil conducteur de toutes ses expositions toujours dans le dialogue entre générations et sensibilités artistiques. Après la rétrospective consacrée à Roger Edgar Gillet, suivra la première exposition monographique de Marine Wallon (née en 1985), figure montante de la peinture contemporaine, révélant la subtilité de ses paysages aux textures précieuses (13 juin au 20 septembre).
Plossu – Granet, Italia discreta – Musée Granet
La forêt magique – Palais des Beaux-Arts de Lille
L’Ange de la Révolte. Satan dans les arts au XIXe siècle
du 26 juin au 8 novembre 2026, au musée Thomas Henry, Cherbourg-en-Cotentin
Après Prédictions. Les artistes face à l’avenir, labellisée Exposition d’intérêt national en 2024, le musée Thomas Henry prolonge ses recherches sur les thématiques surnaturelles dans l’art du XIXᵉ siècle en proposant une exposition inédite consacrée à la figure de Satan, envisagée comme un véritable anti-héros romantique.
À travers une centaine d’œuvres, l’exposition retrace la naissance et l’évolution de ce personnage dans la littérature et les arts, depuis les années 1780 jusqu’au début du XXᵉ siècle. Elle met en évidence la manière dont le diable, loin d’être uniquement une incarnation du mal, devient le symbole des désirs de révolte et d’émancipation face aux contraintes sociales, morales et religieuses de son temps. Ce parcours réunira des œuvres majeures d’artistes emblématiques tels que William Blake, Eugène Delacroix, Odilon Redon ou encore Félicien Rops, issues de collections françaises, britanniques et belges.
Ingres et la mode (titre provisoire)
du 2 juillet au 1er novembre 2026, au musée Ingres Bourdelle, Montauban
À l’été 2026, le musée Ingres Bourdelle de Montauban consacre une exposition inédite au rapport de Jean-Auguste-Dominique Ingres à la mode.
À travers une sélection exceptionnelle de peintures, dessins, textiles, accessoires et documents d’époque, le parcours met en lumière l’attention singulière du maître pour la représentation des étoffes, des drapés et des vêtements, révélant comment la mode façonne le regard et la composition artistique. L’exposition explore la manière dont Ingres sublime la matière textile, joue avec les transparences, s’inspire des tendances de son temps et dialogue avec l’histoire de l’art pour conférer à ses portraits une modernité intemporelle.
Cette exposition montrera également l’influence de la peinture d’Ingres sur les créateurs de mode du XXe et XXIe siècles (Castelbajac, Saint Laurent, Issey Miyake…).
Françoise Pétrovitch
du 2 juillet 2026 à mai 2027, au musée Ingres Bourdelle, Montauban
Depuis sa réouverture en 2019, le musée Ingres Bourdelle propose à des artistes contemporains d’investir le second sous-sol de l’ancien palais épiscopal où se loge la salle du Prince Noir.
À l’été 2026, cet espace sera confié à Françoise Pétrovitch, artiste reconnue sur la scène internationale, dont le travail explore plusieurs médiums : le dessin, la peinture, l’estampe ainsi que la céramique et la vidéo.
La plasticienne déploiera une installation constituée de sculptures en céramique représentant des créatures hybrides et anthropomorphiques. Ce bestiaire qui ponctue l’oeuvre de la plasticienne sera mis en dialogue avec le répertoire médiéval animant de nombreuses pièces, chapiteaux, clés de voûtes, présentés depuis le XIXe siècle dans la salle du Prince Noir.
Quelques belles feuilles de l’artiste seront aussi présentées au second étage. Elles rejoindront les tiroirs de dessins réservés habituellement à Jean-Auguste-Dominique Ingres, donnant ainsi à voir le lien puissant qui existe entre la plasticienne, le dessin et le maître de Montauban.
Eugène Leroy. À contre-jour – MUba Eugène Leroy, Tourcoing
Victor Prouvé – Musée Français de la Carte à Jouer
Le Spectacle Historique de Meaux
Regard d’artiste : Raija Jokinen – Domaine de Trévarez
TALKS – Drawing Now Art Fair I Le Salon du dessin contemporain
Chaissac & CoBrA. Sous le signe du serpent – Musée Soulages Rodez
CRÉATURES. Bestiaires Fantastiques de la Bande Dessinée – Musée des beaux-arts de Calais
Camille Claudel et Bernhard Hoetger (titre provisoire)
du 12 septembre 2026 au 10 janvier 2027, au musée Camille Claudel, Nogent-sur-Seine
Cette exposition rassemble les œuvres de deux artistes dont les chemins se sont croisés à plusieurs reprises à Paris au tournant du XXᵉ siècle : Camille Claudel et Bernhard Hoetger. Tous deux se rejoignent dans leur quête de reconnaissance et dans leur volonté de s’émanciper de l’influence du maître de la sculpture, Auguste Rodin. En 1905, les œuvres de la sculptrice française sont exposées dans la galerie du marchand Eugène Blot, aux côtés de celles de l’artiste allemand, de dix ans son cadet. Au milieu de l’avant-garde, chacun développe une vivacité artistique singulière, dont le rayonnement dépasse les frontières. Plus de 120 ans plus tard, ces deux figures majeures de la sculpture sont à nouveau réunies.
En coproduction avec le musée Paula Moderson-Becker de Brême et l’Alte National galerie de Berlin.